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Marc Peschanski Yves Lévy Dominique Labie Gilles L’Allemain Simone Gilgenkrantz Laure Coulombel Christiane Brahimi-Horn Brigitte Bouchard Pascale Borensztein Edurne Berra MAGAZINE

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

475

m/s n° 4, vol. 17, avril 2001

MAGAZINE

médecine/sciences 2001 ; 17 : 475

Les brèves de ce numéro

ont été préparées par :

Edurne Berra

(1)

Pascale Borensztein

(2)

Brigitte Bouchard

(3)

Christiane Brahimi-Horn

(1)

Laure Coulombel

(2)

Simone Gilgenkrantz

(4)

Gilles L’Allemain

(5)

Dominique Labie

(6)

Yves Lévy

(7)

Marc Peschanski

(8)

SOMMAIRE DES BRÈVES

Marylin et vous (p. 475).

Une nouvelle façon de mourir... para-apoptose (p. 481).

La plus noble conquête de l’homme

(p. 485).

Absorption digestive du fer : le schéma se complète (p. 490). Un récepteur pour l’élimination du fer de l’hémoglobine (p. 490). 11 couleurs, 13 paramètres = 75 cel-lules… (p. 495).

Le développement du placenta et du cœur sous le contrôle de l’hy-poxie (p. 496).

LMBR1 fait des pieds et des mains (p. 496).

Quinquas, si vous êtes nés en avril, ne vous découvrez pas d’un fil !

(p. 500).

Révolution culturelle chez les ba-leines australiennes (p. 503). La Livine empêche la cellule de mourir, bien sûr ! (p. 503).

ICOS, co-stimulé (p. 513).

Plasmodium falciparum fait de la

résistance (p. 513).

Anti-grippe... anti-MEK (p. 517). Les réovirus tatouillent dans la confiture (p. 517).

Helminthes et atopie, un paradoxe qui peut être informatif (p. 518). LIF, inhibiteur placentaire de la ré-plication du VIH ? (p. 518).

L’absence d’α-caténine entraîne un phénotype de carcinome épider-mique (p. 522).

Le glaucome, une maladie liée au stress ? (p. 525).

« Ça vous gratouille ou ça vous cha-touille ? » (p. 525).

(1) Cnrs UMR 6543, Centre Antoine-Lacas-sagne, 33, avenue de Valombrose, 06189 Nice Cedex, France.

(2) Inserm U. 474, Maternité Port-Royal, 123, boulevard de Port-Royal, 75014 Paris, Fran-ce.

(3) Inserm U. 344, Hôpital Necker, 156, rue de Vaugirard, 75743 Paris Cedex 15, France. (4) 9, rue Basse, 54330 Clérey-sur-Brenon, France.

(5) Centre de biochimie Cnrs/Inserm, Facul-té des sciences, Parc Valrose, 06108 Nice Ce-dex 02, France.

(6) Inserm U. 129, CHU Cochin, 24, rue du Faubourg-Saint-Jacques, 75674 Paris Cedex 14, France.

(7) Unité d’immunologie clinique, CHU Henri-Mondor, 51, avenue du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny, 94010 Créteil Cedex, France.

(8) Inserm U. 421, Faculté de médecine, 8, rue du Général-Sarrail, 94010 Créteil Cedex, France.

■■■Marylin et vous. Seuls les singes supérieurs et l’homme sont capables de se reconnaître dans un miroir. Jusqu’à présent, on ignorait dans quelle région cérébrale se situait la capacité d’identifier son propre visage. On savait toutefois que certaines lésions de l’hémisphère droit pouvaient entraîner une asoma-totopoagnosie*. De même, on connaît des atteintes de l’hémi-sphère droit capables de provo-quer des troubles de l’identité. Comme vient de le démontrer une équipe américaine, c’est bien dans l’hémisphère droit que se situe la capacité d’identi-fier son propre visage [1]. En mélangeant par superposition, grâce à un logiciel informa-tique, des photos de visages de sujets (5 malades et 10 témoins) avec celles de personnes célèbres (Bill Clinton pour les hommes et Marylin Monroe pour les femmes), on obtient un visage intermédiaire que l’on demande de reconnaître aux sujets soumis au test.

Quand l’hémisphère gauche est « inactivé » (par le test de Wada : injection intracarotidienne d’amobarbital) les sujets identi-fient préférentiellement leur propre visage, alors que l’inver-se l’inver-se produit si l’anesthésie por-te sur l’hémisphère droit. L’inactivation par stimulation magnétique transcrânienne des sujets sains donne des résultats semblables, à savoir que l’hémi-sphère droit est impliqué dans la reconnaissance du soi. Cette nouvelle fonction cérébrale est donc, comme beaucoup d’autres chez l’homme, latéralisée. Elle confine peut-être à la conscien-ce de sa propre existenconscien-ce. Il res-te à définir plus précisément l’aire concernée et les méca-nismes mis en jeu dans cette identification morphologique de soi-même.

[1. Keenan JP, et al. Nature 2001 ; 409 : 305.]

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