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Recherches sur la température de congélation des dissolutions [deuxieme partie]

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(1)

HAL Id: jpa-00238694

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238694

Submitted on 1 Jan 1886

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Recherches sur la température de congélation des dissolutions [deuxieme partie]

F.-M. Raoult

To cite this version:

F.-M. Raoult. Recherches sur la température de congélation des dissolutions [deuxieme partie]. J.

Phys. Theor. Appl., 1886, 5 (1), pp.64-73. �10.1051/jphystap:01886005006401�. �jpa-00238694�

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à-dire qu’aux températures critiques élevées correspondent alors

les pressions critiques élevées.

Les calculs de M. Dewar montrent même que, dans ce cas, les

températures critiques, comptées à partir de 273° au-dessous

de zéro, et les pressions correspondantes sont sensiblement pro-

portionnelles, le rapport 273 + T, à peuprès constant, ayantcomme

valeur moyenne 3 , 5. La valeur de ce rapport, inscrite dans la der- nière colonne de notre Tableau, va en augmentant avec la com-

plexité des dérivés étudiés ; d’après nos recherches, l’acide chlor-

hydrique et le gaz ammoniac satisfont bien à la remarque de M. Dewar, le rapport calculé étant 3,4 pour l’un et 3,5 pour l’autre; ces nombres coïncident, d’ailleurs, avec d’autres trouvés

par M. Sarrau ; il résulte en effet des calculs de ce savant que le

rapport 273 + T prendrait, pour l’oxygène, la valeur 3,4 et pour l’azote la valeur 3, 5.

RECHERCHES SUR LA TEMPÉRATURE DE CONGÉLATION DES DISSOLUTIONS

[DEUXIEME PARTIE (1)];

PAR M. F.-M. RAOULT.

Coefficients d’abaissement bruts.

-

La quantité C, P qu’on

obtient en divisant l’abaissement C du point de congélation par le poids P de matière anhydre dissoute dans loogr d’eau, con-

stitue ce que j’ai appelé le coefficient d’abaissenlent brut du corps dissous. Cette quantité qui, d’après la loi primitive de ljlagden, devrait rester constante, varie cependant en général avec

le degré de concentration des dissolutions. Pour représenter ces variations, dont la connaissance est importante, j’ai pris pour ordonnées les coefficients d’abaissement bruts Ç, P et pour ab-

scisses les abaissements C du point de congélation. La figure ci-

contre représente quelques fragments des courbes ainsi obtenues,

(1) Voir, pour la lIe Partie, Journal de Physique, 2e série, t. III, janvier 188’t.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01886005006401

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Courbes des Coefficients d’abaissement bruts .

(4)

dans les dissolutions aqueuses, pour les valeurs de C comprisses

entre C == 0°,2 et C

==

4°. On distingue, dans chacune de ces

lignes, une partie courbe et une partie sensiblement droite. Je vais d’abord m’occuper de cette dernière; après cela, j’examinerai

l’autre partie.

Supposons qu’un poids P d’un corps anhydre, introduit dans IOObr d’eau, se combine d’abord avec un poids p d’eau, pour former un hydrate défini, et que cet hydrate se dissolve ensuite.

Le poids de l’hydrate dissous devient P + p et celui de l’eau dissolvante 100 - p. Le poids de l’hydrate dissous dans 100gr

d’eau est donc (P + p) 100; par conséquent, le coefficient d’abaisse-

100 - p

ment véritable K du corps, c’est-à-dire l’abaissement qui serait produit par 1gr de son hydrate dissous dans looge d’eau, est

expression dans laquelle K est une quantité constante, d’après

la loi de Blagden convenablement interprétée. On tire de là

C’est l’équation d’une droite qui s’écarte de l’axe des abscisses.

Ce cas se présente, par exemple, pour l’acétate de soude entre C === 20 et C == 4°.

On peut remarquer que la tangente de l’angle que fait cette droite avec l’axe des abscisses est égale à p, c’est-à-dire

P x 100

qu’elle est proportionnelle au poids de l’eau combinée avec 1 gr de

substance anhydre, dans l’hydrate dissous.

