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L15 [V2-VàC] PGCD, égalité de Bézout

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(1)

9

PGCD, égalité de Bézout

15

Leçon n° Niveau Terminale S Spé

Prérequis divisibilité, nombres premiers

Références [44], [45], [46], [47]

15.1

PGCD : Plus grand commun diviseur

15.1.1 Définition

Définition 15.1 — Plus grand commun diviseur. Soient a, b deux nombres entiers relatifs non nuls. L’ensemble des diviseurs communs de a et de b admet un plus grand élément que l’on appelle le plus grand commun diviseur de a et de b.

R 15.2

1. b | a si et seulement si PGCD(a, b) = b. 2. Soient a et b deux entiers relatifs :

PGCD(a, b) = PGCD(|a| , |b|).

15.1.2 Propriétés

Propriétés 15.3 Étant donnés quatre nombres entiers a, b, c et d. 1. PGCD(a, b) = PGCD(b, a) ;

2. PGCD(ka, kb) = k PGCD(a, b) avec k ∈ Z. 3. Si a | c et b | d alors PGCD(a, b) | PGCD(c, d).

Dv

•Démonstration des propriétés15.3—

1. Triviale

2. Soit k 6= 0, on peut appliquer l’algorithme d’Euclide sur a et b :                      a= bq0+ r0 b= r0q1+ r1 r0= r1q2+ r2 ... rn−2= rn−1qn+ rn rn−1= rnqn+1+ 0 (15.1)

(2)

Donc, d’après (15.1),PGCD(a, b) = rn. On multiplie les expressions de (15.1) par k :                      ka= kbq0+ kr0 kb= kr0q1+ kr1 kr0= kr1q2+ kr2 ... krn−2= krn−1qn+ krn krn−1= krnqn+1+ 0 D’oùPGCD(ka, kb) = krn.

3. CommePGCD(a, b) | a, a | c et PGCD(a, b) | b et b | d alors PGCD(a, b) divise c et d donc divisePGCD(c, d).

15.1.3 Algorithme d’Euclide, exemples

Théorème 15.4— Théorème d’Euclide. Soient a et b deux entiers non nuls. La suite des diviseurs euclidiennes :

— de a par b : a= bq0+ r0;

— de b par r0(si r0 6= 0) : b = q1r0+ r1;

— . . .

— de rn−1par rn(si rn6= 0) : rn−1 = rnqn+1+ rn+1

fini par s’arrêter un des restes riétant nul. Le dernier reste non nul est alors lePGCD(a, b) (si r0 = 0

alorsPGCD(a, b) = b).

Dv

•Démonstration du théorème15.4—Les inégalités b > r0 > r1 >· · · > rn >· · · ≥ 0

montrent que la suite(rk)k∈Nest une suite décroissante d’entiers naturels, cette suite est finie. D’autre part, considérons l’égalité a= bq0+ r0:

— tout diviseur de a et b divise a − bq0, c’est un diviseur de b et r0; — tout diviseur de b et r0divise bq0− r0, c’est un diviseur de b et r0.

Ainsi, les diviseurs communs de a et b sont ceux de b et r0et il va de même pour le plus grand d’entre eux :PGCD(a, b) = PGCD(b, r0).

On peut appliquer ce raisonnement à chaque égalité :

PGCD(a, b) = PGCD(b, r0) = · · · = PGCD(ri−1, ri−2).

Or si ri−2= ri−1qi+ 0 alors PGCD(a, b) = PGCD(ri−1, ri) = ri−1avec ri= 0. • On donne maintenant un algorithme qu’on peut écrire sur Xcas :

pgcdeuclide(a,b):={ local r; tantque b<>0 faire r := irem(a,b) a := b b := r ftantque

(3)

15.2 Nombres premiers entre eux 11

retourne(a) }

Exemple 15.5 CalculerPGCD(1636, 1128). 

Dv

•Exemple15.5—On applique l’algorithme d’Euclide : 1636 = 1128 + 508 1128 = 2 × 508 + 112 508 = 4 × 112 + 60 112 = 60 + 52 60 = 52 + 8 52 = 6 × 8 + 4 8 = 4 × 2 + 0. Donc :PGCD(1636, 1128) = 4.

