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Sur quelques théorèmes généraux de mécanique et de thermodynamique

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00241636

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241636

Submitted on 1 Jan 1911

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Sur quelques théorèmes généraux de mécanique et de thermodynamique

L. Bloch

To cite this version:

L. Bloch. Sur quelques théorèmes généraux de mécanique et de thermodynamique. J. Phys. Theor.

Appl., 1911, 1 (1), pp.988-996. �10.1051/jphystap:01911001012098801�. �jpa-00241636�

(2)

988

aimants élémentaires, identiques entre eux et en nombre à la fois grand et variable dans le même atome, soit donnée cc priori, on croi-

rait leur démonstration expérimentale entourée des plus grandes

difficultés. Les moments magnétiques devraient former des résul- tantes n’ayant plus aucun rapport simple avec leur grandeur. Il sem-

blerait que l’on dût attendre la possibilité de les saisir de quelque phénomène exceptionnel, comme ceux qui font jaillir l’électron de l’atome.

La facilité avec laquelle ils se manifestent, le caractère exception-

nel des cas où ils échappent à l’observation, sont eux-mêmes l’ex- pression d’une propriété importante. Il est, en effet, tout à fait stupé-

fiant que ces aimants élémentaires se placent toujours de façon que leurs moments s’ajoutent algébriquement, c’est-à-dire parallèlement

ou même bout à bout. Il est peut-être tout aussi curieux que, parmi

les mesures existantes, si peu suggèrent l’idée de mélanges de molé-

cules de nombres de magnétons différents. Il est probable que des

mélanges semblables existent dans les sels magnétiques en solutions

concentrées dont Koenigsberger et Meslin ont montré qu’ils ont des

coefficients d’aimantation variables avec la concentration. On peut

se demander si l’égalisation du nombre des magnétons ne serait pas

une des conditions de l’équilibre des molécules de même espèce entre

elles.

Enfin, on peut dire qu’après l’électron symbolisant les idées nou-

velles sur la structure discontinue de l’électricité, le magnéton

marque une évolution analogue dans la représentation des phéno-

mènes magnétiques.

SUR QUELQUES THÉORÈMES GÉNÉRAUX DE MÉCANIQUE

ET DE THERMODYNAMIQUE (1) ;

Par M. L. BLOCH.

VI

Avant d’étendre les théorèmes de lord Rayleigh au cas de la Thermodynamique, nous allons montrer ce qu’ils deviennent dans le

cas de l’Electrostatique.

(t~ Voir ce i ol., pp. 820 et 912.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01911001012098801

(3)

989

Un système soumis à des forces purement électrostatiques possède

une énergie potentielle :

où les Q désignent les charges électriques et les V les potentiels correspondants. Ces quantités correspondent respectivement aux W

et aux ~ de l’expression (1). L’équilibre naturel correspond encore

à un minimum de U, de sorte que le second membre de (52) doit être regardé comme essentiellement positif.

Sans qu’il soit nécessaire de refaire les raisonnements, on énonce

immédiatement les théorèmes suivants :

,

Quand, à partir d’une position d’équilibre stable, un système élec- trostatique se modifie â _potentiels donnés, l’état d’équilibre qu’il

atteint réellement est le plus stable de tous ceux qui sont possibles ; Quand le système se modifie à charges données, l’état qu’il prend

réellement est le moins stable de tous ceux qui sont possibles.

Faisons une autre application des théorèmes fondamentaux au cas

d’un système lnixte dont l’énergie potentielle est en partie électro- statique, en partie mécanique. Nous supposons que, réduite à sa forme canonique, l’expression de l’énergie potentielle est donnée par :

Ce sera, par exemple, le cas de l’électromètre (n

~

4) dont la suspension possède un coefficient de torsion c. Supposons que les

grandeurs Q,, V~ 1 soient relatives à la partie de l’électromètre (ai- guille ou paire de quadrants) mise en relation avec le milieu exté- rieur auquel elle peut emprunter de l’énergie. On peut alors énoncer les deux théorèmes suivants, relatifs à la sensibilité de l’électromètre

aux quantités d’énergie :

THÉORÈME I.

-

A déviations et à potentiels donnés (,, ,r 2’

...,

VII donnés), l’énergie qu’il faut fournir au système est minimum lorsqu’on opère à charge Q, constante.

THÉORÈME II.

-

A couple et à charge donnés (r l’ Q,, Q,,

...,

Qn donnés), l’énergie qu’il faut fournir au système est minimum lorsqu’on opère à potentiel V ~ fixe.

