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Quantifications équivariantes

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(1)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

Quantications équivariantes

Fabian Radoux Jussieu, 28 Mars 2011

(2)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux Introduction

• Observables classiques : fonctions sur une variété symplectique (M, ω).

• Observables quantiques : opérateurs sur un espace de Hilbert H.

• Problème de Dirac : trouver une bijection Q : C∞(M) → L(H)telle que

Q(1M) =IdH,

Q(¯f) = Q(f )∗,

Q({f , g}) = i

(3)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux Introduction

• Observables classiques : fonctions sur une variété symplectique (M, ω).

• Observables quantiques : opérateurs sur un espace de Hilbert H.

• Problème de Dirac : trouver une bijection Q : C∞(M) → L(H)telle que

Q(1M) =IdH,

Q(¯f) = Q(f )∗,

Q({f , g}) = i

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux Introduction

• Observables classiques : fonctions sur une variété symplectique (M, ω).

• Observables quantiques : opérateurs sur un espace de Hilbert H.

• Problème de Dirac : trouver une bijection Q : C∞(M) → L(H)telle que

Q(1M) =IdH,

Q(¯f) = Q(f )∗,

Q({f , g}) = i

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux Introduction

• Observables classiques : fonctions sur une variété symplectique (M, ω).

• Observables quantiques : opérateurs sur un espace de Hilbert H.

• Problème de Dirac : trouver une bijection Q : C∞(M) → L(H)telle que

Q(1M) =IdH,

Q(¯f) = Q(f )∗,

Q({f , g}) = i

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux Introduction

• Observables classiques : fonctions sur une variété symplectique (M, ω).

• Observables quantiques : opérateurs sur un espace de Hilbert H.

• Problème de Dirac : trouver une bijection Q : C∞(M) → L(H)telle que

Q(1M) =IdH,

Q(¯f) = Q(f )∗,

Q({f , g}) = i

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux Introduction

• Observables classiques : fonctions sur une variété symplectique (M, ω).

• Observables quantiques : opérateurs sur un espace de Hilbert H.

• Problème de Dirac : trouver une bijection Q : C∞(M) → L(H)telle que

Q(1M) =IdH,

Q(¯f) = Q(f )∗,

(8)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Hamiltonien H, observable F ,

Mécanique classique Mécanique quantique

dF

dt = {H, F } 7−→ dQ(F )dt = ~i[Q(H), Q(F )]

•Préquantication :si H = L2(M), si ω = dα, Q(f ) = ~iXf +f − hXf, αi.

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Hamiltonien H, observable F ,

Mécanique classique Mécanique quantique

dF

dt = {H, F } 7−→ dQ(F )dt = ~i[Q(H), Q(F )] •Préquantication :si H = L2(M), si ω = dα,

(10)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Hamiltonien H, observable F ,

Mécanique classique Mécanique quantique

dF

dt = {H, F } 7−→ dQ(F )dt = ~i[Q(H), Q(F )] •Préquantication :si H = L2(M), si ω = dα,

(11)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Problème de la préquantication : si M = T∗M, L2(T∗M) est trop grand−→réduction de H.

• Polarisation de (M, ω) :distribution P ⊂ T M.

• P permet de réduire H, on passe de H à HP. •L'observable f est quantiable si Q(f ) préserve HP. •L'ensemble des observables quantiables : A.

(12)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Problème de la préquantication : si M = T∗M, L2(T∗M) est trop grand−→réduction de H.

• Polarisation de (M, ω) :distribution P ⊂ T M.

• P permet de réduire H, on passe de H à HP. •L'observable f est quantiable si Q(f ) préserve HP. •L'ensemble des observables quantiables : A.

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Problème de la préquantication : si M = T∗M, L2(T∗M) est trop grand−→réduction de H.

• Polarisation de (M, ω) :distribution P ⊂ T M.

• P permet de réduire H, on passe de H à HP.

•L'observable f est quantiable si Q(f ) préserve HP. •L'ensemble des observables quantiables : A.

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Problème de la préquantication : si M = T∗M, L2(T∗M) est trop grand−→réduction de H.

• Polarisation de (M, ω) :distribution P ⊂ T M.

