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Facult´e des Sciences Dhar El Mehrez D´epartement de Math´ematiques et Informatique Chapitre 2 Construction d’espaces topologiques

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Academic year: 2022

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(1)

Facult´e des Sciences Dhar El Mehrez

D´epartement de Math´ematiques et Informatique

Chapitre 2

Construction d’espaces topologiques

Abdelaziz Kheldouni

0.0.1 § I.1.Sous espaces topologiques

Quelques propri´et´es

Soit (X, τX) un espace topologique, et A ⊂ X. Consid`erons l’application iA : A ,→ X , a7→a appel´ee injection canonique.

La topologie initiale pour l’application iA sur A est appel´ee la topologie induite sur A par celle de X.

τiAA={ i−1A (θ) : θ∈τX}={θ∩A : θ∈τX}

(A, τA) est appel´e sous-espace toplogique de X. Les ouverts de la topologie induite sur A sont les traces des ouverts de X surA.

Remarque :

1)θ ∈τX ,θ ⊂A⇒θ ∈τA ( car θ =θ∩A )

2) Si θ ∈τA on n’a pas n´ecessairement θ ∈τX ( sauf si A⊂ τX ). En fait si pour tout ω ∈τA

on a ω ∈τX alors A est un ouvert de (X, τX).

Proposition 1:

Soit (X, τX) un espace topologique, B ⊂A⊂X , alors τB = (τA)B.

D´emonstration : Notons respectivement i1 i2 eti3 les injections canoniques deA ,→X, B ,→ Aet B ,→X. La topologieτA est initiale pouri1, commei3 est continue, on d´eduit quei2 est continue aussi d’o`u (τA)B ⊂τB.

(2)

inversement, soit θ ∈ τB ∃ ω ∈ τX tel que θ = ω ∩ B = ω ∩ B ∩A et donc θ = ω∩(B∩A) = (ω∩A)∩B , mais commeω∩A∈τAon d´eduit que θ∈(τA)B i.e τB ⊂(τA)B Proposition 2:

Si F est la famille des ferm´es de X celle du sous espace topologique A est

FA ={F ⊂A / ∃ Φ∈ F ; F = Φ∩A}

de plus FA⊂ F ⇔ A ∈ F.

D´emonstration : C’est imm´ediat Proposition 3:

1) Soient B ⊂A ⊂(X, τX). Si on d´esigne par B et BA, l’adh´erence de B respectivement dans X et dans A, on a:

BA=B∩A D´emonstration : BA= ∩

B⊂F∈FA

F = ∩

B⊂F∈F(F ∩A) =A ∩

B⊂F∈FF =A∩B.

Remarque : Cette propri´et´e n’est plus vraie poue l’int´erieur et la fronti`ere. Par exemple, X =R , A=B =Q , on a

Q

Q

=Q , alors que

Q=∅ d’une part et d’autre part, si on prend A = B =]0,1] , nous avons F r(A) = {0,1} , et F r(A)A =∅ ( car c’est un ouvert ferm´e dans (A, τA) ).

Proposition 4:

Soient x∈A ⊂(X, τX) , et vA(x) l’ensemble des voisinages de x dans (A, τA) ; 1) vA(x) = {V ∩A : V ∈v(x)}

2) vA(x)⊂v(x)⇔A∈v(x)

D´emonstration : 1) SiV ∈v(x) , il va existerθ ∈τX tel quex∈θ ⊂V . Doncx∈θ∩A⊂V∩A

; comme θ∩A∈τA, on conclue que V ∩A∈vA(x).

Si maintenant V0 ∈ vA(x), ∃ θ0 ∈ τA tel que x ∈ θ0 ⊂ V0 ; or θ0 = θ∩A avec θ ∈ τX , x∈θ0 ⇒x∈θ et x∈A , θ ∈v(x) ; ainsi V :=V0∪θ est un voisinage dex qui v´erifie en plus V ∩A= (V0∪θ)∩A = (θ∩A)∪(V0 ∩A) =θ0∪(V0∩A) = V0

2)⇒) est triviale. ⇐) : Soit V0 ∈vA(x)∃ V ∈v(x) /V0 =V ∩A, or V ∈v(x) etA∈v(x) , donc V0 =V ∩A∈v(x).

Applications continues sur un sous-espace topologique

Soient (X, τX) , (X0, τX0) deux espaces topologiques, etf :X →X0 une application. On a f(X)⊂X0 et on suppose que X0 6=f(X)

♦ Soit (A0, τA0) un sous-espace topologique de X0 telque f(x)⊂A0 . L’application f peut- ˆ

etre consid´er´ee comme une application g : X → (A0, τA0) et en vertue du th´eor`eme 2 , § I.4, f est continue en x si et seulement si g est continue en x.

