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L53 [V2-VàC] – Intégrales et primitives

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9

Intégrales, primitives

53

Leçon n° Niveau Terminale S

Prérequis fonctions dérivées, étude de fonctions, fonctions exponentielles et logarithmes. Références [60]

53.1

Primitives d’une fonction

53.1.1 Définitions et propriétés

Définition 53.1 — Primitive d’une fonction. Soit f une fonction définie sur un intervalle I. On appelle primitive de f sur I, une fonction F , dérivable sur I, telle que, pour tout x appartient à I, F0(x) =

f(x).

Exemples 53.2 1. F : x 7→ 14x4est une primitive sur R de f : x 7→ x3 puisque F0(x) = f(x).

2. F : x 7→ 2√x est une primitive sur ]0 , +∞[ de f : x 7→ 1

x puisque sur F0(x) = f(x). 

Théorème 53.3 Toute fonction continue sur un intervalle I admet des primitives sur I.

Exemple 53.4 La fonction f : x 7→ x21+1 est continue sur R (puisqu’elle est dérivable sur R), donc

elle admet des primitives. 

Propriété 53.5 Soit F une primitive de f sur un intervalle I.

— Pour tout nombre k, x 7→ F (x) + k est aussi une primitive de f sur I.

— Si G est une autre primitive de f sur I, alors il existe un nombre k tel que, pour tout x de I,

G(x) = F (x) + k.

Dv

•Démonstration de la propriété53.5—

— Soit k un réel et H la fonction définie sur I par H(x) = F (x) + k. H est dérivable sur I car c’est une somme de fonctions dérivables et, pour tout x de I,

H0(x) = F0(x).

Puisque F est une primitive de f, on a : F0(x) = f(x) donc H0(x) = f(x) : H est une

primitive de f sur I.

— Soit G une primitive de f sur I. La fonction G − F est dérivable et (G − F)0(x) = G0(x) − F0(x) = 0

puisque, pour tout x de I,

(2)

Donc G − F est une fonction constante sur I, c’est-à-dire qu’il existe un nombre k tel que, pour tout x de I, G(x) − F(x) = k.

Exemple 53.6 La fonction x 7→ sin2xest une primitive de f : x 7→ 2 sin x cos x.

Les fonctions x 7→ sin2x+√2, x 7→ sin2x− 1, x 7→ − cos2x. . . sont aussi des primitives de f.



Propriété 53.7 Soit f une fonction admettant des primitives sur un intervalle I. Un réel x0 de I et

un réel y0étant donnés (appelés « conditions initiales »), il existe une unique primitive F de f sur I

telle que F(x0) = y0.

Dv

•Démonstration de la propriété53.7—fadmet des primitives sur I qui s’écrivent sous la

forme x 7→ G(x) + k où G est l’une de ces primitives. La condition F (x0) = y0conduit à

G(x0) + k = y0. D’où

k= y0− G(x0) et F : x 7→ G(x) + y0− G(x0).

F est l’unique primitive de f sur I vérifiant la condition.

Pour une représentation graphique des primitives :

— les courbes de primitives de la fonction f sur I se déduisent l’une de l’autre par des translations de vecteur #»v(0, k).

— Pour tout point A(x0, y0) avec x0 ∈ I (situé dans la bande), il existe une primitive unique dont la courbe représentative passa par A.

x0

y0 A

O −→ı − →

FIGURE53.1 – Représentation de primitives d’une fonction

53.1.2 Tableaux de primitives et opérations sur les primitives

Les résultats du tableau53.1 s’établissent en vérifiant que l’on a bien F0 = f sur l’intervalle

(3)

53.2 Intégrale et aire 11 Fonction f Fonction primitive F (c= constante) Intervalle I

f(x) = k F(x) = kx + c R f(x) = x F(x) = 12x2+ c R f(x) = ax + b F(x) = 12ax2+ bx + c R f(x) = xn(n ∈ Zet n= −1) F(x) =xn+1 n+1 + c ( R si n >0 ; ]−∞ , 0[ ou ]0 , +∞[ si n ≤ −2 f(x) = √1 x F(x) = 2√x + c ]0 , +∞[ f(x) = x12 F(x) = −1x+ c ]−∞ , 0[ ou ]0 , +∞[ f(x) = cos x F(x) = sin x + c R f(x) = sin(x) F(x) = − cos x + c R

