• Aucun résultat trouvé

> restart:(2 points) Calculer la dérivée de la fonction réelle := f fi x()sin()sin()sinx.> f := x-> sin(sin(sin(x))); D(f)(x); := f fi x()sin()sin()sinx()cos()sin()sinx()cos()sinx()cosx(2 points) Soit (u

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "> restart:(2 points) Calculer la dérivée de la fonction réelle := f fi x()sin()sin()sinx.> f := x-> sin(sin(sin(x))); D(f)(x); := f fi x()sin()sin()sinx()cos()sin()sinx()cos()sinx()cosx(2 points) Soit (u"

Copied!
8
0
0

Texte intégral

(1)

> f := x-> sin(sin(sin(x)));

D(f)(x);

:=

f x → sin(sin(sin x( )))

( )

cos sin(sin x( )) cos(sin x( ))cos x( )

(2 points) Soit (un) la suite réelle donnée par récurrence : u0 = 1, u1 = 1 et un + 2 + un + 12 un = 2.

Donner le terme général un de cette suite en fonction de n.

> rsolve({u(0)=1,u(1)=1,u(n+2)+u(n+1)-2*u(n)=2},u(n));

+ + 7

9 2 n

3

2 (-2)n 9

(2 points) Représenter graphiquement la courbe d'équations paramétriques =

( )

x t 1

− + t2 3 t 2 =

( )

y t t

− + t2 3 t 2

, pour t dans [0,3].

> plot({[1/(t^2-1),t/(t^2-3*t+2),t=0..0.9], [1/(t^2-1),t/(t^2-3*t+2),t=1.1..1.9], [1/(t^2-1),t/(t^2-3*t+2),t=2.1..3]});

>

(2)

> restart:

EXERCICE 1 (4 points) Etude d'une fonction.

Soit a un paramètre réel strictement positif, et la fonction réelle := f xx + a

x, définie sur ] ,0 ∞[.

1) Dresser le tableau de variations de la fonction f.

2) Donner les limites de la fonction f en 0 et en ∞. Déterminer l'asymptote oblique A en l'infiini.

3) Déterminer le minimum de la fonction f.

4) Donner l'équation de la tangente T de la fonction f au point d'abscisse a.

5) Dans le cas où a=2, représenter graphiquement la fonction f, la tangente T et l'asymptote oblique A sur un même graphique.

> f:=x->x+a/x;

limit(f(x),x=0,right);#la limite en 0 est +infinity ; la droite d'équation x=0 est asymptote à la courbe représentative de f en

(3)

nfinity);#la droite d'équation y=x est asymptote à la courbe représentative de f en infinity

solve(diff(f(x),x)=0,x);#la fonction décroît strictement sur ]0,sqrt(a)] et croît strictement sur [sqrt(a),infinity[

f(sqrt(a)); #elle présente donc un minimum en sqrt(a) qui est 2*sqrt(a)

T:=X->D(f)(a)*(X-a)+f(a);

simplify(T(x));

:=

f xx + a x ( ) signum a

∞ 1 0 , aa

2 a :=

T XD f( )( )a (Xa) + f a( ) − +

a x x 2 a a

> plot({x+2/x,x,(x+4)/2},x=.1..4);

(4)

> restart:

EXERCICE 2 (6 points)

Soit u l'endomorphisme de R^4 ayant pour matrice A =













1 2 4 8

a 1 2 4

0 a 1 2

0 0 a 1

.

1) Discuter la bijectivité de u (c'est-à-dire de l'inversibilité de la matrice A) en fonction du

paramètre réel a : dire pour quelle(s) valeur(s) de a la matrice A est inversible et donner, pour ces valeurs, la matrice inverse de A.

2) Dans chacun des cas où u n'est pas bijective (c'est-à-dire lorsque la matrice A n'est pas inversible), donner le noyau (une base et sa dimension), l'image (une base et sa dimension) de u.

3) a)Dans le cas où a = 1, donner la matrice A4.

b) Dans le cas où a est quelconque, donner la matrice

− + +

A4 4 A3 (− + 6 a 6 A) 2 (− + 4 12 a8 a2)A.

(5)

unprotected

> A:=matrix(4,4,[1,2,4,8,a,1,2,4,0,a,1,2,0,0,a,1]);

:=

A













1 2 4 8

a 1 2 4

0 a 1 2

0 0 a 1

En calculant le déterminant

> factor(det(A));solve(factor(det(A))=0,a);

−(2 a − 1)3 1, , 2

1 2

1 2 ou par la décomposition LU,

> LUdecomp(A,L='l',U='u');













1 2 4 8

0 1 − 2 a 2 − 4 a 4 − 8 a 0 0 1 − 2 a 2 − 4 a

0 0 0 1 − 2 a

> L:=evalm(l);U:=evalm(u);multiply(L,U):#on vérifie A=LU

:=

L





















1 0 0 0

a 1 0 0

0 − a

2 a 1 1 0

0 0 − a

2 a 1 1

:=

U













1 2 4 8

0 1 − 2 a 2 − 4 a 4 − 8 a 0 0 1 − 2 a 2 − 4 a

0 0 0 1 − 2 a

on s'apperçoit que les problèmes concernant l'inversibilité de la matrice A ne peuvent provenir que lorsque a − 1 = 0 (i.e. a = 1).

