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Cahier des Clauses Techniques Particulières

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Academic year: 2022

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Cahier des Clauses Techniques Particulières

MARCHE DE PRESTATION INTELLECTUELLE PROCEDURE ADAPTEE

(Article 28 du Code des marchés publics)

Maître d’ouvrage :

Syndicat mixte du Parc naturel régional de Brière 214 rue Chef de l’île

44720 SAINT JOACHIM Tél : 02.40.91.68.68

Objet de la consultation :

« Etude d’état des lieux et qualification

des roselières de Loire Atlantique et Morbihan»

Date et heure limites de réception des offres : 21 juin 2022 à 19h

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Sommaire

Contexte et objet des prestations ...3

1.1 Contexte ... 3

1.1.1 Le syndicat mixte du Parc naturel régional de Brière ... 3

1.1.2 Le territoire du Parc naturel régional de Brière ... 4

1.1.3 Favoriser l’émergence de l’économie circulaire du roseau en Brière ... 4

1.1.4 Projet d’étude d’état des lieux des roselières de Loire Atlantique et Morbihan ... 6

1.2 Objets de la mission ... 8

Description des prestations ... 9

2.1 Documents mis à disposition et assistance ... 9

2.2 Fiches techniques par objectifs ... 10

2.2.1 Objectif 1 : Identification des secteurs à étudier ... 10

2.2.2 Objectif 2 : Etude du potentiel disponible : identification, caractérisation et quantification des roseaux Phragmites australis présents sur les zones identifiées ... 12

2.2.3 Objectif 3 : Etude d’opportunité / Mise en œuvre durable de la coupe ... 13

2.3 Organisation ... 13

Restitution des résultats ... 14

3.1 Rendu format papier et numérique ... 14

3.2 Charte graphique ... 14

Analyse d’un échantillon de roseaux ... 15

Analyse visuelle ... 15

Analyses chimiques en laboratoire ... 16

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Contexte et objet des prestations

1.1 Contexte

1.1.1 Le syndicat mixte du Parc naturel régional de Brière

Le Parc naturel régional de Brière est l’un des 56 Parcs naturels régionaux de France. C’est un territoire rural habité, reconnu au niveau national pour son exceptionnelle valeur patrimoniale et paysagère. Il a pour vocation de protéger le patrimoine naturel, culturel et humain à travers une politique innovante d’aménagement et de développement économique, social et culturel, respectueuse de l’environnement.

Créé en 1970, il est géré par un syndicat mixte composé de 21 communes et 3 EPCI, la ville de Nantes, la ville de Pornichet (« Ville porte »), le Département de Loire Atlantique, la Région des Pays de la Loire, la Commission Syndicale de Grande Brière Mottière et le Syndicat mixte du Bassin Versant du Brivet. Il est gouverné par un Comité Syndical (45 membres) qui délibère sur le fonctionnement et le budget du Parc, et un Bureau (15 membres) qui délibère sur les actions courantes du Parc. De plus, des commissions consultatives permettent de suivre la réalisation des mesures définies de la Charte.

La Charte du Parc 2014-2029 est la quatrième depuis sa création. Définie en concertation avec les forces vives locales (citoyens, associations, collectivités), elle détermine les orientations de protection, de mise en valeur et de développement du territoire, ainsi que les mesures permettant d’atteinte ces objectifs. Aujourd’hui, elle s’articule autour de 6 grandes ambitions :

1. Faire émerger des approches plus intégrées de l’urbanisme et de la gestion des milieux 2. Se mobiliser face à l’accélération du changement climatique

3. Encourager la transition agricole et alimentaire du territoire

4. Consolider l’offre de découverte des patrimoines au service des habitants et du tourisme de nature 5. Favoriser l’emploi des matériaux bio et géo sourcés pour le développement d’économies circulaires 6. Construire et stimuler une citoyenneté active

L’équipe technique du Parc, pluridisciplinaire et composée de 28 agents, est là pour mettre en oeuvre les actions qui en découlent.

Elle comprend :

- La direction, et le secrétariat général avec les services o Administratif et financier,

o Technique,

- Le pôle biodiversité et patrimoine naturel, - Le pôle développement local.

Outre la sensibilisation et la médiation, le pôle développement local engage et porte des projets s’inscrivant dans un développement équilibré du territoire à travers notamment une valorisation des activités économiques et agricoles durables et des projets d’aménagements éthiques répondant aux enjeux de préservation et/ou de tourisme durable. Il est composé d’une responsable, 4 chargées de missions, 3 animatrices et une documentaliste.

C’est au sein de ce pôle que sera porté le présent projet en lien avec les différents partenaires et le pôle biodiversité.

