• Aucun résultat trouvé

Étude quantitative du spectre d'absorption continu rouge et de la série excitonique jaune dans CU2O dopé à l'argent

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Étude quantitative du spectre d'absorption continu rouge et de la série excitonique jaune dans CU2O dopé à l'argent"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00206493

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206493

Submitted on 1 Jan 1967

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Étude quantitative du spectre d’absorption continu rouge et de la série excitonique jaune dans CU2O dopé à

l’argent

Claude Schwab, Claude Hottier, Manuel Sieskind, Serge Nikitine

To cite this version:

Claude Schwab, Claude Hottier, Manuel Sieskind, Serge Nikitine. Étude quantitative du spectre

d’absorption continu rouge et de la série excitonique jaune dans CU2O dopé à l’argent. Journal de

Physique, 1967, 28 (1), pp.93-97. �10.1051/jphys:0196700280109300�. �jpa-00206493�

(2)

ÉTUDE QUANTITATIVE

DU SPECTRE

D’ABSORPTION

CONTINU ROUGE ET DE LA

SÉRIE EXCITONIQUE JAUNE

DANS

CU2O DOPÉ

A L’ARGENT

Par CLAUDE

SCHWAB,

Mlle CLAUDE

HOTTIER,

MANUEL SIESKIND et SERGE

NIKITINE,

Laboratoire de Spectroscopie et d’Optique du Corps Solide, Institut de Physique, Université de Strasbourg (Laboratoire associé au C.N.R.S.).

Résumé. 2014 Nous avons fait l’étude

spectrophotométrique

de lames minces de

Cu2O

de

différentes teneurs en

Ag

à 77 °K ; ces échantillons nous ont

permis

d’étudier en détail le

spectre

continu

d’absorption

situé dans la

partie

rouge du

spectre

et le

profil

de la raie n = 2 de la

série

excitonique jaune.

Les résultats obtenus ont été discutés et

comparés

à un effet

thermique

d’une

part,

à la théorie de

Toyozawa

sur le

profil

et la

largeur

des raies

excitoniques

d’autre part.

Abstract. 2014 Thin

samples

of

silver-doped Cu2O

have been observed at 77 °K

by

means

of a

spectrophotometric study.

Detailed measurements on the red continuous

spectrum

and

the

shape

of the n = 2 line of the

yellow

exciton series have been made. The results have been discussed and

compared

with the effect of

temperature

and with

Toyozawa’s theory

of

line-shapes

of the exciton

absorption

bands.

Introduction. - Le

spectre d’absorption

de

CU20

pur a 77 OK

comprend

essentiellement deux series de raies

hydrogenoides :

une s6rie «

jaune »

et une serie

« verte » situ6es

respectivement

dans les

parties jaune

et verte du

spectre

visible. Dans la

partie

rouge du

spectre,

deux bords

d’absorption

situ6s a 6 158

A

et

6 080

A

limitent du cote des

grandes longueurs

d’ondes

deux fonds continus

qui

se

superposent;

on les

d6signe respectivement

par les

appellations

de

premier

et de

deuxieme fond continu rouge.

L’interprétation

de ce

spectre,

comme

spectre excitonique

de deuxieme

classe,

est bien connue

depuis

les travaux d’Elliott

[1]

et

Nikitine,

Grun et Sieskind

[2].

Différents auteurs ont 6tudi6 l’influence

d’impuretes d’argent

sur ce

spectre [3] [4].

En

effet,

la

cuprite Cu20

et

I’argentite Ag20

sont

isotypes;

il est donc

probable qu’il

y ait formation de solutions solides de

substitution,

au moins pour les faibles concentrations

en

argent

que nous considerons ici. On observe

prin- cipalement

un

deplacement

de 1’ensemble des series

jaune

et verte vers les faibles

energies.

Ce

deplacement,

d’autant

plus grand

que la teneur en

argent

est

plus 6lev6e, s’accompagne

d’un

61argissement

des raies et

de leur

disparition progressive. Simultan6ment,

on

note un avancement des fonds continus sur le spectre des raies.

Nous nous sommes

proposes

d’6tudier

quantitati-

vement l’influence de la substitution de

1’argent

au

cuivre dans le reseau de

Cu20

sur les

profils

des raies

et le fond continu

d’absorption [5].

