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LA PETITE
GAZETTE DE LA
CRECHE
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Le coin infos
Nous avons inauguré la crèche le samedi 23 mars en présence du maire d’Oraison et des élus, ainsi que du préfet. La crèche se nomme à présent « Lei Nistoun », qui veut dire les bambins/les enfants en provençal.
Petit rappel sur les dates de fermeture de la crèche : la crèche sera fermée le 31 mai 2019, ainsi que du lundi 5 août au mardi 27 août 2019 inclus. L’accueil des enfants inscrits se fera à partir du mercredi 28 août 2019.
Nous vous rappelons que l’accueil des enfants se fait à 7h30 et non avant, ainsi nous ne pouvons pas vous ouvrir la porte avant cette heure-ci.
Le mardi 26 mars, les enfants de la section des grands ont eu l’opportunité de passer une matinée à l’école maternelle d’Oraison. Ils ont pu prendre connaissances des lieux et participer à des petits jeux mis en place par les enseignants et les ATSEM. Nous organiserons une nouvelle sortie avec la maternelle en mai ou en juin (date à définir).
Nous avons effectué notre premier café parents le samedi 30 mars 2019 sur le thème des émotions. Ce moment d’échanges et de partage a été pour nous une réussite si bien que nous avons envie de le renouveler le 22 juin 2019, sur le thème « Séparation, retrouvailles : une question d’attachement ». Nous espérons vous compter nombreux parmi nous
Jean-Baptiste, l’intervenant de la médiathèque d’Oraison vient maintenant proposer des temps de lecture dans la section des moyens en plus de celui des grands. Il laisse les enfants explorer et regarder les livres adaptés à chaque tranche d’âge.
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Nous avons réalisé notre première journée sans jouet le jeudi 4 avril 2019, qui a été une réussite ! Toute l’équipe tenait à vous remercier pour votre investissement et vos dons ! Cette journée n’aurait pas été la même sans votre participation, un grand merci !!!
Afin d’accompagner les enfants vers l’autonomie, nous proposons pour ce dernier trimestre des verres en plastiques rigides dans la section des moyens. Afin d’abandonner progressivement le biberon, pour leur future entrée dans la section des grands où ils auront des verres en verres.
L’éducatrice de jeunes enfants, Jessica, met à votre disposition son mail afin que vous puissiez la contacter pour discuter d’une thématique en particulier, du développement de votre enfant ou bien pour prendre rendez-vous avec elle pour échanger sur votre enfant ou la parentalité : eje.creche@mairie-oraison.fr
La section des bébés va effectuer prochainement une journée sans horloge. Celle-ci aura pour objectif de ne plus se fier au temps mais d’être encore plus attentif aux besoins réel et individuel des enfants. Ainsi, l’organisation de cette journée sera un peu différente, nous ne vous parlerons pas de quantité de sommeil mais de qualité. L’accueil du matin sera également différent, nous ne vous demanderons pas, à quelle heure votre enfant s’est réveillé, mais simplement s’il a bien dormi ou non. Cette expérience nous donne la possibilité d’être davantage observatrice dans les besoins de vos enfants afin de pouvoir ajuster nos positionnements et notre accompagnement. Nous prenons plaisir à faire ce genre de projet afin que l’accueil de vos enfants soit le plus bénéfique et adapté pour eux.
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Les dossiers du trimestre
Café parents
Nous avons réalisé notre premier café parent le samedi 30 mars 2019 sur le thème des émotions.
Voici un petit récapitulatif sur cette thématique :
Les enfants naissent avec leurs émotions mais ils n’en comprennent pas le sens. Jusqu’à l’âge de 6/7 ans, les enfants sont dans la découverte et l’apprentissage de leur corps, de leurs ressentis/émotions. Ils ne sont donc pas dans une forme de manipulation ou de « caprice ».
L’enfant exprime ses émotions avec parfois beaucoup d’intensité, que lui-même ne parvient pas à contrôler. L’expression des émotions est naturelle et donc sain, lorsqu’il y a une absence d’émotion c’est là que ça peut être pathologique.
Les émotions sont un moyen de communication pour l’enfant, elles ne sont pas là par hasard.
Il est nécessaire de les écouter, les questionner, les comprendre afin d’avoir la possibilité de les gérer.
En tant qu’adultes, nous avons la possibilité d’accompagner les enfants dans la compréhension de leurs émotions. Pour cela nous pouvons leur dire que nous les entendons, que nous les comprenons, nous pouvons tenter de les rassurer par des paroles ou gestes sécurisants.
L’enfant imite, observe l’adulte et l’environnement autour de lui, ainsi il peut être intéressant que nous, adultes, parlions également de nos émotions.