• P permet de réduire H, on passe de H à HP. •L'observable f est quantiable si Q(f ) préserve HP.

•L'ensemble des observables quantiables : A.

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Problème de la préquantication : si M = T∗M, L2(T∗M) est trop grand−→réduction de H.

• Polarisation de (M, ω) :distribution P ⊂ T M.

• P permet de réduire H, on passe de H à HP. •L'observable f est quantiable si Q(f ) préserve HP. •L'ensemble des observables quantiables : A.

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Problème de la préquantication : si M = T∗M, L2(T∗M) est trop grand−→réduction de H.

• Polarisation de (M, ω) :distribution P ⊂ T M.

• P permet de réduire H, on passe de H à HP. •L'observable f est quantiable si Q(f ) préserve HP. •L'ensemble des observables quantiables : A.

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Si M = T∗M, si P est la polarisation verticale, alors

HP ∼=L2(M), A ∼= S≤1(M),

QG(Xi(x)pi +A(x)) = ~

iXi(x)∂i +A(x). •Est-il possible d'étendre la quantication géométrique à S(M) ?

•Cette prolongation est-elle unique ? •Est-il possible de rétablir l'unicité ?

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Si M = T∗M, si P est la polarisation verticale, alors

HP ∼=L2(M), A ∼= S≤1(M),

QG(Xi(x)pi +A(x)) = ~

iXi(x)∂i +A(x).

•Est-il possible d'étendre la quantication géométrique à S(M) ?

•Cette prolongation est-elle unique ? •Est-il possible de rétablir l'unicité ?

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Si M = T∗M, si P est la polarisation verticale, alors

HP ∼=L2(M), A ∼= S≤1(M),

QG(Xi(x)pi +A(x)) = ~

iXi(x)∂i +A(x). •Est-il possible d'étendre la quantication géométrique à S(M) ?

•Cette prolongation est-elle unique ? •Est-il possible de rétablir l'unicité ?

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Si M = T∗M, si P est la polarisation verticale, alors

HP ∼=L2(M), A ∼= S≤1(M),

QG(Xi(x)pi +A(x)) = ~

iXi(x)∂i +A(x). •Est-il possible d'étendre la quantication géométrique à S(M) ?

•Cette prolongation est-elle unique ?

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Si M = T∗M, si P est la polarisation verticale, alors

HP ∼=L2(M), A ∼= S≤1(M),

QG(Xi(x)pi +A(x)) = ~

iXi(x)∂i +A(x). •Est-il possible d'étendre la quantication géométrique à S(M) ?

•Cette prolongation est-elle unique ? •Est-il possible de rétablir l'unicité ?

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux Quantication équivariante

•Il y a beaucoup d'extensions de la quantication géométrique à S(M).

•Idée pour rétablir l'unicité : ajouter une condition de symétrie.

•La quantication géométrique est l'unique application Q : S≤1(M) → D(M) telle que LXQ = 0 pour tout

X ∈ Vect(M).

•Il n'y a pas de prolongation Q de la quantication géométrique telle que LXQ = 0 pour tout X ∈ Vect(M).

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux Quantication équivariante

•Il y a beaucoup d'extensions de la quantication géométrique à S(M).

•Idée pour rétablir l'unicité : ajouter une condition de symétrie.

•La quantication géométrique est l'unique application Q : S≤1(M) → D(M) telle que LXQ = 0 pour tout

X ∈ Vect(M).

•Il n'y a pas de prolongation Q de la quantication géométrique telle que LXQ = 0 pour tout X ∈ Vect(M).

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux Quantication équivariante

•Il y a beaucoup d'extensions de la quantication géométrique à S(M).

•Idée pour rétablir l'unicité : ajouter une condition de symétrie.

•La quantication géométrique est l'unique application Q : S≤1(M) → D(M) telle que LXQ = 0 pour tout

X ∈ Vect(M).

•Il n'y a pas de prolongation Q de la quantication géométrique telle que LXQ = 0 pour tout X ∈ Vect(M).

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux Quantication équivariante

•Il y a beaucoup d'extensions de la quantication géométrique à S(M).

•Idée pour rétablir l'unicité : ajouter une condition de symétrie.

•La quantication géométrique est l'unique application Q : S≤1(M) → D(M) telle que LXQ = 0 pour tout

X ∈ Vect(M).