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1.1.2 Le territoire du Parc naturel régional de Brière

Le Parc naturel régional de Brière se situe sur la Presqu’île de Guérande. Il s’étend sur 21 communes, 4 intercommunalités et est inclus dans l’aire urbaine de Saint-Nazaire. Il couvre environ 54 800 ha dont 21 000 ha de milieux humides.

Sa particularité est sa composition avec 1/3 de zones humides et milieux aquatiques dont les marais : - En amont, les marais du Haut-Brivet (2000 ha) drainés et exploités,

- En aval à l’Est, les marais de Donges, (7800 ha) consacrés à l’élevage extensif,

- En aval au cœur du Parc, le marais indivis de Grande Brière Mottière (7000 ha) peu exploité et les marais dits privés qui le ceinturent, dédiés à l’élevage.

L’ensemble que forment le marais indivis de Grande Brière avec les marais privés sont pour leur part composés d’eau douce, alimentés par le bassin versant du Brivet et isolés des remontées marines de l’estuaire par des systèmes d’écluses. Couplées aux canaux creusés à partir du 19e siècle, elles permettent de maîtriser les niveaux d’eau sur les marais, dans l’objectif d’optimiser la valorisation de ces vastes étendues (pâturages, tourbage, chasse…)

Limites du Parc naturel régional de Brière et localisations des marais

Le cœur de ce territoire abrite les marais de Brière ceinturés par des structures bocagères plus ou moins denses.

A l’extrémité ouest, le bocage entoure les marais saumâtres et doux du Mès qui amènent jusqu’au marais salants puis au littoral Atlantique. Certains de ces espaces reconnus à l’échelle nationale (Natura 2000) et international (Ramsar) accueillent une faune et une flore diversifiée et protégée.

1.1.3 Favoriser l’émergence de l’économie circulaire du roseau en Brière

Même s’il a été à plusieurs reprises marginalisé, le roseau connaît aujourd’hui un regain d’intérêt. Servant à la fabrication de mobiliers, d’objets du quotidien voire même de paillis ou de litière pour animaux, le roseau est avant tout un matériau de construction qui offre de larges débouchés en matière d’architecture : selon sa mise en œuvre,

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| 5 il peut être employé sous forme de tiges, en bottes, panneaux ou structures légères d’édifices, et sous forme de broyats en vrac ou associé à des liants pour faire des mortiers, bétons, enduits…

Issu d’un milieu naturel d’exception, le roseau est une fibre naturelle à fort potentiel que ce soit en termes de performances techniques, d’impact environnemental et d’atouts socio-économiques. Sa récolte permet l’entretien des roselières, qui sont des refuges pour la biodiversité, systèmes d’épuration naturelle et puits de carbone. C’est aussi un matériau recyclable, réutilisable ou valorisable en humus. Ainsi, le roseau retient de nouveau l’attention car il permet d’apporter des réponses aux enjeux environnementaux et humains de demain, notamment en ce qui concerne la construction durable.

Se dessine alors en filigrane une économie circulaire qui peine à émerger face aux défis de filières : - Valorisation des gisements français pour faire face aux importations internationales

Aujourd’hui, la plupart du roseau approvisionné pour la couverture en Brière est issue de Camargue, soit 80%, de Normandie ou Bretagne dans une moindre mesure, et de plus en plus des pays de l’Europe de l’Est voire de Chine, alors que de nombreuses roselières françaises ne sont pas valorisées. La région Pays de la Loire est la plus dotée en roselières en superficie (18 100 ha), représentant plus d’une centaine de sites.

- Interconnexion des initiatives locales entre récoltants, couvreurs chaumiers et autres corps de métier (maçons, architectes, gestionnaires de déchets…) pour développer des projets plus résilients

Une centaine d’entreprises de couverture en chaume existe au niveau national, une dizaine en Brière, et les entreprises de récolte sont peu nombreuses. Quelques-unes sont réunies au sein de l’Association Nationale des Couvreurs Chaumiers (15% des entreprises). Cette petite filière artisanale manque aujourd’hui de moyens et de visibilité alors qu’elle a tout pour plaire. Renforcer les liens entre les différents acteurs permettrait sans aucun doute d’apporter des réponses entrepreneuriales.

- Reconnaissance et transmission des savoir-faire pour répondre à une demande croissante

Le savoir-faire chaumier ne bénéficie pas de référentiel technique reconnu à ce jour (hormis un guide de recommandations techniques peu dense) ni de formation adaptée pour répondre au besoin de main d’œuvre lié à une vague de départs générationnelle de professionnels et à la demande croissante en matériaux plus écologiques dans le BTP.

- Optimisation et diversification des débouchés pour accompagner la création de produits complémentaires ayant une forte valeur-ajoutée

La couverture en chaume utilise un roseau de qualité calibrée, excluant une partie de la récolte qui pourrait alors être valorisée dans de nouvelles filières : isolation, mélange fibres/terres, bio composites… Certaines initiatives percent au niveau national mais restent marginales.

