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Marc Peschanski Jean-Pierre Montmayeur Gilles L’Allemain Simone Gilgenkrantz Laure Coulombel Pascale Borensztein MAGAZINE

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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763 m/s n° 6-7, vol. 17, juin-juillet 2001

MAGAZINE

médecine/sciences 2001 ; 17 : 763

Les brèves de ce numéro

ont été préparées par :

Pascale Borensztein

(1)

Laure Coulombel

(1)

Simone Gilgenkrantz

(2)

Gilles L’Allemain

(3)

Jean-Pierre Montmayeur

(4)

Marc Peschanski

(5)

SOMMAIRE DES BRÈVES

Gros cerveau = plein de neurones ? Pas si simple ! (p. 763).

SIP1 impliqué dans une forme de mégacôlon congénital (p. 789). Le choc septique à l’honneur : après MIF, bloquer TREM-1, un autre es-poir thérapeutique ? (p. 789). À l’enterrement d’une cellule morte humaine, WAS s’en allait… (p. 794). ced-1 met les corps apoptiques au menu (p. 794).

Piwi, miwi et hiwi (p. 795).

Quand le protéasome est débordé par les tâches (p. 797).

Un pied à l’étrier pour l’otosclérose (p. 800).

Activation somatique de ras, un précieux modèle animal de pro-gression tumorale (p. 803).

Les idées dansent sur la chorée (p. 803).

Variations régionales de l’incidence

du variant de la maladie de Creutz-feldt-Jakob en Grande-Bretagne (p. 808).

Vous vous croyez neurologue, nen-ni, vous êtes immunologiste, ou plutôt « migrationniste » ! (p. 808). Rétrovirus et schizophrénie, quand pol s’exprime (p. 812).

Des cellules progénitrices ampli-fiées à partir du cerveau adulte... chez l’homme aussi (p. 812). Identification d’un nouveau récep-teur gustatif : après l’amer, le sucré (p. 813).

Pas de parité dans le cancer de la vessie chez les fumeurs (p. 813). De mémoire d’éléphante (p. 817). Parmi ceux qui n’ont pas les dents longues (p. 818).

La maladie de Machado-Joseph, une mutation française ? (p. 818).

(1) Inserm U. 474, Maternité Port-Royal, 123, boulevard de Port-Royal, 75014 Paris, Fran-ce.

(2) 9, rue Basse, 54330 Clérey-sur-Brenon, France.

(3) Centre de biochimie Cnrs/Inserm, Facul-té des sciences, Parc Valrose, 06108 Nice Ce-dex 02, France.

(4) Howard Hughes Medical Institute, De-partment of Neurobiology, Harvard Medi-cal School, Boston, Massachusetts 02115, États-Unis.

(5) Inserm U. 421, Faculté de médecine, 8, rue du Général-Sarrail, 94010 Créteil Cedex, France.

■■■ Gros cerveau = plein de neu-rones ? Pas si simple ! La quantité d’ADN extraite d’un cerveau (donc le nombre total de cellules) étant proportionnelle à son poids, l’ana-lyse volumétrique cérébrale appa-raissait comme un bon marqueur du nombre de cellules, et par extension, du nombre de neurones [1]. Un article publié par la revue publique en ligne Biomed Central Neuroscience [2] ramène à présent ces quantifications apparentes à des conclusions plus tempérées, chez la souris du moins [3]. Le volume et le nombre de neurones du striatum de 6 lignées différentes de souris ont été soigneusement quantifiés par les auteurs, qui ont observé une bonne corrélation intra-groupe mais des différences inter-groupes importantes (de 20 à 37 mm3 pour le volume, de 1,4 à

2,5 millions pour les neurones). Toutefois, les deux valeurs n’étaient pas aussi directement liées que l’on s’y attendait, du fait de modifications de la densité cel-lulaire qui tendaient à diminuer le nombre relatif de neurones occu-pant un volume plus grand.

Pous-sant plus loin l’analyse, les auteurs ont tenté de lier ces deux para-mètres cérébraux à des traits géné-tiques, par la méthode des QTL (quantitative trait loci). Le résultat est frappant puisque deux mar-queurs totalement différents ont été ainsi identifiés, le premier sur la région centrale du chromosome 10 pour le volume striatal, le second sur la région distale du chromosome 19 pour le nombre de neurones, ce qui renforce l’idée d’une certaine indépendance des deux paramètres. Les femmes, dont le cerveau est notoirement plus léger que celui des hommes, ne pouvaient jusqu’à présent – ce qui était aisé – que montrer que l’intelligence ne s’évaluait pas au poids. Aujourd’hui, elles peuvent encore plus simplement rappeler qu’une grosse tête peut en fait être... pleine de vide !

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