• Aucun résultat trouvé

Mathématiques discrètes IV Arithmétique

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Mathématiques discrètes IV Arithmétique"

Copied!
239
0
0

Texte intégral

(1)

INFO1 - Semaine 4

Guillaume CONNAN

IUT de Nantes - Dpt d’informatique

Dernière mise à jour : 18 février 2013

(2)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(3)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(4)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(5)

Définition 1 (Monoïde)

On appelle monoïde tout couple

(E,?)

tel que la loi

?

soit associative. Si en plus le monoïde admet un élément neutre, on dit que le monoïde est

libre

(ou

unitaire).

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(6)

Définition 1 (Monoïde)

On appelle monoïde tout couple

(E,?)

tel que la loi

?

soit associative. Si en plus le monoïde admet un élément neutre, on dit que le monoïde est

libre

(ou

unitaire).

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(7)

Définition 1 (Monoïde)

On appelle monoïde tout couple

(E,?)

tel que la loi

?

soit associative. Si en plus le monoïde admet un élément neutre, on dit que le monoïde est

libre

(ou

unitaire).

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(8)

Définition 1 (Monoïde)

On appelle monoïde tout couple

(E,?)

tel que la loi

?

soit associative. Si en plus le monoïde admet un élément neutre, on dit que le monoïde est

libre

(ou

unitaire).

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(9)

Définition 1 (Monoïde)

On appelle monoïde tout couple

(E,?)

tel que la loi

?

soit associative. Si en plus le monoïde admet un élément neutre, on dit que le monoïde est

libre

(ou

unitaire).

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(10)

Définition 2 (Élément neutre)

C’est un élément de E qui vérifie, pour tout élément x de E, e

?

x

=

x

?

e

=

x

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(11)

Définition 2 (Élément neutre)

C’est un élément de E qui vérifie, pour tout élément x de E, e

?

x

=

x

?

e

=

x

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(12)

Définition 2 (Élément neutre)

C’est un élément de E qui vérifie, pour tout élément x de E, e

?

x

=

x

?

e

=

x

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(13)

Définition 2 (Élément neutre)

C’est un élément de E qui vérifie, pour tout élément x de E, e

?

x

=

x

?

e

=

x

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(14)

Définition 2 (Élément neutre)

C’est un élément de E qui vérifie, pour tout élément x de E, e

?

x

=

x

?

e

=

x

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(15)

Définition 3 (Monoïde)

On appelle monoïde tout couple

(E,?)

tel que la loi

?

soit associative. Si en plus le monoïde admet un élément neutre, on dit que le monoïde est

libre

(ou

unitaire).

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(16)

Définition 3 (Monoïde)

On appelle monoïde tout couple

(E,?)

tel que la loi

?

soit associative. Si en plus le monoïde admet un élément neutre, on dit que le monoïde est

libre

(ou

unitaire).

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(17)

Définition 3 (Monoïde)

On appelle monoïde tout couple

(E,?)

tel que la loi

?

soit associative. Si en plus le monoïde admet un élément neutre, on dit que le monoïde est

libre

(ou

unitaire).

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(18)

Définition 3 (Monoïde)

On appelle monoïde tout couple

(E,?)

tel que la loi

?

soit associative. Si en plus le monoïde admet un élément neutre, on dit que le monoïde est

libre

(ou

unitaire).

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(19)

Définition 3 (Monoïde)

On appelle monoïde tout couple

(E,?)

tel que la loi

?

soit associative. Si en plus le monoïde admet un élément neutre, on dit que le monoïde est

libre

(ou

unitaire).

(N,+) (P(E),∩) (N,−)

(20)

Théorème 4 (Sous-monoïde)

Soit

(E,?)

un monoïde et M

E tel que M soit stable par

?

. Alors

(M,?)

est un monoïde : c’est un

sous-monoïde

de

(E,?).

(21)

Définition 5 (Élément inversible)

Soit

(E,?)

un monoïde unitaire d’élément neutre e. Un élément x de E est inversible (ou symétrisable) par rapport à

?

s’il existe y dans E tel que

x

?

y

=

y

?

x

=

e

(22)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(23)

Définition 6 (Groupe)

Un groupe est un monoïde unitaire tel que tout élément est inversible.

Définition 7 (Groupe fini)

Soit(G,+)un groupe d’élément neutre 0E ayant un nombre fini d’éléments.

Le cardinal de G est appelé l’ordre du groupe G.

Soitx un élément de G. L’ordre de l’élémentx est le plus petit entierk tel que k·x=0.

(24)

Définition 6 (Groupe)

Un groupe est un monoïde unitaire tel que tout élément est inversible.

Définition 7 (Groupe fini)

Soit

(G,+)

un groupe d’élément neutre 0

E

ayant un nombre fini d’éléments.