15.2

Nombres premiers entre eux

15.2.1 Premiers résultats

Définition 15.6 Soient a et b deux entiers relatifs non nuls, a et b sont premiers entre eux si et seulement siPGCD(a, b) = 1.

Propriété 15.7 Soient a et b deux entiers naturels non nuls. δ est lePGCD de a et de b si et seulement si, a

δ et δb sont des entiers premiers entre eux.

Dv

•Démonstration de la propriété15.7—On justifie que a δ et

b

δ sont des entiers naturels non

nuls.

Comme δ = PGCD(a, b), δ | a et δ | b donc il existe deux entiers relatifs k et k0 tels que

kδ= a et k0δ= b, d’où δ = a k = b k0. a δ = a a k = a ×ka = k ∈ Z b δ = b b k0 = b ×kb0 = k0∈ Z. Si d= PGCD(a δ, b

δ) alors, en utilisant la formule d’homogénéité, on obtient :

d= PGCD(a δ, b δ) = 1 δPGCD(a, b).

(4)

Or δ= PGCD(a, b) d’où d = 1. Réciproquement, si a

δ et b

δ sont premiers entre eux alorsPGCD( a δ,

b

δ) = 1. En utilisant une

nouvelle fois, la formule d’homogénéité : PGCD(a δ, b δ) = 1 PGCD(a, b)PGCD(a, b) = 1 et ainsi, δ= PGCD(a, b). • 15.2.2 Application Application 15.8 Factoriser 1234513991.  Dv •Application15.8—On calculePGCD(12345, 13991). 13991 = 12345 × 1 + 1646 12345 = 1646 × 7 + 823 1646 = 823 × 2 + 0. Donc :PGCD(12345, 13991) = 823 et : 12345 = 15 × 823 13991 = 17 × 823 D’où : 12345 13991 = 1517. CommePGCD(15, 17) = 1, la fraction 15 17 est irréductible. • 15.2.3 Théorème de Gauss

Théorème 15.9— Théorème de Gauss. Soient a, b et c trois entiers relatifs non nuls. Si a | bc et a

etb sont premiers entre eux alors a | c.

Dv

•Démonstration du théorème15.9—Comme a | bc, il existe un entier k tel que bc = ka.

Comme a et b sont premiers entre eux, d’après le théorème de Bézout, il existe des entiers relatifs u et b tels que au+ bv = 1.

En multipliant par c cette dernière égalité, on obtient :

c= acu + bcv = acu + kav = a(cu + kv).

(5)

15.3 Égalité de Bézout 13

Proposition 15.10 Soient a, b et c trois entiers relatifs. Si a | c, b | c, a et b sont premiers entre eux alors ab | c.

Dv

•Démonstration de la proposition15.10—Comme a | c, il existe d ∈ Z tel que c = ad.

Comme b | c, il existe d0 ∈ Z tel que c = bd0. Donc ad = bd0. Comme a divise bd0 et PGCD(a, b) = 1, d’après le théorème de Gauss, a divise d0. Il existe donc d00 ∈ Z tel que

d0 = ad00. Donc :

c= d0b= ad00b.

15.3

Égalité de Bézout

Théorème 15.11 Soient a et b deux entiers relatifs non nuls et d leur PGCD. Alors il existe des entiers relatifs u et v tels que au+ bv = d. On appelle cette égalité, égalité de Bézout.

Dv

•Démonstration du théorème15.11—

— Soit E l’ensemble des entiers naturels non nuls de la forme ax+ by où x et y sont des entiers relatifs.

Eest une partie non vide de N. En effet, on a, par exemple, |a| ∈ E car, selon le signe de a, l’entier naturel |a| s’écrit a × 1 + b × 0 ou a × (−1) + b × 0. E étant une partie non

vide de N, E admet un plus petit élément n.

Par définition de E, il existe donc des entiers relatifs u et v tels que n= au + bv. Or d divise a et b donc d divise n, d’où d ≤ n.

— On montre que n divise a en écrivant la division euclidienne de a par n : a= nq + r avec 0 ≤ r < n et q ∈ Z. Donc :

r= a − nq = a − q(au + bv) = a(1 − qu) + b(−qv).

Ainsi r est de la forme ax+ by avec x et y des entiers relatifs. De plus, r < n donc, par définition de n, r /∈ E. Alors nécessairement r = 0 et donc n divise a.

— On montre de même que n divise b. D’où, par définition de d, n ≤ d. Finalement, on obtient d= n = au + bv.