Quand, dans les mêmes conditions, le corps existe en disso- lution à l’état anhydre, le rapport P devient égal à zéro et la

formule (2) se réduit à

ce qo représente une droite parallèle à J’axe des abscisses. C’est

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ce qui arrive, par exemple, pour le chlorure de sodium entre

C == 2° et C == 4°.

Supposons, enfin, que les molécules physiques dissoutes, an

lieu d’être complètement désagrégées, se soudent deux à deux en

nombre proportionnel à l’abaissement C du point de congélation,

et soient

q le poids de la matière non condensée,

r son coeffici en t d’abaissement, q’ le poids de la matière condensée,

f°’ son coefficient d’abaissement ;

on a nécessairement

D’autre part, les abaissements partiels, produits isolément par q et q’, sont, en vertu de la loi de Blagden, qi- et q’r’; on a donc, puisque l’abaissement total C est égal à la somme des abaissements

partiels,

.

,

Puisque., par hypothèse, la fraction P de la matière dissoute

qui se condense est proportionnelle à l’abaissement C, on a

Q étant un nombre constant.

Éliminant q et entre ces trois équations, il vient

ce qui est Inéquation d’une droite dont l’ordonnée à l’origine

est positive et qui se dirige vers l’axe des abscisses. Telle est la

partie rectiligne de la courbe de l’azotatc de soude entre Cl = 2°

et C == 4°.

Si, dans la formule (7), on fait C

=

o, il vient

(6)

c’est-à-dire que l’ordonnée à l’origine de la partie rectiligne représente le coefficient d’abaissement que possède la matière

elissoute, quand elle n’a encore subi aucun commencement de condensation.

L’existence d’une partie rectiligne, dans chacune des courbes des coefficients d’abaissement bruts P, C se trouve donc expliquée, ainsi que les diverses inclinaisons qu’elle peut présenter par rapport à l’axe des abscisses.

Occupons-nous maintenant de la partie non rectiligne de la

courbe des Ç, C c’est-à-dire de la partie qui se relève rapidement à l’approche de l’axe des ordonnées. Elle indique un accroissement

rapide des coefficients d’abaissement bruts, quand la dilution

devient très grande. Or, comme je l’ai démontré ailleurs, un tel

accroissement révèle toujours une augmentation dans le nombre

des molécules, et, par conséquent, une décomposition partielle, physique ou chimique, de la matière dissoute. On est donc obligé

de conclure de là que tous les corps se décomposent plus ou

moins dans les dissolutions extrêmement étendues.

Je me suis assuré que, dans les dissolvants autres que l’eaii, et,

en particulier, dans la benzine et dans l’acide acétique) les va-

riations des coefficients d’abaissement bruts sont représentées par

des courbes semblables à celles dont nous venons de nous

occuper.

Usage de ces courbes.

-

La courbe des coefficients d’abaisse-

ment bruts d’une substance déterminée étant connue, il est

toujours facile de trouver la valeur de c pour une dissolution de

P

cette substance, lorsque l’on connait l’abaissement C de son

point de congélation, et, par conséquent, de trouver son degré de

concentration P. Il est tout aussi facile de calculer C quand P est

connu. Les résultats ainsi trouvés sont généralement exacts à 1 prés, pourvu que l’abaissement C soit supérieur à un degré.

L’abaissement du point de congélation des dissolutions qui

renferment plusieurs corps, sans action chimique l’un sur l’autre,

peut lui-même se trouver presque rigoureusement par un moyen

pareil. Il suffit, pour cela, de mettre à profit la loi suivante, dont

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j’ai établi l’exactitude par des expériences variées : Si plusieurs

corps) sans action chimique l’un szcr l’autre, sont simulta-

nément dissous dans loogr d’eau, chaque corps abaisse la tem-

pérature de congélation en raison de son poids et dit coefficient

d’abaissement brut qu’il possède el la température de congé-

lation du mélang’e. J’ai tiré récemment parti de ces obser-

vations pour étudier l’état des sels doubles dans les dissolutions aqueuses (1).

Les courbes en question peuvent encore, comme on va le voir,

servir à déterminer l’abaissemenu moléculaire véritable des corps.

Calcul des czbczzssements moléculaires. - L’abaissenient moléculaire de congélation d’un corps est, comme on sait, l’a-

baissement que produirait une molécule de ce corps, si cette molécule existait seule en dissolution dans loogr d’eau. On peut l’obtenir exactement, toutes les fois que la solubilité est suffisante,

par un procédé que je vais indiquer.

