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Détang Engineering Cahier Spécial des Charges Centre Culturel d Anderlecht SANITAIRES & EGOUTTAGE SANITAIRES. Table des matières SANITAIRES...

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03 juin 2015 Cahier Spécial des Charges Sanitaire 1/59

SANITAIRES

Table des matières

SANITAIRES ... 1

CHAPITRE 1 – DESCRIPTIF DE PERFORMANCES ... 7

0. Description générale des travaux ... 8

1. Alimentation en eau de distribution ... 8

2. Robinetterie de sectionnement... 8

4. Traitement et préparation d'eau ... 8

4.1. Préparation d'ECS ... 8

5. Tuyauteries d'adduction ... 9

6. Réseau incendie ... 9

7. Accessoires à placer en amont des puisages ou des branchements ... 9

7.1. Protection de la potabilité ... 9

8. Appareils sanitaires et puisages... 9

Hauteur de pose des équipements ... 9

9. Tuyauteries d'évacuation... 10

10. Ventilation des évacuations ... 10

11. Appareils et accessoires d'évacuation ... 10

13. Réseaux enterrés ... 10

14. Calorifuge ... 11

15. Travaux divers ... 11

CHAPITRE 2 - PRESCRIPTIONS TECHNIQUES GÉNÉRALES ... 12

ARTICLE 1 - Alimentation en eau de distribution ... 13

1.1. Raccordement à la distribution ... 13

1.4. Compteur général régie (PM) ... 13

1.5. Panoplie de sécurité d'entrée ... 13

ARTICLE 2 - Robinetterie de sectionnement ... 14

2.0. Généralités ... 14

2.1. Vannes taraudées à boule ... 14

2.1.1. Vannes à boule ... 14

2.5. Motorisation de vannes ... 15

2.5.1. Vannes à 2 voies tout ou rien pour l'isolement des réseaux incendies ... 15

2.6. Vanne thermostatique de pré-mélange ... 15

2.7. Collecteur de distribution d'eau sanitaire ... 16

2.8. Vannes de réglage sanitaire ... 16

(2)

ARTICLE 4 - Traitement et préparation de l'eau ... 17

4.1. Préparation d'eau chaude ... 17

4.1.1. Boilers électriques sous pression ... 17

4.5. Filtrations spéciales de l'eau ... 18

4.5.1. Filtres à tamis ... 18

ARTICLE 5 - Tuyauteries d'adduction d'eau ... 19

5.0. Généralités ... 19

5.0.1. Mode de pose ... 19

5.0.2. Fourreaux ... 19

5.0.3. Implantation ... 19

5.0.4. Alignement ... 19

5.0.5. Protection des tuyauteries encastrées ... 19

5.0.6. Dilatations ... 20

5.0.7. Pose du calorifuge ... 20

5.0.8. Raccordement de matériaux différents ... 20

5.0.9. Etanchéité ... 20

5.0.10. Diamètres ... 20

5.0.11. Dispositifs de fixation des tuyauteries non encastrées ... 20

5.0.12. Mesurage ... 22

5.3. Tuyauteries PE renforcées à l’aluminium (eau chaude) ... 22

5.3.0 Description et caracteristiques du systeme ... 22

5.3.1 Matériaux ... 22

5.3.2 Placement ... 23

5.3.3 Agrément ... 23

5.4. Tuyauteries en cuivre chromé ... 23

ARTICLE 6 - Réseaux incendie ... 24

6.0. Généralités ... 24

6.1. Tuyauteries spécifiques aux réseaux incendie, en acier galvanisé PN10 ... 24

6.2. Accessoires de distribution incendie ... 24

6.2.1. Manomètres 0 à 10 bars ... 24

6.2.2. Amortisseurs de coups de bélier... 25

6.2.3. Vannes 3 voies de prise de pression ... 25

6.2.4. Vannes de barrage ... 25

6.2.5. Protection de la potabilité – Clapet agrére par la compagnie de distribution ... 25

6.3. Postes incendie ... 25

6.3.1. Dévidoirs seuls ... 25

6.3.3. Armoires pro dito ... 26

6.5. Extincteurs à poudre ... 26

6.5.1. Extincteur type P6 ... 26

(3)

03 juin 2015 Cahier Spécial des Charges Sanitaire 3/59

ARTICLE 8 - Appareils sanitaires et puisages ... 28

8.0. Généralités ... 28

8.0.1 Appareils sanitaires ... 28

8.0.2. Puisages ... 28

8.0.3. Clapets de protection ... 28

8.1. Robinetterie de puisage ... 28

8.1.4. Robinets d'arrêt ... 28

8.1.5. Robinet pour lave mains et lavabos – eau froide seule ... 29

8.1.6. Robinets mitigeurs pour lavabos... 29

8.1.10. Mitigeurs d'évier (de cuisine) ... 29

8.1.12. Mitigeurs thermostatiques de douche ... 30

8.1.19. Rinçage automatique d'urinoir par détecteur IR ... 30

8.2. Eviers et lavabos ... 31

8.2.2. Lavabos individuels et suspendus ... 31

8.2.3. Lavabos individuels pour PMR ... 31

8.2.6. Eviers de cuisine ... 32

8.2.7. Accessoires pour éviers et lavabos ... 33

8.4. Urinoirs ... 34

8.4.1. Stalle ... 34

8.4.2. Ecrans de séparation ... 35

8.5. W.C. ... 35

8.5.2. W.C. suspendu à chasse dorsale apparente ... 35

8.5.4. W.C. pour PMR ... 36

8.5.6. Accessoires pour cabines de W.C. ... 36

8.6. Bains et douches ... 38

8.6.2. Douches individuelles pour collectivités ... 38

8.6.5. Ecrans de protection de bains et/ou douche ... 39

8.6.6. Accessoires pour bains et douches ... 39

ARTICLE 9 - Tuyauterie d'évacuation ... 40

9.0. Généralités ... 40

9.0.1. Mode de pose ... 40

9.0.2. Fourreaux ... 40

9.0.3. Implantation ... 40

9.0.4. Alignement ... 40

9.0.5. Dilatations ... 40

9.0.6. Regards de visite ... 40

9.0.7. Raccordement de matériaux différents ... 41

9.0.8. Diamètres ... 41

9.0.9. Dispositifs de fixation des tuyauteries non encastrées ... 41

9.0.10. Traversée de parois RF ... 42

9.0.11. Mesurage ... 42

9.1. Tuyauteries en PE80 ... 42

9.1.1. Tuyauteries en PE-s2 à préisolation acoustique ... 43

ARTICLE 10 Tuyauteries de ventilation des évacuations ... 45

10.0 Généralités ... 45

10.1. Tuyauteries en PE80 ... 45

10.3. Passages de toitures ... 45

10.4. Soupapes de ventilation ... 45

10.4.1. Soupapes de ventilation en PE (reniflard) ... 46

(4)

ARTICLE 11 Appareils et accessoires d'évacuation ... 47

11.0. Généralités ... 47

11.1. Coupe odeurs ... 47

11.1.1. Evacuation des condensats ... 47

11.2. Recueillement d'eaux pluviales ... 47

11.2.1. Avaloirs de toitures ... 47

11.3. Drainage ... 47

11.3.1. Drains en PVC ... 47

ARTICLE 13 - Réseau enterré ... 49

13.0. Généralités ... 49

13.0.1. Déblais ... 49

13.0.2. Sable stabilisé ... 49

13.1. Tuyauteries ... 49

13.1.0. Généralités ... 49

13.1.1. Déblais/remblais pour tuyauteries... 50

13.1.2. Tuyauteries en PVC ... 50

13.2. Chambres de visite ... 50

13.2.0. Généralités ... 50

13.2.1. Chambres de visite en PE ... 52

13.2.2. Chambres de visite en béton ... 52

13.3. Disconnexion ... 52

13.3.2. Siphons disconnecteurs ... 52

ARTICLE 14 - Calorifuge ... 53

14.0. Généralités ... 53

14.1. Tuyauteries chaudes ... 53

14.1.1. Coquilles de laine minérale ... 54

14.2. Tuyauteries froides - calorifuge anticondensation ... 55

14.3. Tuyauterie d’eau pluviale – calorifuge anticondensation. ... 55

14.4. Tuyauteries d’évacuation ventilée - calorifuge anticondensation ... 55

14.5. Tracing électrique antigel ... 56

ARTICLE 15 - Travaux divers ... 57

15.1. Peintures ... 57

15.1.0. Généralités ... 57

15.1.1. Peinture des tuyauteries et accessoires en acier ... 57

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03 juin 2015 Cahier Spécial des Charges Sanitaire 5/59

ARTICLE 16 - Divers ... 59

16.1. Contrôles, essais et mises en route ... 59

16.2. Plans AS BUILT... 59

16.3. Documentations... 59

16.4. Réceptions par organisme agrées ... 59

16.5. Ecolage ... 59

16.6. Contrat d'entretien pendant la période de garantie ... 59

16.8. Vérification et remise en état des chambres de visite existantes (3) et de la chambre de disconnexion ... 59

(6)

NOTE PRELIMINAIRE

Structure du cahier spécial des charges

Le présent cahier des charges comporte les éléments suivants Clauses techniques générales

Ce chapitre contient des clauses techniques générales, pour l’ensemble des techniques spéciales. Les articles y sont classés dans l'ordre chronologique des interventions ( offre - passation du marché - préparation des travaux - exécution des travaux - etc. ).