Depuis 2018, le Parc mène un programme d’actions et de recherche, avec l’ensemble des acteurs du territoire (professionnels, propriétaires, collectivités et partenaires techniques et scientifiques), pour la préservation et la valorisation du patrimoine des chaumières et de sa filière économique. En parallèle, le Parc travaille sur le développement d’une économie circulaire autour du roseau. Ces projets ont permis d’identifier les nouveaux leviers à actionner pour relever les enjeux rencontrés :

- Exploitation de roselières non valorisées à ce jour.

- (In)formation et soutien des propriétaires, collectivités, maîtres d’œuvre et d’ouvrage pour une meilleure connaissance de la filière.

- Structuration des couvreurs chaumiers autour de la rédaction de règles professionnelles, de la transmission d’un savoir-faire spécifique et du recrutement de nouveaux artisans.

- Valorisation de la ressource via de nouveaux emplois tout au long de son cycle de vie.

Au niveau local, les perspectives sont réelles (maintien et évolution d’un patrimoine historique de plus de 2200 couvertures en chaume, développement socio-économique, entretien des roselières et protection de la biodiversité…).

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1.1.4 Projet d’étude d’état des lieux des roselières de Loire Atlantique et Morbihan

DESCRIPTION DU PROJET

Les marais de Brière abritent des roselières depuis des siècles, ressource historique du territoire. Elles sont aussi présentent en Loire Atlantique et Morbihan. Ces roselières sont des espaces sans cesse en évolution dont il est difficile d’en connaître l’étendue. Aujourd’hui, nous ne savons pas encore qualifier cette ressource, le roseau Phragmites australis, en termes de caractéristiques physiques, de volume et de répartition.

Dans ce dossier, le terme « roselières » concerne les roseaux Phragmites australis.

Les roselières sont des milieux très attractifs pour la biodiversité, qui y est présente tout au long de l’année. Cela constitue un enjeux majeur à prendre en compte dans ce projet. Cette étude permettrait aussi de répondre aux questions soulevées sur le besoin d’entretien des roselières et sur les potentielles influences et repercutions d’une relance d’une coupe sur la durabilité des roselières.

L’objectif de cette étude est alors de réaliser un état des lieux, c’est-à-dire obtenir une connaissance globale de caractérisation et quantification des roselières disponibles sur le territoire.

A termes, ce projet permettra au Parc de réfléchir à une relance d’une coupe locale du roseau, à une échelle non industrielle raisonnée. Le Parc souhaite valoriser la ressource via de nouveaux emplois du roseau tout au long de son cycle de vie.

LE PERIMETRE DE L’ETUDE

Nous souhaitons connaître le potentiel de la ressource disponible sur les départements de Loire Atlantique et Morbihan.

UNE RESSOURCE HISTORIQUE EN BRIERE

Depuis le 16ème siècle, le marais de Grande Brière Mottière a le statut de marais indivis, il est géré par les habitants des communes limitrophes à travers la Commission syndicale de Grande Brière Mottière. Le roseau du marais est récolté depuis des siècles en Brière, il n’est pas cultivé. La profession de coupeur de roseau est un savoir-faire traditionnel, qui est aujourd’hui en déclin à cause de la difficulté d’exploiter le marais. Les coupeurs peinent à trouver des gens à qui transmettre leurs savoir-faire. Malgrès la perte de cette profession, la ressource est toujours présente sur le territoire, cette étude nous permettrait de la qualifier.

Le roseau de Brière qui était utilisé jusqu’aujourd’hui en couverture pour les chaumières n’est plus exploité. Les chaumiers sont poussés à s’approvisionner autrement.

APPROVISIONNEMENT EN ROSEAUX

Les roseaux n’étant plus récoltés en Brière, les couvreurs-chaumiers importent le roseau de Carmargue, d’Europe de l’Est, et de Chine. Aujourd’hui, les chaumiers s’approvisionnent de façon individuelle et font parfois face à des pénuries de roseaux, comme c’est le cas aujourd’hui. Cela les forcent à rechercher sans cesse de nouveaux fournisseurs en France et à l’international, individuellement. C’est un marché très peu structuré, où subsiste des inégalités d’approvisionnement et une qualité de roseaux fournis aléatoire.

Depuis les années 2000, des dégradations anormales des couvertures en chaume en Brière sont observées : les toitures dont la durée de vie est de 35 ans en moyenne commencent à se dégrader prématurément, entre 2 et 10 ans. Ce phénomène est également constaté à l’échelle nationale et internationale. Depuis 2016, le Parc cherche à répondre à la problématique des<f dégradations prématurées observées sur certaines couvertures en chaume.