Si le corps considéré est dissous à l’état anhydre et sans con- densation, il suit nécessairement la loi de Blagden, et son abaisse-

ment moléculaire T est donné par la formule

M étan t le poids moléculaire du corps anhydre et K une quantité

constante égale à son coefficient d’abaissement normal.

Si le corps est dissous à l’état d’hydrate, son poids moléculaire devienu M(P -;- i ) et, par suite, son abaissement moléculaire vrai T est

Mais il est à remarquer que la quantité K. P q- n’est autre

chose, d’après la formule (3), que l’ordonnée à l’origine de la partie rectiligne de la courbe des Ç; P donc, dans ce cas, comme dans le cas précédent, l’abaissement moléculaire T du corps dissous S’obtient en multipliant l’ordonnée à l’origine de cette

(1) Comptes rendus de l’Académie des Sciences, 24 novembre 1884.

(8)

partie rec tiligne par le poids moléculaire M de la substance dissoute supposée anhydre.

La même règle s’applique encore lorsque c est décroissant dans la partie rectiligne de la courbe. Alors, en effet, l’ordonnée à l’ori-

gine de cette partie rectiligne est, comme on l’a vu [p. 3, formule (8)], égale au coefficient d’abaisselnent que possède le corps dissous,

alors qu’il n’a encore subi aucun commencement de condensation.

Donc, dans tous les cas et quel que soit l’état sous lequel un

corps existe en dissolution dans l’eau, pourvu que cet état soit

indépendant de C ou qu’il se modifie proportionnellement à C, on

trouve toujours son abaissement moléculaire véritable au moyens d’une seule et même règle qui est la suivante : Tracez la courbe des coefficients d’abaissement bruts c P du corps supposé anhydre

de C = 1 ° cc C = 4°; prolongez la partie sensiblement rectiligne

de cette courbe jusqu’à sa rencontre avec l’axe des ordonnées;

multipliez l’ordonnée dr,c point d’intersection par le poids mo-

léculaire du corps dissous, supposé anliydi-e; le produit obtenu représenter exactement l’abaissement moléculccioe cherché.

Cela revient à dire que la vraie valeur de l’abaissement molé- culaire T de la substance dissoute peut se calculer au moyen de la formule suivante

C’ C"

dans laquelle CI et P" sont les ordonnées et C’ et C" les abscisses de deux points, pris sur la partie rectili gne de la courbe des . - C

Je me suis assuré que cette règle est également applicable quand on emploie la benzine ou l’acide acétique comme dissol-

vants.

La méthode correcte que je viens d’indiquer ne peut malheu-

reusement s’appliquer que pour les corps très solubles dans les dissolvants employés. Lorsque la solubilité ne permet pas d’obtenir des abaissements de plus de 2°, la direction de la partie rectiligne

de la courbe reste inconnue et l’on est obligé de calculer l’abaisse-

ment moléculaire au moyen d’une valeur de c simplement ap-

(9)

C

prochée. L’inspection des courbes des montre que, dans chacune

d’elles, les valeurs de C i7l qui se rapprochent le plus de l’ordonnée

à l’origine de la partie rectiligne, sont celles qui correspondent à

des valeurs de C comprises entre o", 5 et i ° ; elles ne diffèrent gé-

inéralement pas de plus de /5. En multipliant par M le coefficient d’abaissement brut C, P obtenu dans une expérience l’abaisse-

ment du point de congélation est compris entre o°,5 et i°, on ob- tient donc l’abaissement moléculaire du corps dissous à /5 près en-

viron. Ce degré d’approximation est suffisant dans beaucoup de cas.