Dans l'hypothèse d'un marché en entreprise générale, il est de la responsabilité de l’entreprise générale de transmettre les clauses générales aux sous-traitants aussi bien que les descriptions techniques.

Chapitre 1 Descriptif de performances

Description des fonctionnalités attendues des travaux à exécuter.

Ce chapitre contient aussi, lorsqu'elles n'ont pas leur place dans le métré, les caractéristiques dimensionnelles du matériel et des équipements à mettre en œuvre dans le cadre particulier du présent contexte.

Chapitre 2 Prescriptions techniques générales

Ce chapitre comporte les prescriptions générales relatives à la composition des équipements, à leurs caractéristiques, à leurs modes de fabrication et de mise en œuvre.

Métré récapitulatif

Tableau synoptique des postes à fournir.

La numérotation des articles du métré est la même que celle du chapitre 2.

La numérotation des articles techniques étant discontinue, le lecteur pourra se référer au numéro de ligne pour s'assurer que le document qu'il possède est complet.

Toute référence à un paragraphe du chapitre 2 inclut implicitement tous ses sous-paragraphes, sauf mention explicite du contraire.

Il est rappelé à l’entreprise que celle-ci est tenue d’effectuer son propre métré des postes à quantités forfaitaires. Les quantités forfaitaires reprises au métré récapitulatif sont données à titre indicatif et n’engagent ni le maître de l’ouvrage ni les auteurs de projet. En l'absence de remarque à ce sujet, les quantités d'études seront considérées comme exactes

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03 juin 2015 Cahier Spécial des Charges Sanitaire 7/59

CHAPITRE 1 – DESCRIPTIF DE PERFORMANCES

(8)

0. DESCRIPTION GÉNÉRALE DES TRAVAUX

Les travaux décrits dans le présent Cahier Spécial des Charges ont pour objet l'installation des équipements sanitaire du Centre Culturel d’Anderlecht situé au 18, rue De Swaef à 1070 Bruxelles.

Le présent lot comprend donc l’ensemble du réseau d’adduction d’eau, les appareils sanitaires, ainsi que le réseau d’évacuation des eaux usées et eaux pluviales.

Il comprend également l’alimentation des dévidoirs incendie.

Les descentes d’eaux pluviales sont comprises dans le lot architecture.

1. ALIMENTATION EN EAU DE DISTRIBUTION

Le raccordement à la distribution jusque et y compris les panoplies de comptage sera installé par le distributeur.

Le bâtiment sera raccordé à la distribution publique à partir du compteur régie dans le local compteur situé au niveau +2.

L’adjudicataire prévoira dans son offre la réalisation de la tranchée et la pose d’un fourreau pro dito en quantités présumées.

Ce raccordement est destiné à l'alimentation des réseaux d'eau potable pour l’ensemble du projet (y compris la chaufferie).

2. ROBINETTERIE DE SECTIONNEMENT

La robinetterie de sectionnement est réalisée au moyen de vannes à boule à passage intégral jusqu'au diamètre DN25 inclus, de vannes à boule à passage standard de DN32 à DN50 inclus.

Une vanne thermostatique de pré-mélange sera installée à l’entrée de chaque logement, juste après le compteur, pour ramener la température de l’eau à 45 °C

4. TRAITEMENT ET PRÉPARATION D'EAU

4.1. PRÉPARATION D'ECS

Le préparateur d'ECS est fourni par le lot HVAC. Tous les raccordements côté eau de distribution sont à charge du présent lot, y compris les vannes d'arrêt.

(9)

03 juin 2015 Cahier Spécial des Charges Sanitaire 9/59

5. TUYAUTERIES D'ADDUCTION

Les autres réseaux de distribution d'eau chaude et froide sont à exécuter en PE HD semi rigide.

Les raccordements terminaux visibles (chasses de WC p.ex.) doivent être exécutés en cuivre chromé ou au moyen de flexibles armés d'une tresse en inox. La longueur de ce flexible doit être adaptée aux dispositions locales : le flexible doit présenter la plus petite longueur compatible avec le lieu d'implantation, mais ne peut être ni tendu, ni croqué.

6. RÉSEAU INCENDIE

Le réseau incendie est exclusivement réalisé en acier galvanisé.

Les parties visibles de ce réseau seront peintes en rouge.

Les dévidoirs seront équipés de flexible de 30 m, selon les indications au plan

7. ACCESSOIRES À PLACER EN AMONT DES PUISAGES OU DES BRANCHEMENTS

Un régulateur de pression sera installé sur l’arrivée d’eau froide depuis le compteur afin d'équilibrer les pressions disponibles sur les raccordements chauds et froids des robinets de puisage.

La protection générale de la potabilité de l’eau doit être garantie conforme aux prescriptions de la compagnie de distribution.

7.1. PROTECTION DE LA POTABILITÉ

Le réseau de distribution comporte tous les dispositifs de protection générale de la potabilité de l'eau.

Il comporte également les dispositifs particuliers aux applications et appareils consommateurs d'eau installés dans le cadre du présent lot.

NB : La protection de la potabilité liée aux installations prévues dans d'autres marchés (HVAC p.ex.) sont une charge pour les entreprises concernées et ne font donc explicitement pas partie du présent lot.

8. APPAREILS SANITAIRES ET PUISAGES

Les appareils sanitaires et de puisages seront conformes aux descriptions détaillées données au chapitre 2.

HAUTEUR DE POSE DES ÉQUIPEMENTS

Lavabo / lave-mains : haut de la vasque entre 85 et 90 cm du sol

WC : haut à 43 cm du sol (siège compris)

Bidet : haut à 40 cm du sol

Urinoir : à 65 cm du sol

Distributeur de savon : bas à 18 cm du haut de la vasque Distributeur de serviettes en papier : bas à 130 cm du sol

Poubelle (pour serviettes en papier) : bas à 15 cm du sol Sèche-mains électrique : bas à 130 cm du sol

Patère : à 170 cm du sol

Barre d’appui : axe horizontal à 85 cm du sol

(10)

Cas particulier des équipements destinés aux PMR :

Lavabo / lave-mains : haut de la vasque entre 80 et 85 cm du sol Accessibilité sous lavabo: 30 cm de profondeur à 67 cm de hauteur

WC : haut à 48 cm du sol (siège compris)

Distributeur de savon : bas à 100 cm du sol (si fixé au mur) Distributeur de serviettes en papier : bas à 100 cm du sol

Poubelle (pour serviettes en papier) : haut à 80 cm du sol Sèche-mains électrique : bas à 100 cm du sol

Patère : à 100 cm du sol

Barre d’appui : axe horizontal à 85 cm du sol

Distributeur de papier toilette bas à 90 cm du sol Poubelle pour hygiène féminine : haut à 40 cm du sol Pot et brosse de toilette ; haut à 50 cm du sol

9. TUYAUTERIES D'ÉVACUATION

Les tuyauteries d'évacuation (eaux usées / eaux fécales / eaux de pluies) du réseau suspendu seront réalisées en PE HD 80 (minimum).

Aux endroits marqués aux plans, des précautions devront être prises au point de vue acoustique.

Les parties concernées du réseau seront réalisées en PEHD équipé d'une protection acoustique (feuille de plomb et mousse absorbante).

Les descentes d'eau pluviale intérieures seront exécutées en PEHD comme le reste du réseau suspendu.

Les descentes d’eau pluviales extérieures ne font pas partie de la présente entreprise, elles font partie du lot architecture.

Les avaloirs font partie de la présente entreprise.