Ont été mis en avant des critères de qualité du roseau permettant de limiter le risque de dégradations prématurées. Le Parc cherche à ce que les couvreurs-chaumiers s’approvisionnent uniquement en roseau de qualité.

Ces difficultés d’approvisionnement et de qualité pourraient être potentiellement réglés en relocalisant l’approvisionnement. Cette étude est nécessaire pour la réflection d’une relance de coupe locale.

ÉVOLUTION DES ROSELIERES

Au regards des appréciations des chargés de mission du Pnr de Brière, des usagers et d’un ancien coupeur de roseau, il est relevé que les phragmitaies sont de manière générale en état de régression sur la base de paramètres définis. Par contre, de nouvelles espèces de roseau apparaissent dans le marais.

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| 7 L’évolution naturelle de l’écosystème roselière conduit au développement progressif de boisements. Une grande partie des roselières sont qualifiées de « vieillissantes » avec une fermeture progressive du milieu par développement de ligneux (notamment le saule cendré) qui signale une dynamique d’atterrissement.

Aujourd’hui il est donc noté que les roselières évoluent en termes d’espèces la composant et en superficie. Des intérogations existent sur la necessité ou non de réaliser des entretiens des roselières ou de les laisser évoluer.

CROISÉE D’ENJEUX DE SOCIÉTÉ, D’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE ET DE PRÉSERVATION DE LA BIODIVERSITÉ EN BRIÈRE La relance d’une filière de coupe locale en Brière nécessite la prise en compte de forts enjeux : elle est à la croisée d’enjeux de société, d’aménagement du territoire et de préservation de la biodiversité.

De par les différents usagers du marais de Brière, le niveau d’eau est difficile à fixer pour satisfaire tous les usages.

Il est géré par le Syndicat du Bassin Versant du Brivet. Le marais est inondé en hiver et au printemps et est exondé le reste de l’année. Ces variations des niveaux d’eau déterminent la composition et la distribution des roselières.

C’est un facteur essentiel à leur gestion et devra être pris en compte dans cette étude.

Période de coupe des roseaux en Brière

De plus des parties du marais sont difficilement accessibles du fait du sol tourbeux, particulièrement instable, de la présence d’eau, de trous et parfois d’absence de chenaux pour accéder à certaines zones.

Les espèces envahissantes telles que la jussie, et la crassule est un enjeu à considérer dans cette étude. Il serait pertinent d’étudier si l’exploitation du roseau favorise leur développement sur le territoire.

Roselières de Grande Brière Mottière

Usages socio- économiques : - Relance d'une coupe

locale - Diversification des

emplois du roseau - Développement d'une

économie circulaire

Acteurs et usagers : - PnrB - SBVB

- Chasseurs, pêcheurs, agriculteurs

-Tourisme

Patrimoine et fonctions écologiques : - Flore protégée - Faune protégée - Espèces envahissantes

- etc

janvier février mars avril mai juin juillet août septembre octobre novembre décembre

Impossibilité de récolte Roseau sec Roseau humide Nb de jours de récolte

possible 10 10 0 0 0 0 10 15 15 15 10 10 95

soit 190 ha

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1.2 Objets de la mission

La présente consultation concerne la réalisation d’études scientifiques sur les roselières de Phragmites australis sur les départements de Loire Atlantique et Morbihan, dans le cadre du projet de développement d’une économie circulaire. Elles se déclinent en quatre lots qui traitent des sujets suivants :

Objectif 1 : Identification des secteurs à étudier

Objectif 2 : Identification, caractérisation et quantification des roseaux Phragmites australis présents sur les zones identifiées

Objectif 3 : Etude d’opportunité / Mise en oeuvre durable de la coupe

Les actions sont à exécuter sous maîtrise d’ouvrage du Syndicat Mixte du Parc naturel régional de Brière. La Commission Syndicale de Grande Brière Mottière sera également associée aux études en tant que structure partenaire et gestionnaire du site.

Les délais à respecter sont spécifiés dans les fiches respectives de chaque objectif.

CALENDRIER

Le prestataire devra respecter le calendrier suivant : Objectif 1 : juillet-aout 2022

Objectif 2 : septembre-octobre 2022 Objectif 3 : décembre 2022 janvier 2023

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Description des prestations

2.1 Documents mis à disposition et assistance

Pour la réalisation de ces travaux, le prestataire pourra s’appuyer sur les éléments ci-après.