Le cardinal de G est appelé l’ordre du groupe G.

Soit

x

un élément de G. L’ordre de l’élément

x

est le plus petit entier

k

tel que

k·x=

0.

(25)

Définition 6 (Groupe)

Un groupe est un monoïde unitaire tel que tout élément est inversible.

Définition 7 (Groupe fini)

Soit

(G,+)

un groupe d’élément neutre 0

E

ayant un nombre fini d’éléments.

Le cardinal de G est appelé l’ordre du groupe G.

Soit x un élément de G. L’ordre de l’élément x est le plus petit entier k

tel que k

·

x

=

0.

(26)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(27)

Théorème 8 (Division euclidienne)

Soit a un entier relatif et b un entier naturel non nul.

Il existe un unique couple d’entiers

(q,

r) tels que a

=

bq

+

r avec 0

É

r

<

b

Déterminer q et r , c’est effectuer la division euclidienne de a par b.

On appelle a le dividende, b le diviseur, q le quotient et r le reste.

(28)

recherche

Pourquoi dit-on habituellement qu’on ne peut pas diviser par zéro ?

D’ailleurs, dans de nombreux cas, le debugger de votre langage préféré

renvoie des messages du type

Exception: Division_by_zero

...

(29)

remarque

Si l’on remplace la condition sur le reste par 0

É |

r

| <

b, il n’y a plus unicité (c’est d’ailleurs la formulation habituelle qui permet de travailler dans les mêmes conditions dans des structures plus vastes qu’on appelle anneaux euclidiens ) ce qui explique que Python et Ocaml ne sont pas d’accord...

recherche

Que devient le théorève de la division euclidienne dans le cas oùa<0 ?

(30)

remarque

Si l’on remplace la condition sur le reste par 0

É |

r

| <

b, il n’y a plus unicité (c’est d’ailleurs la formulation habituelle qui permet de travailler dans les mêmes conditions dans des structures plus vastes qu’on appelle anneaux euclidiens ) ce qui explique que Python et Ocaml ne sont pas d’accord...

recherche

Que devient le théorève de la division euclidienne dans le cas où

a<

0 ?

(31)

remarque

Si l’on remplace la condition sur le reste par 0

É |

r

| <

b, il n’y a plus unicité (c’est d’ailleurs la formulation habituelle qui permet de travailler dans les mêmes conditions dans des structures plus vastes qu’on appelle anneaux euclidiens ) ce qui explique que Python et Ocaml ne sont pas d’accord...

recherche

Que devient le théorève de la division euclidienne dans le cas où a

<

0 ?

(32)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(33)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(34)

Définition 9 (Congruence des entiers) Soit n un entier naturel non nul.

Deux éléments a et b du groupe

(Z,+)

sont

congrus modulo

n si, et seulement si, ils ont le même reste dans la division par n. On note

a

b

(mod

n) et on lit « a est congru à b modulo n ».

« Well, LISP seems to work okay now, modulo that GC bug. »

« I feel fine today modulo a slight headache. »

in « The New Hacker’s Dictionnary »

http ://outpost9.com/reference/jargon/jargon_28.html#SEC35

(35)

Définition 9 (Congruence des entiers) Soit n un entier naturel non nul.

Deux éléments a et b du groupe

(Z,+)

sont

congrus modulo

n si, et seulement si, ils ont le même reste dans la division par n. On note

a

b

(mod

n) et on lit « a est congru à b modulo n ».

« Well, LISP seems to work okay now, modulo that GC bug. »

« I feel fine today modulo a slight headache. »

in « The New Hacker’s Dictionnary »

http ://outpost9.com/reference/jargon/jargon_28.html#SEC35

(36)

Définition 9 (Congruence des entiers) Soit n un entier naturel non nul.

Deux éléments a et b du groupe

(Z,+)

sont

congrus modulo

n si, et seulement si, ils ont le même reste dans la division par n. On note

a

b

(mod

n) et on lit « a est congru à b modulo n ».

« Well, LISP seems to work okay now, modulo that GC bug. »

« I feel fine today modulo a slight headache. »

in « The New Hacker’s Dictionnary » http ://outpost9.com/reference/jargon/jargon_28.html#SEC35

(37)

Définition 9 (Congruence des entiers) Soit n un entier naturel non nul.

Deux éléments a et b du groupe

(Z,+)

sont

congrus modulo

n si, et seulement si, ils ont le même reste dans la division par n. On note

a

b

(mod

n) et on lit « a est congru à b modulo n ».

« Well, LISP seems to work okay now, modulo that GC bug. »

« I feel fine today modulo a slight headache. »

in « The New Hacker’s Dictionnary » http ://outpost9.com/reference/jargon/jargon_28.html#SEC35

(38)

Définition 9 (Congruence des entiers) Soit n un entier naturel non nul.

