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Marc Peschanski Yves Lévy Dominique Labie Michèle Guerre-Millo Simone Gilgenkrantz Hélène Gilgenkrantz Gérard Friedlander Laure Coulombel Pascale Borensztein Robert Barouki MAGAZINE

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

903

m/s n° 8-9, vol. 17, août-septembre 2001

MAGAZINE

médecine/sciences 2001 ; 17 : 903

Les brèves de ce numéro

ont été préparées par :

Robert Barouki

(1)

Pascale Borensztein

(2)

Laure Coulombel

(2)

Gérard Friedlander

(3)

Hélène Gilgenkrantz

(4)

Simone Gilgenkrantz

(5)

Michèle Guerre-Millo

(6)

Dominique Labie

(4)

Yves Lévy

(7)

Marc Peschanski

(8)

SOMMAIRE DES BRÈVES

Comment les oiseaux, mâles et

femelles, apprennent à chanter

(p. 903).

Le microarray « fonctionnel » ou comment faire face à la surabon-dance de gènes (p. 906).

Des gènes pour les dysplasies os-seuses (p. 907).

Mutations du gène perlécane dans certaines chondrodysplasies (p. 907). Peut-être enfin un modèle murin pour la trisomie 21 (p. 910).

Invalidation du gène de la 1α -hydro-xylase : phénotype attendu? (p. 910). Indigestion de noyaux (p. 915). Corpuscule de Barr et histones nu-cléosomiques : des variants spéci-fiques (p. 916).

Syndécan : un protéoglycane qui trahit son camp (p. 931).

Premiers succès de l’interférence par ARN dans les lignées soma-tiques de mammifères (p. 932).

Les bases structurales des « affini-tés » multiples et diverses du récep-teur PXR (p. 932).

Vous dérivez de mes cellules ES, mais êtes-vous mon double, mon ancêtre ou mon fils ? (p. 938). Le réservoir médullaire comme ou-til thérapeutique : premières décep-tions (p. 938).

Dents, griffes et ongles (p. 946). Les périlipines, « gardes du corps » des réserves lipidiques adipocy-taires ? (p. 953).

Hypertension artérielle : attention à la chymase ! (p. 955).

La tête et les jambes : importance de la créatine (p. 955).

Thérapie génique et hémophilie A

(p. 958).

La CTP-synthétase : une cible pour le traitement de la maladie du som-meil ? (p. 958).

(1) Inserm U. 490, Centre universitaire des Saints-Pères, 45, rue des Saints-Pères, 75270 Paris Cedex 06, France.

(2) Inserm U. 474, Maternité Port-Royal, 123, boulevard de Port-Royal, 75014 Paris, Fran-ce.

(3) Inserm U. 426 et Département de physio-logie, Faculté de médecine Xavier-Bichat, BP 416, 16, rue Henri-Huchard, 75870 Paris Cedex 18, France.

(4) Inserm U. 129, CHU Cochin, 24, rue du Faubourg-Saint-Jacques, 75674 Paris Cedex 14, France.

(5) 9, rue Basse, 54330 Clérey-sur-Brenon, France.

(6) Inserm U. 465, Institut biomédical des Cordeliers, 15, rue de l’École-de-Médecine, 75006 Paris, France.

(7) Unité d’immunologie clinique, CHU Henri-Mondor, 51, av. du Maréchal-de Lattre-de-Tassigny, 94010 Créteil Cedex, France.

(8) Inserm U. 421, Faculté de médecine, 8, rue du Général-Sarrail, 94010 Créteil Cedex, France.

■■■ Comment les oiseaux, mâles et femelles, apprennent à chanter. Les oiseaux, comme les hommes, apprennent à chanter en écoutant les anciens et en s’exerçant à répéter ce qu’ils ont entendu. L’apprentissage se fait-il de la même façon pour le mâle et la femelle quand tous deux sont chanteurs ? C’est la question que pose une étude récente menée en Californie sur le

car-dinalis carcar-dinalis [1]. Des

oiseaux ont en effet été isolés dans un environnement contrôlé au niveau acoustique, et ont entendu quotidienne-ment une quarantaine de chants enregistrés dans un ordre fixe. On a ainsi pu noter que le temps au bout duquel ils sont capables de reproduire ces chants est nettement plus court chez les femelles que chez les mâles. La somme de connaissances à la fin de

l’apprentissage est toutefois la même. En revanche, si les oiseaux sont élevés dans un environnement d’isolement acoustique, donc sans modèle, on constate chez les mâles une capacité d’improvisation quasi-ment inexistante chez les femelles : elles chantent alors peu ou mal. Ainsi, le mode d’apprentissage est différent, le résultat final semble le même. L’auteur se pose la question d’une valeur adapta-tive de ces différences. On sait en effet que ces oiseaux quit-tent le nid familial vers 45 jours et entament alors leur vie autonome. Le mâle, enco-re capable d’appenco-rendenco-re, pour-rait donc mieux s’adapter à un nouveau territoire, tandis que la femelle gardera le dialecte de sa région natale…

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