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Arles. Place Jean-Baptiste Massillon

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: halshs-01412933

https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01412933

Submitted on 5 Feb 2021

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Arles. Place Jean-Baptiste Massillon

Delphine Isoardi

To cite this version:

Delphine Isoardi. Arles. Place Jean-Baptiste Massillon. Bilan Scientifique Régional - SRA PACA, 2010, 2011, Bilan Scientifique de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. �halshs-01412933�

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121 Au sud-est, une voie parallèle au fleuve est bordée par

un artisanat peut-être lié au travail du métal. Au cours du IIe s., ces occupations sont dérasées et remplacées

par un vaste complexe architectural se développant au nord de la voie et doté de sols de terre. La régularité des pièces et le peu de soin apporté à leur construction orientent leur interprétation vers des entrepôts liés au fleuve tout proche. Ce bâtiment est détruit par le feu dans le IIIe s., les murs en sont épierrés et une occupation plus

sporadique des lieux persiste aux IV e et V e s.

Ces derniers niveaux antiques sont directement scellés par les épais remblais rapportés au XIXe s. pour la

créa-tion de l’ esplanade de chemin de fer.

● Le second sondage a livré des vestiges plus arasés et délicats à restituer. Ils s’ organisent de part et d’ autre d’ une voie nord-ouest / sud-est et présentent une chrono- logie identique entre le Ier et le IIIe s. La destruction

par incendie vers le milieu du IIIe s. est ici suivie de

réoccupations plus marquées avec l’ implantation d’ un collecteur en rupture par rapport à la trame préexistante

et la présence de deux structures excavées, un four et un puits qui témoignent d’ une véritable occupation des lieux autour du V e s.

Ce diagnostic a également livré plusieurs éléments dé-terminants quant à l’ évolution hydrologique holocène du Rhône dans sa traversée d’ Arles :

• l’ irrégularité topographique du toit des cailloutis pléis-tocènes induite par les encaissements successifs des anciens lits du Rhône ;

• la présence, sous l’ emprise du diagnostic, d’ un ancien chenal du fleuve entre 8 et 22 m de profondeur. Sa data-tion précise sera assurée par analyses par radiocarbone ; • l’absence de séquence sédimentaire médiévale ; • à l’ inverse, l’ importante dilatation des dépôts modernes attribuables au petit âge glaciaire. Ces derniers, com-posés d’ une importante charge sableuse de chenaux mobiles, reposent directement sur les niveaux d’ occupa-tion du Bas-Empire. Le lit du fleuve était alors plus large qu’ aujourd’ hui et certainement moins profond.

Philippe Mellinand et Olivier Sivan

ARLES

Place Jean-Baptiste-Massillon

Diachronique

La fouille de sauvetage sise au 5 place Jean-Baptiste- Massillon, sous le séminaire du XVIIe s. attenant à la

chapelle Saint-Martin du Méjan, a été réalisée en deux campagnes entre 2009 et 2010 1.

Le site se trouve à un peu plus de 40 m des berges actuelles du Rhône, dans le quartier du Méjan, juste à l’ est du pont de Trinquetaille. Il a permis de dévoiler, en milieu urbain, 6,60 m de stratigraphie cumulée, sur en-viron 180 m2 explorés, entre 1,57 et 8,20 m NGF. Ces

données (sur six zones) balayent une occupation qui va du changement de l’ ère / début du Ier s. à l’ occupation

moderne, avec seulement quelques lacunes pour le Bas-Empire. Son principal intérêt fut de mettre au jour deux ensembles totalement inédits pour la ville d’ Arles : des aménagements monumentaux des berges du Rhône sous forme d’ arcs parallèles, datant des premiers temps de la ville romaine, et un espace dallé du IV e s.

totale-ment inattendu en ce secteur.

● Aménagement antique des berges du Rhône

Côté Rhône (zone 1) ont été identifiées, sur plus de 9 m d’ est en ouest, deux rangées parallèles d’ arcs bâtis en pierre de taille, avec un appareil à bossage rustique (fig. 98). Distantes d’ environ 4,30 m, elles sont également parallèles au lit du Rhône. L’ extrados de ces arcs se situe entre 5,22 et 5,37 m NGF. Seule l’ élévation d’ un arc est connue dans son entier (base à 1,57 m), mais le type de fondation reste inconnu. Aucun indice sur une possible couverture au-dessus de ces arcs. Il a été démontré

que les piédroits sont en eau uniquement en période de crue, et que l’ eau passant sous les arcs perdait en puissance en allant vers la ville. Un terminus ante quem (tardif) pour cet ensemble indique la fin du Ier s., en

ac-cord avec les comparaisons stylistiques (augustéennes voire pré-augustéennes ?).