EXPERTISE BIODIVERSITE DU PARC, PERIMETRES DE PROTECTION ET CARTOGRAPHIES Le Parc naturel régional de Brière peut fournir au prestataire :

- Les cartographies des espaces protégées (Cartes de zones Natura 2000, et autres espaces protégés) - Les cartographies et BD des plantes invasives

- Les localisations de la faune et flore protégée

- La cartographie des différents usages du Parc (terrains de chasse, agriculteurs etc) - L’expérience de terrain des agents

- Un service d’embarcation sur les marais de Brière, sous condition et accompagnement par un agent du PnrB

- La base de données géoréférencées du PnrB

Les bases de données cartographiques du Parc Naturel Régional de Brière peuvent être mises à disposition du titulaire du présent marché sous réserve d’une signature de convention.

BIBLIOGRAPHIE DISPONIBLE AUTOUR DES ROSELIERES ET DU SAVOIR-FAIRE CHAUMIER

- M.HONORE, Thèse Mise au point de nouveaux bio-composites verts innovants à base de roseau commun Phragmites australis, 2020, Etude.

- BARGAIN Florestan, Parc naturel régional de Brière et UniLasalle, Etude préalable de la dégradation accélérée des couvertures en chaume dans le Parc Naturel Régional de Brière, Septembre 2017, Etude.

- PAILLISSON Jean-Marc et MARQUET Matthieu, Parc naturel régional de Brière et Université de Rennes, Usages et fonctions de roselières à phragmite (Phragmites australis) : l’exemple du contrat NATURA 2000 de restauration et de gestion expérimentale du site de Kerfeuille en Grande Brière Mottière, Février 2014, Etude.

- M. MURGUES, Cartographie de la végétation par analyse d'images "orientée objet", l'exemple des habitats de grands hélophytes en Brière, 2012 2013, Etude

- Conseil général de Loire-Atlantique, Etude de préfiguration du projet d’exploitation du roseau de brière, Septembre 2011, Etude.

- CARENE, Valorisation roseau Brière, 2008 2009, Etude

- C. BERTHELOT, Développement de la filière roseau-chaume en Brière – Bilan du programme 1999-2004, Etude.

- Prof.Dr.J.M. Greef et Henk HORLINGS, La qualité du roseau, 2006, Livre.

- THOMMY, Valorisation roseau énergie, 2005, Etude.

- CREDAR, Problème du chaume Brièron, 1971, Etude.

- B. ROUGEMONT, Le roseau en Brière, 1977, Etude.

- P. FRANCOIS, La roselière de Grande Brière, 1977-1978, Etude.

- M.MARCHENAY et L. BERARD, Le roseau, le noir et la tourbe : possibilités de valorisation, 1979, Etude.

- N. VITAL, Recherche des critères de qualité pour la couverture en chaume, 1993, Etude.

- V.CHAIGNE, Le roseau en Languedoc-Roussillon, 1987, Etude.

- V.SCHRICKE, Les hélophytes, Récolte et valorisation, 1998, Etude.

- P. GEORGEN, Entre patrimoine naturel et patrimoine architectural le chaume des marais, approche ethnologique d’un parcours, 1996, Etude.

- P. FOURCADE, La couverture en chaume en Grande Brière, Etude.

- FRANCOIS, Roseau en GB RC, 1978, Etude.

- FRANCOIS, Roselière de Grande Brière, 1978, Etude.

- BOULET, Bilan ressources marais, 1980, Etude.

Peuvent aussi être transmis les comptes rendus de réunions d’échanges sur les sujets d’études des roselières entre les différents acteurs.

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2.2 Fiches techniques par objectifs

2.2.1 Objectif 1 : Identification des secteurs à étudier

OBJECTIFS ET MISSIONS DU PRESTATAIRE

Le territoire de recherche étant très vaste l’objectif 1 consiste à définir les zones d’études, et écarter les espaces non propices dans les départements Loire Atlantique et Morbihan.

Le prestataire effectuera les actions suivantes :

• Obtenir une synthèse éléments existants, analysés et étudiés par le prestataire sur les deux départements :

(Il est possible que seuls les gisements étudiés par les gestionnaires puissent être connus et aient des données exploitables) - Rechercher les données et bibliographies disponibles :

Lister les structures locales* et prendre contact avec elles pour connaître les données disponibles et les études potentiellement déjà réalisées

- Etudier les bibliographies et analyser les données récoltées - Synthétiser l’ensemble des éléments en un rapport

• Identifier des zones à étudier sur la base des bibliographies et données, selon les critères définis par le prestataire :

- Etablir une cartographie SIG des roselières existantes, sur un fond d’orthophotographie - Etablir des critères de sélection ** et des coefficients sur chaque critère

- Attribuer les critères sous forme de données/valeurs sur les roselières de la cartographie SIG (format compatible QGIS et exploitable)

- Prioriser les zones selon les critères et écarter les autres (zones protégées, difficiles d’accès etc) - Rédiger et fournir un rapport d’études détaillé incluant le rapport de synthèse de l’ensemble des

éléments méthodes et protocoles utilisés et les justifications des choix. Proposer une cartographie SIG précise des roselières, faisant apparaître chacun les attributions des critères.