Théorème 15.12— Théorème de Bézout. Deux entiers relatifs a et b sont premiers entre eux si et seulement si il existe des entiers relatifs u et v tels que au+ bv = 1.

Dv

•Démonstration du théorème15.12—Si a et b sont premiers entre eux alorsPGCD(a, b) = 1 et donc, avec la propriété précédente, au + bv = 1.

(6)

Réciproquement, on suppose qu’il existe des entiers relatifs u et v tels que au+ bv = 1. Soit

D= PGCD(a, b) alors D divise a, D divise b donc D divise au + bv, d’où D = 1.

Exemple 15.13 Résoudre l’égalité de Bézout suivante :

266u + 224v = PGCD(266, 224).



Dv

• Exemple15.13— On détermine tout d’abordPGCD(266, 244) avec l’algorithme d’Eu-clide :

266 = 1 × 224 + 42 224 = 5 × 42 + 14

42 = 3 × 4 + 0. D’oùPGCD(266, 224) = 14. On résout donc l’équation :

266u + 224v = 14. Par l’algorithme d’Euclide, on trouve :

14 = 224 − 5 × 42 14 = 224 − 5(266 − 244) 14 = 6 × 224 − 5 × 266. On obtient u= −5 et v = 6.

On peut montrer que toutes les solutions sont les couples : {(−5 + 224k, 6 − 266k), k ∈ Z} .

15.4

Applications

15.4.1 Décomposition en facteurs premiers et PGCD

Théorème 15.14— Théorème fondamental de l’arithmétique. Pour tout n ∈ N\ {1}.

1. Il existe k nombres premiers naturels, p1, . . . , pkdistincts deux à deux et des nombres entiers

non nuls α1, . . . , αktels que :

n= pα11· · · pαk

k .

2. Il y a unicité de cette décomposition à l’ordre des facteurs près.

Dv

(7)

15.4 Applications 15

Existence : La démonstration se fait par récurrence sur n. Initialisation : Si n = 2 alors n = 21.

Hérédité : Si n ≥ 2 alors n possède au moins un diviseur premier de p et l’on peut écrire

n = pm avec m < n. Si m = 1 alors c’est fini ! Sinon on applique l’hypothèse de

récurrence à m pour obtenir la décomposition sur n. Unicité : la démonstration de l’unicité se fait par récurrence sur n.

Initialisation : L’unicité est évidente pour n = 2. En effet, si 2 = qβ1

1 · · · qβm

m montre

que qi | 2 pour tout 1 ≤ i ≤ m, ce qui impose d’avoir m = 1, q1= 2 et β1= 1.

Hérédité : Si l’unicité est démontrée jusqu’au rang n, on suppose que :

n+ 1 = pα1

1 · · · pαkk = q β1

1 · · · qmβm

avec α1, . . . , αk, β1, . . . , βm∈ N∗et où les p1, . . . , pket q1, . . . , qmsont des nombres

entiers.

pk | q1β1· · · qmβm donc pk divise l’un des qi, par exemple pk | qm. Comme pk est

premier, cela entraîne que pk = qmet :

n+ 1 pk = pα1 1 · · · pαkk−1 = q β1 1 · · · qβmm−1.

On applique l’hypothèse de récurrence à cette décomposition en distinguant deux cas :

1. Si αk = 1 alors βm= 1 autrement qmdiviserait l’un des piavec i 6= m, ce qui

est absurde.

2. Si αk>1 alors βm>1 autrement pkdiviserait l’un des qiavec i 6= k, ce qui est

encore absurde.

Théorème 15.15 Soient a et b deux entiers naturels tels que :

a= pα11· · · pαk k et b= p β1 1 · · · pβkk. Alors : PGCD(a, b) = pδ1 1 · · · pδkk avec δi= min({αi, βi}). Dv

•Démonstration du théorème15.15—Soit d = pδ1

1 · · · pδkk. On vérifie que d est bien un

diviseur commun de a et de b. Réciproquement, soit d0un diviseur commun de a et de b. Tout facteur premier p de d est aussi un facteur premier de a et de b. Si pδ

i divise a et b alors δ ≤ αi

et δ ≤ βionc :

δ≤ δi = min({αi, βi}).