Côté ville (zone 3) à 10,40 -10,50 m au sud, est apparu un mur de direction est-ouest (MR3013) dont le sommet correspond à l’ extrados d’ un arc (5,22 m). Ce mur, suivi sur environ 6 m, est en outre parfaitement parallèle aux arcs. Bâti en petits moellons puis enduit, avec un cou-ronnement en pierres taillées de grand appareil, sa base n’ est pas atteinte mais il pourrait avoir mesuré 2 m de

1. Opérations sous la direction de Delphine Isoardi, avec une équipe constituée de membres du CCJ, du LAMM, de l’IRAA, du CEREGE, du SRA DRAC-PACA, du musée départemental de l’Arles Antique,

d’étudiants et de bénévoles. Fig. 98 – ARLES, place Jean-Baptiste-Massillon. Vue de l’arc n° 4 (cliché Ph. Groscaux / CNRS-CCJ).

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haut (d’ après les éléments des sondages géomorpho-logiques). Il est daté de manière assez large, autour du tournant notre ère / époque augustéenne.

Données topographiques, altimétrie et éléments de data-tion sont les trois arguments laissant supposer que l’ en-semble relève d’ un même projet. Le mur de la zone 3 vient alors barrer les débordements du Rhône côté ville (au moins ponctuellement). Les carottages géomorpho-logiques pratiqués dans les deux zones et à l’ aplomb de ces structures ont révélé la présence de la berge natu-relle du fleuve juste sous les constructions (entre 1,50 et 3,20 m), démontrant aussi que cet ensemble est bâti sur un espace naturel, non anthropisé. Sur les 10,40-10,50 m qui séparent le mur de la rangée sud des arcs, espace archéologiquement inconnu à ce jour, rien n’ exclut la pré-sence d’ autres rangées d’ arcs. De même en allant vers le Rhône, d’ autres séries d’ arcs sont possibles. Datables au moins de l’ époque augustéenne (voire antérieurs ?), les niveaux de crue successifs n’ ont pas été déblayés, conduisant à l’ engorgement du passage sous les arcs vers la fin du IIe s. (le démontage des arcs est effectif

dans le IIIe s.).

● Les épisodes de crue antiques

Au moins dix ou onze épisodes de crue ont été identifiés, entre la fin du Ier et la fin du IIe s. / début du IIIe s., entre les

arcs côté Rhône. Côté ville, des couches de crue, bien que moins importantes, ont également été repérées dès l’ époque augustéenne (au plus tard) : la plus ancienne US identifiée contre le mur MR3013 est soit une couche de crue, soit un remblai avec éléments fluviatiles anté-rieurs, ou encore un remblai bouleversé par des crues (interprétation délicate). Au sud de ce mur, côté ville, vont ensuite alterner des couches de crue et de remblai, jusqu’ aux IIe-IIIe s.

● Phases de remblaiement

Il est possible que la présence de ces résidus de crues (non systématiquement déblayés) aient favorisé l’ appari-tion d’ une hydromorphie, expliquant les aménagements suivants : des épisodes de remblaiement aussi bien entre les arcs que côté ville (au sud de MR3013).

Côté arcs, la perception d’ une fermeture de la circulation d’ eau, lisible en géomorphologie, est archéologiquement attestée par l’ installation de gros blocs selon un aligne-ment nord-sud (dont un énorme fragaligne-ment de chapiteau d’ angle à acanthes à deux registres, d’ un diamètre de 1,30 m et datable de la deuxième moitié du Ier s.),

bar-rant la circulation du fleuve. Ce barrage est associé à un épais apport de remblai, avec de nombreux éléments constitutifs imperméabilisants (gros fragments de béton de tuileau à la base). L’ ensemble est datable de la fin du IIe s.-début du IIIe s. et atteint la côte maximale de

3,73 m NGF.

Côté ville, on trouve un remblai avec matériaux de construction et éléments rubéfiés à la base. À ce moment- là, le grand mur est-ouest MR3013-5006 est devenu mur de soutènement. L’ ensemble atteint les environs de 5,30 m et est daté, de manière imprécise, du Ier ou IIe s.

Ces remblais permettent d’ accéder au sommet de ce mur, et passent même au-delà ; d’ où l’ idée d’ une utili-sation de l’ espace entre MR3013 et les arcs, mais qui reste indéterminée.

Un intérêt de ces phases de remblaiement est de donner une image indirecte du bâti alentour via les matériaux de construction remployés (tegula, marbre, tesselles de bassin, enduits rouge et bleu…). Et notamment avec le chapiteau monumental et la colonne, relatifs à un monu-ment inconnu et non localisé mais pouvant être daté de la deuxième moitié, voire fin, du Ier s.