Prdparation

et

dosage

des échantillons. - Les échantillons de 40 {im

d’épaisseur

environ

permettent

d’observer dans de bonnes conditions la s6rie

jaune

et

le deuxieme fond continu rouge. Les 6chantillons de

Cu20 (Ag)

ont ete

prepares

suivant deux methodes.

Dans

l’une,

on

oxyde

d’abord le

cuivre, puis

on

dope l’oxyde ;

dans

1’autre, l’oxydation

et le

dopage

se font

simultan6ment.

L’oxydation

se fait a

1000 °C,

en

faisant passer sous

pression atmosph6rique

un

melange

gazeux d’azote et

d’oxygène (environ

1

% d’02)

sur

1’echantillon. Le

dopage

se fait dans des conditions

identiques,

a cela

pres

que l’on introduit dans 1’en- ceinte du four de

1’argent m6tallique.

Les m6taux de

depart

sont de

qualite spectroscopiquement

pure, en provenance de

Johnson

et

Matthey (Londres).

Nous avons

remarque qu’a

duree de

dopage egale

la concentration en

argent

est

plus importante

dans les

6chantillons

dopes

et

oxydes simultanement;

ce

pheno-

mene est

probablement

lie a la vitesse de diffusion dinerente de

I’argent

dans les deux reseaux cris- tallins

[5].

Le

dosage (1)

des 6chantillons a ete fait par une

analyse

par

radioactivation,

dans les neutrons ther-

miques, apr6s

l’ étude

spectroscopique.

I1

n’y

a donc

pas lieu de tenir

compte

des effets sur le

spectre

excito-

nique

du bombardement par neutrons

[6].

Cette

mesure permet de determiner la concentration en

argent avec une

precision

de l’ordre de 10

%.

Rdsultats

expérimentaux.

- L’6tude

spectrophoto- m6trique

a ete faite sur des 6chantillons de diff6rentes

(1)

Cette

analyse

a ete effectu6e au Laboratoire de Chimie Nucl6aire, Centre de Recherches Nuel6aires de

Strasbourg.

Nous remercions vivement le Professeur J. P. Adloff

qui

a bien voulu mettre a notre

disposition l’équipement

de son laboratoire.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:0196700280109300

(3)

94

concentrations refroidis a 77 OK. Si

Io d6signe

l’inten-

site de la lumiere

incidente,

I l’intensité de la lumi6re transmise et R le facteur de

réflexion,

la densite

optique

de 1’echantillon est donnee par la formule :

oii Z

et x

designent respectivement

le coefficient

d’absorption

et

1’epaisseur

de 1’echantillon.

Les travaux ant6rieurs

[2]

ont montre

qu’il n’y

avait pas de

dispersion anormale,

ni d’anomalie de réflexion dans le domaine

spectral

consid6r6. Nous

avons donc admis que les courbes q

Log 10

I

=f(v) f ( )

et

les courbes xx =

g(v)

se deduisent l’une de 1’autre par une

simple

translation suivant 1’axe des ordonn6es

(v repr6sente

le nombre d’onde de la

lumiere).

Les

figures 1,

2 et 3 montrent les courbes

d’absorp-

tion obtenues pour diff6rents

dopages, compar6es

avec

celle d’un echantillon de

CU20

pur.

FIG. 1. - Courbe

d’absorption

d’un echantillon de

Cu20

pur de 38 Vm

d’6paisseur

a 77 oK.

FIG. 2. - Courbe

d’absorption

d’un echantillon de

Cu2O

0,48

% Ag

de 38 Vm

d’6paisseur

a 77 OK.

FIG. 3. - Courbe

d’absorption

d’un echantillon de

Cu2o

1,5

% Ag

de 40 ¡J.m

d’6paisseur,

a 77 oK.

On retrouve les resultats ant6rieurs : rétrécissement de la bande interdite et

progression

du fond continu

sur les raies

excitoniques

d’ordre eleve

[3] [4].

Iltude

de

l’absorption

continue rouge. - La theorie d’Elliott des transitions

excitoniques

indi-

rectes

[1]

vers 1’6tat

excitonique

1S montre que dans

cette

region

le coefficient

d’absorption global

r6sulte

de la contribution de deux coefficients xl et x2 :

(absorption

d’un

phonon) (emission

d’un

phonon)

vl

et v2

sont

respectivement

les seuils

d’absorption

des

premier

et deuxieme fonds continus rouges, N est la densite de

phonons

dans le cristal a la

temperature

consideree et C est une constante

ind6pendante

de la

temperature.