(8)

15.4.2 Applications de la vie de tous les jours

Problème 15.16 Un jardinier doit planter une haie autour d’une passerelle rectangulaire de longueur

10,2 m et de largeur 7,8 m. Il doit mettre un plant à chaque sommet d’un rectangle et espacer les plants régulièrement d’un nombre entier de centimètres.

Combien de plants au minimum peut-il planter ? 

Dv

•Solution du problème15.16—On calculePGCD(102, 78) par l’algorithme d’Euclide : 102 = 78 × 1 + 24

78 = 24 × 3 + 6 24 = 6 × 4 + 0 On a de plus :

102 = 6 × 17 et 78 = 6 × 13.

Les plants devront être plantés à6 cm d’espacement chacun. Sur une longueur, on peut planter 17 plants et sur la largeur, 13 plants. Donc, on peut planter (13 + 17) × 2 = 60 plants. •

Problème 15.17 Une fleuriste dispose de244 lys, 366 roses et 183 œillets roses. En utilisant le tout,

quel nombre maximal de bouquets identiques peut-elle composer ?

Préciser la composition d’un bouquet. 

Dv

•Solution du problème15.17—On a :

PGCD(244, 366, 183) = PGCD(PGCD(244, 366), 183) = PGCD(122, 183) = 61. On peut donc composer au maximum61 bouquets. La composition du bouquet est :

— 4 lys ; — 6 roses ; — 3 oeillets roses.

15.4.3 Équation de droite

L’ensemble des points M(x, y) vérifiant l’équation ax + by = c forme une droite. Les couples d’entiers relatifs vérifiant cette équation correspond aux points M de la droite dont les coordonnées sont entières. La résolution de l’équation dans l’ensemble des entiers relatifs permet de donner les coordonnées de ces points. Selon la valeur de c, la droite D peut ne jamais passer par des points de coordonnées entières ou bien posséder une infinité de points de coordonnées régulièrement répartis.

(9)

15.4 Applications 17 2 4 6 8 10 2 4 6 8 10 0 A(3, 1)

FIGURE15.1 – Résolution graphique de l’équation9x + 6y = 27. Existence de solutions car la droite

a un point à coordonnées entières.

2 4 6 8 10 2 4 6 8 10 0

FIGURE15.2 – Résolution graphique de l’équation9x + 6y = 23. Non-existence de solutions car la

(10)

15.5

Questions du jury

15.5.1 Propositions personnelles de questions

Exercice 15.18 Dans la définition 15.11, pourquoi les diviseurs communs de a et de b ont un plus

grand élément ? 

Exercice 15.19 Résoudre l’équation diophantienne :266u + 224v = 98.  Exercice 15.20 Démontrer le théorème 15.14 et 15.15.  Exercice 15.21 Donner une correction du problème 15.16 face à une classe de Term S.   Exercice 15.22 Peut-on définir le PGCD de trois nombres entiers ? Résoudre alors le problème

15.17. 

15.5.2 Questions proposées par [46]

Exercice 15.23 Expliquez comment définir lePGCD de deux nombres entiers naturels en utilisant

l’algorithme d’Euclide. Justifiez complétement votre définition et, en particulier, expliquez pourquoi l’algorithme d’Euclide aboutit après un nombre fini de calculs.  Exercice 15.24 Connaissez-vous une interprétation géométrique de l’algorithme d’Euclide qui

per-met de calculer lePGCD de deux nombres entiers ? 

Exercice 15.25 Déterminer les couples d’entiers relatifs dont lePGCD est 15 et la différence 105. 

Exercice 15.26 Soient a, b, n ∈ N. Montrer que PGCD(a, b) = 1 entraîne que PGCD(a, bn) = 1.

La réciproque est-elle vraie ? 

Exercice 15.27 On suppose que les entiers u et v sont premiers entre eux et de parités différentes.

Démontrer que les entiers2uv, u2+ v2, u2− v2sont premiers entre eux deux à deux.  15.5.3 Questions proposées par [47]

Exercice 15.28 Est-ce qu’on peut résoudre l’équation suivante :4x − 2y = 5 avec x et y des entiers

relatifs ? 

Exercice 15.29 Pouvez-vous montrer que l’algorithme d’Euclide s’arrête à un moment donné ?  Exercice 15.30 À quoi servent les théorèmes de Bézout et Gauss ? 

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Bibliographie

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