Deux éléments a et b du groupe

(Z,+)

sont

congrus modulo

n si, et seulement si, ils ont le même reste dans la division par n. On note

a

b

(mod

n) et on lit « a est congru à b modulo n ».

« Well, LISP seems to work okay now, modulo that GC bug. »

« I feel fine today modulo a slight headache. »

in « The New Hacker’s Dictionnary » http ://outpost9.com/reference/jargon/jargon_28.html#SEC35

(39)

Définition 9 (Congruence des entiers) Soit n un entier naturel non nul.

Deux éléments a et b du groupe

(Z,+)

sont

congrus modulo

n si, et seulement si, ils ont le même reste dans la division par n. On note

a

b

(mod

n) et on lit « a est congru à b modulo n ».

« Well, LISP seems to work okay now, modulo that GC bug. »

« I feel fine today modulo a slight headache. »

in « The New Hacker’s Dictionnary »

http ://outpost9.com/reference/jargon/jargon_28.html#SEC35

(40)

# 17 mod 3 ;;

- : int = 2

# -17 mod 3 ;;

- : int = -2

# -17/3;;

- : int = -5

# (-17 / 3)*3 + (-17 mod 3) ;;

- : int = -17

Python 2.7.2+ (default, Oct 4 2011, 20:06:09)

>>> 17 % 3

2

>>> -17 % 3

1

(41)

# 17 mod 3 ;;

- : int = 2

# -17 mod 3 ;;

- : int = -2

# -17/3;;

- : int = -5

# (-17 / 3)*3 + (-17 mod 3) ;;

- : int = -17

Python 2.7.2+ (default, Oct 4 2011, 20:06:09)

>>> 17 % 3

2

>>> -17 % 3

1

(42)

En général, on prend comme représentant principal de la classe de a modulo n le reste de la division de a par n. Par exemple, on notera :

Z/

8

Z

0

8,

1

8,

2

8,

3

8,

4

8,

5

8,

6

8,

7

8ª

(43)

DANGER !

Notez bien que 0

8

, 1

8

, etc. sont des ensembles d’entiers !...

Ici, 0

8=©...,−

16

,−

8

,

0

,

8

,

16

,

24

,

32

, ...ª

ParABUS DE NOTATION, on écrira le plus souventk pour désignerkn ce qui nous amènera à écrire par exemple que 8=0, voire 3×5=7= −1 comme nous le verrons plus loin...

(44)

DANGER !

Notez bien que 0

8

, 1

8

, etc. sont des ensembles d’entiers !...

Ici, 0

8=©...,−

16

,−

8

,

0

,

8

,

16

,

24

,

32

, ...ª

ParABUS DE NOTATION, on écrira le plus souventk pour désignerkn ce qui nous amènera à écrire par exemple que 8=0, voire 3×5=7= −1 comme nous le verrons plus loin...

(45)

DANGER !

Notez bien que 0

8

, 1

8

, etc. sont des ensembles d’entiers !...

Ici, 0

8=©...,−

16

,−

8

,

0

,

8

,

16

,

24

,

32

, ...ª

Par

ABUS DE NOTATION, on écrira le plus souvent

k pour désigner k

n

ce qui nous amènera à écrire par exemple que 8

=

0, voire 3

×

5

=

7

= −

1

comme nous le verrons plus loin...

(46)

Théorème 10

a

b(modn)

⇐⇒ ∃

k

Z |

a

=

b

+

kn

(47)

Théorème 11

1 Card(Z/nZ)=n

2 aa(modn)

3 Si ab(modn), alors ba(modn)

4 Si ab(modn)et bc(modn), alors ac(modn)

5 Si ab(modn)et a0b0(modn), alors

a+a0b+b0 (modn) aa0bb0 (modn) aa0bb0 (modn)

6 Si ab(modn), alors, pour tout pN, apbp(modn)

(48)

Théorème 11

1

Card(

Z/

n

Z)=

n

2 aa(modn)

3 Si ab(modn), alors ba(modn)

4 Si ab(modn)et bc(modn), alors ac(modn)

5 Si ab(modn)et a0b0(modn), alors

a+a0b+b0 (modn) aa0bb0 (modn) aa0bb0 (modn)

6 Si ab(modn), alors, pour tout pN, apbp(modn)

(49)

Théorème 11

1

Card(

Z/

n

Z)=

n

2

a

a(mod n)

3 Si ab(modn), alors ba(modn)

4 Si ab(modn)et bc(modn), alors ac(modn)

5 Si ab(modn)et a0b0(modn), alors

a+a0b+b0 (modn) aa0bb0 (modn) aa0bb0 (modn)

