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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00238795

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238795

Submitted on 1 Jan 1887

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Influence de la pression sur la température de fusion

A. Battelli

To cite this version:

A. Battelli. Influence de la pression sur la température de fusion. J. Phys. Theor. Appl., 1887, 6 (1),

pp.90-100. �10.1051/jphystap:01887006009001�. �jpa-00238795�

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le fer et le nickel, en vertu de leur coefficient élevé d’incluction et

de perméabilité magnétique, ne doivent avoir d’autre effet que de concentrer, tout en la répartissant, l’énergie de ce champ sur

toute la région qui environne les pôles. Ajoutons à cela que la

position même de cette lame, au-dessous des grains, ne doit pas êlre sans influence, à cause de l’attraction normale qu’elle exerce

sur eux vers le bas, attraction qui donne aux grains une adhérence plus grande avec la plaque, que celle qui résulterait de leur simple poids. Ces grains peuvent alors s’arrêter plus facilement en route,

et se fixer ensuite plus solidement dans leur position d’arrêt.

Nous ferons remarcluier, en terminant, que remploi de la poudre

de sesquioxyde de fer, en suspension dans un liquide, fourni

une méthode commode de tracé automatique des lignes équipo-

tentielles d’un champ, quand celui-ci n’est pas trop faible. Elle réussit parfaitement, par exemple, pour étudier la distribution do

ces lignes dans le champ du faisceau aimanté d’une machine Gramme (modèle de laboratoire). En remplaçant la bobine par

une large plaque de fer mirlce sur laquelle on verse le liquide,

on voit rapidement se produire les traînées de grains qui traver-

sent normalement le plan du fer à cheval.

Les expériences qui précèdent ont été effectuées dans le but de chercher une interprétation à certains faits bizarres observés dans les précipitations électrochilniques de quelques sels métalliques.

L’exposé de ces phénomènes fera l’objet d’une prochaine Note.

INFLUENCE DE LA PRESSION SUR LA TEMPÉRATURE DE FUSION;

PAR M. A. BATTELLI.

On sait que, vers i ~ .I~ g, James Thomson (1), par un calcul pure-

inent théorique, était arrivé à cette conclusion que, quand l’eau

se trouve soumise à une pression supérieure à celle de l’atmo-

sphère, son point de congélation doit s’abaisser et que cet abais-

scnlent doit être environ de 0°,0075 C. par atmosphère de pres-

,

(1) Transactions of the Royal ,S’ociety of’ L’dinhur~; Jan. 2, 18!¡q.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01887006009001

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sion. Plus tard, W. Thomson et Devar (~ ) vérifièrent ce résultat par l’expérience m ême et trouvèrent, le premier, un abaissement de oo, oo75 et le second, de 0°,0°72, pour chaque atmosphère de pression. Ce phénomène fut aussi constaté par Mousson (2 ) qui

porta la température de fusion de l’eau jusqu’à environ 20°, sans toutefois en venir à des calculs.

J. Joli Bunsen ( 3 ) et Hopkins (’1) ont fait t à ce sujet des études spéciales sur d’au tres substances; mais ils n’ont pu vérifier la con- clusion de James Thomson, laquelle s’exprime pour tous les corps par la formule connue

dans laquelle L et T indiquent respectivement la chaleur latente

et la température ahsolue de fusion du corps sur lequel on expé- rimente ; E l’équivalent mécanique de la chaleur; vl et v les vo-

(umes spécifiques à l’état solide et liquide; dp, dt les variation., infiniment petites de la pression et de la température.

Mais ni Bunsen ni Hopkins ne pouvaient connaître, pour les corps qu’ils ont étudiés, les quantités L, v’ et v. Il m’a paru d’un intérêt tout particulier de constater l’exactitude de cette formule

J111portante pour d’autres substances, Lout comme on l’avait déjà

fait pour l’eatl.

L’éiément le plus difficile à obtenir, pour le calcul de cette for-

niule, c’est la variation v’ - v de volume que subit la substance dans le passage de l’état liquide à l’état solide. Aussi, ce ne f u t qu’assisté par ~I. le D~ Palazzo que j’ai étudié ce changement do

volume pour les corps suivants : la paraffine, le blanc de baleine

la naphtaline, la nitronaphtaline, la paratoluidine, la diphénvia-

initie et la naphtylalnine.

Il ne me restait donc plus à trouver pour ces corps que la chaleur L de fusion. A cet elfet, et comme des déterminations de ce genre

(1) Proc. Roy. Soc., t. XXX, p. 533 ; 1880.