Le

premier

fond continu rouge se

pr6sente

sous

1’aspect

d’une droite de

pente

faible. Nous avons

extrapole

cette derni6re vers les

grands

nombres

d’onde en l’assimilant a la densite

optique

du

premier

fond

continu,

soit Zlx. On en deduit la densite

optique

Z2x du deuxieme fond continu en

soustrayant

Zlx de la densite

optique

totale. Nous avons alors trace le carr6 du coefficient x2 en fonction de v pour differentes concentrations

( fig. 4).

Pour des

pourcentages d’Ag

inferieurs a 3

%,

les

courbes x2 = f(V)

sont des droites dont la

pente

croit

avec la teneur en

Ag.

Elles sont

prolong6es

vers les

grandes

valeurs de v par une

partie

courbe due au

pied

de la raie n = 2 de la s6rie

jaune.

Pour des concentrations

superieures

a 3

%,

les

courbes x2 =f(v)

ne peuvent etre consid6r6es comme lin6aires que sur un faible domaine de nombre d’onde.

Les erreurs

experimentales

et

l’approximation

sur la

determination du

premier

fond continu

n’expliquent

(4)

FIG. 4. - Carr6 du coefficient

d’absorption

X, du deuxieme fond continu rouge de

Cu2O

pour differents

dopages,

a 77 OK.

que

partiellement

l’écart par

rapport

a la forme

parabolique

calculee par Elliott.

Les defauts

supplémentaires

cr66s dans le reseau

par l’introduction

d’impuretes multiplient

les pro-

cessus de diffusion des electrons et modifient les 6carts

precedents [7].

En

prolongeant

la

partie rectiligne

des courbes

x; = f(V)

par une droite

jusqu’h

l’intersection avec

1’axe des v, nous définissons un

point

que nous avons

choisi comme bord pour le deuxieme fond continu rouge. Ce bord se

d6place

vers les faibles

energies

avec des teneurs croissantes en

argent.

Ce

deplacement

est lin6aire et a ete calcule par la m6thode des moindres carr6s :

ou p

est le

pourcentage atomique multipli6

par

102 (p 2).

Btude

de la raie n = 2 de la sdrie

jaune.

2013 Le

deplacement precedent

est a comparer avec celui de la raie n = 2 de la s6rie

jaune,

observe sur les memes

6chantillons :

Aux erreurs

exp6rimentales pr6s,

la variation en

fonction du

dopage

est la meme.

Les raies de la s6rie

jaune

se

superposent

a une

absorption continue,

le fond continu «

jaune » qu’il

faut

soustraire,

pour obtenir

l’absorption

propre des raies. Dans un but

d’uniformisation,

nous avons

suppose

que cette

absorption

n’intervient pas encore

pour la raie n = 2. Pour 6valuer

l’absorption

Xrc = 2 dans la

raie,

nous avons soustrait de

l’absorption

totale

F absorption

continue rouge

extrapol6e

dans

la

region

des raies. Les

figures

5 et 6 montrent les

profils

de cette

raie,

pour un echantillon pur et pour

un echantillon

dope,

obtenus dans les conditions

pr6c6dentes.

La

figure

7

repr6sente

la variation du coefficient

d’absorption

maximum dans la raie n = 2

en fonction de la concentration. Elle diminue avec la

teneur en argent. Cette mesure n’est

cependant

que peu

precise

car elle est affectée des incertitudes sur le trace du fond continu.

FIG. 5. - Profil de la raie n = 2 de la s6rie

jaune

de

Cu2O

pur a 77 OK

(38

tLm

d’epaisseur) .

FIG. 6. - Profil de la raie n = 2 de la s6rie

jaune

de

Cu20,

0,48

% Ag

a 77 oK

(40

pm

d’6paisseur). les

courbes

th6oriques

sont calculées a

partir d’une

fonction

lorentzienne

corrig6e

par un terme tenant

compte

de la

dissym6trie.

FIG. 7. - Variation du coefficient

d’absorption

maximum

de la raie n = 2 de la s6rie

jaune

de

Cu20,

a 77 °K

en fonction de la concentration en

argent.

(5)

96

Pour caract6riser la

dissym6trie

de la raie

[10],

nous

avons

mesure,

a

partir

de l’abscisse du

maximum,

une

demi-largeur

a mi-hauteur

Ll’JD2

vers les nombres d’onde croissants et une

demi-largeur Av-

vers les

nombres d’onde d6croissants

(fig. 6).