Nous pouvons nous permettre de dire à un enfant quand on est fatigué, quand on est en colère mais aussi et surtout quand on est heureux en expliquant pourquoi pour que ça ait du sens pour lui.
Ecouter les émotions de l’enfant ne veut pas dire tout céder. L’enfant, pour se construire, a besoin de limites, ainsi si la colère est trop intense et que nous avons déjà tout essayé pour le rassurer (dialogue, lecture, jeu, câlin..), nous pouvons également couper le lien. C’est-à-dire, que nous pouvons nous autoriser à laisser l’enfant s’exprimer en lui expliquant que nous avons tout fait pour le rassurer et qu’il est nécessaire qu’il se calme seul à présent.
Voici quelques outils pour vous aider à accompagner vos enfants dans la compréhension de leurs émotions.
5 Vous pouvez créer des jeux autour des émotions, comme un espace de colère ou une mallette dans la maison grâce à laquelle l’enfant peut s’exprimer, se défouler, taper, mordre un coussin, tirer sur un tissu ou encore jeter des balles. Ou, à l’inverse, si l’enfant a besoin de se recentrer, se poser, un espace ou une mallette comportant des objets apaisant, des bulles, des plumes, des imagiers de paysages ou d’animaux, des choses qu’il aime bien, des balles relaxantes...
Vous pouvez également faire des jeux autour du miroir en reproduisant des émotions, des
« grimaces », car l’enfant lorsqu’il exprime une émotion ne se voit pas.
Vous pouvez également passer par la lecture. Le livre est un bon outil pour l’enfant pour comprendre le monde qui l’entoure, s’identifier à un personnage, s’exprimer...
Voici une petite liste de livres qui abordent le thème des émotions :
Pour les parents
Pour les enfants :
« Le loup qui apprivoisait ses émotions » « Grosse colère »
D’Orianne Lallemand de Mireille d’Alancé
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« Parfois je me sens… » « Aujourd’hui je suis… »
Anthony Browne de Mies Van Hout
“La couleur des émotions” « A l’intérieur de moi »
D’Anna Llenas d’Aurélia Gaud
« T’choupi est en colère » « T’choupi devine les émotions » De thierry Courtin De thierry Courtin
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Journée sans jouet
Nous avons réalisé la journée sans jouet le jeudi 4 avril 2019. Voici un petit retour de cette expérience.
Le but de cette journée était de favoriser la créativité et l’imagination de vos enfants par des objets neutres ou des objets qu’ils peuvent retrouver au quotidien.
Intérêt pour l’enfant :
L’enfant est attiré par des objets simples, neutres, nous pouvons le voir par exemple à Noël lorsqu’il joue avec le carton plutôt que le jouet en lui-même.
Cela est dû au fait qu’il expérimente l’objet comme il le souhaite. Avec un objet neutre, l’enfant a la possibilité d’imaginer ce qu’il souhaite, de le détourner à sa manière, il n’y a pas de règle, ni d’attente. Il développe ainsi sa créativité, son intelligence mais également sa sociabilité puisqu’il est davantage dans l’échange.
Les jouets commerciaux sont souvent des sur-stimulants visuels et sonores. Ils offrent beaucoup d’informations et certains jeux ayant une fonctionnalité précise peuvent mettre les enfants en échec (exemple jeux d’encastrement). Il y a peu de possibilité de détourner l’objet, et ce jouet est à destination d’un enfant et non plusieurs.
Intérêt pour les professionnelles :
Observer davantage les enfants, savoir quels sont leurs besoins, leur envie. A-t ’il une envie de manipulation, de sensorialité, de découverte …? Quel impact a cette journée sans jouet sur les enfants, notamment au niveau communication, attitudes…
Cela donne également la possibilité à l’équipe de réfléchir à divers types de jeux à proposer à l’enfant, et ils demandent peu de moyens financiers.
Réflexion, renouveler les jeux, plaisir de l’enfant sont la base du travail des professionnelles de la petite enfance.
Intérêt pour les familles
Les parents peuvent aussi y trouver un bénéfice : ils ont la possibilité de créer de nouveaux jeux pour leur enfant avec les objets du quotidien.
L’aspect financier de ce projet rentre également en compte, puisque ces jeux demandent peu d’investissement financier puisque le projet part du principe de la récupération.
Cela donne également l’opportunité pour les parents et les professionnelles d’échanger sur ces nouveaux jeux « neutres » et ainsi d’aborder les préférences de l’enfant.
Ainsi, vous l’aurez compris, cette journée avait pour but de satisfaire l’ensemble des acteurs de la crèche, de renouveler nos idées, mais surtout notre créativité en utilisant des objets du quotidien et/ou de recyclage (ustensiles de cuisine, brosse, plumes, bouchons en plastique, liège, pailles, carton, ficelle, feuilles, marrons…)
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Résultat :
Dans toutes les sections cette journée a été bénéfique aussi bien pour les professionnelles que pour les enfants.