•Il n'y a pas de prolongation Q de la quantication géométrique telle que LXQ = 0 pour tout X ∈ Vect(M).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication équivariante : action d'un groupe de Lie G

sur M : Φ : G × M → M.

•Quantication équivariante Q : bijection linéaire Q : S(M) → D(M) t.q. σ(Q(S)) = S et t.q.

Q(Φ∗

gS) = Φ∗gQ(S) ∀g ∈ G.

•Q(Lh∗S) = Lh∗Q(S) ∀h ∈ g.

•Idée : prendre G assez petit pour avoir une quantication et assez grand pour avoir l'unicité.

•Cas projectif (P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• PGL(m + 1, R) agit sur RPm.

•X ∈ sl(m + 1, R) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ sl(m + 1, R).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication équivariante : action d'un groupe de Lie G

sur M : Φ : G × M → M.

•Quantication équivariante Q : bijection linéaire Q : S(M) → D(M) t.q. σ(Q(S)) = S et t.q.

Q(Φ∗

gS) = Φ∗gQ(S) ∀g ∈ G.

•Q(Lh∗S) = Lh∗Q(S) ∀h ∈ g.

•Idée : prendre G assez petit pour avoir une quantication et assez grand pour avoir l'unicité.

•Cas projectif (P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• PGL(m + 1, R) agit sur RPm.

•X ∈ sl(m + 1, R) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ sl(m + 1, R).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication équivariante : action d'un groupe de Lie G

sur M : Φ : G × M → M.

•Quantication équivariante Q : bijection linéaire Q : S(M) → D(M) t.q. σ(Q(S)) = S et t.q.

Q(Φ∗

gS) = Φ∗gQ(S) ∀g ∈ G.

•Q(Lh∗S) = Lh∗Q(S) ∀h ∈ g.

•Idée : prendre G assez petit pour avoir une quantication et assez grand pour avoir l'unicité.

•Cas projectif (P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• PGL(m + 1, R) agit sur RPm.

•X ∈ sl(m + 1, R) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ sl(m + 1, R).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication équivariante : action d'un groupe de Lie G

sur M : Φ : G × M → M.

•Quantication équivariante Q : bijection linéaire Q : S(M) → D(M) t.q. σ(Q(S)) = S et t.q.

Q(Φ∗

gS) = Φ∗gQ(S) ∀g ∈ G.

•Q(Lh∗S) = Lh∗Q(S) ∀h ∈ g.

•Idée : prendre G assez petit pour avoir une quantication et assez grand pour avoir l'unicité.

•Cas projectif (P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• PGL(m + 1, R) agit sur RPm.

•X ∈ sl(m + 1, R) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ sl(m + 1, R).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication équivariante : action d'un groupe de Lie G

sur M : Φ : G × M → M.

•Quantication équivariante Q : bijection linéaire Q : S(M) → D(M) t.q. σ(Q(S)) = S et t.q.

Q(Φ∗

gS) = Φ∗gQ(S) ∀g ∈ G.

•Q(Lh∗S) = Lh∗Q(S) ∀h ∈ g.

•Idée : prendre G assez petit pour avoir une quantication et assez grand pour avoir l'unicité.

•Cas projectif (P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• PGL(m + 1, R) agit sur RPm.

•X ∈ sl(m + 1, R) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ sl(m + 1, R).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication équivariante : action d'un groupe de Lie G

sur M : Φ : G × M → M.

•Quantication équivariante Q : bijection linéaire Q : S(M) → D(M) t.q. σ(Q(S)) = S et t.q.

Q(Φ∗

gS) = Φ∗gQ(S) ∀g ∈ G.

•Q(Lh∗S) = Lh∗Q(S) ∀h ∈ g.

•Idée : prendre G assez petit pour avoir une quantication et assez grand pour avoir l'unicité.

•Cas projectif (P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• PGL(m + 1, R) agit sur RPm.

•X ∈ sl(m + 1, R) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm.

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication équivariante : action d'un groupe de Lie G

sur M : Φ : G × M → M.

•Quantication équivariante Q : bijection linéaire Q : S(M) → D(M) t.q. σ(Q(S)) = S et t.q.