♦ Soit (A, τA) un sous-espace topologique de X, et f |A:A→X0 la restricion de f `aA ; si f est continue en x ∈A alors f |Aest continue en x. Ici la r´eciproque est fausse; pour le voir il suffit de consid´erer X = X0 = R et la fonction f = χQ ; n´eanmoins nous avons le r´esultat suivant:

(3)

Proposition 5: Soit a ∈ A ,∫ i A est un voisinage de a , et f |A continue en a, alors f est continue en a.

D´emonstration : SoitV0 ∈v(b) , o`ub=f(a) ; puisquef |Aest continue enaon a (f |A)−1(V0)∈ vA(a)⊂v(a) ; de plus (f |A)−1(V0) = (f◦iA)−1(V0) =iA−1◦f−1(V0) =A∩f−1(V0)⊂f−1(V0).

Donc f−1(V0) ∈v(a) ; f est alors continue.

Proposition 6: Soient (X, τX) , (X0, τX0) deux espaces topologiques, (Ai)i∈I un recouvrement quelconque de X , et f :X →X0 une application telle que pour tout i ∈I, f |Ai:Ai → X0 si A est continue. Alors f est continue sur X dans les deux cas suivants:

1) Tous les Ai sont des ouverts de X

2) Tous les Ai sont des ferm´es de X et I un ensemble fini.

D´emonstration : 1) X = ∪

i∈IAi .Soit θ0 ∈ τX0 ; f−10) = ∪

i∈I(f−10)∩Ai) = ∪

i∈If−1 |Ai0) ; comme f−1 |Aiest continue pour tout i, on d´eduit que f−1 |Ai0) ∈ τAi ⊂ τX car Ai ∈ τX ainsi f−10)∈τX ; f est alors continue.

2)X = ∪

i∈IAi avrc les Ai ∈ F soit F0 ∈ F0, f−1(F0) = ∪

i∈I(f−1(F0)∩Ai) = ∪

i∈If−1 |Ai (F0) or pour tou i, f−1 |Ai (F0) ∈ FAi∈ F et comme I est fini,f−1(F0)∈ F.

0.0.2 § II.2.Espace topologique produit

Quelques propri´et´es

Soit ((Xi, τi))i∈I une famille d’espaces topologiques. Posons X := Π

i∈IXi et pri :X → Xi la projection sur le facteur i ((xi)i∈I 7→xi)

Rappelons que la topologie produit surXde la famille des espaces topologiques ((Xi, τi))i∈I.est la topologie initiale pour les applications (pri)i∈I

C’est la topologie τ engendr´ee par : ∪

i∈I pr−1ii) . Une base de cette topologie estB d´efinie par

ϑ ∈ B ⇔ ∃ J (fini)⊂I et ∃ (θi)i∈J avec θi ⊂τi tels que ϑ= ∩

i∈Jpri−1i) ϑ ∈ B ⇔ϑ = Π

i∈Ipr−1ii) avec I fini et θi ⊂ τi autrement dit, ϑ= Π

i∈IUi avec Uii si i∈J et Ui =Xi si i /∈J

Proposition 1 : Soit (X, τ) := Π

i∈I(Xi, τi) et pour tout i ∈ I une base Bi de τi ; l’ensemble B0 des ouverts ´el´ementaires ω0 = Π

i∈Iθ0i o`u les θi0 ∈ Bi pour tout i∈ {i∈I / θi0 6=Xi} est une base de τ.

D´emonstration : Soit ϑ 6=∅ ∈τ et x= (xi)∈ϑ ; B´etant une base deτ il va existerω = Π

i∈Iiθi dans B tel que x∈ω ⊂ϑ

(4)

Soit J ={i∈I / θi 6=Xi}. Pour tout i∈J , xi ∈θi ∈ τi et comme Bi est une base de τi , il existeθi0 ∈ Bi tel que xi ∈θi0 ⊂θi. Soit ω0 = Π

i∈Iθi0 avecθi0 =Xi sii /∈J on a alors x∈ω0 ⊂ω ⊂ϑ

B est donc bien une base de τ Exemple :

SiI ={1,2,3, ..., n}et pour touti,Xi =R, une baseB deRest l’ensemble des intervalles ouverts, donc une base de Rn est l’ensemble des pav´es ouverts. La topologie produit est alors la topologie euclidienne

Les ouverts quelconques de X := Π

i∈IXi sont les r´eunions de familles quelconques d’ouverts

´

el´ementaires. Notons qu’un produit d’ouvert n’est pas toujours un ouvert; par exemple:

Soit I un ensemble infini et pour tout i ∈ I , θi 6= ∅ , et diff´erent de Xi , alors Π

i∈Iθi n’est pas un ouvert car sinon il contiendrait un ouvert ´el´ementaire Π

i∈Iθi0 est alors pour une infinit´e d’indices i on aurait Xi = θ0i ⊂ θi ⇒ θi = Xi . Par contre si I est un ensemble fini tout produit d’ouverts, mˆeme ´el´ementaires est ouvert; mais tout ouvert n’est pas forc´ement un produit d’ouverts (par exemple le disque D2 deR2.