En choisissant d’autres modifications extérieures imposées à un

système électrisé, on retrouverait sans difficultés les propositions

classiques de Gouy et de Lippmann.

(4)

990

Vil

Passons maintenant au cas de la Thermodynamique.

Nous avons montré que dans ce cas l’équation d’équilibre est :

et la condition de stabilité de cet équilibre :

désignant ici le travail utilisable total des forces appliquées au système.

Dans le cas où ce travail est une différentielle totale exacte, nous posons ~~ W - - à, À et les conditions ci-dessus s’écrivent :

Elles s’énoncent en disant que A est 1nin£rnum.

Sous cette forme, l’analogie est complète avec les conditions de

l’équilibre et de la stabilité mécanique données par lord Rayleigh.

La fonction A correspond à l’énergie potentielle totale V, nous l’ap- pellerons l’énergz’e potentielle utilisable.

Elle se distingue de la fonction V que l’on considère ordinairement

en Thermodynamique, et qui désigne l’énergie totale. Elle coïncide,

sous certaines réserves, avec l’énergie utilisable de Gouy C) et l’éner- gie libre de Nernst (2).

Si nous supposons que l’énergie utilisable existe comme fonction uniforme des coordonnées généralisées, il devient facile d’étendre la loi de réciprocité (34) au cas de la Thermodynamique. Cette condition

rappelle de très près la condition correspondante qui doit être satis-

faite en Mécanique : il faut qu’il existe une fonction de force U (c’est-

à-dire une énergie potentielle V). Dans l’un et l’autre cas, la loi de réciprocité se déduit des équations du type :

(1) Lorsqu’il ii-y a degré de liberté thermique et que le travail total des forces extérieures est effectué par l’opérateur. (Voir GOUY, loc. cit., p. 510.)

(2) Yoir NERNST, Traité de chimie génêrocle, t. l, p. 33.

(5)

991

jointes à l’identité d’Euler :

On a, en effet, manifestement :

Si, comme nous le supposerons désormais, la loi de réciprocité

se trouve satisfaite, nous pouvons immédiatement transposer au cas

de la Thermodynamique un certain nombre d’é,gaZités établies par lord Rayleigh dans le cas de la mécanique. C’est ainsi que la formule:

valable dans le cas n ~ ~, devient :

formule équivalente à la formule de Clapeyron.

Lorsqu’on tient compte de la stabilitade l’équilibre naturel, l’ap- plication de l’analogie mécanique conduira à des théorèmes thermo-

dynamiques s’exprimant par des inégalités. C’est ainsi qu’en se limi-

tant toujours au cas n = ~ les inégalités

sont l’expression des deux théorèmes :

L’inégalité générale de M. R.aveau (I’ est l’analogue de l’inégalité

suivante :

VIII

Nous ne nous arrèterons pas à déduire de (64) les quatre énoncés

donnés par 1V1. Raveau. Nous préférons porter notre attention sur les (1) M. Ehrenfest, qui est revenu récemment (Z. P. C., LXXVII, pp. 2~7-24.~, et

ce vol., suprCt, p. 792) sur la question du déplaceinent de l’équilibre, ne semble

pas avoir eu connaissance de la note (C. R., t. CLXYIII, p. 767) dans laquelle

M. Raveau établit cette inégalité.

(6)

992

théorèmes qui correspondent en Thermodynamique aux deux théo-

rèmes fondamentaux de lord Rayleigh. Les cas envisagés par lord

Rayleigh présentent, en effet, une circonstance remarquable : ce

sont les seuls où nous puissions cc priori écrire sous une forme tout

à fait simpJ e les conditions exprimant que les modifications intérieures sont entravées.

Ces conditions ne sont autres que (40) et (~i) ; elles ont un sens physique simple et immédiat. Si nous prenons l’énergie utilisable

sous la forme :

et, si nous limitons notre étude aux variations des ’f1’ ils 21 1J1’i’

1

W 2’

nous sommes amenés à distinguer deux cas :

A. W1 ou W2 donné.

-

La déformation (’ ) qui s’obtient à partir de

l’état d’équilibre naturel avec le moindre travail utilisable est celle pour laquelle :

Les conditions (66) s’expriment en disant qu’on entrave les 1’nodi-

flcations intérieures de pre1n£ère espèce.

B. ~~ donnés.

-

La déformation qui demande le moindre accroissement d’énergie utilisable est :

Les conditions (67) s’expriment en disant qu’on entrave les 1nodi- fications intérieures de seconde espèce. Les modifications intérieures de première et de seconde espèce sont les plus simples dont un système puisse être le siège.