● Un niveau de circulation côté ville et des installations sommaires dans l’ espace entre les arcs

Au-dessus de ces remblais, côté ville, le seul sol de cir-culation construit est à environ 5,54 et 5,60 m NGF, mais repéré très ponctuellement et datable très imprécisément entre le Ier et le IV e s. (terminus ante quem au VIe s.).

Pour le IIIe s., entre les arcs, les données sont nettement

plus riches : on note les installations successives d’ au moins trois éléments. D’ abord une rangée de piliers que l’ on suppose avoir soutenu un plancher ou ponton vers le Rhône, au-dessus du remblai (vers 5,20 m et peut-être appuyé sur le sommet des arcs du nord ?). De ce niveau pourraient avoir été jetés des éléments mobiliers car l’ es-pace entre les arcs une fois remblayé devient zone de dépotoir. Puis rapidement est construit un mur orienté est-ouest et s’ appuyant contre l’ ouverture des arcs (sa fonction reste inconnue). Enfin, est construit un espace sur les piédroits d’ un arc détruit ; le sommet de ce pié-droit a conditionné l’ installation du niveau de sol, et un bloc éboulé a été réutilisé de manière opportuniste pour installer le mur sud. Toutes ces réoccupations, assez sommaires, sont dans une zone dévolue au rejet de dé-chets domestiques. Cette zone, au début du Bas-Empire, renvoie l’ idée d’ installations sommaires, dans une zone plutôt marginale côté Rhône (dépotoir en continu).

● Le dallage de l’ Antiquité tardive

Côté ville, le site connaît un réaménagement de grande ampleur, avec l’ installation d’ une place dallée. Le dal-lage est constitué de dalles taillées rectangulaires en calcaire froid, de 1,74 à 1,80 m de long pour 84 à 92 cm de large, sur 24 à 26 cm d’ épaisseur. Disposées dans le sens nord-sud, ces dalles définissent une place piétonne d’ au moins 120 m2 (au moins 11,70 m d’ est en ouest et

10,80 m du nord au sud). Son altitude tourne autour de 6 m NGF, avec un léger pendage nord (voire nord-est). Le remblai préparatoire est clairement datable de la se-conde moitié du IV e s. fournissant un terminus post quem

au dallage.

La présence de trous de pince à crochet associés à un remblai meuble est apparue étonnante : l’ hypothèse a été émise d’ une fabrication standardisée de dalles avec trous de pince, employées ici de manière non convention-nelle – voire d’ une récupération de dalles d’ une ancienne place dallée démontée ?

Difficile d’ identifier des aménagements en rapport avec cette place dallée : sans doute une petite structure en creux, en pierres taillées, dans le dallage, à la fonction indéterminée ; ensuite des trous de poteaux et autres re-creusements des dalles suggèrent la présence de struc-tures démontables ou en matériaux périssables installées sur cette place, entre le IV e s. et globalement l’ an Mil.

Une limite nord semble avoir été identifiée : dès la mise en place du dallage ou peu après, ont été posés au moins deux blocs taillés pouvant avoir servi d’ emmarchement.

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123 L’ espace au-delà au nord et vers les arcs n’ est pas connu

car, entre les arcs, nous ne disposons pas des niveaux contemporains. De fait nous ne savons pas comment se faisait l’ accès au Rhône au IV e s. et durant l’ Antiquité

tardive.

Après la pose de ce dallage sont apparus mouvements et altérations des dalles (cassure est-ouest et surtout, “ exhaussement ” – vers la ville, zone 4), ayant occasionné des restaurations que cette zone a conservées.

● Occupations de la fin de l’ Antiquité tardive au Moyen Âge ; aperçu sur les états modernes

En ce qui concerne la fin de l’ Antiquité tardive / début du Moyen Âge, seule la zone côté ville donne quelques infor-mations : le “ démontage ” du dallage a commencé autour de l’ an Mil. À deux reprises, suite aux déformations du dallage, des travaux ont conduit à restaurer une hori-zontalité au-dessus du dallage au moins dans la zone 4 – travaux entre lesquels s’ intercale un épisode de crue. Pour les vestiges médiévaux et modernes, nous retrouvons des indices aussi bien en zone 4 (vers la ville) qu’ en zone 1 (côté fleuve). En zone 4, au-dessus des aménagements visant à restaurer une horizontalité sur le dallage, n’ ont été identifiées que des couches de destruction de structures bâties, repoussées dans cette zone (avec beaucoup de charbons) et datables des VIIIe

-IXe au XIIe s. (et au-delà). Ces rebuts se trouvent encore

alternés avec quelques dépôts de crue. La dernière crue datable remonte au XIIe s. et se situe à 6,90 m NGF.