Q(Φ∗

gS) = Φ∗gQ(S) ∀g ∈ G.

•Q(Lh∗S) = Lh∗Q(S) ∀h ∈ g.

•Idée : prendre G assez petit pour avoir une quantication et assez grand pour avoir l'unicité.

•Cas projectif (P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• PGL(m + 1, R) agit sur RPm.

•X ∈ sl(m + 1, R) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ sl(m + 1, R).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas conforme (C. Duval, P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• SO(p + 1, q + 1) agit sur Sp×Sq.

•X ∈ so(p + 1, q + 1) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ so(p + 1, q + 1). • Méthode de l'opérateur de Casimir : l : Algèbre de Lie semi-simple pourvue d'une forme de Killing non dégénérée K. • (V , β) : représentation de l.

• (ui :i 6 n) :base de l ; (ui0 :i 6 n) : base Killing-duale (K(ui,uj0) = δi,j). • Opérateur de Casimir (V , β) : n X i=1 β(ui0)β(ui).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas conforme (C. Duval, P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• SO(p + 1, q + 1) agit sur Sp×Sq.

•X ∈ so(p + 1, q + 1) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm.

•∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ so(p + 1, q + 1). • Méthode de l'opérateur de Casimir : l : Algèbre de Lie semi-simple pourvue d'une forme de Killing non dégénérée K. • (V , β) : représentation de l.

• (ui :i 6 n) :base de l ; (ui0 :i 6 n) : base Killing-duale (K(ui,uj0) = δi,j). • Opérateur de Casimir (V , β) : n X i=1 β(ui0)β(ui).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas conforme (C. Duval, P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• SO(p + 1, q + 1) agit sur Sp×Sq.

•X ∈ so(p + 1, q + 1) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ so(p + 1, q + 1).

• Méthode de l'opérateur de Casimir : l : Algèbre de Lie semi-simple pourvue d'une forme de Killing non dégénérée K. • (V , β) : représentation de l.

• (ui :i 6 n) :base de l ; (ui0 :i 6 n) : base Killing-duale (K(ui,uj0) = δi,j). • Opérateur de Casimir (V , β) : n X i=1 β(ui0)β(ui).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas conforme (C. Duval, P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• SO(p + 1, q + 1) agit sur Sp×Sq.

•X ∈ so(p + 1, q + 1) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ so(p + 1, q + 1). • Méthode de l'opérateur de Casimir : l : Algèbre de Lie semi-simple pourvue d'une forme de Killing non dégénérée K.

• (V , β) : représentation de l.

• (ui :i 6 n) :base de l ; (ui0 :i 6 n) : base Killing-duale (K(ui,uj0) = δi,j). • Opérateur de Casimir (V , β) : n X i=1 β(ui0)β(ui).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas conforme (C. Duval, P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• SO(p + 1, q + 1) agit sur Sp×Sq.

•X ∈ so(p + 1, q + 1) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ so(p + 1, q + 1). • Méthode de l'opérateur de Casimir : l : Algèbre de Lie semi-simple pourvue d'une forme de Killing non dégénérée K. • (V , β) : représentation de l.

• (ui :i 6 n) :base de l ; (ui0 :i 6 n) : base Killing-duale (K(ui,uj0) = δi,j). • Opérateur de Casimir (V , β) : n X i=1 β(ui0)β(ui).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas conforme (C. Duval, P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• SO(p + 1, q + 1) agit sur Sp×Sq.

•X ∈ so(p + 1, q + 1) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ so(p + 1, q + 1). • Méthode de l'opérateur de Casimir : l : Algèbre de Lie semi-simple pourvue d'une forme de Killing non dégénérée K. • (V , β) : représentation de l.

• (ui :i 6 n) :base de l ; (ui0 :i 6 n) : base Killing-duale (K(ui,uj0) = δi,j). • Opérateur de Casimir (V , β) : n X i=1 β(ui0)β(ui).

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Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas conforme (C. Duval, P. Lecomte, V. Ovsienko) :

• SO(p + 1, q + 1) agit sur Sp×Sq.