Résultats o-énéraitx. - J’ai déjà dit, dans la première Partie de

cet exposé, que, quel que soit le dissolvant employé, les abaisse-

ments moléculaires des différents corps se groupent autour d’un nombre très limité de valeurs. Dans l’eau, les abaissements mo-

léculaires de toutes les matières organiques sont toujours peu

éloignés de ig. Dans l’acide acétique en1ployé comme dissolvant,

tous les composés organiques produisent des abaissements molé- culaires à peu près égaux et voisins de 3g. Dans la benzine, toutes

les matières organiques (à l’exception des alcools et des acides) produisent aussi des abaissements moléculaires égaux et voisins

de 49. Et il en est ainsi, même pour les matières organiques qui appartiennent aux types les plus différents. Dans la benzine, par

exemple, l’abaissement moléculaire des hydrocarbures reste le même, malgré toutes les substitutions qui portent sur l’hydrogène;

celui des éthers reste le mêmes, quels que soient le nombre et l’ato- micité des radicaux acides ou alcooliques qu’ils renferment, de

sorte que l’azotate de méthyle, l’oxalate de méthyle, le phosphate d’éthyle, le silicate d’éthyle, la nitroglycérine, y produisent à peu

près le même abaissement moléculaire 49. Les chlorures métal- loïdiques eux-mêmes, dissous dans la benzine, produisent égale-

ment cet abaissement moléculaire 49, lors même qu’ils renferment

des nombres très différentes d’atonies de chlore, par exemple le protochlorure de soufre, le trichlornre d’arsenic, le tétrachlorure

d’étain, le pentachlorure de phospliore (1).

(1) Ann. de Chim. et de Phys., 61 série, t. Ilr, 1885.

(10)

Par contre, les sels métalliques en dissolution dans l’eau y déterminent des abaissemen ts moléculaires de congélation qui

peuvent être très différents les uns des autres et qui, dans tous les

cas, sont la somme des abaissements partiels produits par leurs radicaux électropositifs et électronégatifs. Ce mode d’action est,

comme on voit, tout à fait différent de celui des composés non

salins. Les corps exercent donc sur le point de congélation des

dissolvants une action profondément différente suivant qu’ils sont capables ou non de faire instantanément la double décomposition,

suivant qu’ils sont ou non électrolysables directement, en un mot, suivant qu’ils ont ou non la constitution saline. A ce point de vue

les sels se montrent comme des composés d’ une nature tout à fait

spéciale.

Le calcul, appliqué aux nombreuses données expérimentales que

j’ai recueillies relativement aux sels dissous dans l’eau, donne,

pour les abaissements moléculaires partiels des radicaux

salins, les valeurs suivantes (ibid.) :

On voit par là que les métaux ou radicaux électropositifs, de

même que les radicaux électronégatifs, se partagent en deux groupes parfaitement distincts, d’après la valeur de leurs abaisse-

ments moléculaires partiels, et que ces abaissements sont entre eux

dans le rapport due 2 à I. Si, au lieu de prendre, comme je l’ai fait, pour les poids moléculaires des métaux dits biatomiques, des

nombres doubles de leurs équivalents, on les prenait égaux à leurs équivalents, le rapport des abaissements moléculaires des métaux

monoatomiques et biatomiques deviendrait égal à 4; et l’on n’arri- verait ainsi qu’à effacer une analogie toute 1!aturelle, sans rien simplifier. Dans les deux cas, ce rapport est très éloigné de l’unité,

et cette circonstance donne à la division, encore controversée, des

métaux en monoatomiques et biatomiques, une base nouvelle et

tout à fait indépendante.

Au moyen des quatre données qui précèdent, on peut calculer

l’abaissement moléculaire de congélation de la plupart des sels

(11)

73

engendrés par un acide fort ou une base forte. On trouve ainsi,

par exemple :

Tous ces nombres se confondent, à 410 près, avec ceux que donne

l’expérience. Leur comparaison conduit à des lois de détail qui

permettent de reconnaître l’atomicité des radicaux constitutifs d’un sel donné, et, par suite, d’établir sa formule atomique et son poids moléculaire. Les résultats auxquels je suis parvenu dans

cette voie, quoique déjà nombreux, sont presque tous conformes

aux indications des théories chimiques nouvelles, et, jusqu’à présen t, ils n’ont présenté de divergence que relativemen t aux

formules des acides métaphosphorique, ferricyanhydrique et ni- troprussique. L’uranyle, dont l’atomicité a été jusqu’ici fort incertaine, s’est montré, dans mes expériences, franchement bi-

atomique ; il en résulte que le poids moléculaire de l’uranium est

quadruple de son équivalent, conformément aux prévisions de la

loi périodique de M. Mendeleeff.

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--

a et H, côtés du rectangle. AA’, parallèle au petit côté a menée par le centre du

rectangle.

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