> inverse(A);#l'inverse de A qui peut aussi être obtenue à partir de la décomposition LU

































− 1

2 a 1

2 −

2 a 1 0 0

a

− + 1 4 a 4 a2

1 − + 1 4 a 4 a2

2 −

2 a 1 0

a2

− + − 1 6 a 12 a2 + 8 a3

a

− + − 1 6 a 12 a2 + 8 a3

1 − + 1 4 a 4 a2

2 − 2 a 1 a3

− + − 1 6 a 12 a2 + 8 a3a2

− + − 1 6 a 12 a2 + 8 a3a − +

1 4 a 4 a2 − 1 − 2 a 1

(6)

Le cas a = 1 2.

> a:=1/2;A:=matrix(4,4,[1,2,4,8,a,1,2,4,0,a,1,2,0,0,a,1]);

:=

a 1 2

:=

A

























1 2 4 8

1

2 1 2 4

0 1

2 1 2

0 0 1

2 1

> colspace(A);# l'image de A

rank(A);# le rang ou la dimension de l'image

{[0 0 1 0, , , ], , }

 



, , , 1 1

2 0 0 [0 0 0 1, , , ] 3

> nullspace(A);# le noyau de A nops(nullspace(A));

{[0 0 -2 1, , , ]} 1

> a:=1;A:=matrix(4,4,[1,2,4,8,a,1,2,4,0,a,1,2,0,0,a,1]);

multiply(multiply(multiply(A,A),A),A);

unassign('a');A:=matrix(4,4,[1,2,4,8,a,1,2,4,0,a,1,2,0,0,a,1]);

simplify(evalm(A^4-4*A^3+(-6*a+6)*A^2+(-4+12*a-8*a^2)*A));

:=

a 1

:=

A













1 2 4 8

1 1 2 4

0 1 1 2

0 0 1 1













45 136 320 512 28 85 200 320

12 36 85 136

4 12 28 45

:=

A













1 2 4 8

a 1 2 4

0 a 1 2

0 0 a 1













, , ,

− + − 1 6 a 12 a2 + 8 a3 0 0 0

, , ,

0 − + − 1 6 a 12 a2 + 8 a3 0 0

, , ,

0 0 − + − 1 6 a 12 a2 + 8 a3 0 , , ,

0 0 0 − + − 1 6 a 12 a2 + 8 a3

(7)

1) Trouver un entier naturel n tel que n2 + + n 1 ait la somme de ses chiffres égale à 30.

2) Combien existe-t-il d'entiers naturels n entre 100 et 999 tels que n2 + + n 1 ait la somme de ses chiffres égale à 30 ?

> sochiffres:=proc(n) local N,s;

N:=n: s:=0: while N<>0 do s:=s+irem(N,10); N:=iquo(N,10) od;

RETURN(s);

end;

sochiffres := proc( )n localN s, ;

:=

N n;

:=

s 0;

whileN ≠ 0dos := s + irem(N 10, );N := iquo(N 10, )end do; ( )

RETURN s end proc

> sochiffres(172^2+172+1);

n:=0:

while sochiffres(n^2+n+1)<>30 do n:=n+1

od:

n;

sochiffres(2^n);

30 172 259

> l:=NULL;

for n from 100 to 999 do

if sochiffres(n^2+n+1)=30 then l:=l,n fi od:

l;

nops([l]);

:=

l

172 223 238 244 256 262 280 292 307 313 331 343 409 421 427 433 442 445 478, , , , , , , , , , , , , , , , , , , 487 508 517 532 535 544 556 565 580 586 607 613 619 622 646 652 655 661 667, , , , , , , , , , , , , , , , , , , 670 676 682 685 691 697 703 706 712 727 739 745 751 754 757 760 763 766 790, , , , , , , , , , , , , , , , , , , 793 805 808 811 817 823 829 832 835 847 853 856 859 862 865 868 871 874 880, , , , , , , , , , , , , , , , , , , 883 907 913 919 925 934 940 943 952 955 958 961 967 970 973 976 979 982 988, , , , , , , , , , , , , , , , , , , 991 994 997, ,

98

> Fin (Philippe RYCKELYNCK & Denis VEKEMANS)

(8)

Error, missing operator or `;`

Références

Documents relatifs

ABC est un triangle équilatéral de centre de gravité G tel que ait pour mesure principale 3 π.. Déterminer, en radian, les mesures principales des angles

[r]

1) Faire une figure que l'on complétera au fur et à mesure. [AC] est un des côtés du pentagone. 5) Déterminer le côté et l’apothème du pentagone régulier convexe en fonction

Relations trigonométriques, Connaître et utiliser dans le triangle rectangle les relations entre le cosinus, le sinus ou la tangente d'un angle aigu et les longueurs de deux

[r]

[r]

[r]

Donc la droite ( IE ) est la médiatrice du segment [ AB ]. En effet, l'aire de IAB est le double de l'aire de IAD en posant D le milieu de [ AB ]. d ) Une valeur approchée de l'aire