Cette cartographie sera conforme aux attentes du paragraphe 3.1 Rendu format papier et numérique

*Liste non exhaustive des structures locales pouvant fournir des éléments (cartographies, données, bibliographies etc ) :

Gestionnaire Natura 2000

Commission Syndicale de Grande Brière Mottière Parc naturel régional du Golfe du Morbihan Syndicat du Bassin Versant du Brivet

**Exemple de critères non exhaustif à redéfinir et détailler :

Surface de la roselière Surface minimum à déterminer par le prestataire

Salinité des eaux Eau douce

Eau saumâtre (1-10 g/L) ex : Marais de Brière Eau peu salée (10-30 g/L) ex : Mer Noire

Eau salée (30-42 g/L) ex : Mer méditerranée, Golfe de Gascogne

Concentration de la roselière Roselière très dense Roselière dense Roselière éparpillée

Mixité de la roselière Phragmites australis / homogène

Phragmites australis en majorité et présence d’autres espèces Roselière mixte présentant plusieurs espèces

Accès/maillage voiries

communales Roselière desservie par des voies communales Roselière partiellement desservie

Roselière non desservie par des voies communales Accès/nivelé et relief du terrain Terrain très plat, plan et sans trou

Terrain relativement plat

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| 11 Terrain avec du relief et accidenté

Accès/portance du sol Sol très porteur / sableux Sol peu porteur / argileux

Usage de la roselière Aucun usage

Terrain de chasse et agriculture Zones et espèces protégées (cf 2.1

Documents mis à disposition et assistance)

Roselière n’abritant pas d’espèce protégée Roselière abritant beaucoup d’espèces protégées Présence d’espèces envahissantes Oui

Non

Maîtrise du niveau d’eau Possibilité de gérer le niveau d’eau Niveau d’eau géré par une structure Niveau d’eau non géré

Droit d’exploitation de la roselière

et maîtrise foncière Roselière privée Roselière indivise Distance de la roselière jusqu’aux

chantiers de couverture chaume

Les marais bénéficient de plusieurs périmètres de protection (Ramsar, Natura 2000 et RNR), il y a donc des zones à exclure directement, le prestataire devra prendre en compte les paramètres de protection.

Aussi, les usages, comme la chasse, peuvent être source de conflits dans certains espaces, à prendre en compte aussi (chasse faite en hiver dans des espaces tranquilles). A prendre aussi en compte dans la sélection des zones, les espèces envahissantes.

LOCALISATION

Nous souhaitons avoir une connaissance globale sur l’étendue de la ressource disponible dans les départements Loire Atlantique et Morbihan.

PÉRIODE D’INTERVENTION

Cet objectif ne dépend pas de la saison, en revanche il doit être réalisé en amont de l’objectif 2 (avant septembre).

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2.2.2 Objectif 2 : Etude du potentiel disponible : identification, caractérisation et quantification des roseaux Phragmites australis présents sur les zones identifiées

OBJECTIFS ET MISSIONS DU PRESTATAIRES

L’objectif est de qualifier la ressource et le potentiel disponible, en termes d’espèces de phragmites présentent dans les zones sélectionnées en amont, de leurs caractéristiques physiques, de volume et de répartition (localisation de chaque espèce). Il est demandé au prestataire de définir les valorisations possibles des roseaux en fonction de ces analyses.

Le prestataire effectuera les actions suivantes :

• Acquérir une connaissance globale des caractéristiques physiques des phragmites australis des roselières étudiées :

- Proposer une méthode d’échantillonnage par zone (nombre et volume d’échantillons à prélever sur des zones de surfaces différentes)

- Prélèvement d’échantillons de sol et vérification des données de l’objectif 1 sur la nature du sol (portance, nivelé etc)

- Prélèvement d’échantillons de roseaux (tiges entières)

- Analyses visuelles et chimiques des échantillons de sol et de roseaux prélevés. Les analyses chimiques peuvent être déléguées à un laboratoire spécialisé.

- Pour chaque échantillon de roseaux : suivre le protocole d’analyse et remplir la fiche en annexe 1.

- Pour les échantillons de sol : rechercher la nature du sol

- Rédiger et fournir un rapport d’études détaillé et de synthèse incluant les méthodes et protocoles utilisés, les justifications des choix, et les rapports de laboratoire. Faire apparaître les résultats sur les cartographies en attribuant les données sur SIG (qualité, caractéristiques physiques etc)

• Définir les usages et valorisations possibles des roseaux sur les zones analysées en fonction des caractéristiques :

- Etudier la compatibilité de la qualité des roseaux étudiés pour la couverture en chaume : les roseaux étudiés répondent-ils aux critères définis d’une utilisation en couverture ?