•X ∈ so(p + 1, q + 1) 7→ X∗ champ de vecteurs sur Rm. •∃Q : LXQ(S) = Q(LXS) ∀X ∈ so(p + 1, q + 1). • Méthode de l'opérateur de Casimir : l : Algèbre de Lie semi-simple pourvue d'une forme de Killing non dégénérée K. • (V , β) : représentation de l.

• (ui :i 6 n) :base de l ; (ui0 :i 6 n) : base Killing-duale (K(ui,uj0) = δi,j). • Opérateur de Casimir (V , β) : n X i=1 β(ui0)β(ui).

(40)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux • (S(R

m),L) et (D(Rm), L) sont des représentations de g.

• C et C : opérateurs de Casimir de g sur S(M) et D(M). • Si C(S) = αS et L ◦ Q = Q ◦ L, alors C(Q(S)) = αQ(S). • Dans les situations non-critiques : si C(S) = αS, alors ∃! Q(S) t.q. C(Q(S)) = αQ(S), σ(Q(S)) = S.

• Dans ces conditions : L(Q(S)) = Q(L(S)) car : σ(L(Q(S))) = σ(Q(L(S)) = L(S) ;

Comme C(L(S)) = αL(S), C(Q(L(S))) = αQ(L(S)) ; C(L(Q(S))) = L(C(Q(S))) = αL(Q(S)).

•Généralisation (F. Boniver, P. Mathonet) :algèbres IFFT

(41)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux • (S(R

m),L) et (D(Rm), L) sont des représentations de g.

• C et C : opérateurs de Casimir de g sur S(M) et D(M).

• Si C(S) = αS et L ◦ Q = Q ◦ L, alors C(Q(S)) = αQ(S). • Dans les situations non-critiques : si C(S) = αS, alors ∃! Q(S) t.q. C(Q(S)) = αQ(S), σ(Q(S)) = S.

• Dans ces conditions : L(Q(S)) = Q(L(S)) car : σ(L(Q(S))) = σ(Q(L(S)) = L(S) ;

Comme C(L(S)) = αL(S), C(Q(L(S))) = αQ(L(S)) ; C(L(Q(S))) = L(C(Q(S))) = αL(Q(S)).

•Généralisation (F. Boniver, P. Mathonet) :algèbres IFFT

(42)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux • (S(R

m),L) et (D(Rm), L) sont des représentations de g.

• C et C : opérateurs de Casimir de g sur S(M) et D(M). • Si C(S) = αS et L ◦ Q = Q ◦ L, alors C(Q(S)) = αQ(S).

• Dans les situations non-critiques : si C(S) = αS, alors ∃! Q(S) t.q. C(Q(S)) = αQ(S), σ(Q(S)) = S.

• Dans ces conditions : L(Q(S)) = Q(L(S)) car : σ(L(Q(S))) = σ(Q(L(S)) = L(S) ;

Comme C(L(S)) = αL(S), C(Q(L(S))) = αQ(L(S)) ; C(L(Q(S))) = L(C(Q(S))) = αL(Q(S)).

•Généralisation (F. Boniver, P. Mathonet) :algèbres IFFT

(43)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux • (S(R

m),L) et (D(Rm), L) sont des représentations de g.

• C et C : opérateurs de Casimir de g sur S(M) et D(M). • Si C(S) = αS et L ◦ Q = Q ◦ L, alors C(Q(S)) = αQ(S). • Dans les situations non-critiques : si C(S) = αS, alors ∃! Q(S) t.q. C(Q(S)) = αQ(S), σ(Q(S)) = S.

• Dans ces conditions : L(Q(S)) = Q(L(S)) car : σ(L(Q(S))) = σ(Q(L(S)) = L(S) ;

Comme C(L(S)) = αL(S), C(Q(L(S))) = αQ(L(S)) ; C(L(Q(S))) = L(C(Q(S))) = αL(Q(S)).

•Généralisation (F. Boniver, P. Mathonet) :algèbres IFFT

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux • (S(R

m),L) et (D(Rm), L) sont des représentations de g.

• C et C : opérateurs de Casimir de g sur S(M) et D(M). • Si C(S) = αS et L ◦ Q = Q ◦ L, alors C(Q(S)) = αQ(S). • Dans les situations non-critiques : si C(S) = αS, alors ∃! Q(S) t.q. C(Q(S)) = αQ(S), σ(Q(S)) = S.