Malheureuse- ment, le fond

continu,

contrairement a notre

hypo- th6se,

recouvre de

plus

en

plus

le

pied

de la raie du cote des nombres d’onde croissants

quand

la concen-

tration augmente; aussi est-il

impossible

de determiner

AV+

aux teneurs

superieures

a 1

%.

Nous avons relev6

les variations

suivantes,

par

ajustage

au moyen des moindres

carr6s,

pour

Ll’JD2

et pour la

demi-largeur

de

la raie :

Les

largeurs

6tant

exprimées

en cm-1. On voit

que

ll’Jl/2

croit

plus

vite que

Il’JV2

en fonction de

p ;

la

dissymetrie

de la raie diminue.

En caract6risant la

dissym6trie

par le

rapport S,

Ce facteur est

egal

a

0,33

pour

CU20

pur,

0,09

pour

CU20 - 0,48 % Ag

et

0,01

pour

Cu20 -- 0,68 % Ag.

Le

profil

de la raie n = 2 de

CU20

pur

peut

etre

represente

par une fonction lorentzienne

[10], corrig6

par un terme tenant

compte

de la

dissym6trie :

avec vo = vmax

+ S Ll’Jl/2’

vmax

designe

le nombre

d’onde du maximum de la raie. La constante C

peut

s’6valuer a

partir

du coefficient

d’absorption

maximum

et de la

demi-largeur

moyenne de la raie. En

effet,

si on

neglige

les termes en S2 :

Nous avons calcul6 les fonctions

x(v) repr6sentant

la

raie n = 2 de la s6ric

jaune

pour diff6rents pourcen-

tages d’argent.

CU20

pur :

Ces

profils

sont

compares

aux

profils exp6rimentaux ( fig.

5 et

6).

Ces calculs montrent une diminution de la

dissy-

m6trie des raies. I1 s’ensuit que le niveau

excitonique vrai vo

= Vmax

+ S Ovl,2

se

rapproche

de vmax.

Ainsi,

pour

Cu 20

pur, le niveau

excitonique

est d6cal6 vers

les

grandes energies

par rapport a vmax de 7

cm-1;

il

ne 1’est

plus

que de 3 cm-1 pour

CU20 - 0,48 % Ag

et de

0,4

cm-1 pour

Cu20 - 0,60 % Ag.

Discussion des rdsultats et

comparaison

avec la theorie de

Toyozawa.

- On

peut

comparer les resultats

precedents

aux effets observes par

Nikitine,

Sieskind et Grun

[2]

pour la variation

thermique.

11 y

a

egalement

dilatation du réseau cristallin dans les 6chantillons

dopes,

le rayon

ionique

de

1’argent

6tant

plus grand

que celui du cuivre. Un

potentiel

de

deformation a courte

port6e

par

rapport

aux dimen- sions de 1’exciton

[6] [9]

donne une

explication theorique

du rétrécissement de la bande interdite.

On obtient ainsi des atomes

d’argent

dans le reseau

cristallin sous forme de defauts

ponctuels,

et de ce fait

on

justifie l’hypothèse

de 1’existence des solutions

solides Cu20

--

Ag20.

Par

ailleurs, Toyozawa [11]

a montre que,

lorsque

le

couplage

exciton-r6seau est

faible,

la masse effective

petite

et la

temperature

pas

trop 6lev6e,

la raie est

de forme lorentzienne.

Si l’interaction exciton-r6seau est forte ou la masse

effective

grande

et la

temperature 6lev6e,

la raie est

de forme

gaussienne.

Le

premier

cas

correspond

a un exciton

d6localis6,

le second a un exciton localise.

Dans les deux cas, la

dissym6trie

r6sulte de l’interac- tion entre les diff6rentes bandes

excitoniques

et les

phonons.

Toyozawa

a calcule la variation de la

demi-largeur

en fonction de la

temperature T ;

elle varie lin6aire-

ment avec T dans le cas de

couplages

faibles avec les

phonons,

et comme T1/2 dans le cas de

couplages

forts.

11 a montre

egalement

que si on

remplace

le para- m6tre T par la densite des

imperfections

dans le

cristal,

soit

p,

les resultats

precedents

restent valables.