f(x) = 1 + tan2x=cos12x F(x) = tan x + c ]π2+ kπ ,π2+ (k + 1)π[ (k ∈ Z) f(t) = cos(ωt + ϕ) (ω 6= 0) F(t) =ω1sin(ωt + ϕ) + c R

f(t) = sin(ωt + ϕ) (ω 6= 0) F(t) = −ω1cos(ωt + ϕ) + c R

f(t) = ex F(x) = ex+ c R

f(x) = 1x F(x) = ln x + c ]0 , +∞[

TABLE53.1 – Tableau des primitives usuelles

On considère dans le tableau53.2des fonctions u et v des fonctions dérivables sur un intervalle I. Fonction Une primitive Conditions

u0+ v0 u+ v ku0(k constante) ku u0un(n ∈ Z et n 6= −1) un+1n+1 u6= 0 sur I si n ≤ 0 u0 √ u 2√u u >0 sur I v0 v2 −1v v6= 0 sur I u0eu eu u0 u ( ln u ln(−u) ( si u >0 sur I si u <0 sur I u0(v0◦ u) v◦ u

TABLE53.2 – Opérations sur les primitives

53.2

Intégrale et aire

Le plan est rapporté à un repère orthogonal(O, #»ı, #»), non nécessairement orthonormal.

Définition 53.8 — Aire sous la courbe. Soit une fonction f, continue et positive sur un intervalle[a , b] et C sa courbe représentative. L’aire sous la courbe C sur l’intervalle [a , b] est l’aire du domaine plan D limité par l’axe des abscisses, la courbe C et les droites d’équations x = a et x = b. On note

Rb

af(x) dx cette aire et on lit l’intégrale (ou somme) de a à b de f.

R 53.9

1. Le domaine D peut aussi être considéré comme l’ensemble des points M du plan de coordonnées (x, y) telles que a ≤ x ≤ b et 0 ≤ y ≤ f(x).

2. L’aire du domaine D est exprimée en unité d’aire ; une unité d’aire étant l’aire du rectangle construit à partir des vecteurs unités.

(4)

a b

FIGURE53.2 – Le domaine D est l’ensemble des points M(x, y) tels que a ≤ x ≤ b et 0 ≤ y ≤ f(x).

L’unité d’aire étant l’aire du rectangle construit à partir des vecteurs unités.

Exemples 53.10 1. R01xdx = 12 car l’aire sous la courbe C représentative de f définie par

f(x) = x sur l’intervalle [0 , 1] est l’aire d’un triangle rectangle isocèle dont les deux côtés de

l’angle droit ont pour mesure1. 2. R01√1 − x2dx = π

4 car l’aire sous la courbe C représentative de f définie par f(x) =

√1 − x2sur l’intervalle[0, 1] est l’aire d’un quart de cercle de rayon 1.



(a)R01xdx (b)R01√1 − x2dx

FIGURE53.3 – Figure pour l’exemple

Propriété 53.11 Soit une fonction f continue, positive et croissante sur un intervalle[a , b] et C sa courbe représentative. L’aire sous la courbe C sur l’intervalle [a , b] est égale à la limite commune des deux suites adjacentes(un) et (vn) définie par :

un= b− a n n X k=0 f  a+ kb− a n  et vn= b− a n n X k=1 f  a+ kb− a n  où n ∈ N.

Pour tout entier n non nul, on divise l’intervalle[a, b] en n intervalles de même longueurb−a n . un

correspond à l’aire des rectangles sous la courbe. vncorrespond à l’aire des rectangles au-dessus de

la courbe. Pour tout n, on a

un

Z b

a f(x) dx ≤ vn.

Lorsque n augmente, l’écart entre l’aire des deux séries de rectangles et l’aire sous la courbe C dimi-nue.

(5)

53.2 Intégrale et aire 13

FIGURE53.4 – Représentation des suites unet vn

1. La propriété se généralise si f est seulement continue sur l’intervalle[a, b].

2. Si la fonction f est continue, positive et décroissante sur l’intervalle[a, b], on peut construire les deux suites de la même façon, mais c’est alors vnqui correspond à l’aire des rectangles sous la courbe. Propriété 53.13— Relation de Chasles, pour les aires. Soit une fonction f, continue et positive sur l’intervalle[a , b] et C sa courbe représentative. Pour tout nombre c appartenant à l’intervalle [a , b] :

Z b a f(x) dx = Z c a f(x) dx + Z b c f(x) dx.