(2 ) Po~ycjzclol;~’’s _-~~am., B. CX, S. 161; 1858.

(3) Poggeiidoiff’s Ann., B. LXXXI, S. 5t~; i85o.

(4) Rep. of Brit. Assoc., 2, p. 5~ ; 185/1.

,

Acc. dei Lincei, IVIemone, serie 4a, Vol. I ; 1885.

(4)

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sur de pareilles substances laissent toujours à désirer sous le rap- port de la précision, j’ai employé deux procédés différents, afin d’ohtenir, pour moyenne, un résultat plus sûr.

Le premier procédé consistait à échauffer les substances étudiées dans une enceinte dont la température fût fixe, pour éviter la surfusion à laquelle ces sortes de substances sont sujettes, et à dé-

duire ensuite, de la rapidité de l’échauffement, la chaleur spéci- . fique et la chaleur latente de fusion.

L’autre procédé consiste dans l’emploi de la méthode des iné- lang’es. L’appareil est celui dont nous nous sommes précédemment servis, M. lB1artinetti et moi, pour déterminer la chaleur spécifique

et la chaleur latente de fusion de l’acétate de soude cristallisé 1 ’ ) . L’appareil dont je fis usage pour comprimer ces diverses sub-

stances consistait en un cylindre M de fer, destiné à recevoir le

corps en expérience. Ce cylindre, aux parois très robustes, de la

hauteur de om, 06, avait un diamètre qui mesurait om., o3 de vide.

Le couvercle de fer qui en fermait l’orifice était construit de telle

sorte qu’il pouvait adhérer étroitement au cylindre soit t par le moyen d’un anneau de gomme élastique, soit à l’aide de six vis

qui pénétraient dans le corps du cylindre lui-méme.

Au milieu du couvercle était placé un dé de fer N, rempli de

mercure, dans lequel on plongeait un thermomètre indiquant les

dixièmes de degré, et dont les divisions avaient été préalablement

dûment contrôlées. Sur un des côtés du couvercle était pratiquée

une ouverture dan~ laquelle se vissait avec précision un tube

robus te de cuivre, destiné à mettre l’intérieur du cylindre en com-

munication avec une machine de compression.

Les choses étant ainsi disposées, le cylindre de fer, par le moyen de trois fils métalliques, était suspendu à un bouchon de liège, pour être ensuite plongé dans un récipient cylindrique de cuivre à l’orifice duquel s’adaptait parfaitement le bouchon, et dans lequel, depuis longtemps, l’air avait été maintenu à une température fixe,

à l’aide d’un gros bain d’eau qui enveloppait le récipient de toutes

parts.

Alors, on lisait à travers une lunette les indications du ther-

_-_ -- ~---- - -~~-

(1) LJ/ngegnel’e civile, Vol. XI; ~88a.

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93

momètre placé dans le dé; et, pour déterminer le point de fusioit

de la substance, on traçait à une grande échelle la courbe des tem-

pératures en fonction des temps et en prenant sur cette courbe le

point à partir duquel, après s’être élevée insensiblement pendant

un certain temps, elle commençait à s’élever plus rapidement.

Pour chaque substance la température de fusion était déterminée d’abord à la pression ordinaire, ensuite à celle de 8atm, @ puis de 12atm, et finalement, pour quelques-unes, de 15atm. Les pressions

étaient indiquées par un manomètre contrôlé avec soin.

A chaque pression, la température fut déterminée deux fois,

pour vérifier s’il y avait accord dans les résultats.

Pour le calcul de la formule (i), à la quantité ~2013 ~ je n’ai pas substitué la valeur de la seule dilatation qui avait lieu au moment précis de la température de fusion, mais encore celle de la dilatation due au changement d’état du corps durant l’état pâteux de la sub-

stance. A cet effet, à chaque courbe des volumes décrite dans mon

Mémoire sur les dilatations de ces substances, j’ai mené la tan-

gente au point même elle prend un pli plus marqué d’ascension,

en la prolongeant jusqu’à sa rencontre avec la perpendiculaire

abaissée du point de la courbe qui correspond au commencement t

de l’état liquide. La longueur de ce segment de la verticale donne la valeur de v’ w~ la plus convenable.

Pour les calories de fusion j’ai pris la moyenne entre les résul-

tats obtenus avec le premier procédé et ceux qui me furent donnés

par le second; leur différence est d’ailleurs petite.