- Proposer d’autres valorisations des roseaux en tenant compte de leurs caractéristiques physiques (isolants, bio composites, béton mixte roseaux etc)

- Intégrer ces études au rapport précédant « Acquérir une connaissance globale des caractéristiques physiques des phragmites australis des roselières étudiées »

Pour les relevés de terrain Il sera nécessaire que le prestataire obtienne un accord d’accès à la propriété foncière.

LOCALISATION

Zones définies en Objectif 1 puis selectionnées par le PnrB sur la base de discussion et concertation avec le prestataire suivant les critères.

PÉRIODE D’INTERVENTION

Cet objectif est à réaliser dès septembre jusqu’au mois de mars, c’est-à-dire lorsque que le roseau est sec afin de permettre une analyse des roseaux.

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2.2.3 Objectif 3 : Etude d’opportunité / Mise en œuvre durable de la coupe

OBJECTIFS ET MISSIONS DU PRESTATAIRE

Etablir des conditions de prélèvement durables et étudier les impacts d’une relance d’une coupe sur la biodiversité et sur l’évolution des roselières.

Etudier les machines de coupe adéquates afin de ne pas détruire le tapis rhizomique du phragmite

Etudier la compatibilité de l’exploitation avec la gestion environnementale du marais, tout en prenant en compte d’éventuels conflits d’usages avec les autres usagers du marais

Mettre en place un délai de régénération / répartir les coupes (rotations)

Vérifier la capacité des roselières exploitées et entretenues à se maintenir et à se régénérer en qualité et en densité Assurer à terme un bon état écologique : assurer la diversité des roselières / le maintien de grandes surfaces de roselières / la présence de roselières “matures” (3 à 6 ans)

Rédiger et fournir un rapport d’étude détaillé et de synthèse incluant les méthodes et protocoles utilisés, les justifications des choix.

Présentation du travail réalisé et rendu papier et informatique des cartes et rapport

LOCALISATION

Pour cet objectif nous souhaitons nous concentrer sur les roselières de Brière.

PÉRIODE D’INTERVENTION

Cet objectif ne dépend pas de la saison, il devra être réalisé après l’objectif 2.

2.3 Organisation

Au moins 6 réunions seront organisées tout au long de l’étude (dont 3 réunion en présentiel, la réunion de lancement, une réunion intermédiaire et une réunion finale) afin que le prestataire puisse présenter la méthode, l’avancement et les résultats de l’étude au groupe de travail constitué et composé d’élus du PNRB et de la commission syndicale de grande Brière Mottière, d’experts, de chaumiers.

- une de lancement, pour la présentation de la méthodologie, calendrier et de l’équipe,

- une réunion intermediaire pour valider les critères de séléction des zones à étudier plus précisemment

- une réunion de restitution des résultats de l’objectif 1 : Identification des secteurs à étudier et lancement de l’étude n°2 et notamment validation de la méthodologie d’échantillonage

- une réunion de restitution des résultats de l’étude n° 2 Etude du potentiel disponible : identification, caractérisation et quantification des roseaux Phragmites australis présents sur les zones identifiées

- une réunion de lancement de l’étude n°3

- une réunion de restitution des résultats de l’objectif 3 Etude d’opportunité / Mise en oeuvre durable de la coupe Le prestataire retenu aura l’obligation d’être présent aux quatre réunions. Chaque réunion fera l’objet d’un compte- rendu à la charge du prestataire et devra permettre la validation du travail effectué et d’éventuelles réorientations ou compléments.

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14 |

Restitution des résultats

3.1 Rendu format papier et numérique

Le rendu des études sera conforme aux préconisations qui suivent : Pour les cartes :

- un rendu format papier (sous forme d’une feuille unique en 3 exemplaires) à l’échelle 1/25000ème. - un rendu format numérique au format .PDF, et au format modifiable.

Pour les rapports :

Les rapports finaux de chaque objectif seront fournis chacun en 3 exemplaires papier dont 1 reproductible non relié et un exemplaire format numérique. Chacun des rapports comprendra les différents éléments demandés.

Pour le format numérique des restitutions : - tous les tableaux seront fournis au format .xls,

- les documents texte seront transmis au format .docx et .pdf,

- les éléments cartographiques seront rendus aux formats ESRI SHAPE (*.dbf, *.prf, *.shp et *.shx), Lambert 93, Geojson, ou autres formats compatibles QGIS, et .pdf.

Il sera apprécié qu’un fond photographique soit fourni au maître d’ouvrage à des fins d’animation locale et de référentiel sur le site. Le maître d’ouvrage s’engageant à n’avoir aucun usage commercial des photos qui resteront propriété de leurs auteurs.