• Dans ces conditions : L(Q(S)) = Q(L(S)) car :

σ(L(Q(S))) = σ(Q(L(S)) = L(S) ;

Comme C(L(S)) = αL(S), C(Q(L(S))) = αQ(L(S)) ; C(L(Q(S))) = L(C(Q(S))) = αL(Q(S)).

•Généralisation (F. Boniver, P. Mathonet) :algèbres IFFT

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Quantications équivariantes

Fabian Radoux • (S(R

m),L) et (D(Rm), L) sont des représentations de g.

• C et C : opérateurs de Casimir de g sur S(M) et D(M). • Si C(S) = αS et L ◦ Q = Q ◦ L, alors C(Q(S)) = αQ(S). • Dans les situations non-critiques : si C(S) = αS, alors ∃! Q(S) t.q. C(Q(S)) = αQ(S), σ(Q(S)) = S.

• Dans ces conditions : L(Q(S)) = Q(L(S)) car : σ(L(Q(S))) = σ(Q(L(S)) = L(S) ;

Comme C(L(S)) = αL(S), C(Q(L(S))) = αQ(L(S)) ; C(L(Q(S))) = L(C(Q(S))) = αL(Q(S)).

•Généralisation (F. Boniver, P. Mathonet) :algèbres IFFT

(46)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux • (S(R

m),L) et (D(Rm), L) sont des représentations de g.

• C et C : opérateurs de Casimir de g sur S(M) et D(M). • Si C(S) = αS et L ◦ Q = Q ◦ L, alors C(Q(S)) = αQ(S). • Dans les situations non-critiques : si C(S) = αS, alors ∃! Q(S) t.q. C(Q(S)) = αQ(S), σ(Q(S)) = S.

• Dans ces conditions : L(Q(S)) = Q(L(S)) car : σ(L(Q(S))) = σ(Q(L(S)) = L(S) ;

Comme C(L(S)) = αL(S), C(Q(L(S))) = αQ(L(S)) ;

C(L(Q(S))) = L(C(Q(S))) = αL(Q(S)).

•Généralisation (F. Boniver, P. Mathonet) :algèbres IFFT

(47)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux • (S(R

m),L) et (D(Rm), L) sont des représentations de g.

• C et C : opérateurs de Casimir de g sur S(M) et D(M). • Si C(S) = αS et L ◦ Q = Q ◦ L, alors C(Q(S)) = αQ(S). • Dans les situations non-critiques : si C(S) = αS, alors ∃! Q(S) t.q. C(Q(S)) = αQ(S), σ(Q(S)) = S.

• Dans ces conditions : L(Q(S)) = Q(L(S)) car : σ(L(Q(S))) = σ(Q(L(S)) = L(S) ;

Comme C(L(S)) = αL(S), C(Q(L(S))) = αQ(L(S)) ; C(L(Q(S))) = L(C(Q(S))) = αL(Q(S)).

•Généralisation (F. Boniver, P. Mathonet) :algèbres IFFT

(48)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux • (S(R

m),L) et (D(Rm), L) sont des représentations de g.

• C et C : opérateurs de Casimir de g sur S(M) et D(M). • Si C(S) = αS et L ◦ Q = Q ◦ L, alors C(Q(S)) = αQ(S). • Dans les situations non-critiques : si C(S) = αS, alors ∃! Q(S) t.q. C(Q(S)) = αQ(S), σ(Q(S)) = S.

• Dans ces conditions : L(Q(S)) = Q(L(S)) car : σ(L(Q(S))) = σ(Q(L(S)) = L(S) ;

Comme C(L(S)) = αL(S), C(Q(L(S))) = αQ(L(S)) ; C(L(Q(S))) = L(C(Q(S))) = αL(Q(S)).