Pentes minimums à respecter :

Eaux usées et eaux de pluie : 1.5 %

Eaux fécales : 2.0 %

10. VENTILATION DES ÉVACUATIONS

Même prescriptions que pour les évacuations (article 9)

11. APPAREILS ET ACCESSOIRES D'ÉVACUATION

(11)

03 juin 2015 Cahier Spécial des Charges Sanitaire 11/59 Pentes minimums à respecter :

Eaux usées et eaux de pluie : 1.5 %

Eaux fécales : 2.0 %

Les chambres de visite d'une profondeur jusqu'à +/- 1 m seront exécutées en PE HD

Celles d'une profondeur supérieure seront exécutées en maçonnerie ou en éléments préfabriqués de béton.

Tout le réseau enterré est à charge de la présente entreprise et doit être coordonné avec le gros œuvre pour les déblais / remblais.

14. CALORIFUGE

Toutes les tuyauteries d'eau chaude et leurs bouclages doivent être calorifugées, y compris les accessoires implantés dans les locaux non chauffés, les trémies et les faux plafonds.

Les épaisseurs à mettre en œuvre doivent être conformes aux exigences PEB d’application à la date d’attestation de dépôt complet de demande de permis d’urbanisme.

Pour la région de Bruxelles-Capitale, les prescriptions de l’IBGE (et particulièrement les exigences en termes de PEB et de l'arrêté du Gouvernement de la Région de Bruxelles- Capitale du 3 juin 2010 relatif aux exigences PEB applicables aux systèmes de chauffage pour le bâtiment lors de leurs installations et pendant leurs exploitations.) sont d’application.

Les tuyauteries d'eau froide doivent être protégées par un calorifuge anticondensation, sauf pour les parties de réseau exclusivement destinées à alimenter les protections contre l'incendie.

Les descentes d'eau pluviale intérieures (réseau suspendu) seront équipées d'un calorifuge anticondensation.

15. TRAVAUX DIVERS

Les tuyauteries et accessoires en acier galvanisé non isolés seront peints.

Le repérage sera réalisé en conformité avec la NBN 69 pour les tuyauteries et ce afin de permettre une identification rapide du double réseau eau de pluie / eau potable.

Tous les percements, resserrage et ragréages nécessaires pour le passage des techniques décrites dans le présent cahier des charges doivent être prévus, et compris dans le prix des postes concernés. Tout percement dans les structures du bâtiment doit être réalisé après approbation par l’ingénieur stabilité.

(12)

CHAPITRE 2 - PRESCRIPTIONS TECHNIQUES

GÉNÉRALES

(13)

ARTICLE 1 - ALIMENTATION EN EAU DE DISTRIBUTION

1.1. RACCORDEMENT A LA DISTRIBUTION

1.4. COMPTEUR GÉNÉRAL RÉGIE (PM)

1.5. PANOPLIE DE SÉCURITÉ D'ENTRÉE

La liaison entre le raccordement à la distribution et l'installation intérieure doit être exécutée conformément aux prescriptions de la compagnie de distribution d'eau locale.

Ce poste comprend la panoplie complète avec vannes et protections, depuis la fourniture de la compagnie distributrice (panoplie de comptage) jusqu'à la colonne de départ de l'installation.

(14)

ARTICLE 2 - ROBINETTERIE DE SECTIONNEMENT

2.0. GÉNÉRALITÉS

Les vannes et robinets de sectionnement doivent être conformes aux prescriptions du C.C.T. 105 art. C7, complétées et modifiées comme suit.

Tous les robinets de sectionnement doivent être garantis 10 ans et être fournis avec un certificat d'essai de 5.000 cycles délivré par un organisme agréé belge.

Tous les robinets et vannes doivent être facilement accessibles.

L'Entrepreneur est tenu au besoin d'adapter son montage, pour qu'il en soit bien ainsi.

Tous les robinets et vannes principales (c'est-à-dire pieds de colonne, locaux techniques, etc.) doivent être munis d'une plaquette indicatrice en matière plastique inaltérable gravée avec texte noir sur fond clair avec indication de sa fonction ou de son numéro de repérage (repérage circuits, etc...). Ces renseignements doivent figurer sur les plans "as built".

Les robinets et vannes doivent, dans la mesure du possible, être de la même marque.

Le prix des robinets et des accessoires doit comprendre la fourniture, la pose, le raccordement et les réglages éventuels.

N.B. Vannes de barrage

Toutes les vannes de barrage du réseau incendie (hydrants / dévidoirs ou sprinklers) doivent être cadenassées en position ouverte (accessoire à inclure dans le prix des vannes).

2.1. VANNES TARAUDÉES À BOULE

2.1.1. VANNES À BOULE

Pour les diamètres jusqu'à DN 25 inclus, il doit être fait usage de robinets à tournant sphérique à passage intégral, à manœuvre au quart de tour, à étanchéité de l'obturateur réalisée par deux bagues en polytétrafluoréthylène (PTFE).

Pour les diamètres DN32 à DN 50, il sera fait usage de robinets à passage standard.

L'étanchéité de la tige de manœuvre doit être réalisée par des bagues en PTFE maintenues sous pression constante par des rondelles du type Belleville.

Caractéristiques

(15)

- corps en deux pièces minimum, en bronze ou en laiton - tournant sphérique en masse pleine en laiton chromé

- tige de manœuvre en acier inoxydable, non éjectable, avec embout rectangulaire - levier en acier cadmié avec revêtement en matériaux de synthèse

- assemblage par manchons taraudés - PN 10 minimum

2.5. MOTORISATION DE VANNES

2.5.1. VANNES À 2 VOIES TOUT OU RIEN POUR L'ISOLEMENT DES RÉSEAUX INCENDIES

Dans le cas de réseaux mixtes incendie/eau de consommation, des vannes à 2 voies sollicitées à la fermeture par ressort doivent être interposées en amont de toute partie du réseau de distribution qui serait réalisée en matériaux de synthèse, de manière à ce que la partie active en situation d'incendie ne soit composée que de tuyaux métalliques.

Les vannes sont alimentées en 230V et maintenues en position ouverte en présence de tension (sécurité positive). Un contact sans potentiel sera mis à disposition par le lot électricité (à partir de la détection incendie) pour le pilotage de ces vannes.

Elles doivent être du type ¼ de tour (boule ou papillon).

Elles doivent être à fermeture lente ( min 40 sec) afin de se prémunir contre les coups de bélier.

Le diamètre indiqué aux plans est le diamètre de la tuyauterie. Celui de la vanne ne peut lui être inférieur.

Les boîtiers sont pourvus d'un indicateur de la position d'ouverture de la vanne et d'un système permettant le positionnement manuel de la vanne.

Lorsqu'elles sont taraudées, elles sont montées avec raccord 3 pièces.

2.6. VANNE THERMOSTATIQUE DE PRÉ-MÉLANGE

En amont de chaque collecteur d’eau chaude, une vanne thermostatique de pré-mélange sera installée pour ramener la température de l’eau de à 45 °C aux points de puisage et se prémunir de tout risque de brûlure.

L’élément thermostatique est constitué d’une capsule contenant un mélange de paraffine et de cuivre micro-lamellé. La capsule commande un clapet qui règle l’ouverture et la fermeture d’eau froide et chaude. Les variations de pression et de température n’ont pas d’influence sur la température de sortie. Le réglage de la température est marqué par des graduations.

Les clapets anti-retour agréés par Belgaqua doivent être compris. Les vannes doivent également être fournies avec un filtre.

La vanne doit être équipée d’un dispositif de fermeture automatique en cas de coupure de l’eau froide ou de l’eau chaude.

Débit de 19 à 23 l/min.

Température réglable de 30 à 60 °c et verrouillable par l’installateur.

Sécurité anti-brulure

Précision de 1.5°c entre 35 et 45°c

Possibilité de réaliser un choc thermique (légionellose) Finition corps et volant poli chromé

(16)

2.7. COLLECTEUR DE DISTRIBUTION D'EAU SANITAIRE

Les circuits locaux de distribution d'eau sanitaire chaude ou froide doivent être reliés à des collecteurs locaux eux-mêmes reliés aux colonnes d'alimentation générales.

Le raccordement des collecteurs aux colonnes d'alimentation se fait au moyen d'une vanne de sectionnement. Le prix des collecteurs doit comprendre la vanne de sectionnement et toute sujétion.

Ces collecteurs doivent être réalisés en bronze, en laiton ou en un autre métal incorrodable et doivent comprendre autant de départs qu'il y a de circuits locaux.