On découpe l’aire sous la courbe C sur l’intervalle [a , b] en aires sous la courbe sur les intervalles [a , c] et [c , b].

a c b

FIGURE53.5 – Relation de Chasles

Exemple 53.14 Soit la fonction f dont la courbe représentative est donnée en figure53.6. Alors :

Z 2 −1f(x) dx = Z 1 −1f(x) dx + Z 2 1 f(x) dx = 3

(6)

FIGURE53.6 – Représentation graphique de f pour l’exemple

Définition 53.15 — Valeur moyenne. Soit une fonction f, continue et positive sur un intervalle[a , b]. On appelle valeur moyenne de la fonction f sur l’intervalle[a , b] le nombre réel

1

b− a Z b

a

f(x) dx.

La valeur moyenne de la fonction f correspond à la valeur qu’il faut donner à une fonction constante g sur l’intervalle[a , b] pour que l’aire sous la courbe représentative de g soit égale à l’aire sous la courbe représentative de f. L’aire du domaine hachuré est égale à l’aire du rectangle coloré.

a b

FIGURE53.7 – Valeur moyenne

Définition 53.16 Soit une fonction f continue et négative sur l’intervalle[a , b] et C sa courbe repré-sentative. Le nombreRb

af(x) dx est égal à l’opposé de l’aire du domaine D limité par la courbe C,

l’axe des abscisses et les droites d’équations x= a et x = b.

Propriété 53.17 Soit une fonction f, continue et négative sur l’intervalle[a , b] et C sa courbe repré-sentative. L’aire du domaine D limité par la courbe C, l’axe des abscisses et les droites d’équations

x= a et x = b est égale à Z b a −f(x) dx = − Z b a f(x) dx. Dv

• Démonstration de la propriété 53.17 — C−f, la courbe représentative de la fonction

−f, est symétrique par rapport à l’axe des abscisses de Cf, courbe représentative de f. L’aire du domaine D est égale, par symétrie, à l’aire sous la courbe C−f. Cette aire est donc

Rb

a −f(x) dx. D’après la définition53.16, elle est aussi égale à − Rb

(7)

53.2 Intégrale et aire 15

D

a b

Propriété 53.18 Soit une fonction f continue et négative sur l’intervalle[a , b]. La valeur moyenne de la fonction f sur l’intervalle[a , b] est égale à :

− 1 b− a Z b a −f(x) dx = 1 b− a Z b a f(x) dx.

 Exemple 53.19 Soit f la fonction définie sur l’intervalle [0 , 1] par f(x) = −x2. Sachant que

R1

0 x2dx = 13, la valeur moyenne de f sur l’intervalle[0, 1] est −13. 

Propriété 53.20 Soit f et g deux fonctions continues sur l’intervalle[a, b] telles que f > g. L’aire du domaine D limité par les deux courbes représentatives des fonctions f et g, et les droites d’équations

x= a et x = b est, en unités d’aire, Z b

a f(x) dx −

Z b

a g(x) dx.

Dv

•Démonstration de la propriété53.20—On découpe l’intervalle[a , b] selon que les fonc-tions f et g sont toutes deux du même signes ou de signe contraire.

(8)

a c

d b

Ainsi, dans la figure ci-dessus, l’aire entre les deux courbes est : — sur l’intervalle[a , c] : − Z c a −f(x) dx + Z b a −g(x) dx ; — sur l’intervalle[c , d] : Z b c f(x) dx + Z d c −g(x) dx ; — sur l’intervalle[d , b] : Z b d f(x) dx − Z b d g(x) dx.

En utilisant les propriétés précédentes, on obtient bien Z b a f(x) dx − Z b a g(x) dx

pour la valeur de l’aire du domaine D. •

53.3

Intégrale et primitive

Propriété 53.21 Soit une fonction f continue, positive sur l’intervalle[a , b] et C sa courbe représen-tative. L’aire sous la courbe C représentative de f sur l’intervalle [a , b],Rb

af(x) dx est égale en unité

d’aire à F(b) − F(a) où F est une primitive de f sur l’intervalle [a , b].

Dv

•Démonstration de la propriété53.21—La démonstration est faite dans le cas où f est croissante sur l’intervalle[a , b]. On admettra le résultat dans le cas général. Pour tout x tel que a ≤ x ≤ b, on note A(x) l’aire sous la courbe C sur l’intervalle [a , b]. Pour h > 0 :

(9)

53.3 Intégrale et primitive 17 soit f(x) ≤ A(x + h) − A(x) h ≤ f(x + h). Pour h <0 : (−h)f(x + h) ≤ A(x) − A(x + h) ≤ (−h)f(x). soit f(x + h) ≤ A(x + h) − A(x) h ≤ f(x). Ainsi lim h→0 A(x + h) − A(x) h = f(x).