•Généralisation (F. Boniver, P. Mathonet) : algèbres IFFT

(49)

Quantications équivariantes Fabian Radoux • Conjecture (P. Lecomte) :Q(g) : S(M) → D(M) naturel et Q(g) = Q(g0) si g = fg0 avec f > 0 ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(ϕ∗tg0)(ϕ∗tS), g0 métrique canonique de Rm ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(g0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ so(p + 1, q + 1) LXQ(g0)(S) = Q(g0)(LXS)

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(∇) : S(M) → D(M) naturel

et Q(∇) = Q(∇0) si ∇0= ∇ + α ∨id

ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(ϕ∗t0)(ϕ∗tS), ∇0 connexion plate de Rm ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(∇0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ sl(m + 1, R) LXQ(∇0)(S) = Q(∇0)(LXS)

(50)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(g) : S(M) → D(M) naturel

et Q(g) = Q(g0) si g = fg0 avec f > 0

ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(ϕ∗tg0)(ϕ∗tS), g0 métrique canonique de Rm ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(g0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ so(p + 1, q + 1) LXQ(g0)(S) = Q(g0)(LXS)

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(∇) : S(M) → D(M) naturel

et Q(∇) = Q(∇0) si ∇0= ∇ + α ∨id

ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(ϕ∗t0)(ϕ∗tS), ∇0 connexion plate de Rm ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(∇0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ sl(m + 1, R) LXQ(∇0)(S) = Q(∇0)(LXS)

(51)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(g) : S(M) → D(M) naturel

et Q(g) = Q(g0) si g = fg0 avec f > 0

ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(ϕ∗tg0)(ϕ∗tS), g0 métrique canonique de Rm ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(g0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ so(p + 1, q + 1) LXQ(g0)(S) = Q(g0)(LXS)

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(∇) : S(M) → D(M) naturel

et Q(∇) = Q(∇0) si ∇0= ∇ + α ∨id

ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(ϕ∗t0)(ϕ∗tS), ∇0 connexion plate de Rm ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(∇0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ sl(m + 1, R) LXQ(∇0)(S) = Q(∇0)(LXS)

(52)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(g) : S(M) → D(M) naturel

et Q(g) = Q(g0) si g = fg0 avec f > 0

ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(ϕ∗tg0)(ϕ∗tS), g0 métrique canonique de Rm ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(g0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ so(p + 1, q + 1)

LXQ(g0)(S) = Q(g0)(LXS)

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(∇) : S(M) → D(M) naturel

et Q(∇) = Q(∇0) si ∇0= ∇ + α ∨id

ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(ϕ∗t0)(ϕ∗tS), ∇0 connexion plate de Rm ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(∇0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ sl(m + 1, R) LXQ(∇0)(S) = Q(∇0)(LXS)

(53)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(g) : S(M) → D(M) naturel

et Q(g) = Q(g0) si g = fg0 avec f > 0

ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(ϕ∗tg0)(ϕ∗tS), g0 métrique canonique de Rm ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(g0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ so(p + 1, q + 1) LXQ(g0)(S) = Q(g0)(LXS)

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(∇) : S(M) → D(M) naturel

et Q(∇) = Q(∇0) si ∇0= ∇ + α ∨id

ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(ϕ∗t0)(ϕ∗tS), ∇0 connexion plate de Rm ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(∇0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ sl(m + 1, R) LXQ(∇0)(S) = Q(∇0)(LXS)

(54)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(g) : S(M) → D(M) naturel

et Q(g) = Q(g0) si g = fg0 avec f > 0 ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(ϕ∗tg0)(ϕ∗tS), g0 métrique canonique de Rm ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(g0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ so(p + 1, q + 1) LXQ(g0)(S) = Q(g0)(LXS) • Conjecture (P. Lecomte) :Q(∇) : S(M) → D(M) naturel et Q(∇) = Q(∇0) si ∇0= ∇ + α ∨id ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(ϕ∗t0)(ϕ∗tS), ∇0 connexion plate de Rm ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(∇0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ sl(m + 1, R) LXQ(∇0)(S) = Q(∇0)(LXS)

(55)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(g) : S(M) → D(M) naturel

et Q(g) = Q(g0) si g = fg0 avec f > 0

ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(ϕ∗tg0)(ϕ∗tS), g0 métrique canonique de Rm ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(g0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ so(p + 1, q + 1) LXQ(g0)(S) = Q(g0)(LXS)

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(∇) : S(M) → D(M) naturel

et Q(∇) = Q(∇0) si ∇0= ∇ + α ∨id

ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(ϕ∗t0)(ϕ∗tS), ∇0 connexion plate de Rm ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(∇0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ sl(m + 1, R) LXQ(∇0)(S) = Q(∇0)(LXS)