6 Si ab(modn), alors, pour tout pN, apbp(modn)

(50)

Théorème 11

1

Card(

Z/

n

Z)=

n

2

a

a(mod n)

3

Si a

b(modn), alors b

a(mod n)

4 Si ab(modn)et bc(modn), alors ac(modn)

5 Si ab(modn)et a0b0(modn), alors

a+a0b+b0 (modn) aa0bb0 (modn) aa0bb0 (modn)

6 Si ab(modn), alors, pour tout pN, apbp(modn)

(51)

Théorème 11

1

Card(

Z/

n

Z)=

n

2

a

a(mod n)

3

Si a

b(modn), alors b

a(mod n)

4

Si a

b(modn) et b

c

(mod

n), alors a

c(mod n)

5 Si ab(modn)et a0b0(modn), alors

a+a0b+b0 (modn) aa0bb0 (modn) aa0bb0 (modn)

6 Si ab(modn), alors, pour tout pN, apbp(modn)

(52)

Théorème 11

1

Card(

Z/

n

Z)=

n

2

a

a(mod n)

3

Si a

b(modn), alors b

a(mod n)

4

Si a

b(modn) et b

c

(mod

n), alors a

c(mod n)

5

Si a

b(modn) et a

0

b

0(modn), alors

a

+

a

0

b

+

b

0 (modn)

a

a

0

b

b

0 (mod

n) aa

0

bb

0 (mod

n)

6 Si ab(modn), alors, pour tout pN, apbp(modn)

(53)

Théorème 11

1

Card(

Z/

n

Z)=

n

2

a

a(mod n)

3

Si a

b(modn), alors b

a(mod n)

4

Si a

b(modn) et b

c

(mod

n), alors a

c(mod n)

5

Si a

b(modn) et a

0

b

0(modn), alors

a

+

a

0

b

+

b

0 (modn)

a

a

0

b

b

0 (mod

n) aa

0

bb

0 (mod

n)

6

Si a

b(modn), alors, pour tout p

N

, a

p

b

p(modn)

(54)

Attention ! 12

0(mod 6)

12

3 6≡

0

3(mod 6).

(55)

Attention ! 12

0(mod 6)

12

3 6≡

0

3(mod 6).

(56)

Attention ! 12

0(mod 6) 12

3

6≡

0

3

(mod 6).

(57)

Théorème 12

n

N, ∀(x,

y

)Z2,

x

n+

y

n=

x

+

y

n,

x

n·

y

n=

x

·

y

n

Écrivez par exemple les lois d’addition et de multiplication de Z/7Zet Z/8Z: des remarques ?

Est-ce que(Z/nZ,+)et (Z/nZ,·) sont des groupes ?

(58)

Théorème 12

n

N, ∀(x,

y

)Z2,

x

n+

y

n=

x

+

y

n,

x

n·

y

n=

x

·

y

n

Écrivez par exemple les lois d’addition et de multiplication de

Z/

7

Z

et

Z/

8

Z

: des remarques ?

Est-ce que(Z/nZ,+)et (Z/nZ,·) sont des groupes ?

(59)

Théorème 12

n

N, ∀(x,

y

)Z2,

x

n+

y

n=

x

+

y

n,

x

n·

y

n=

x

·

y

n

Écrivez par exemple les lois d’addition et de multiplication de

Z/

7

Z

et

Z/

8

Z

: des remarques ?

Est-ce que

(Z/nZ,+)

et

(Z/nZ,·)

sont des groupes ?

(60)

Théorème 12

n

N, ∀(x,

y

)Z2,

x

n+

y

n=

x

+

y

n,

x

n·

y

n=

x

·

y

n

Écrivez par exemple les lois d’addition et de multiplication de

Z/

7

Z

et

Z/

8

Z

: des remarques ?

Est-ce que

(Z/

n

Z,+)

et

(Z/

n

Z,·)

sont des groupes ?

(61)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(62)

type classe =

{representant : int ; modulo : int};;

let (%) a n = {representant = (a mod n); modulo = n};;

# 13 % 3;;

- : classe = {representant = 1; modulo = 3}

(63)

type classe =

{representant : int ; modulo : int};;

let (%) a n = {representant = (a mod n); modulo = n};;

# 13 % 3;;

- : classe = {representant = 1; modulo = 3}

(64)

type classe =

{representant : int ; modulo : int};;

let (%) a n = {representant = (a mod n); modulo = n};;

# 13 % 3;;

- : classe = {representant = 1; modulo = 3}

(65)

let loi_induite loi = fun a b−>

{modulo =

if a.modulo = b.modulo then a.modulo

else raiseClasses_incompatibles ; representant =

(loi (a.representant) (b.representant)) mod (a.modulo)

};;

let ( +% ) = loi_induite ( + );;

let ( *% ) = loi_induite ( * );;

# (9%5) *% (7%5);;

(66)

let loi_induite loi = fun a b−>

{modulo =

if a.modulo = b.modulo then a.modulo

else raiseClasses_incompatibles ; representant =

(loi (a.representant) (b.representant)) mod (a.modulo)

};;

let ( +% ) = loi_induite ( + );;

let ( *% ) = loi_induite ( * );;

# (9%5) *% (7%5);;

(67)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(68)

Théorème 13

Toute partie non vide de

N

possède un plus petit élément.