La fonction A est donc dérivable pour tout x de l’intervalle [a , b] et sa dérivée est la fonction

f. De plus, A(a) = 0. Ainsi A est la primitive de f nulle en a. Soit F une primitive

quel-conque de f, on peut donc écrire A(x) = F (x)−F (a). L’aire sous la courbe C sur l’intervalle [a , b] vérifie donc Z b a f(x) dx = F (b) − F(a). a f (x) f (x + h) x x + h b • R 53.22 1. On utilise la notation : Z b a f(x) dx = [F (x)]ba= F (b) − F(a). 2. On a les égalités : Z b a f(x) dx = − Z a b f(x) dx = Z a b −f(x) dx.

(10)

x2+ 1, sur l’intervalle [−1 , 2] est : Z 2 −1(x 2+ 1) dx =1 3x3+ x 2 −1= 8 3 + 2 −  −13 −1  = 6.

2. L’aire sous la courbe représentative de la fonction f définie par f(x) = x4 sur l’intervalle

[0 , 1] est : Z 1 0 x 4dx =1 5x5 1 0= 1 5.

3. L’aire du domaine limité par la courbe représentative de la fonction f définie par f(x) = −1 x

et l’axe des abscisses sur l’intervalle[1 , 2] est : − Z 2 1 − 1 xdx = Z 2 1 1 xdx = [ln x] 2 1 = ln 2. 

Définition 53.24 Soit une fonction f continue sur un intervalle I et a un élément de I. Pour tout x appartenant à I, la fonction définie parRx

a f(t) dt est l’unique primitive de f sur I s’annulant en a.

Si F est une primitive quelconque de f sur I, alors

Z x

a f(t) dt = F (x) − F(a).

R 53.25 Si x > a et f positive sur l’intervalle[a , x], alors F (x) peut s’interpréter comme l’aire sous la courbe

représentative de f sur l’intervalle[a , x], exprimée en unité d’aire. Quels que soient a et b, éléments de I, Z b a f(t) dt = F (b) − F(a). Exemples 53.26 1. Sur R, Z x a 1 dt = Z x a dt = [t] x a = x − a. 2. Sur R, Z x 0 −t 2dt =1 3t3 x 0 = − 1 3x3. 3. Sur l’intervalle]0 , +∞[ : Z x 1 1 tdt = [ln x] x 1 = ln x. 4. Sur R : Z x 0 e tdt =hetix 0 = e x− 1. 

53.4

Propriétés algébriques de l’intégrale

(11)

53.4 Propriétés algébriques de l’intégrale 19 soient a, b et c éléments de I : Z b a f(x) dx = Z c a f(x) dx + Z b c f(x) dx.

R 53.28 Cette propriété prolonge la propriété53.21, qui a été établie dans le cas où les intégrales correspondent à

des aires. Exemple 53.29 Z 1 0 (|2 − t| + |1 − t|) dt = Z 1 0 (3 − 2t) dt + Z 2 1 dt + Z 3 2 (2t − 3) dt =h3t − t2i1 0+ [t] 2 1+ h t2− 3ti32 = 2 + 1 + 2 = 5. 

Propriété 53.30— Linéarité de l’intégrale. Soient deux fonctions f et g continues sur un intervalle I,

aet b des éléments de I, et α et β deux nombres réels. Alors : Z b a (αf(x) + βg(x)) dx = α Z b a f(x) dx + β Z b a g(x) dx. Exemple 53.31 Z π/4 0 (tan 2u) du =Z π/4 0 (1 + tan 2u) du −Z π/4 0 du = [tan u] π/4 0 − [u]π/40 = 1 − π4. 

Propriété 53.32— Fonctions paires et impaires. Soit f une fonction continue sur un intervalle I centré en0. Pour tout élément a de I :

— si f est paire :Ra −af(x) dx = 2 Ra 0 f(x) dx ; — si f est impaire :Ra −af(x) dx = 0.

L’interprétation graphique est la suivante :

— Si f est paire et positive sur l’intervalle[0 , a], les aires A1 et A2sont égales. Donc :

Z a −af(x) dx = Z 0 −af(x) dx + Z a 0 f(x) dx = A1+ A2 = 2A2 = 2 Z a 0 f(x) dx.