Les professionnelles ont remarqué une diminution des conflits et un intérêt certain pour ces jeux. Nous renouvellerons cette expérience, mais cette fois ci sur plusieurs jours.
Nous tenons à vous partager les jeux que nous avons créés pour cette journée :
Dans la section des bébés :
Voici des boites dans lesquelles les professionnelles ont glissé des ficelles, les enfants s’amusent à tirer sur la ficelle et voir celle-ci glisser : manipulation garantie.
Des bouteilles, des petits pots, des bacs à glaçon : découverte des
objets, des couleurs, manipulation, touché…
9 Voici une panière, dans laquelle nous avons passé une ficelle afin de faire comme une « toile
d’araignée », les enfants s’amusent à mettre et enlever les objets. Certains objets de par leur taille demandent une plus grande concentration afin de parvenir à le sortir.
Les professionnelles de la section ont transformé ce cerceau, en cerceau sensoriel. Nous pouvons y retrouver divers objets comme des bouchons, du papier bulle, une fleur de douche,
une serpillère propre à franges, une écharpe, du papier…
Des bouteilles sensorielles remplies d’eau, de savon et de colorant alimentaire, d’autres remplies de graines, d’autres d’éléments de la nature…
10 Manipulation, motricité fine, sens, découverte des objets du quotidien.
Des portiques revisités avec des rubans, des bouchons…
Des couvercles de petit pots dans des grands pots, pour remplir/vider/porter/manipuler...
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Dans la section des moyens :
Du papier à bulle pour la sensorialité. Les choses simples sont parfois les meilleures
Des boites et des bouchons/pailles pour remplir/vider/transvaser/jeter/écraser…
12 Une couverture de survie pour rigoler, Des bouteilles sensorielles avec des plumes, des toucher, se cacher… billes d’eau et des pompons
De mignonnes petites voitures faites avec des Une pyramide de boites de lait que l’on rouleaux rigides, des bâtonnets, des bouchons peut construire, détruire à l’ infini mais de bouteille et en lièges mais qui ont aussi faire rouler, cacher des choses a
très vite eu des accidents … l’intérieur…
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Dans la section des grands
Une petite bouteille de lait avec des bouchons en liège, pour remplir/vider à l’infini : une activité de concentration et de précision pour développer la motricité fine.
Des activités sur les couleurs et la motricité fine qui ont beaucoup plu aux enfants.
Des sceaux pour escalader, empiler, porter, transvaser, faire de la musique…
14 Des activités manuelles utilisant des objets du quotidien,
Quelques gouttes de peinture sur une feuille Une boite à chaussure avec des billes, on que l’on place dans l’essoreuse à salade, secoue la boite, la peinture va dans tous et on tourne. De jolis traits vont apparaitre ! les sens !
(Manipulation, motricité, transformation…)
D’autres manières d’utiliser les pinceaux (papier toilette découpé, coton tige, bouchons en liège, bouteille…)
Un coin douillet pour se laisser emporter et une autre manière de raconter les histoires : les ombres chinoises.
15 Une table lumineuse pour regarder les couleurs en transparence mais aussi faire des traces de
doigts en y mettant du sable dessus. Activité calme qui a beaucoup plu aux enfants.
(Matériel : boite de rangement transparente, une lumière pour mettre en dessous)
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Etre parents à l’ère du numérique (parents d’enfants de 2 à 6 ans)
L’agence régionale de santé a organisé une réunion afin d’aborder le sujet de l’ère numérique, les conséquences que cela a sur les enfants et l’accompagnement que l’on peut faire. La réunion est menée par Déborah Meffre de l'association Horizon Multimédia.
Au fur et à mesure du temps, les enfants passent de plus en plus de temps sur les écrans, que ce soit la télévision ou les jeux vidéo.
Entre 1 et 6 ans, les enfants passaient en 2017 4h37 par semaine sur les écrans, contre 6h10 en 2018.
Entre 7 et 12 ans, les enfants passaient en 2017 6h10 par semaine sur les écrans, contre 6h40 en 2018.
Entre 13 et 19 ans, les adolescents passaient en 2017 15h11 par semaine sur les écrans, contre 17h30 en 2018. Ce sont les heures déclarées, mais la réalité se rapproche plus des 35h.
Notre société est de plus en plus dirigée par les technologies et le numérique, ainsi il n’est pas nécessaire d’interdire les écrans aux enfants, mais plutôt d’encadrer leur utilisation qui peut parfois être importante.
Le docteur Ducanda développe que l’utilisation excessif des écrans (4 à 5 heures par jour) chez le tout petit peut entrainer des troubles autistiques. En effet, on peut observer quelques retard de langage ou encore retard cognitif qui peuvent être liés à une utilisation importante des écrans.