Théorème 14

Toute partie non vide MAJORÉE de N possède un plus GRAND élément.

Théorème 15

Si d divise a et b alors d divise toute COMBINAISON LINÉAIRE de a et b.

(69)

Théorème 13

Toute partie non vide de

N

possède un plus petit élément.

Théorème 14

Toute partie non vide MAJORÉE de N possède un plus GRAND élément.

Théorème 15

Si d divise a et b alors d divise toute COMBINAISON LINÉAIRE de a et b.

(70)

Théorème 13

Toute partie non vide de

N

possède un plus petit élément.

Théorème 14

Toute partie non vide MAJORÉE de

N

possède un plus GRAND élément.

Théorème 15

Si d divise a et b alors d divise toute COMBINAISON LINÉAIRE de a et b.

(71)

Théorème 13

Toute partie non vide de

N

possède un plus petit élément.

Théorème 14

Toute partie non vide MAJORÉE de

N

possède un plus GRAND élément.

Théorème 15

Si d divise a et b alors d divise toute COMBINAISON LINÉAIRE de a et b.

(72)

Théorème 13

Toute partie non vide de

N

possède un plus petit élément.

Théorème 14

Toute partie non vide MAJORÉE de

N

possède un plus GRAND élément.

Théorème 15

Si d divise a et b alors d divise toute COMBINAISON LINÉAIRE de a et b.

(73)

Théorème 16

Si d divise a alors

|

d

| É |

a

|

. Théorème 17

Si d divise d0 et d0 divise d alors d0=d .

Théorème 18 (Suite strictement décroissante d’entiers naturels)

Toute suite strictement décroissante d’entiers naturels est constante à partir

d’un certain rang.

(74)

Théorème 16

Si d divise a alors

|

d

| É |

a

|

. Théorème 17

Si d divise d0 et d0 divise d alors d0=d .

Théorème 18 (Suite strictement décroissante d’entiers naturels)

Toute suite strictement décroissante d’entiers naturels est constante à partir

d’un certain rang.

(75)

Théorème 16

Si d divise a alors

|

d

| É |

a

|

. Théorème 17

Si d divise d

0

et d

0

divise d alors d

0=

d .

Théorème 18 (Suite strictement décroissante d’entiers naturels)

Toute suite strictement décroissante d’entiers naturels est constante à partir d’un certain rang.

(76)

Théorème 16

Si d divise a alors

|

d

| É |

a

|

. Théorème 17

Si d divise d

0

et d

0

divise d alors d

0=

d .

Théorème 18 (Suite strictement décroissante d’entiers naturels)

Toute suite strictement décroissante d’entiers naturels est constante à partir d’un certain rang.

(77)

Théorème 16

Si d divise a alors

|

d

| É |

a

|

. Théorème 17

Si d divise d

0

et d

0

divise d alors d

0=

d .

Théorème 18 (Suite strictement décroissante d’entiers naturels)

Toute suite strictement décroissante d’entiers naturels est constante à partir

d’un certain rang.

(78)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(79)

Définition 19 (PGCD)

Soit a et b deux entiers. On appelle PGCD de a et b et on note a

b l’entier défini de la manière suivante :

00=0

Siaet b ne sont pas simultanément nuls, ab est le plus grand entier naturel qui divise simultanément aetb.

D(a)D(b)

(80)

Définition 19 (PGCD)

Soit a et b deux entiers. On appelle PGCD de a et b et on note a

b l’entier défini de la manière suivante :

0

0

=

0

Siaet b ne sont pas simultanément nuls, ab est le plus grand entier naturel qui divise simultanément aetb.

D(a)D(b)

(81)

Définition 19 (PGCD)

Soit a et b deux entiers. On appelle PGCD de a et b et on note a

b l’entier défini de la manière suivante :

0

0

=

0

Si a et b ne sont pas simultanément nuls, a

b est le plus grand entier naturel qui divise simultanément a et b.

D(a)D(b)

(82)

Définition 19 (PGCD)

Soit a et b deux entiers. On appelle PGCD de a et b et on note a

b l’entier défini de la manière suivante :

0

0

=

0

Si a et b ne sont pas simultanément nuls, a

b est le plus grand entier naturel qui divise simultanément a et b.