Le raccordement en "guirlande" de plusieurs appareils sur un même circuit local est autorisé dans le respect de ce qui est décrit aux plans ou à défaut pour autant que le débit instantané de chaque circuit ne conduise pas à une vitesse supérieure à 1 m/s lorsque tous les appareils raccordés fonctionnent simultanément.

Lorsqu'il n'y a que deux circuits, ces collecteurs pourront être remplacés par des tés également en métal incorrodable.

2.8. VANNES DE RÉGLAGE SANITAIRE

Ces vannes doivent être d'un type spécial, conçues pour assurer la fonction de vanne de réglage et celle de vanne d'arrêt, sans que la position de réglage soit perdue lorsqu'il est utilisé comme vanne d'arrêt. Elles doivent être munies d'une échelle graduée et fournies avec un abaque donnant la perte de charge en fonction du degré d'ouverture et du débit.

Elles doivent être équipées de prises pour manomètre différentiel faisant partie intégrante de la vanne.

Lorsqu'elles sont taraudées, elles doivent être montées avec un raccord 3 pièces.

Les parties mobiles, en contact avec les fluides, sont construites en un alliage résistant à la corrosion ;

La position de réglage du clapet peut être calée par un verrouillage interne ;

Le profil spécial du clapet garantit un réglage précis et une relation directe entre la position de réglage et le débit ;

Pour les diamètres > à 50 mm, les vannes possèdent un corps en fonte et des brides PN16 ;

N.B.

Les vannes doivent être réglées par le fournisseur sur base des données mises à sa disposition par le soumissionnaire.

Après avoir effectué cette opération, le fournisseur délivre un certificat de réglage.

(17)

ARTICLE 4 - TRAITEMENT ET PRÉPARATION DE L'EAU

4.1. PRÉPARATION D'EAU CHAUDE

La préparation de l’eau chaude sanitaire et son stockage font partie du lot HVAC.

4.1.1. BOILERS ÉLECTRIQUES SOUS PRESSION

Ils doivent être du type sous pression, conformes à la norme NBN 345 pour la conception et aux normes NBN C 73-200 et C 73-220 pour la partie électrique, complétées ou modifiées comme suit.

Constitution

La cuve doit être en acier inoxydable (AISI 316 ou 320) ou en acier protégé suivant un procédé à faire approuver par l'Ingénieur Conseil.

L'isolation thermique doit être en mousse de polyuréthane ou en un autre matériau à faire agréer. L'épaisseur doit être suffisante pour garantir une résistance thermique de 3 m².°K/W.

En aucun cas elle ne pourra être inférieure à 3 cm. Le cas échéant, une isolation complémentaire doit être placée.

Caractéristiques

- pression de service : 6 bars - pression d'épreuve : PN 10 Accessoires

- un groupe de sécurité complet comprenant une soupape de sécurité, un robinet d'arrêt, un robinet de vidange, un clapet anti-retour agrée par la compagnie de distribution et un robinet de contrôle du clapet

- un robinet d'isolement sur le départ eau chaude - un robinet de by-pass.

Raccordements

La mise à l'égout de la soupape de sécurité, les raccordements aux canalisations d'eau chaude et d'eau froide et à l'attente électrique font partie de l'entreprise.

Partie électrique

Les appareils doivent être protégés contre les surchauffes par un aquastat de sécurité ou par un aquastat double (commande et sécurité) limitant la température à 60°C.

La température de l'eau chaude sanitaire doit être réglable de 30 à 60°C.

Les organes de réglage et de raccordement doivent se trouver dans un boîtier protégé par une coiffe en matière isolante.

Puissance - minimum 1000 W, maximum 2500 W

Raccordement triphasé possible en 230 V ou 400 V (selon alimentation locale) pour les puissances au-delà de 2 kW

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4.5. FILTRATIONS SPÉCIALES DE L'EAU

4.5.1. FILTRES À TAMIS

Il doit être prévu à chaque emplacement indiqué sur les plans ou au C.S.C., un filtre à tamis à mailles fines en inox et corps en bronze ou en fonte suivant le diamètre.

Perte de charge maximale (filtre propre) : 50hPa Perte de charge maximale (filtre sale) : 80hPa

De DN 15 à DN50 inclus: perforations 0.3 mm

Au delà de DN50: perforations 0.6 mm

(19)

ARTICLE 5 - TUYAUTERIES D'ADDUCTION D'EAU

5.0. GÉNÉRALITÉS

5.0.1. MODE DE POSE

En dehors des gaines et des faux plafonds, toutes les tuyauteries doivent être encastrées partout sauf sous les tablettes des lavabos, dans les armoires des éviers de cuisine et aux endroits indiqués aux plans.

5.0.2. FOURREAUX

Les tuyauteries non encastrées doivent être placées dans des fourreaux en P.V.C. à la traversée des murs et dans des fourreaux en acier à la traversée des planchers ou paroi RF.

Les extrémités des fourreaux verticaux doivent dépasser de 2 cm le niveau supérieur des éléments qu'ils traversent. Le diamètre intérieur des fourreaux doit être supérieur d'un cm au moins au diamètre extérieur des tuyaux qui y passent.

Le remplissage de l'espace entre le fourreau et le tuyau doit être réalisé au moyen d'un matériau donnant un aspect impeccable et assurant la même résistance au feu que celle du mur ou du plancher traversé.

5.0.3. IMPLANTATION

L'implantation donnée sur les plans est schématique et doit être mise au point sur chantier en accord avec l'Ingénieur Conseil.

Les tuyauteries et appareils doivent être placés de manière logique et esthétique donnant un accès aisé aux appareils.

Sauf indication contraire, les tuyauteries seront placées le plus près possible du plafond, même si des poutres doivent être percées.

5.0.4. ALIGNEMENT

Les tuyauteries placées en colonnes montantes doivent être rigoureusement parallèles et verticales.

Les autres tuyauteries doivent être horizontales et rigoureusement parallèles entre elles et au mur qu'elles longent.

Toute tuyauterie ne respectant pas ces prescriptions doit être démontée.

5.0.5. PROTECTION DES TUYAUTERIES ENCASTRÉES

Les tuyauteries placées en chape et les tuyauteries encastrées doivent être protégées contre la corrosion par des bandes bitumeuses spécialement conçues à cette fin et résistant à des températures de 80°C. Ces bandes doivent être agrées par l'UBATc.

Ces bandes doivent être posées en hélice sur des tuyaux préalablement chauffés au chalumeau, avec chevauchement d'une demi bande (1,5 cm minimum) chaque fois.

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Deux bandes doivent être posées avec un sens d'enroulement différent. Une fois protégées et posées les tuyauteries doivent être protégées par un cimentage qui les enrobe complètement.

Les tuyauteries placées en chapes doivent être fixées aux hourdis ou à la dalle en béton, tous les deux mètres au moins.

5.0.6. DILATATIONS

Toutes les tuyauteries doivent être placées de manière à permettre leur libre dilatation.

Au droit des joints de dilatation et de tassement des bâtiments, tous les dispositifs de reprise des mouvements de dilatation et de tassement différentiels du bâtiment doivent être prévus et doivent être compris dans le prix des tuyauteries.

5.0.7. POSE DU CALORIFUGE

L'entraxe entre les tuyauteries doit tenir compte du type de calorifuge retenu, de manière à pouvoir calorifuger les tuyaux séparément, et du système de fixation.

5.0.8. RACCORDEMENT DE MATÉRIAUX DIFFÉRENTS

Le raccordement entre deux canalisations réalisées avec des matériaux différents doit être réalisé avec des pièces spéciales vendues dans le commerce.

5.0.9. ETANCHÉITÉ

Les tuyauteries sont essayées, après montage, en présence d'un représentant de l'Ingénieur Conseil.

L’essai se fait sous une pression de 1,5 PN. La pression d’essai ne peut en principe pas être supérieure de plus de 5 bars à la pression nominale, soit :

- 15 bars si PN = 10 - 21 bars si PN = 16.

La procédure d’essai consiste à

- commencer par purger soigneusement l’air de la conduite - remplir la conduite et à la mettre sous la pression désirée - ajuster la pression après 10 à 20 minutes

- mesurer la pression au bout des 30 premières minutes

- mesurer la pression au bout d’une deuxième période de 30 minutes. Si la pression a baissé de moins de 0,6 bar, en déduire que le système ne présente pas de fuite apparente et poursuivre l’essai sans pomper davantage. Si, au cours des deux heures suivantes, la pression baisse de plus de 0,2 bar, l’interpréter comme un signe de fuite dans le système, qu’il faudra rendre étanche.