Le mod6le de 1’exciton d6localis6 reste donc valable pour

CU20 dope ;

la

demi-largeur w1,2

de la raie n = 2 varie lin6airement avec

p.

Conclusion. - Nous avons pu faire une etude d6taill6e de

F absorption excitonique

dans une

region

limitee du

spectre

visible sur des echantillons de

CU20 dopes

a

1’argent.

Les effets de

deplacements

sont

expliques

par une theorie de

perturbation

du reseau

par des defauts

ponctuels.

La forme de la raie n = 2

s’explique

dans le cadre de la theorie de

Toyozawa.

Dans les deux cas, il y a une

analogie

tres

grande

avec les effets dus a une variation

thermique.

(6)

BIBLIOGRAPHIE

[1]

ELLIOTT

(R. J.),

Phys. Rev., 1957, 108, 1384.

[2]

GRUN

(J. B.),

SIESKIND

(M.)

et NIKITINE

(S.), J. Phys.

Chem. Solids, 1961, 19, 189.

NIKITINE

(S.),

GRUN

(J. B.)

et SIESKIND

(M.), J.

Phys. Chem. Solids, 1961, 17, 292.

GRUN

(J. B.),

SIESKIND

(M.)

et NIKITINE

(S.), J. Physique

Rad., 1961, 22, 176.

On trouvera une étude

complète

dans les articles suivants :

GRUN

(J. B.),

Thèse, Revue

d’Optique,

1962, 41, 439.

NIKITINE

(S.), Progress

in Semiconductors, 1962, 6, 233.

[3]

MAIER

(G.),

Z.

Physik,

1960, 160, 527.

[4]

SCHWAB

(C.),

SIESKIND

(M.),

ADLOFF

(J. P.)

et

NIKITINE

(S.),

C.R. Acad. Sc., 1962, 255, 1208.

SCHWAB

(C.),

Mlle MARVILLET

(F.),

Mme AD-

LOFF

(J. P.)

et NIKITINE

(S.), J. Physique,

1964, 25, 381.

[5]

Mlle HOTTIER

(C.), Diplôme d’études Supérieures, Strasbourg,

1965.

[6]

NIKITINE

(S.)

et GROSMANN

(M.), J. Physique,

1963, 24, 525.

NIKITINE

(S.),

GROSMANN

(M.),

SCHWAB

(C.),

DEISS

(J. L.),

SOXHLET

(P.)

et SONG

(K. S.),

7e

Congrès

International de

Physique

des semiconducteurs, Effets des

rayonnements

sur les semiconducteurs,

Paris-Royaumont,

1964, 245.

[7]

SÉBENNE

(C.), J. Physique,

1963, 24, 216.

[8]

NIKITINE

(S.),

SIESKIND

(M.)

et PERNY

(G.),

C.R.

A cad. Sc., 1954, 238, 1987.

[9]

SONG

(K. S.),

Phys. Cond. Mat., 1965, 3, 200.

[10]

GRUN

(J. B.)

et NIKITINE

(S.), J. Physique,

1963, 24, 355.

[11]

TOYOZAWA

(Y.), Prog.

Theor. Phys., 1958, 20, 53.

Tech.

Report

of ISSP Sect. A, 1963, 79.

Références

Documents relatifs

²bleu marron marron ²bleu bleu marron marron ²bleu bleu marron marron ²bleu bleu marron

Reproduis les deux figures à partir du point de départ.!. Complète comme dans l’exemple

Nuit étoilée La grotte de

la réflexion de ces cristaux. On a déterminé l’inten- sité d’oscillateur des raies et on a comparé les valeurs obtenues à celles déduites de la

Effet d’un champ électrique extérieur sur les spectres excitoniques de première classe. - On a suggéré que les deux séries excitoniques apparte-.. naient à la

ÉTUDE DU PROFIL D’ABSORPTION DE LA RAIE QUADRUPOLAIRE EXCITONIQUE 1S DE LA SÉRIE JAUNE DE Cu2O EN FONCTION DE CERTAINS DÉFAUTS CRISTALLINS ET DE LA TEMPÉRATURE... SCHWAB Laboratoire

raies d’absorption correspondant aux rayons res- tants et manquants doivent disparaître également progressivement quand le flux de neutrons reçu par le cristal

Une onde est caractérisée par sa longueur d’onde lambda qui correspond à la périodicité d’une oscillation, soit la distance entre deux oscillations