D(a)D(b)

(83)

Définition 19 (PGCD)

Soit a et b deux entiers. On appelle PGCD de a et b et on note a

b l’entier défini de la manière suivante :

0

0

=

0

Si a et b ne sont pas simultanément nuls, a

b est le plus grand entier naturel qui divise simultanément a et b.

D(a)D(b)

(84)

Théorème 20 (Égalité de Bézout)

Soit a et b deux entiers relatifs. Si d

=

a

b, alors il existe deux entiers u et v tels que :

au

+

bv

=

d

(85)

Théorème 21

Si ab

6=

0 et k un entier quelconque

a

(b+

ka)

=

a

b et en particulier

a

b

=

a

(b

a)

=

a

(a

b)

(86)

Théorème 22

Si ab

6=

0 et k un entier quelconque

a

(b+

ka)

=

a

b et en particulier

a

b

=

a

(b

a)

=

a

(a

b)

(87)

Fonction euclide( a, b :entiers) :entier Si b = 0 Alors

Retourner a Sinon

Retourner euclide(b,rem(a,b)) FinSi

(88)

k u

k

v

k

r

k

q

k

0 1 0 r

0=

a /

1 0 1 r

1=

b q

1

2 u

0

u

1

q

1

v

0

v

1

q

1

r

2=

r

0

r

1

q

1

q

2

3 u

1

u

2

q

2

v

1

v

2

q

2

r

3=

r

1

r

2

q

2

q

3

.. . .. . .. .

p

1 r

p−1=

a

b q

p−1

p r

p=

0

(89)

k u

k

v

k

r

k

q

k

0

1 0 19

/ L

0

1

0 1 15 1

L

1

2 1

1 4 3 L

2

L

0 1

×

L

1

3

3 4 3 1 L

3

L

1

3

×

L

2

4 4

5 1 3 L

4

L

2

1

×

L

3

5 0 L

5

L

3

3

×

L

4

(90)

Fonction euc( u,v,r,u’,v’,r’ :entiers) :liste d’entiers Si r’ = 0 Alors

Retourner [u,v,r]

Sinon

Retourner

euc(u’,v’,r’,u-quo(r,r’)*u’,v-quo(r,r’)*v’,r-quo(r,r’)*r’) FinSi

Fonction EUC( a,b :entiers) :liste d’entiers Retourner euc(1,0,a,0,1,b)

(91)

Définition 23

Deux entiers a et b sont premiers entre eux si et seulement si a

b

=

1

Théorème 24 (Théorème de Bézout)

Les entiers a et b sont premiers entre eux si, et seulement si, il existe deux entiers u et v tels que au+bv=1

ab=1⇐⇒ il existe(u,v)Z2 tel que au+bv=1

(92)

Définition 23

Deux entiers a et b sont premiers entre eux si et seulement si a

b

=

1

Théorème 24 (Théorème de Bézout)

Les entiers a et b sont premiers entre eux si, et seulement si, il existe deux entiers u et v tels que au+bv=

1

ab=

1

⇐⇒ il existe(u,v)Z2 tel que au+bv=

1

(93)

Définition 23

Deux entiers a et b sont premiers entre eux si et seulement si a

b

=

1

Théorème 24 (Théorème de Bézout)

Les entiers a et b sont premiers entre eux si, et seulement si, il existe deux entiers u et v tels que au

+

bv

=

1

a

b

=

1

⇐⇒

il existe

(u,

v

)Z2

tel que au

+

bv

=

1

(94)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(95)

Un entier naturel est dit premier s’il est supérieur ( i.e. supérieur ou égal ) à

2 et n’est divisible que par 1 et lui-même.

(96)

Un entier naturel est dit premier s’il est supérieur ( i.e. supérieur ou égal ) à

2 et n’est divisible que par 1 et lui-même.

(97)

Un entier naturel est dit premier s’il est supérieur ( i.e. supérieur ou égal ) à

2 et n’est divisible que par 1 et lui-même.

(98)

diviseur 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 quotient 660,5 440,3 330,3 264,2 220,2 188,7 165,1 146,8 132,1 120,1 110,1 101,6

diviseur 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25

quotient 94,36 88,07 82,56 77,71 73,39 69,53 66,05 62,90 60,05 57,43 55,04 52,84

diviseur 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37

quotient 50,81 48,93 47,18 45,55 44,03 42,61 41,28 40,03 38,85 37,74 36,69 35,70

Théorème 26

Si un entier est composé, alors il admet un diviseur premier inférieur à sa racine carrée.