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La fixation de toutes les tuyauteries d'adduction et d'évacuation y compris les tuyauteries de chauffage doit être réalisée au moyen de colliers muraux ou d'étriers équipés de profils en caoutchouc prémontés atténuant les bruits et résistant à des températures allant jusqu'à 110°C. Toutes les pièces métalliques de l'assemblage devront être zinguées par électrolyse.

Type de fixation suivant le diamètre des tuyaux.

- Pour les tuyauteries d'un diamètre intérieur inférieur ou égal à 20 mm, la fixation doit être constituée de deux fers plats semi-circulaires.

La première partie doit être fixée par une tige filetée de 6 mm de diamètre.

Un joint de plomb doit être interposé entre le collier et la tuyauterie.

- Pour les tuyauteries d'un diamètre intérieur inférieur ou égal à 20 mm, le collier de fixation doit être constitué de deux fers semi-circulaires reliés par une articulation à une extrémité et rendus solidaires par une vis à l'autre extrémité.

Un écrou carré doit être soudé d'origine sur un des deux fers de manière à permettre la fixation d'une tige filetée de 6 mm de diamètre.

- Pour les tuyauteries d'un diamètre intérieur supérieur à 20 mm, la fixation doit être constituée d'un fer plat circulaire d'une seule pièce.

- Montage au mur :

Les extrémités du fer plat doivent être enserrées dans une bague tronconique maintenue sur la tige filetée par un écrou. L'ensemble ne peut présenter aucun degré de liberté.

- Montage au plafond :

Les extrémités du fer plat doivent enserrer une rotule autorisant une oscillation omnidirectionnelle dans un angle solide de 12°. L'autre extrémité de cette pièce doit être taraudée intérieurement de manière à recevoir la tige filetée de fixation.

L'ensemble constitué par les extrémités du fer plat et de la rotule doit être maintenu par un manchon de serrage muni d'un capuchon d'étanchéité.

L'extrémité de la tige filetée située près du support doit être fixée à une genouillère à rotule autorisant une oscillation omnidirectionnelle dans un angle solide de 40°.

Le diamètre des tiges filetées doit être déterminé de la manière suivante : Diamètre Charge maximale

de l'étrier

--- 6 mm 1500 N

8 mm 2500 N 10 mm 3500 N 12 mm 5000 N

La tige filetée doit être ancrée au mur ou au plafond par l'intermédiaire de chevilles ou de fers d'ancrage.

Les distances maxima en mètres entre supports ou suspensions sont données par la formule suivante :

e = 0,015 x DN + 1,20 pour les tuyauteries métalliques et

e = 0,0065 x DN + 0,20 pour les tuyauteries en matière synthétique

Par tronçon rectiligne dont la longueur est supérieure à 15 fois le diamètre extérieur, il doit y avoir un minimum de deux colliers.

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Si la longueur des tiges filetées dépasse 25 cm et que la nappe comprend plus de trois tuyaux, les tuyauteries doivent être fixées sur un rail en U de 40 mm x 20 mm au minimum. Ce rail doit lui-même être fixé aux murs ou plafonds par deux tiges filetées de diamètre adéquat.

Le type des ancrages et des chevilles retenu doit être parfaitement adapté au type de cloison quel que soit son état. Dans les cas douteux, l'Ingénieur Conseil pourra demander une attestation de la firme fournissant les ancrages et certifiant que le modèle retenu convient parfaitement.

Les tuyauteries doivent toujours être posées avec un entraxe permettant leur calorifuge ultérieur.

Les tuyauteries suspendues dans les vides techniques doivent l'être avec des fixations ayant un entraxe de 3 m maximum et il doit y avoir au moins deux suspentes par élément de tuyau.

5.0.12. MESURAGE

Le prix des raccords, pièces spéciales et autres accessoires, des dispositifs de fixation et de dilatation, des percements et de leur ragréage, et des autres sujétions doit être compris dans les prix des tuyauteries.

5.3. TUYAUTERIES PE RENFORCÉES À L’ALUMINIUM (EAU CHAUDE)

5.3.0 DESCRIPTION ET CARACTERISTIQUES DU SYSTEME

Système d’alimentation en eau potable, comprenant tuyaux et raccords à assembler selon le procédé de sertissage et dont les caractéristiques sont :

température de service 0 à 70 °C :

température max. momentanée 95 °C / max. 150 heures par an :

pression max. d’utilisation 10 bars :

durée de vie dans ces conditions 50 ans :

coeff. de dilatation thermique 0,026 mm/m.°C : coeff. de conductibilité thermique 0,43 W/m.°C :

5.3.1 MATÉRIAUX

Tuyaux

Les tuyaux sont composés de 3 couches:

- un tuyau intérieur en polyéthylène réticulé, de type PE-Xb

- un tuyau en aluminium, homogène et soudé sur toute sa longueur sans recouvrement et sans apport de matière

- une couche enveloppante en PEhd Disponibilités en rouleaux et en longueurs:

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Les raccords possèdent un "O-ring" en EPDM qui garantit l’étanchéité entre le tuyau et le raccord

Raccordements

Tuyaux et raccords sont assemblés selon le procédé de sertissage

Grâce à la haute stabilité du tuyau en aluminium, l’utilisation d’un manchon de compression extérieur n’est pas nécessaire. (De cette manière, il est possible à tout moment de contrôler visuellement la profondeur d’emboîtement du raccord dans le tuyau)

Pour les installations placées dans un environnement agressif et humide en permanence ou non, les raccords ainsi que les extrémités des tuyaux devront être protégés contre la corrosion au moyen d’une bande étanche.

5.3.2 PLACEMENT

Selon les directives du fabricant

5.3.3 AGRÉMENT

Le système d’alimentation d’eau potable est agréé par l’UBAtc.

5.4. TUYAUTERIES EN CUIVRE CHROMÉ

Les tuyauteries de branchement des appareils doivent être en cuivre poli nickelé chromé pour leurs parties visibles situées dans les locaux sanitaires où se trouvent les appareils.

Ces tuyauteries doivent être placées le plus près possible du mur et doivent parcourir le trajet le plus court possible, avec le moins de coude possible.

L'assemblage doit être réalisé par emboîtement d'une profondeur égale au diamètre et par brasure ou soudure oxyacétylénique à l'alliage cuivre/argent.

(24)

ARTICLE 6 - RÉSEAUX INCENDIE

6.0. GÉNÉRALITÉS

Le réseau incendie doit être exclusivement réalisé en tuyauterie en acier galvanisé. Les réseaux de distribution en PP (ou en PEHD) doivent être muni à leur branchement sur la conduite principale en galva, d'une vanne motorisée sollicitée à la fermeture par un ressort. Un flow check déclenche sa fermeture en cas de soutirage sur une des branches incendie du réseau.

L’attention du soumissionnaire est attirée sur la nécessité de placer un clapet EA à l'entrée du réseau incendie ou à chacun de ses branchements, conformément aux prescriptions du distributeur.

6.1. TUYAUTERIES SPÉCIFIQUES AUX RÉSEAUX INCENDIE, EN ACIER GALVANISÉ PN10

Elles doivent être conformes aux prescriptions :

- de la NBN 744, NBN 115, NBN A 25-103 Iso Moyenne, NBN 72.

- du S.T.S. 62

Elles doivent être du type sans soudure, galvanisées à chaud.

Elles doivent être assemblées au moyen de raccords filetés en fonte malléable galvanisée pour les diamètres jusqu'à DN 80 inclus.

Assemblage par brides PN16, soudées à la tuyauterie avant galvanisation (à plein bain) pour les DN supérieurs.

Aucun pliage ni cintrage ne sera admis après galvanisation.

L'étanchéité des raccords filetés doit être assurée par de la filasse de chanvre et une pâte non durcissante.

Essai de pression : l'installation sera testée PN 6 (soit à 9 bar) et ne pourra accuser aucune baisse de pression au bout de 10 minutes.

Les tuyauteries ou les branchements spécifiquement destinés à alimenter des postes ou du matériel de lutte contre l'incendie doivent être peint en rouge (cf. NBN 69)

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6.2.2. AMORTISSEURS DE COUPS DE BÉLIER

Un dispositif destiné à amortir les coups de bélier doit être placé au point le plus élevé des colonnes d'alimentation ou le plus éloigné du branchement d'alimentation.