Proposition 2 : Soit (X, τ) := Π

i∈I(Xi, τi) .Pour tout i∈I , la ieme projection pri :X →Xi

est une application ouverte

D´emonstration : Soit ω un ouvert ´el´ementaire non vide, ω = Π

i∈Iθi avec {i∈ I / θi 6=Xi} fini. Nous avons pri(ω) =θi ⊂τi.

De fa¸con plus g´en´erale, pour toute partie finie J de I , prJ est une application ouverte de X danx Π

j∈JXj.

Notons que pri n’est pas toujours ferm´ee. Pour le voir on pourra prendre

X = R2 et A = {(x, y) ∈ R2 / xy = 1} . A est un ferm´e de R2 mais pr1(A) =] −

∞,0[∪]0,+∞[ n’est pas un ferm´e.

Voisinages adh´erence, int´erieur :

Soit x= (xi)i∈I ∈ X , V ∈ v(x)⇔ ∃ Ω∈ τ /x ∈Ω⊂ V ⇔ ∃ ω un ouvert ´el´ementaire tel que x∈ω⊂Ω⊂V

Donc l’ensemble des ouverts ´el´ementaires contenant x forme un syst`eme fondamental de voisinagzes dex.

D´efinition 3 : On appelle voisinage ´el´ementaire de x tout ensemble de la forme Π

i∈IVi avec {i∈I / Vi 6=Xi} fini

SiV est un voisinage queconque dex, il contiendra un ouvert contenantxdonc il contiendra aussi un ouvert ´el´ementaire contenant x; c’est `a dire un voisinage ´el´ementaire de x. Ainsi l’ensemble des voisinages ´el´ementaires dex est un syst`eme fondamental de voisinages de x.

Proposition 4 : 1) Π

i∈IAi = Π

i∈IAi 2)

i∈IAi ⊂ Π

i∈I

Ai

(5)

3) Π

i∈IF r(Ai)⊂F r( Π

i∈IAi) D´emonstration :

1) Soit x∈ Π

i∈IAi , ∀ i ∈I , pri est continue, donc pour tout i , xi =pri(x)∈ pri( Π

i∈IAi) = pri( Π

i∈IAi) = Ai d’o`u x∈ Π

i∈IAi . Inversement, soient x= (xi)∈ Π

i∈IAi , etω un ouvert ´el´ementaire contenant x. Nous avons ω = Π

i∈Iθi avecJ ={i∈I / θi 6=Ai} fini et ω∩ Π

i∈IAi = Π

i∈Iθi∩Ai 6=∅ , car Si i /∈J ,θi =Ai et θi∩Ai =Ai 6=∅

Si i∈J ,θi∩Ai 6=∅ car xi ∈Ai ainsi on d´eduit quex∈ Π

i∈IAi.

2) Pour tout i ,priest une application ouverte donc pri (

i∈IAi ) est un ouvert contenu dans Ai, donc pri(

i∈IAi)⊂

Ai ce qui donne

i∈IAi ⊂ Π

i∈I

Ai. 3) Πi∈IF r(Ai) = Π

i∈I

Ai∩{Ai

=⊂ Π

i∈IAi∩Π

i∈I{Ai = Π

i∈IAi∩Π

i∈I{Ai ⊂ Π

i∈IAi∩{i∈IΠAi =F r( Π

i∈IAi) Remarques :

1) En g´en´eral l’int´erieur d’un produit est diff´erent du produit des int´erieurs; mais si I est fini, nous avons l’´egalit´e.

2) Dans le cas de la fronti`ere, mˆeme si I est fini on n’a pas forc´em´ent l’´egalit´e. Prendre par exemple

A = R2 , A1 = A2 =]0,1[ ; on a, F r(A1)×F r(A2) = {0,1} × {0,1} et F r(A1 ×A2) = {0} ×[0,1]∪ {1} ×[0,1]∪[0,1]× {0} ∪[0,1]× {1}.