(99)

diviseur 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 quotient 660,5 440,3 330,3 264,2 220,2 188,7 165,1 146,8 132,1 120,1 110,1 101,6

diviseur 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25

quotient 94,36 88,07 82,56 77,71 73,39 69,53 66,05 62,90 60,05 57,43 55,04 52,84

diviseur 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37

quotient 50,81 48,93 47,18 45,55 44,03 42,61 41,28 40,03 38,85 37,74 36,69 35,70

Théorème 26

Si un entier est composé, alors il admet un diviseur premier inférieur à sa

racine carrée.

(100)
(101)
(102)
(103)

val filter: (’a−>bool)−>’a list−>’a list

filterp l returns all the elements of the list l that satisfy the predicate p. The orderof the elementsin the inputlist is preserved

.

let retmultiples = fun liste n−>...

# retmultiples [2;3;4;5;6;7;8;9;10;11;12] 3 ;;

- : int list= [2; 4; 5; 7; 8; 10; 11]

(104)

val filter: (’a−>bool)−>’a list−>’a list

filterp l returns all the elements of the list l that satisfy the predicate p. The orderof the elementsin the inputlist is preserved

.

let retmultiples = fun liste n−>...

# retmultiples [2;3;4;5;6;7;8;9;10;11;12] 3 ;;

- : int list= [2; 4; 5; 7; 8; 10; 11]

(105)

val filter: (’a−>bool)−>’a list−>’a list

filterp l returns all the elements of the list l that satisfy the predicate p. The orderof the elementsin the inputlist is preserved

.

let retmultiples = fun liste n−>...

# retmultiples [2;3;4;5;6;7;8;9;10;11;12] 3 ;;

- : int list= [2; 4; 5; 7; 8; 10; 11]

(106)

let liste_entiers =fun min max−>

let rec aux =fun a acc−>

if ...

else ...

in auxmin [];;

(107)

let crible =fun m−>

let rec crible_rec =fun n acc−>

if n*n > m then

acc

else

crible_rec (n+1) (retmultiples acc n)

in crible_rec 2 (liste_entiers 2 m);;

# crible 100;;

- : int list=

[97; 89; 83; 79; 73; 71; 67; 61; 59; 53; 47; 43; 41; 37; 31; 29; 23; 19;

17; 13; 11; 7; 5; 3; 2]

(108)

let crible =fun m−>

let rec crible_rec =fun n acc−>

if n*n > m then

acc

else

crible_rec (n+1) (retmultiples acc n)

in crible_rec 2 (liste_entiers 2 m);;

# crible 100;;

- : int list=

[97; 89; 83; 79; 73; 71; 67; 61; 59; 53; 47; 43; 41; 37; 31; 29; 23; 19;

17; 13; 11; 7; 5; 3; 2]

(109)

Théorème 27

Tout entier n supérieur à 2 admet une et une seule (à l’ordre près des

termes) décomposition en produit fini de nombres premiers

(110)

1 Structures mères

Lois de composition interne Les groupes

Division euclidienne Le groupe (Z/nZ,+) Caml

2 Divisibilité dans Z

3 PGCD

4 À la recherche des nombres premiers 5 Éléments inversibles de Z/nZ 6 Chiffrements

Cesar

Chiffrement affine Chiffrement par blocs RSA

(111)

Définition 28 (Anneau)

Soit A un ensemble muni de deux lois

·

et + qu’on nommera addition et multiplication.

On dit que

(A,+,·)

est un anneau si, et seulement si :

(A,+) est un groupe commutatif ;

la multiplication est associative ;

la multiplication est distributive sur l’addition.

Si la multiplication est commutative, alors l’anneau est dit commutatif.

Si la multiplication admet un élément neutre, l’anneau est dit unitaire.

Les éléments d’un anneau unitaire qui admettent un symétrique par la

multiplication sont dits inversibles. On note A

l’ensemble des éléments

inversibles de A.

(112)

Définition 28 (Anneau)

Soit A un ensemble muni de deux lois

·

et + qu’on nommera addition et multiplication.

On dit que

(A,+,·)

est un anneau si, et seulement si :

(A,+)

est un groupe commutatif ;

la multiplication est associative ;

la multiplication est distributive sur l’addition.

Si la multiplication est commutative, alors l’anneau est dit commutatif.

Si la multiplication admet un élément neutre, l’anneau est dit unitaire.

Les éléments d’un anneau unitaire qui admettent un symétrique par la

multiplication sont dits inversibles. On note A

l’ensemble des éléments

inversibles de A.

(113)

Définition 28 (Anneau)

Soit A un ensemble muni de deux lois

·

et + qu’on nommera addition et multiplication.

On dit que

(A,+,·)

est un anneau si, et seulement si :

(A,+)

est un groupe commutatif ;

la multiplication est associative ;

la multiplication est distributive sur l’addition.