Réservoirs horizontaux, en tôle d'acier soudé pourvu d'une vessie interchangeable en Butyl, dans laquelle se trouve l'eau. L'eau n'entre donc pas en contact avec la paroi du réservoir.

Pression nominale : PN 15.

Le réservoir est équipé :

d'une vanne d'isolement plombée en position ouverte ; d'un niveau d'eau complet ;

d'un manomètre gradué de 0 à 1000 kPa (10 bar).

6.2.3. VANNES 3 VOIES DE PRISE DE PRESSION

Elles doivent être prévues au droit de chaque manomètre.

Les vannes doivent être du type à bouton-poussoir en laiton et permettre : la mise à la pression atmosphérique ;

l'arrêt ;

le raccordement du manomètre.

6.2.4. VANNES DE BARRAGE

Toutes les vannes de barrage du réseau incendie (hydrants / dévidoirs et sprinklers) doivent être cadenassées en position ouverte (à inclure dans le prix des vannes).

Description voir chapitre 2.1.1.

6.2.5. PROTECTION DE LA POTABILITÉ – CLAPET AGRÉRE PAR LA COMPAGNIE DE DISTRIBUTION

Sans hydrant : clapet EA sur la branche de départ vers les dévidoirs

6.3. POSTES INCENDIE

6.3.1. DÉVIDOIRS SEULS

6.3.1.1. DÉVIDOIRS 30 M SEULS

Le dévidoir sera d’un type mural pivotant.

Il sera homologué ANPI.

Les postes d'incendie intérieurs doivent comprendre :

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- un dévidoir à alimentation axiale, conforme aux prescriptions de la norme NBN EN 671-1, de teinte rouge signal;

- un robinet à boule en laiton chromé du type quart de tour sur la canalisation d'alimentation;

- une bobine d'enroulement avec flasques en tôle de 1,5 mm d'épaisseur;

- un tuyau en caoutchouc synthétique armé de DN 25 mm et d'une longueur de 30 mètres (pression de service 8 bars, pression d'épreuve 15 bars, pression d'éclatement 30 bars);

- une lance en laiton chromé avec robinet à trois positions permettant le jet plein, le jet diffusé ou l'arrêt;

La lance ne pourra être libérée que par ouverture du robinet quart de tour.

- un anneau de guidage permettant de diriger le tuyau dans toutes les directions.

6.3.3. ARMOIRES PRO DITO

Le dévidoir et la prise pompier doivent être placés dans une armoire conforme à la NBN 648 et réalisés en tôles d'acier de 15/10 mm d'épaisseur, galvanisées par électrolyse, émaillées au four à 140°C et de teinte rouge signal.

Dimensions : 1000 mm x 800 mm x 300 mm.

Les pictogrammes de signalisation font partie du présent poste.

6.5. EXTINCTEURS À POUDRE

6.5.1. EXTINCTEUR TYPE P6

Capacité de poudre 6 Kg.

Sparklet CO² 130 g.

Pression de service à 20°C 12 Kg/cm².

Pression d'épreuve à 20°C 25 Kg/cm².

Poudre A B C pour feu de matières solides, liquides, ou solides liquéfiables, et gaz.

La poudre est non toxique, diélectrique, incongelable.

Elle n'absorbe pas l'humidité et ne provoque aucun dégât.

Semelle de protection anti-chocs.

Montage sur support mural en acier galvanisé.

Agrément BENOR pour les foyers type 27 A 233 B.

(27)

ARTICLE 7

ACCESSOIRES À PLACER EN AMONT DES PUISAGES

7.0 GÉNÉRALITÉS

7.1. DISPOSITIFS DE PROTECTION

7.1.0. GÉNÉRALITÉS:

Tous les dispositifs de protection doivent être choisis conformément aux prescriptions du distributeur d'eau potable local et être agréés par lui

7.1.1. CLAPETS TYPE BA

(Alimentation de circuits avec additifs catégorie 4) Disconnecteurs à zone de pression réduite contrôlable

7.1.2. CLAPETS TYPE CA

(Alimentation boiler et échangeur chauffé par eau avec additifs catégorie 3, diamètre max. DN 32)

Disconnecteurs à zone de pression réduite non contrôlable

7.1.3. CLAPETS TYPE EA

(Alimentation des circuits sans additifs)

(Alimentation boiler et échangeur simple chauffé par eau SANS additifs, OU Alimentation boiler et échangeur DOUBLE chauffé par eau AVEC additif)

Clapets de non retour de type EA

7.3. LIMITEURS ET RÉGULATEURS DE PRESSION

Ils doivent être adaptés aux pressions du réseau (amont) et ramener la pression aval à une pression réglable de 2 à 3 bars.

Leur corps doit être en bronze et il doit y avoir une prise pour manomètre sur le réducteur ou immédiatement à l'aval de celui-ci.

Le manomètre doit être inclus dans la fourniture.

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ARTICLE 8 - APPAREILS SANITAIRES ET PUISAGES

8.0. GÉNÉRALITÉS

8.0.1 APPAREILS SANITAIRES

Tous les modèles d'appareils et d'accessoires doivent être conformes aux STS61 et sont à faire agréer par l'Architecte.

Tous les appareils et accessoires s'entendent avec pose et raccordement à la distribution d'eau et/ou aux évacuations.

Le prix de la tuyauterie d’adduction depuis la chape jusqu’au point de puisage est compris dans le prix de l’appareil sanitaire. Il en est de même pour la tuyauterie d’évacuation depuis le coupe-air jusqu’au sol.

8.0.2. PUISAGES

Tous les robinets de puisage des appareils sanitaires doivent être munis d'un mousseur.

Tous les filtres et dispositifs brise-jets ou mousseurs des robinets doivent être démontés préalablement à la mise sous eau des installations. Ils ne peuvent être montés que lorsque les tuyauteries ont été nettoyées de toutes les saletés inhérentes au montage et à la mise en service.

8.0.3. CLAPETS DE PROTECTION

Les clapets de protection agrée par Belagaqua en fonction de l’application font partie de la fourniture des points de puisage.

Le prix du clapet agrée est inclus dans celui de la fourniture.

8.1. ROBINETTERIE DE PUISAGE

8.1.4. ROBINETS D'ARRÊT

Robinets chromés pour l'isolement des robinets des appareils, avec rosace chromée.

Ces robinets doivent être d'un modèle à bile (manœuvre au quart de tour) manœuvrables à l'aide d'un tournevis.

8.1.4.1. ROBINET D’ARRÊT STANDARD

(29)

Ils doivent être placés sur le départ en eau froide vers l’évier de cuisine.

8.1.5. ROBINET POUR LAVE MAINS ET LAVABOS – EAU FROIDE SEULE

8.1.5.2. ROBINET MONOCOMMANDE À CARTOUCHE CÉRAMIQUE

Ces robinets doivent être à commande unique avec bec fixe présentant une saillie horizontale de 105mm avec mousseur.

L'ouverture et la fermeture de l’eau froide doivent être assurées uniquement par deux disques en céramique, en rotation l'un par rapport à l'autre, insérés dans une cartouche en PE fixée dans le corps du robinet par 3 vis.

Cette céramique doit offrir une haute résistance à l'usure et à l'action corrosive des éléments étrangers de l'eau.

8.1.6. ROBINETS MITIGEURS POUR LAVABOS

8.1.6.1. ROBINET MONOCOMMANDE À CARTOUCHE CÉRAMIQUE

Ces robinets doivent être du type mitigeur à commande unique avec bec fixe présentant une saillie horizontale de 105mm avec mousseur.

Le levier unique doit assurer en une seule manœuvre : - l'ouverture et la fermeture;

- le réglage du débit d'eau chaude et d'eau froide;

- le mélange des eaux.

L'ouverture et la fermeture des eaux chaude et froide doivent être assurées uniquement par deux disques en céramique, en rotation l'un par rapport à l'autre, insérés dans une cartouche en PE fixée dans le corps du robinet par 3 vis.

Cette céramique doit offrir une haute résistance à l'usure et à l'action corrosive des éléments étrangers de l'eau.

La cartouche contenant les disques doit être d'un modèle spécialement prévu pour la distribution d'eau chaude en provenance d'un chauffe-eau sans que celui-ci soit équipé d'un groupe de sécurité.

Le corps du robinet et le levier doivent être en alliage de zinc chromé.

Pression d'essai : 16 bars Pression de service : 6 bars

8.1.10. MITIGEURS D'ÉVIER (DE CUISINE)

8.1.10.2. TYPE 2 : À CÉRAMIQUE

Robinet DN 15 en laiton chromé, sans siège ni joint dynamique.