Doit-on en déduire qu’ en raison d’ une insalubrité de la zone (rendue humide par des dépôts de crue non éva-cués), cet espace a été laissé à l’ abandon dès la fin de l’ Antiquité tardive ? On suppose de fait un abandon du secteur, et cela malgré la présence de l’ église Saint-Martin, dont la construction pourrait avoir démarré au IXe s. Ensuite, avant la construction des murs du

sémi-naire du XVIIe s., ont été repérés deux tronçons de murs

nord-sud arasés non datés (à priori la partie basse au moins de ces murs est fondée en tranchée perdue, donc après la sédimentation médiévale de la zone 4). Enfin, les murs du séminaire du XVIIe s. ont été construits en

tranchée perdue (et les espaces entre ces fondations vidés plus tard selon les besoins). C’ est cela qui a permis de conserver une importante stratigraphie en zone 4. En zone 1, côté fleuve, vers l’ est nous avons mis au jour les fondations de la chapelle Saint-Martin : un amas de très gros blocs en vrac comblant l’ espace entre les arcs au-delà du mur oriental de la cave. Cette chapelle est bâtie en partie dessus, en partie appuyée sur les arcs antiques laissés en élévation. Il n’ y a malheureusement, dans cette zone, aucun élément de datation. Viendront ensuite différents aménagements modernes et contem-porains : remontage de quelques arcs, construction des murs du séminaire, comblement de l’ espace entre les arcs avant d’ asseoir le sol de circulation de cette cave vers 5,50-5,55 m.

Delphine Isoardi

ARLES

La Montille d’Ulmet, Camargue

Antiquité tardive

Cette opération concerne l’ étude archéologique et paléo- environnementale d’ un site de l’ Antiquité tardive (IIIe

-VIIe s.) interprété comme un avant-port d’ Arles 1. Avec

une extension probable de 4 ha, le site de la Montille d’ Ulmet apparaît comme l’ un des sites majeurs pour cette période, le plus méridional de cette partie de la Camargue, probablement localisé sur l’ estuaire du che-nal fluvial dominant et le mieux placé pour drainer les courants économiques méditerranéens venant de l’ est. Des travaux menés dans l’ étang d’ Ulmet en août 2009 avaient mis en évidence des aménagements datés des IV e-VIe s. pouvant se rapporter à des installations

por-tuaires. La fouille réalisée en 2010 avait pour objectifs de préciser la nature et la datation de ces vestiges et de les replacer dans leur contexte paléoenvironnemental.

Une prospection électrique a cherché à déterminer les secteurs propices à l’ implantation des zones de fouilles. Dix profils électriques réalisés dans deux secteurs du site ont caractérisé la profondeur et la densité des vestiges. Sur la base de ces informations, deux zones de fouilles de 100 m2 chacune environ ont été décapées en bordure

de l’ étang d’ Ulmet et à l’ extrémité septentrionale du site. La demande d’ autorisation concernait également les aménagements découverts en 2009 dans l’ étang alors asséché ; il était prévu en particulier de dégager en extension l’ ensemble du débarcadère. Les conditions météorologiques au cours du printemps 2010 n’ ont pas permis aux terrains de s’ assécher suffisamment pour rendre cette partie du site accessible, l’ opération a donc été limitée aux zones émergées.

● Zone 1

Cette zone a été implantée en bordure de l’ étang, à proximité du débarcadère repéré en 2009, pour tenter de percevoir les liens fonctionnels entre les zones inter- prétées comme fluviales et les secteurs émergés (fig. 99). Les vestiges apparaissent à 0,20-0,30 m de la surface, sous une couche de limons stérile. L’ espace bâti est interprété comme un vaste bâtiment dont seule la limite ouest a pu être précisée. L’ un des espaces, exploré sur seulement 30 m2, est doté d’ un épais sol constitué

de fragments de tuiles qui évoque un usage autre que

1. Équipe scientifique : C. Landuré (SRA DRAC-PACA), Cl. Vella (CNRS / CEREGE, université Aix-Marseille III) ; prospection géo-électrique : D. Hermitte (CNRS / CEREGE, université Aix-Mar-seille III), J.-Cl. Parisot (IRD / CEREGE université Aix-MarAix-Mar-seille III), Ph. Dussouillez (CNRS / CEREGE, université Aix-Marseille III), V. Canut (CNRS / CEREGE, université Aix-Marseille III) ; topo-graphie : Ph. Dussouillet (CNRS / CEREGE, université Aix-Marseille III) ; études paléoenvironnementales : Cl. Vella, V. Canut ; céramo-logie : M. Bonifay (CNRS / CCJ UMR 6573), G. Suppo (université Aix-Marseille) ; anthracologie : A. Durand (CNRS / LAMM UMR 6572 et CCJ UMR 6573), C. Cenzon : (CNRS / LAMM UMR 6572) ; malacologie : É. Coulet (Réserve nationale de Camargue) ; pho-tographie : M. Olive (SRA DRAC-PACA).

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