Il y a donc intérêt à expliciter dans ce cas les théorèmes auxquels

conduit l’analogie mécanique.

Traduisons les théorèmes A et B dans le langage thermodyna- mique :

A1. W1 donne.

-

Si l’on se donne W4 c’est-à-dire l’accrois-

sement de pression qui doit être réalisé dans le système, la défor-

mation qui coûtera le moins de travail sera celle qui se fait à modi-

fications entravées (~! z, ~~,

...,

~.~"

=

0).

(1) Réversible ou irréversible.

(7)

993 Ce travail peut être supposé fourni au système sous trois formes :

oc : comme travail de compression correspondant au terme - lrow du travail virtuel;

p : : comme travail d’autre nature correspondant aux termes 1}J~3’f3 +

... 1

+

y : enfin il peut aussi être emprunté en totalité ou en partie à une

source de chaleur à température convenable fournissant au système

une quantité de chaleur AQ qui se transforme partiellement en travail

dans son passage à une température moindre. Cette partie du travail correspond à W 2’f2 = TJS.

La comj?.essibilité génércclisée est par définition le rapport du travail ~2A au carré de la surpression Le théorème s’énonce

donc ainsi : Za c01npressibilité généralisée d’un système est 1ninimu1n

à modi fzcations entravées (de pre11Lière espèce).

Si nous limitons nos comparaisons à des transformations pour

lesquelles le travail ~ + y est nul, le théorème se particularise : la compressibilite’d’i,,n système est à lnodiflcations entravées (de première espèce). En particulier il 1(iitt qu’on ait ’f2

=

0, c’est-

à-dire compression adiabatique (1). La compressibilité dont il s’agit

ici est la compressibilité proprement dite, puisque dans les hypo-

thèses restrictives que nous avons faites --.A,- Ap se réduit à 1 2 w ( ) Ap’’

A2. T2 donné.

-

Si l’on se donne W 2 dT, c’est-à-dire l’accrois- sement de température imposé au système, la déformation qui coîi-

tera le moins de travail utilisable sera celle qui se fait à modifications entravées (~ Y;2’

...,

t.L,~ 0).

Ce travail peut être supposé fourni au système sous les trois

formes «, ~, y.

La capacité calorifique généralisée est par définition le rapport du

travail A,A au carré de l’élévation de température JT2. Le théorème

s’énonce donc ainsi : la capacité calorifique générah’sée est minimum

à modifications entravées (de première espèce).

Si nous limitons nos comparaisons à des transformations pour

lesquelles le travail x + ~ est nul, le théorème se particularise : 1a

(1) Nous n’avons pas besoin de faire observer que cet énoncé est nettement distinct de l’énoncé 1 donné par lI. Raveau. La même remarque s’applique aux

théorèmes suivants.

(2) Si

’’

l’on se limite au cas n

=

2, on retrouve Î/§ ) (IP T> clv ÎÔ§»s° ! S

.

(8)

994

capacite calorifique d’un est il entra-

vées (de prernière espèce). particulier, il faut qu’on ait ~! ~

=

0 (volume constant) (1). La capacité calorifique est prise ici dans un

sens légèrement différent du sens ordinaire. Elle a pour mesure i As

L h’ ,

.

1

.,

1 .fi d"

1 S Le théorème reste vrai pour la capacité calorifique ordinaire

2 à T p p q

0 si l’on s’astreint à n’effectuer que des transformations re’ver-

Af

sib les (2).

B~. ’¥1 donné.

-

Si l’on se donne ’f1’ c’est-à-dire une variation de volume Av à réaliser, on l’obtiendra avec la moindre dépense de travail en opérant à modifications entravées (de seconde espèce),

c’est-à-dire en faisant tIJ’2,

... ,

== 0.

L’extensibilité généralisée du s)’stème sera par p définition 3,v2 ,

Elle est modifications entravées (de seconde espèce).

Supposons nul le travail ~ + Y ; il vient :

La c01npressib£lité d’un système est MAXIMUM quand on opère à modifications entravées (de seconde espèce). En particulier la com- lroresszon doit être isotherme.

B2/. ’f2 donné.

-

Si l’on se donne ’f2’ c’est-à-dire la variation d’en-

tropie àS qui doit apparaître dans le système, le travail nécessaire pour la réaliser est minimum quand on opère à modifications entra- vées (de seconde espèce), c’est-à-dire en faisant ~~, ~’2,

...,

V, - 0.