Un levier unique doit assurer en une seule manœuvre : - l'ouverture et la fermeture;

- le réglage du débit d'eau chaude et d'eau froide;

- le mélange des eaux.

L'ouverture et la fermeture des eaux chaude et froide doivent être assurées uniquement par deux disques en céramique, en rotation l'un par rapport à l'autre, insérés dans une cartouche en PVC fixée dans le corps du robinet par 3 vis.

(30)

Cette céramique doit offrir une haute résistance à l'usure et à l'action corrosive des éléments étrangers de l'eau.

Ils doivent posséder un bec mobile en métal coulé présentant une saillie de 240 mm.

Le bec doit être mobile par rapport à une base, qui doit être fixée à l’évier via 3 vis inox.

La douchette doit être amovible et équipée d’un flexible. Le jet doit être réglable (jet pluie ou jet soft). La poignée de la douchette doit être anti-dérapant.

Un clapet anti-retour agréé par la compagnie distributrice doit être compris dans la fourniture.

La cartouche contenant les disques doit être d'un modèle spécialement prévu pour la distribution d'eau chaude en provenance d'un chauffe-eau sans que celui-ci soit équipé d'un groupe de sécurité.

8.1.12. MITIGEURS THERMOSTATIQUES DE DOUCHE

Robinet thermostatique DN 15 du type encastré en laiton chromé.

Le choix de la température et du débit est assuré au moyen de deux manettes coaxiales à face chromée. Le réglage interne de la température doit être assuré par un élément

"bi-métal" composé de disques coaxiaux en acier inoxydable. Le débit d'eau est réglé par deux disques coaxiaux en céramique en rotation l'un par rapport à l'autre.

L'élément bi-métallique et les disques en céramique sont contenus dans une cartouche à visser dans le corps du robinet. Cette cartouche doit également être pourvue d'un filtre de protection et d'un clapet anti-retour pour chaque entrée d'eau.

La manette de réglage de la température doit comporter un blocage de sécurité à 40°.

Cette température ne pourra être dépassée que manuellement, par l'enfoncement d'un bouton-poussoir.

La profondeur d'encastrement nécessaire ne peut dépasser 65 mm.

Ils doivent être munis de raccords S avec robinet d'arrêt sous rosace réglable de 125 mm à 175 mm ainsi que d'un flexible chromé de 1,50 m de long et d'une pomme de dispersion avec poignée.

Le flexible doit résister à une température de 70°C et être renforcé par une tresse en laiton chromé, acier chromé ou acier inoxydable.

8.1.19. RINÇAGE AUTOMATIQUE D'URINOIR PAR DÉTECTEUR IR

Robinetterie électronique pour rinçage automatique d'un urinoir individuel avec module électronique à pile Lithium 6V, et électrovanne intégrés dans le corps du robinet. Capot

(31)

8.2. EVIERS ET LAVABOS

8.2.2. LAVABOS INDIVIDUELS ET SUSPENDUS

8.2.2.1. CARACTÉRISTIQUES

Ils doivent être en porcelaine vitrifiée blanche de 1er choix, à placer contre le mur.

8.2.2.1.2. TYPE 2

De 520 x 475 mm de dimensions extérieures, avec trop-plein à l'arrière et savonnière à droite. Les dimensions intérieures de la cuvette doivent être voisines de 435 mm x 330 mm.

8.2.2.2. ACCESSOIRES

Chaque appareil doit être équipé suivant les indications des plans : - d'un robinet mitigeur (cf. 8.1.7.),

- d'un coupe-air à culot chromé avec système de vidange à bouton-poussoir, - de deux robinets d'isolement;

8.2.2.3. RACCORDEMENT

Le raccordement à l'eau froide et/ou l'eau chaude doit être réalisé au moyen d'une tuyauterie en cuivre chromé depuis l'appareil jusqu'au robinet d'arrêt situé sous l'appareil, ensuite au moyen d'une tuyauterie encastrée. La décharge doit être en cuivre chromé pour toute la partie visible.

8.2.2.4. POSE

La fixation doit se faire au moyen de tire-fond.

Lorsque la pose s'effectue sur un revêtement en faïence, un joint en néoprène blanc doit être prévu entre la tablette et les faïences.

La fixation doit se faire par des moyens adaptés au support, conformément aux prescriptions du fabricant (fixation murale à l'aide de 2 boulons distants de 280mm dans les trous prévus à cet effet). Lorsque la pose s'effectue sur un revêtement en faïence, un joint en Néoprène blanc doit être prévu entre la tablette et les faïences.

Concerne Mesurage

A la pièce, pose comprise.

- lavabo - robinet

8.2.3. LAVABOS INDIVIDUELS POUR PMR

Même caractéristique que 8.2.4. - type 1, mais l'écoulement doit être réalisé vers l'arrière afin de permettre le libre passage des fauteuils roulants sous le lavabo.

Modèle et mise en œuvre à faire approuver par l'architecte.

Ce lavabo est fabriqué en porcelaine vitrifiée (porcelaine sanitaire) avec une absorption d’eau max. de 0,5 %. Il répond aux normes NBN-EN 14688 et EN 32.

(32)

Le lavabo est équipé d’un trou pré-amorcé central pour la robinetterie avec trop-plein. La crépine cruciforme est conçue de manière à garantir une évacuation optimale de l’eau.

Les faces latérales du lavabo sont bombées et forment deux poignées intégrées en dessous de celui-ci ainsi que des points d’appui ergonomiques pour les bras.

Les faces avant et arrière du lavabo sont équipées d’un rebord anti-éclaboussures.

Le lavabo est installé à 85 cm au-dessus du niveau du sol (face supérieure du lavabo), et permet de disposer d’un dégagement de 70 cm, mesuré à une distance de 30 cm par rapport à l’avant du lavabo. De plus le lavabo présente une forme concave de la face avant.

L’évacuation se trouve à une distance de 120 mm par rapport au mur.

L’ensemble répond aux normes DIN 18024/18025 concernant l’accessibilité des équipements sanitaires dans les bâtiments publics.

Dimensions et poids : 550 x 550 mm

Poids : 14,5 kg

Fixation : À l’aide de boulons

Contrôle qualité : conforme à ISO 9001 Dimensions approximatives

8.2.6. EVIERS DE CUISINE

8.2.6.1. CARACTÉRISTIQUES

Les appareils doivent être insonorisés par projection d'une matière absorbante du bruit, imputrescible et inaltérable.

8.2.6.1.1. TYPE 1-EVIER INOX SIMPLE BAC + ÉGOUTTOIR

En acier inoxydable 18/10 à un bassin avec égouttoir;

8.2.6.2. ACCESSOIRES

(33)

Le robinet de puisage doit être protégé par un robinets d'isolement sur chaque arrivée;

Le coupe-air et la bonde doivent être réalisés en matériau résistant à la plupart des acides courants.

8.2.6.3. RACCORDEMENT

Les tuyauteries d'alimentation, en acier galvanisé, doivent être dissimulées sous la tablette à une hauteur minimum de 60 cm au-dessus du sol fini.

8.2.6.4. POSE

Ces appareils doivent être 8.2.6.4.1. POSE TYPE 1

Encastrés dans une tablette

8.2.7. ACCESSOIRES POUR ÉVIERS ET LAVABOS

8.2.7.1. COUPE-AIR

Cet appareil doit faire partie intégrante des accessoires à prévoir pour chaque appareil.

8.2.7.1.1. POUR ÉVIER DE CUISINE SIMPLE BAC

Type bouteille avec raccord pour évacuation de lave-vaisselle.

Le coupe odeur doit être exécuté en polypropylène blanc et présenter une résistance thermique à 120°C et une résistance aux acides.

Système à passage direct, à grand débit d'évacuation.

Garde d'eau 6 cm minimum.

Réglage télescopique permettant un ajustage de niveau fini.

8.2.7.7. SET D'ACCESSOIRES POUR PERSONNES À MOBILITÉ RÉDUITE Chaque lavabo pour PMR doit être équipé de :

(34)

- un coupe-air intégré dans un boîtier encastré dans la cloison et dissimulé par un panneau de fermeture. Le tout doit être de production commerciale et non de fabrication artisanale ou improvisée. Ce coupe-air remplace le coupe-air normalement prévu;

- une barre de maintien et de relevage fixe

- en inox 304 satiné bactériostatique d’une épaisseur min de 1.5 mm

La barre doit avoir un diamètre de min. 30 mm, et deux fixations invisibles, sur rosaces, avec un entraxe de 600 mm.