Si la multiplication est commutative, alors l’anneau est dit commutatif.

Si la multiplication admet un élément neutre, l’anneau est dit unitaire.

Les éléments d’un anneau unitaire qui admettent un symétrique par la

multiplication sont dits inversibles. On note A

l’ensemble des éléments

inversibles de A.

(114)

Définition 28 (Anneau)

Soit A un ensemble muni de deux lois

·

et + qu’on nommera addition et multiplication.

On dit que

(A,+,·)

est un anneau si, et seulement si :

(A,+)

est un groupe commutatif ;

la multiplication est associative ;

la multiplication est distributive sur l’addition.

Si la multiplication est commutative, alors l’anneau est dit commutatif.

Si la multiplication admet un élément neutre, l’anneau est dit unitaire.

Les éléments d’un anneau unitaire qui admettent un symétrique par la

multiplication sont dits inversibles. On note A

l’ensemble des éléments

inversibles de A.

(115)

Théorème 29

³

(Z/

n

Z),·´

est un groupe.

(116)

Théorème 30

Les seuls éléments inversibles deZ/nZsont les éléments premiers avec n.

Si n est premier,Z/nZest un corps et on le note dans ce casFn.

(117)

Théorème 30

Les seuls éléments inversibles de

Z/

n

Z

sont les éléments premiers avec n.

Si n est premier,Z/nZest un corps et on le note dans ce casFn.

(118)

Théorème 30

Les seuls éléments inversibles de

Z/

n

Z

sont les éléments premiers avec n.

Si n est premier,

Z/

n

Z

est un corps et on le note dans ce cas

Fn

.

(119)

Définition 31 (Fonction indicatrice d’Euler)

On note

ϕ(n)

le nombre d’éléments inversibles de

Z/

n

Z

. C’est donc aussi le cardinal (on dit aussi l’ordre) du groupe

³(Z/

n

Z),·´

.

(120)

Théorème 32 (Théorème d’Euler)

a

n

=

1

=⇒

a

ϕ(n)

1(modn) Théorème 33 (Propriétés de

ϕ

(n))

Si p est premier, alors

ϕ(p)=

p

1

;

si m

n

=1

alors

ϕ(mn)=ϕ(m)ϕ(n)

(admis) ; Si p est premier,

ϕ(pn)=

p

n

p

n−1=

p

n³11p´

;

ϕ(n)=

n

Y

p∈Pn

µ 11

p

avec

Pn

l’ensemble des diviseurs premiers de n.

(121)

Théorème 32 (Théorème d’Euler)

a

n

=

1

=⇒

a

ϕ(n)

1(modn) Théorème 33 (Propriétés de

ϕ

(n))

Si p est premier, alorsϕ(p)=p1;

si m

n

=1

alors

ϕ(mn)=ϕ(m)ϕ(n)

(admis) ; Si p est premier,

ϕ(pn)=

p

n

p

n−1=

p

n³11p´

;

ϕ(n)=

n

Y

p∈Pn

µ 11

p

avec

Pn

l’ensemble des diviseurs premiers de n.

(122)

Théorème 32 (Théorème d’Euler)

a

n

=

1

=⇒

a

ϕ(n)

1(modn) Théorème 33 (Propriétés de

ϕ

(n))

Si p est premier, alorsϕ(p)=p1;

si mn=1 alorsϕ(mn)=ϕ(m)ϕ(n) (admis) ; Si p est premier,ϕ(pn)=pnpn−1=pn³11p´; ϕ(n)=n Y

p∈Pn

µ 11

p

avecPn l’ensemble des diviseurs premiers de n.

Références

Documents relatifs

Écrire la contraposée de [F, G, H] → [F, H, G] puis exprimer une formule qui lui est équivalente dans laquelle les connecteurs de négation ne portent que sur des formules

Lorsque E = N, construire un exemple d’un sous-ensemble qui ne soit ni fini, ni cofini.. Démontrer ou bien infirmer la phrase

a conduit à des transformations structurelles importantes, induites par la réunification des deux parties, 1930 et 1960, la réalisation d’un patio, et, plus globalement, le

En d´ eduire un intervalle de confiance asymptotique de niveau de confiance 95% pour le nombre de clients se connectant au serveur pour une dur´ ee inf´ erieure ` a 15 minutes

On souhaite projeter une mire, succession d’un grand nombre de bandes opaques et transparentes de même largeur a = 0, 25 mm grâce à une lentille de vergence V = 10 Dioptrie..

Le résultat précédent étant valable pour tout x réel, la fonction f

Dire si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses. a) Un nombre décimal est un nombre pouvant s’écrire sous la forme d’une fraction décimale. b) Un nombre décimal est

On pourrait aussi mettre tout le reste * dans un