Proposition 5 : Soit (X, τ) := Π

i∈I(Xi, τi) muni de la topologie produit. Soit a = (ai) ∈ X.

l’ensemble A={x= (xi)∈X / xi =ai pour presque tout i} est partout dense dans X.

D´emonstration : Il suffit de montrer que toutr ouvert ´el´ementaire non videω = Π

i∈Iθi rencontre A.

Soit J ={i ∈I / θi 6= Xi} ; J est fini. Consid´erons x = (xi) telque xi =ai pour i /∈J et xi ∈θi sinon. Nous avons alorsx∈ω∩A.

Cette proposition nous assure que l’ensemble des points obtenus en modifiant un nombre fini de coordonn´ees d’un point donn´e a est partout dense dans X. Par exemple l’ensemble des suites x= (xn) de nombres r´eels nulles `a partir d’un certain rang (qui peut d´ependre de x) est partout dense dansRN.

Application sur des espaces produits

Soit (X, τ) un espace topologique, et Y = Π

i∈IYi l’espace topologique produit des espaces (Yi, τi). On consid`ere une application f :X → Π

i∈IYi

(6)

Proposition 6 : L’application f est continue en x si et seulement si pour tout i ∈ I , fi :=pri◦f est continue

D´emonstration : C’est imm´ediat du fait que Y est muni de la topologie initiale pour les pri Soit a = (ai)∈X = Π

i∈IXi . Pour tout j ∈I , la section sj,a de X en a est l’application sj,a: Xj → X

xj 7→ (xi) avec xi = ai si i 6= j On a : sj,a(Xj) = A = Π

i∈IAi , avec Aj = Xj et Ai = {ai} pouri6=j .

Il n’est pas difficile de voir que sj,a est un hom´eomorphisme de Xj sur sj,a(Xj).

Soient maintenant X = Π

i∈IXi un espace topologique produit et f une application de X dans un espace topologique (Y, τY). Soit a= (ai)∈X ; pour tout j ∈I , l’application

fj,a : Xj → Y t 7→ f◦sj,a(t) est appel´ee la j`eme application partielle def au point a.

Proposition 7 : Si l’application f est continue en a alors pour tout i ∈ I , fj,a est continue en aj

Attention : la r´eciproque est fausse; il y a des applications dont toutes les applications partielles sont continues sans pour autant ˆetre continues, comme par exemple la fonction d´efinie par

g : R2 → R

(x1, x2) 7→

x1x2

x21+x22 si (x1, x2)6= (0,0) 0 si (x1, x2) = (0,0)

ses deux fonctions partielles sont continues en 0, mais g n’est pas continue en (0,0).

0.0.3 § I.3.Espace topologique quotient

Quelques propri´et´es

Soit (X, τX) un espace topologique, et R une relation d’´equivalence sur X. Soit π : X → X/R la surjection canonique. On rappelle que la topologie quotient sur X/R est la topologie finale pour π, θ est un ouvert de X/R si et seulement si π−1(θ)∈τX

Si f : (X, τX)→(Y, τY) est une application compatible avec R ( i.e.xRy⇒ f(x) =f(y) ), alors f se factorise de mani`ere unique enf =g◦π ; de plus f est continue si et seulement si g est continue.

Proposition 1 : Soit b∈X/R ,si V est un voisinage de b alors π−1(V)∈v(π−1(b)).

D´emonstration : V ∈v(b)X/R⇔ ∃ θ∈τX/R tel que b∈θ ⊂V . En appliquant π−1 on obtient

(7)

π−1 (b)∈π−1(θ)⊂π−1(V) et comme π−1(θ)∈τX , on d´eduit que π−1(V)∈v(π−1(b)).

Remarque 2 : Il faudrait faire attention `a la r´eciproque elle n’est pas vraie : le fait que pour V ⊂X/R on a π−1(V)∈v(π−1(b)) ne suffit pas pour affirmer que V est un voisinage de b. Si la surjection canonique π est ouverte la r´eciproque est vraie on a dans ce cas, V ∈v(b)X/R ⇔ π−1(V) ∈ v(π−1(b)) . En effet, soit V ⊂ X/R tel que π−1(V) ∈ v(π−1(b)) , et

π\−1(V) 6= ∅.

Puisque π est ouverte on a π(

π\−1(V))⊂

z }| {

π(π−1(V)) , mais comme π est surjective

z }| { π(π−1(V))

=

V . D’o`u

π\−1(V))⊂

V ⊂ V ainsi π(

π\−1(V)) est un ouvert contenant b et contenu dansV ; ce qui signifie que V ∈v(b)X/R

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