Les documents produits et transmis consistent en un constat d’achèvement des études commandées.

Les rapports d’études élaborés par le prestataire ainsi que les photos pourront être librement diffusé par le Parc qui en sera le propriétaire. A ce titre le prestataire doit s'assurer qu'ils ne contiennent aucune information ou document pouvant faire un recours de tiers (données privés-respect de la propriété intellectuelle et des droits de propriété).

3.2 Charte graphique

La mise en page intégrera le logo du Parc naturel régional de Brière et des partenaires financiers. Les rapports seront fournis au syndicat mixte du Parc au format papier et au format numérique au format .PDF, et au format modifiable.

3

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Analyse d’un échantillon de roseaux

Lors du prélèvement des échantillons, la tige entière du roseau doit être prélevé.

Ce protocole d’analyse s’appuie sur les études du livre La qualité du roseau de Dr J.M GREEF et Henk HORLINGS.

S’y référer pour plus de détails.

Nom de l’échantillon :

Date de prélèvement de l’échantillon :

Parcelle/coordonnées GPS du lieu où a été prélevé l’échantillon : Méthode de prélèvement :

Hauteur de coupe lors du prélèvement : Nombre d’années de croissance :

Analyse visuelle

Prise de photos sous tous les angles : échantillon de face (longueur des tiges), de dessous (diamètres des brins), zooms sur d’éventuels aspects remarquables (couleur, cassures, état de décomposition…), à joindre au rapport.

Diamètre des tiges (

mesurer les diamètres à la base des tiges (min, max, médiane) d’au moins une 10aine de tiges par échantillons) :

Diamètre minimum Diamètre maximum Médiane

Longueur des tiges (

mesurer les diamètres (min, max, médiane) d’au moins une 10aine de tiges par échantillons) :

Longueur minimum Longueur maximum Médiane

Odeur

Moisi / désagréable Paille / agréable

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

Commentaires :

Maladies, flétrissures, moisissures

Dégradé / traces / tâches Sain

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

Commentaires :

Annexe 1

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16 |

Forme des brins

Tordus Droits

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

Commentaires :

Rigidité du pied : le pied de tige ne s’effrite pas et ne s’écrase pas sous une pression manuelle modeste appliquée entre pouce et index

Mous Durs

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

Commentaires :

Souplesse : les tiges peuvent être incurvées sans casser

Cassant / fissures Flexible

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

Commentaires :

Plumets / Inflorescences

Absent Volumineux

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

Commentaires :

Couleur

Terne / grisé Brillant / égal

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

Commentaires :

Analyses chimiques en laboratoire

Les analyses chimiques peuvent être réalisées en laboratoire spécifique (ex Inovalys à Nantes ou Nutrilab aux Pays Bas).

Il est demandé de rechercher dans l’échantillon prélevé les données suivantes : COMPOSANTS : analyse selon DUMAS.

- Azote g 100 g-1 DM ou g/kg - Carbone g 100 g-1 DM ou g/kg

MATIERES MINERALES : détermination par ICP-OES de la teneur en sel (exprimée en g/100g de matière sèche).

Cette analyse est particulièrement importante en cas de suspicion de salinité.

- Sodium g 100 g-1 DM ou g/kg - Soufre g 100 g-1 DM ou g/kg - Phosphore g 100 g-1 DM ou g/kg

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| 17 MATIERES FIBREUSES : analyse selon la méthode Van Soest OU analyse NIRS pour l’ensemble des composants (ex : appareil Foss 5000 NIRS avec valeurs de références et calibrage.

- Cellulose g 100 g-1 DM ou g/kg - Hémicellulose g 100 g-1 DM ou g/kg - Lignine g 100 g-1 DM ou g/kg

Préparer des échantillons de 5 cm de diamètre en isolant les sections A (0-6cm – section exposée), B (6-12cm – section protégée) et C (50-56cm – section au niveau de la barre) depuis la base des brins.

Déterminer le poids spécifique de chaque échantillon.

Broyer les échantillons en particules de 1mm (ex : broyeur Brabender)

Normes de référence : NF EN ISO 11885 (T90-136) / NF EN 13346 (X33-010) – ICP-AES

INTERPRETATION

Il est important d’avoir un maximum d’informations pour pouvoir interpréter un résultat.

Par exemple, deux échantillons ont la même teneur en sel de 0,15g/100gMS au niveau de la section B (6-12cm).

Cependant, le roseau 1 est plus long, et donc le gradient de la teneur en sel est plus faible : il sera donc plus absorbant à 50cm de la base que le roseau 2 (si l’on considère par ailleurs qu’ils contiennent les mêmes proportions de lignine, hémicellulose, etc… et qu’ils ont la même pente en toiture…).

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