La capacité entropiqite du système y sera par P définition - S2 . il - Elle

est îîîiniînuni à modifications entravées (de seconde espèce).

Supposons nul le travail « + y ; il vient :

capacité calorifique (3) d’un système est MAXIMUM quand on opè1’e it modifications entravées (de seconde espèce). En particulier il faut 1uaintenz’r la pression eonstccnte.

Les théorèmes B, et B2 conduisent à des conditions de maximum,

tandis que A, et A2 conduisent à des conditions de minimum. Cette

(1) Si l’on se limite au cas n = 2, on retrouve (dT (-jrr) ’ dT v

(’) Il suffit même de s’ilnposer la réversibilité pour l’une ou l’autre des deux transformations que l’on compare (modifications entravées ou non entravées) et

cela selon le signe de AT.

(3) Ici encore ce mot n’est pris dans le sens ordinaire que si l’on s’astreint à

envisager seulement des transformations réversibles. (Voir note page précédente.)

(9)

995

apparente opposition existait déjà dans les théorèmes A et B de lord Rayleigh. Le lecteur se rendra compte aisément que nos énoncés

B~ et B2 sont parfaitement compatibles avec les énoncés en appa-

rence opposés de M. Raveau.

Il reste à éclaircir les propositions ci-dessus au moyen d’un exemple simple.

Soit un système constitué de deux phases de masses )n et 1

soumises à une pression et à une température uniformes. Les degrés

de liberté sont au nombre de trois et l’on peut prendre comme para- mètres caractéristiques clv, dS et dm, les deux premiers de ces paramètres étant définis par les relations :

La variation de l’énergie utilisable est :

comme on le voit immédiatement en se servant de :

Un système de ce genre peut être le siège de modifications inté- rieures de deux espèces. Les premières sont celles qui correspondent

à un accroissement de volume, d’entropie, ou de la masse à77z d’un

des constituants. Les autres sont celles qui sont accompagnées d’un changement de pression, de température, ou d’une variation inégale

d’énergie libre par unité de masse de chacun des constituants. Les théorèmes A1, A2, B1, B2 prennent ici une expression très simple : A1.

-

La compressibilité est minimum quand on opère adiabatique-

ment et sans changer les proportions des constituants.

A,.

-

La capacité calorifique est minimum quand on opère à

volume constant et sans changer les proportions des constituants.

B4’ -La compressibilité est maximun quand on opère isothermi- quement et que les variations spécifiques d’énergie libre sont ies

mêmes pour les deux constituants.

B2.

-

La capacité calorifique est maximum quand on opère à pression constante et que les variations spécifiques d’énergie libre

,

sont les mêmes pour les deux constituants.

(10)

996

1X

Nous terminerons cet exposé en indiquant ce que deviennent, pour

un système thermodynamique en équilibre stable, les deux corollaires établis par lord Rayleigh.

PROPOSITION I.

-

Si un système thermodynamique esten équilibre

stable sous l’action de forces généralisées données (par exemple

p, T, AI

-

f1 j~, toute altération du système dans le sens d’une

diminution d’énergielibre conduit à un nouvel état d’équilibre inoins

PROPOSITION Il. - Si un système thermodynamique en équilibre

est astreint à des déplacements généralisés donnés (par exemple

At,, AS ou àJ7g), toute altération du système dans le sens d’une diminu- tion d’énergie libre conduit à un nouvel état d"équilibre plus stable.

ABERRATIONS DANS LE MIROIR PARABOLIQUE;

Par M. JEAN BLEIN.

On sait que le miroir parabolique est stig)ît(ttique pour un couple

de points conjugués, le point à l’infini sur l’axe et le foyer F. D’ail-

leurs il n’est pas aplanétique pour ces points ; la condition, d’aplané-

tisme d’Abbe des sinus) est, dans le cas actuel, l’m

des points stigmatiques est rejeté à l’infini et où la lumière se pro-

page constamment dans l’air :

(e, diamètre apparent petit d’un objet à l’indni voisin de l’axe ; y’,

diamètre de l’image correspondante, fournie par les rayons qui

tombent près du sommet du miroir). On déduit de la J :

ce qui n’est évidemment pas réalisé.

Je me propose d’indiquer la position des focales sur un pinceau, parallèle avant réflexion, dont le rayon principal se propage dans un

9

plan méridien; le résultat est particulièrement simple. Je détermi-

nerai ensuite la forme de la tache d’aberration dans le plan focal

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