Elle résister à une charge jusque 200 kg (sur base de test)

Distance entre la barre et le mur : max 4 cm pour limiter les risques de fracture en cas de chute (passage de l’avant-bras impossible).

8.4. URINOIRS

8.4.1. STALLE

8.4.1.1. CARACTÉRISTIQUES

La stalle d'urinoir à suspendre est en porcelaine sanitaire vitrifiée. Le siphon est incorporé et pourvu d'une grille amovible en porcelaine, facilitant l'accès du siphon.

Elle comporte un bec en saillie dont les bords sont parfaitement arrondis. Le dos est plat. Extérieurement les faces latérales formant écran sont lisses et biseautées vers l'avant. La surface intérieure est lisse et uniforme. Les faces avant inférieures sont lisses et légèrement arrondies vers l'arrière dissimulant parfaitement le siphon. La stalle est pourvue d'un aspergeur incorporé permettant le rinçage complet sans éclaboussures. En plus des attaches murales, une fixation par vis est prévue de part et d'autre du siphon.

Dimension en mm : (saillie X largeur X hauteur) : 320 X 410 X 690.

Fixation : attaches murales + vis.

Couleur : blanc.

8.4.1.2. ACCESSOIRES

Chaque urinoir doit être équipé

- d'un robinet de chasse chromé à poussoir ou d'un système de rinçage automatique à détection IR.

8.4.1.3. POSE

La pose s'effectuera sur le revêtement en faïence.

Un joint de néoprène blanc sera prévu entre les faïences et l'appareil.

(35)

8.4.2. ECRANS DE SÉPARATION

Chaque urinoir doit être équipé de plaques de séparation entre deux urinoirs, et à côté des urinoirs situés aux extrémités, s'ils sont à plus de 60 cm du mur latéral.

Ces plaques doivent être de construction spéciale renforcée constituées chacune : d'une plaque d'aggloméré en matière minérale, de haute densité - épaisseur 25 mm ébavurée sur son pourtour ;

de 2 cornières d'acier peint ; fixées solidement à la plaque et à la paroi par boulons cadmiés.

8.4.2.1. MATÉRIAU

Séparation de forme rectangulaire de 44 x 74 cm en polyuréthane dur.

Stable à la lumière, pas de changement de couleur.

Résiste aux urines.

Les bords avant, au-dessus et en-dessous sont arrondis.

La séparation recouvrira complètement le support de fixation.

Fourniture complète, y compris matériel de fixation.

8.4.2.2. FIXATION

L'installation est réalisée sur un mur fini.

Le support de fixation zingué, de forme spéciale, est fixé au mur fini au moyen de 2 boulons M12.

La séparation se fixe sur le support, celle-ci est bloquée au moyen d'une vis creuse à six pans, appliquée d'une façon invisible en-dessous de la séparation.

8.5. W.C.

8.5.2. W.C. SUSPENDU À CHASSE DORSALE APPARENTE

8.5.2.1. CARACTÉRISTIQUES

Les cuvettes doivent être en porcelaine vitrifiée de couleur blanche, à coupe-air incorporé, à sortie arrière dissimulée de forme ovoïdale, à action siphonique, du type mural à partie inférieure horizontale voilant la forme du coupe-air.

Leurs dimensions extrêmes doivent être voisines de 685 mm x 355 mm.

8.5.2.2. ACCESSOIRES

Les appareils doivent être équipés, suivant les indications des plans :

(36)

- d'un réservoir dorsal avec isolation (intérieur) anticondensation, de même teinte que la cuvette, équipé d'un mécanisme complet comprenant un robinet à flotteur et une soupape de chasse, à alimentation latérale gauche ou droite suivant disposition, en DN 10 mm, avec robinet d'isolement; commande avec possibilité d'interruption de rinçage

- d'un siège à couvercle en masse pleine, de 10 mm d'épaisseur, de couleur blanche avec charnières en acier inoxydable et pastille d'appui en nylon;

- d'un support de papier de toilette.

8.5.2.3. RACCORDEMENT

Le raccordement aux chutes et ventilation doit se faire au moyen de pièces spéciales assurant une parfaite étanchéité de l'ensemble tant au reflux d'air qu'à l'eau.

8.5.2.4. POSE

Les appareils doivent être solidement fixé dans la paroi, le bord supérieur de la cuvette étant posé entre 39 cm et 40 cm de haut par rapport au niveau du sol fini.

Le joint entre carrelage et cuvette doit être réalisé au moyen d'un joint au néoprène blanc.

8.5.4. W.C. POUR PMR

Ils doivent avoir les mêmes caractéristiques que les autres W.C., excepté la hauteur de pose et la saillie (70 cm): le bord supérieur de la cuvette doit être posé à 55 cm de haut par rapport au niveau du sol fini.

Cuvette suspendue à fond creux, avec une saillie de 700 mm, spécialement conçue pour les personnes à mobilité réduite.

La hauteur recommandée pour les personnes les personnes à mobilité réduite est de 550 mm sans l’abattant. Dans ce cas, l’espace libre entre le sol et le dessous de la cuvette doit être de 120 mm.

La cuvette suspendue est fabriquée en porcelaine vitrifiée (= porcelaine sanitaire) avec une absorption d’eau maximale de 0,5 %.

La face intérieure du siphon et le rebord de rinçage sont émaillés.

Le fabricant des produits présentés détient une certification ISO 9001.

Dimensions : 700 x 355 x 330 mm

Distance entre axe des fixations : 180 mm.

Poids : 18,5 kg

Fixations : boulons d’ancrage M 12 x 150

8.5.6. ACCESSOIRES POUR CABINES DE W.C.

(37)

8.5.6.3. PORTE - ROULEAUX

8.5.6.3.1. TYPE 1: NYLON EN FORME DE U

Ils doivent être en nylon teinté dans la masse en forme de U Fixation invisible

La hauteur totale doit être de 150 mm et la longueur de 200 mm.

8.5.6.5. SET D'ACCESSOIRES POUR WC POUR PMR

Chaque logette doit être équipée de 2 barres de maintien : - une barre coudée 135° fixe

- une barre relevable (équipée d’une béquille d’appui complémentaire dans le cas où cette barre est fixée dans une cloison légère).

Barre coudée fixe.

Barre coudée à 135° de 400 et 400 mm. De diamètre min. 30 mm.

Finition :

- en inox 304 poli brillant bactériostatique d’une épaisseur min de 1.5 mm La barre fixe est attachée par 2 fixations invisibles, sur rosaces.

Elle résister à une charge jusque 200 kg (sur base de test)

Distance entre la barre et le mur : max 4 cm pour limiter les risques de fracture en cas de chute (passage de l’avant-bras impossible).

Pose à une hauteur de 750 mm par rapport au niveau du sol fini.

Barre mobile

Barre relevable en forme de U de 850 mm x 300 mm. Diamètre min. de 30 mm.

Finition :

- en inox 304 poli brillant bactériostatique d’une épaisseur min de 2 mm Fixation par platine rectangulaire en inox d’une épaisseur de 2.5 mm Elle résister à une charge jusque 200 kg (sur base de test)

Pose à une hauteur de 750 mm par rapport au niveau du sol fini (barre de préhension supérieure).

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8.6. BAINS ET DOUCHES

8.6.2. DOUCHES INDIVIDUELLES POUR COLLECTIVITÉS

8.6.2.1. CARACTÉRISTIQUES

Elles doivent être du type receveur de douche composé d’un mélange homogène de poussières de quartz minéral naturel et d’acrylique, teinté dans la masse et de couleur blanche.

Le fond doit être pourvu de pastilles "graines de riz" antidérapantes.

8.6.2.2. ACCESSOIRES

Chaque appareil doit être équipé de :

- un robinet de commande à bouton-poussoir;

- une pomme de douche équipée d'un dispositif limitant le débit maximum à 10 litres/min à 3 bars;

- un coupe-air en polyéthylène haute densité usiné d'origine.

8.6.2.2.3. TYPE 3

La pomme de douche doit coulisser sur une barre de 1,10 de haut avec âme en acier protégé contre la corrosion et recouverte de nylon, d'un diamètre de 33 mm, avec deux fixations invisibles, sur rosaces, fixée au mur, la partie supérieure à une hauteur de 2,05 m.

Elle doit être raccordée à l'attente encastrée au moyen d'un raccord chromé, mural, coudé avec rosaces.

8.6.2.3. RACCORDEMENT

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