Serge Tisseron (psychiatre et psychanalyste), a également fait des expériences sur la représentation de soi par les enfants à l’âge de 3 ans, et voici ce qui en est ressorti :
Chez le jeune enfant, les impacts des écrans peuvent entraîner des problèmes de:
Sommeil : La lumière bleue des écrans fait croire à notre cerveau qu'on est en plein jour. Il ne faudrait plus d'écran au moins 1h avant de se coucher, c'est valable aussi
17 pour les adultes.
Déborah explique qu'au matin les écrans posent des problèmes de concentration. Les enfants ont besoins de comprendre ce qu’ils viennent de voir et donc ont besoin d’en parler avec l’adulte présent. Certains dessins animés peuvent être très violents. Dans les Disney par exemple il y a très souvent un personnage qui meurt.
Surpoids : Lorsqu’on est devant un écran, on a tendance à manger 50% de plus que la normale et nous ne faisons pas d’activité, ce qui peut, par une utilisation répétée et importante, entrainer des problèmes de surpoids.
Agressivité : Soit parce que l'enfant n'a pas le temps de communiquer, soit parce que le programme TV ou les jeux vidéo sont violents ou inappropriés.
Sociabilisation : Les enfants créent des liens à travers les jeux vidéo, derrière un écran, mais ont des difficultés a en créée dans la vie réelle.
Quand on interdit à un enfant de jouer à un jeu, il faut lui expliquer pourquoi on ne veut pas qu'il y joue.
Langage : Un enfant se construit grâce à l’observation et l’interaction avec son environnement. Ainsi, les écrans peuvent être un frein au développement du langage.
Des études ont démontré que les écrans du moins le son, parasiterait même la compréhension du langage, lorsque l’adulte est en train de parler.
Fatigue oculaire : Le cristallin de l’enfant n'est pas encore mature, ainsi regarder un écran fatigue beaucoup plus l’œil. D’autant plus que l'œil de l'être humain est fait pour regarder de loin, et non de près.
Pour savoir à quelle distance placer sa télé, il faut compter 1 fois et demie la diagonale de l'écran.
Après ses expériences et les résultats des écrans sur le développement de l’enfant, le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron ne préconise pas de télé avant 3 ans, pas de console avant 6 ans, internet après 9 ans, et les réseaux sociaux après 12 ans (la loi indique que les réseaux sociaux sont autorisés à partir de 13 ans).
Cela laisse le temps à l’enfant de développer toutes ces capacités langagières, cognitives et sociales avant d’entrer dans cette ère numérique.
L’intervenante de la réunion préconise de laisser les enfants regarder la télévision sur des sessions de 20 minutes, tout en « débriefant » après avec son enfant sur ce qu’il vient de voir.
Elle ne recommande pas de laisser la télé allumée même si personne ne la regarde, car l’enfant écoute quand même, ainsi il peut entendre des dialogues qui sont parfois violents (exemple : journal télévisé, guerre, accident…)
18 Conseils de prévention:
Placer, à la maison, l'ordinateur et la tablette dans la pièce commune. Ces activités se pratiquent en famille. Cela permet d’éviter que vos enfants utilisent des sites qui ne correspondent pas à leur âge.
Donner des règles claires sur le temps autorisé. Un minuteur peut être utilisé, ou les aiguilles de l'horloge. Déborah fonctionne avec un système de gommettes : 1
gommette= 20 min, elle en donne 5 par semaine à son fils qui peut les utiliser comme il veut. Cela permet à l’enfant de gérer son temps.
Attention car avec des jeux comme Fortnite il est impossible de mettre sur pause et les parties durent entre 1h30 et 2h.
Avec le système PEGI, il y a des pictogrammes derrière les jeux qui permettent de savoir de quel type de jeu il s'agit, et à quelle tranche d’âge cela correspond. A savoir qu'un jeu à partir de 7 ans signifie qu'il y a une possibilité de discuter en ligne.
Le collectif PédaGOJeux a un site qui permet de rentrer le nom d'un jeu pour avoir des informations sut celui-ci.
Il est recommandé d’installer un logiciel de contrôle parental sur tous les appareils.
Il est possible d’utiliser l'application YouTube Kids. On peut y entrer l'âge de l'enfant et le temps que l'on veut que dure le programme. On peut aussi mettre un code à l'appli. Elle bloque 99% des vidéos violentes ou autre.
Utiliser un moteur de recherches spécifique, tel que Qwant junior, babygo ou duckduckgo.
Si vous êtes davantage intéressés par ce sujet, vous avez la possibilité de regarder les vidéos d’Horizon Multimédia sur YouTube.
A bientôt pour de nouvelles aventures
L’équipe Lei Nistoun