Paraffine. - Pour la paraffine, on a la chaleur de fusion

En substituant dans la formule (i) mise sous la forme

on aura, pour L’augmentation de l a

"’

dans la pression,

(6)

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Dans le Tableau suivant figurent les uns à côté des autres les

résultats du calcul et ceux de l’expérience : p’ - p représente l’augmentation de la pression; 1’ - t la variation de la température

.de fusion.

~’en2pératzej~e de fusion à la pression ordinaire

=

52°, ,lo.

Pour la paraffine donc. Inexpérience donne une auglnentation

,le la température de fusion un peu plus forte que celle qui ré- .s ul te de 1 a for ln u 1 e (1).

.~3lc~ne cle bc~letnc~. - Pour le blanc de baleine, on a

et si la pression augmente de 1 atm, on aura

1’>ii résulte le Tableau de comparât son :

Ternpéralure de Jitsioii Ù la pi’ession ordinaire -= go.

-

Comme on le voit, pour ce corps, l’expérieoce donne u:~’

~,tuigmentation de température inférieure à celle qui résulte (io calcul.

Les expériences de Bunsen donnent pour cette substances une

augmentation de 0°,0207 dans la température de fusion, pour une

variation de 1 atm dans la pression : résultat qui s’approche consi-

(7)

95 dérablement du mien, bien que le sparmacéti dont fit usage ce

physicien fut tant soit peu différent du mien.

1

yV~A~~?. 2013 Pour la naphtaline, on a

si la pression augmente de 1 atm,

I--iC ’Tableau de comparaison sera donc :

IYen2wératzcre de fusion et la pression ordinaire

=

79’, 9~0-

Pour celte substance, les résultats du calcul et de Inexpérience

raccordent mieux que pour les corps précédents.

~

l~Tllj’o~tcc~7lztc~Zlj2e. Pour la nitronaphtaline, on a

et si la pression augmente de a: 111

cL l’on aura le Tableau de comparaison : *.

d’en2~3~rc~~ici°e de fusion Ù la pression ordinaire

=

56°, oo.

(8)

96

Dans le cas présent pour une augmentation de 8atm dans la pression, l’expérience donne pour - t une valeur plus petite que celle qui résulte de la formule; si, au contraire, la pression est de

12~~ l’expérience donne une quantité plus grande : 1 de sorte que

la moyenne présentera entre le calcul et l’expérience un accord

suffisant,.

7~/Y~o~/!’~/??. 2013 Pour la paratoluidine, on a

(Fou l’on aura, si la pression se trouve augmentée de 1 ,, ~~~

1

et pour Tableau de comparaison on aura :

Telnpérature de fusion ce la pression ordinaire

=

38°, 9().

Pour cette substance, comme aussi pour la naphtylamine~ j’ai expérimenté sous la pression de 1 5atm, parce que pour ces deux corps on ootient un léger déplacements dans la température de

fusion.

DL~~hén~Zr~mL~2e.

--

Pour la diphénylamine, on a

donc, si la pression augmen te de 1 atm,

(9)

97 et l’on aura le Tableau de comparaison :

Température de fusion à la pression ordinaire

=

51°, oo.

YV7~/~~m~e. 2013 Pour la naphtylamine, on a

d’où l’on aura, pour J’augmentation de l atm dans la pression,

et le Tableau de comparaison sera :

~’empérccture de fusion à la pression ordinaire

=

43°,40.

J’ai voulu examiner aussi l’influence de la pression sur la tem- pérature de fusion des alliages facilement fusibles, et j’ai préféré

ceux de Lipoiviiz et de Wood, parce que leur étude s’adaptai L

davantage à mon appareil.

_

J’ai adopté la même composition que celle dont fait mention

Spring dans ses Mémoires Sur la dilatation et la chaleur spé- cifique (les alliag’es fusibles) etc. (1), précisément parce que, de

ses données, j’ai pu déduire pour ces alliages l’augiiienuation de

volume durant le passage de l’état solide à l’état liquide et la cha-

leur de fusion.

(’ ) ~ ~ cacZ. R. des Sciences) Lettres et Beaux-Arts de Belgique, 2e série,

t. ~’_~~1~, p. 5 {8.

(10)

98

Voici cette composition :

Les Mémoires de Spring présentent pour chaque alliage une

courbe qui en donne le volume correspondant aux diverses tem- pératures. Selon les règles exposées ci-devant, j’en ai déduit la

variation de volume durant le passage de l’état solide à l’état

liquide. Mais, comme Spring déterminait ces volumes en prenant

pour unité celui de l’alliage à o", j’ai du calculer le rapport entre l’inverse de la densité de l’alliage à 4° (densité au reste déjà déter-

minée par Spring) et le volume à déduit de la courbe; j’ai multiplié ensuite par ce rapport la variation calculée auparavant.