— Si f est impaire et positive sur l’intervalle[0 , a], les aires A1et A2sont égales. Donc :

Z a −af(x) dx = Z 0 −af(x) dx + Z a 0 f(x) dx = −A1+ A2= 0.

Propriété 53.33— Fonctions périodiques. Soit f une continue sur R, périodique de période T . Pour

tout nombre réel a : Z

a+T

a f(x) dx =

Z T

0 f(x) dx.

— Si f est positive,Raa+Tf(x) dx est l’aire sous la courbe représentative de f sur l’intervalle

[a , a + T ]. Par translations des domaines correspondants, on retrouve l’aire sous la courbe sur l’intervalle[0 , T ].

(12)

−a a A1 A2 (a) f paire −a a A1 A2 (b) f impaire

FIGURE53.8 – Intégrale de fonctions paires et impaires

a + T a

(13)

53.5 Intégrale et inégalités 21

53.5

Intégrale et inégalités

Propriété 53.34 Soit une fonction f continue positive sur un intervalle[a , b] :

Z b

a f(x) dx ≥ 0.

R 53.35

1. Ce résultat est immédiat, puisqueRb

a f(x) dx est, par définition, l’aire sous la courbe représentative de

f sur l’intervalle[a , b].

2. On peut retrouver le résultat à partir de Rb

af(x) dx = F (b) − F(a) où F est une primitive de f sur l’intervalle [a , b]. D’où F0 = f, or f est positive, donc F est croissante sur l’intervalle [a , b] et

F(b) ≥ F(a).

3. Attention ! Une fonction f peut très bien avoir une intégrale positive sur l’intervalle [a , b], sans être elle-même positive sur tout cet intervalle.

Propriété 53.36 Soit f et g deux fonctions continues sur un intervalle[a , b]. Si f ≤ g alors

Z b a f(x) dx ≤ Z b a g(x) dx.

R 53.37 On applique la propriété53.34à la fonction g − f qui est positive, ainsi que la propriété de linéarité de

l’intégrale.

Propriété 53.38— Inégalité de la moyenne. Soit une fonction f continue sur un intervalle I. — Si les réels m et M sont tels que, pour tout x de l’intervalle I, on a m ≤ f(x) ≤ M, alors si

I = [a, b] avec a < b :

m(b − a) ≤ Z b

a

f(x) dx ≤ M(b − a).

— Si le réel M est tel que, pour tout x de l’intervalle I, on a0 ≤ |f(x)| ≤ M, alors pour tous éléments a et b de I : 0 ≤ Z b a f(x) dx ≤ M |b − a| . R 53.39

1. Dans le premier cas, on applique la propriété53.36à l’inégalité m ≤ f(x) ≤ M sur l’intervalle [a , b]. 2. Dans le second cas, on applique la propriété53.36à l’inégalité −M ≤ f(x) ≤ M sur l’intervalle [a , b]

ou[b , a] selon que a < b ou a > b.

Exemple 53.40 Soit la fonction inverse sur l’intervalle[1 , 2]. On a :12x1 ≤ 1, d’où

1 2 ≤ Z 2 1 1 xdx ≤ 1, soit 12 ≤ ln 2 ≤ 1. 

(14)

y = 1/2 y = 1/x

1 2

1

FIGURE53.10 – 12 ≤R12x1dx ≤ 1

Définition 53.41 — Valeur moyenne. Soit une fonction f, continue sur un intervalle[a , b]. On appelle valeur moyenne de la fonction f sur l’intervalle[a , b] le nombre réel

1

b− a

Z b a

f(x) dx.

R 53.42Cette définition généralise la notion de valeur moyenne d’une fonction dans le cas où l’intégrale définissait

une aire. Cette fois-ci, la formule est valable dans le cas où celle-ci a un signe non constant sur l’intervalle [a , b].

Exemples 53.43 1. La valeur moyenne de la fonction sinus sur l’intervalle[0 , π] est :

1 π− 0 Z π 0 sin x dx = 1 π [− cos π] π 0 = π2.

2. La valeur moyenne de la fonction sinus sur l’intervalle[−π , π] est 0.

3. La valeur moyenne de la fonction définie par x 7→ x2− 1 sur l’intervalle [−32,32] est :

1 3 Z 3/2 −3/2(x 2− 1) dx = 1 3 1 3x3− x 3/2 −3/2 = 2313x3− x 3/2 0 = − 1 4. 

(15)

Bibliographie

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