Pour trouver la chaleur de fusion, je ine suis servi des Tables

qui se trouvent dans les Mémoires de Spring et qui donnent les.

variations de température que subissent, pendant chaque seconde,

des poids fixes de mercure et d’une de ces substances, placés dans

une enceinte à température constante. Le calcul se fait pour les

alliages comme pour les corps étudiés ci-dessus.

Je dois noter, toutefois, que j’ai négligé le déplacement qui aurait

pu survenir, par suite de la pression, dans le point de fusion le moins élevé de ces alliages : dans les conditions de mon appareil, la température s’y élevait trop rapidement. En conséquence, je mie

>ais borné à tenir compte de la chaleur de fusion et de la dilatations

correspondant au point le plus élevé.

Alliage de :~C~~oc~it.~.

-

Pour cet alliage, on trouve

(11)

99 On aura, par conséquent, pour Faugmentation de 1 atm dans la

pression,

et l’on aura pour Tableau de comparaison :

Température de fusion à la pression ordinaire - ~ 1°, 50.

Alliage de ~~Tlood.

-

Pour cet allia-e, on a

Donc, si la pression augi>ienie de 1 atm,

@

et le Tableau de comparaison sera :

~’em~~t°c~tz~~~e de fusion à la pression ordinaire

=

~~,°, 30.

Comme on le voit, ces résultats sont très petits et s’écartent plus

de la formule que tous les précédents. De plus, une augmentation

dans la pression de 8~t’" à 12~ ~ donne des résultats à peine sen-

sibles et peu d’accord entre eux. Les chiffres des deux Tableaux

précédents sont les moyennes de trois expériences.

Conclusions. - Les résultats obtenus démontrent :

10 Que la formule de James Thomson, pour toutes les substances

sur lesquelles j’ai expérimenté, se trouve vérifiée avec une approxi-

mation suffisante, ;

(12)

100

.¿O Que pour les corps dont la composition chimique n’est pas bien déterminée et qui semblent plutôt des mélanges, y comme la paraffine, le spermacéti et les alliages métalliques, qui présentent

l’état pâteux dans un intervalle assez étendu, l’accord est moins

évident.

Qu’il me soi t permis, toutefois, d’observer que ces différences semblent devoir être attribuées au défaut de précision des données

qui ont servi au calcul de la formule ; car il est presque impos-

sible de déterminer exactement, au moyen de la courbe des

volumes, la dilatation correspondant à la fusion; comne asssi d’ob-

tenir une valeur exacte de la chaleur de fusion.

~’observerai finalement qu’aucun de mes résultats ne présente

ce merveilleux accord entre Inexpérience et le calcul, obtenu par sir w. Thomson,. Cela tient sans doute à ce que les données rela- t,ives à la glace sont parfaitement connues et que le point de fusion

de cette substance est fixe et bien déterminé, tandis que dans mes

expériences le point de fusion était toujours difficile à déterminer ;

et la chaleur de fusion et I’augmentation de volume corrélative du

changement d’état devaient toujours présenter quelque erreur (’ ).

M. BELLATI ET R. ROMANESE. 2014 Sulla dilatazione e sui calori specifici e di

transformazione dell’ azotato ammoniaco (De la dilatation, de la chaleur spéci- fique et de la chaleur de transformation de l’azotate d’ammoniaque); Atti del

R. Istituto Veneto di Scienze, Lettere ed Arti, t. IV, série VI, 1886.

Les transformations cristallines de l’azotate d’ammoniaclue ont t déjà été étudiées par Frankenheim et par Lehmann.

1VI1~~. M. Bellati et R. Romanese ont d’abord déterminé approxi-

mativement Ies températures oii l’azotate d’ammoniaque subit ces

transformations physiques par l’étude du réchauffement ou du refroidissement de cette substance.

- --- -- - ---- --- -

( 1 ) Ces expériences ont été exécutées à l’Institut Sommellier Gcrmain, et la machine qui m’a servi pour comprimer ces diîférentes substances a été construite

au Laboratoire de l’Université.

C’est donc à l’obligeance de MM. les professeurs Naccari et Pagliani que je dois

d’avoir pu mener à bonne fin ce genre d’études; je les prie donc d’accepter mes

plus sincères remerciements.

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