(56)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(g) : S(M) → D(M) naturel

et Q(g) = Q(g0) si g = fg0 avec f > 0

ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(ϕ∗tg0)(ϕ∗tS), g0 métrique canonique de Rm ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(g0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ so(p + 1, q + 1) LXQ(g0)(S) = Q(g0)(LXS)

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(∇) : S(M) → D(M) naturel

et Q(∇) = Q(∇0)si ∇0= ∇ + α ∨id

ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(ϕ∗t0)(ϕ∗tS), ∇0 connexion plate de Rm ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(∇0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ sl(m + 1, R) LXQ(∇0)(S) = Q(∇0)(LXS)

(57)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(g) : S(M) → D(M) naturel

et Q(g) = Q(g0) si g = fg0 avec f > 0

ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(ϕ∗tg0)(ϕ∗tS), g0 métrique canonique de Rm ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(g0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ so(p + 1, q + 1) LXQ(g0)(S) = Q(g0)(LXS)

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(∇) : S(M) → D(M) naturel

et Q(∇) = Q(∇0)si ∇0= ∇ + α ∨id

ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(ϕ∗t0)(ϕ∗tS), ∇0 connexion plate de Rm ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(∇0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ sl(m + 1, R)

(58)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(g) : S(M) → D(M) naturel

et Q(g) = Q(g0) si g = fg0 avec f > 0

ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(ϕ∗tg0)(ϕ∗tS), g0 métrique canonique de Rm ϕ∗tQ(g0)(S) = Q(g0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ so(p + 1, q + 1) LXQ(g0)(S) = Q(g0)(LXS)

• Conjecture (P. Lecomte) :Q(∇) : S(M) → D(M) naturel

et Q(∇) = Q(∇0)si ∇0= ∇ + α ∨id

ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(ϕ∗t0)(ϕ∗tS), ∇0 connexion plate de Rm ϕ∗tQ(∇0)(S) = Q(∇0)(ϕ∗tS), ϕt ot de X ∈ sl(m + 1, R) LXQ(∇0)(S) = Q(∇0)(LXS)

(59)

Quantications équivariantes Fabian Radoux •Méthode de M. Bordemann : M 7→ ˜M; ∇ 7→ ˜∇; S 7→ ˜S; ^ Q(∇)(S)(f ) = τ( ˜∇)(˜S)(˜f)

(60)

Quantications équivariantes Fabian Radoux •Méthode de M. Bordemann : M 7→ ˜M; ∇ 7→ ˜∇; S 7→ ˜S; ^ Q(∇)(S)(f ) = τ( ˜∇)(˜S)(˜f)

(61)

Quantications équivariantes Fabian Radoux •Méthode de M. Bordemann : M 7→ ˜M; ∇ 7→ ˜∇; S 7→ ˜S; ^ Q(∇)(S)(f ) = τ( ˜∇)(˜S)(˜f)

(62)

Quantications équivariantes Fabian Radoux •Méthode de M. Bordemann : M 7→ ˜M; ∇ 7→ ˜∇; S 7→ ˜S; ^ Q(∇)(S)(f ) = τ( ˜∇)(˜S)(˜f)

(63)

Quantications équivariantes Fabian Radoux •Méthode de M. Bordemann : M 7→ ˜M; ∇ 7→ ˜∇; S 7→ ˜S; ^ Q(∇)(S)(f ) = τ( ˜∇)(˜S)(˜f)

(64)

Quantications équivariantes Fabian Radoux • Questions : Valeurs critiques de δ Formule explicite Unicité

Autres opérateurs diérentiels Cas conforme

(65)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Questions : Valeurs critiques de δ

Formule explicite Unicité

Autres opérateurs diérentiels Cas conforme

(66)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Questions : Valeurs critiques de δ Formule explicite

Unicité

Autres opérateurs diérentiels Cas conforme

(67)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Questions : Valeurs critiques de δ Formule explicite Unicité

Autres opérateurs diérentiels Cas conforme

(68)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Questions : Valeurs critiques de δ Formule explicite Unicité

Autres opérateurs diérentiels

(69)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

• Questions : Valeurs critiques de δ Formule explicite Unicité

Autres opérateurs diérentiels Cas conforme

(70)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(71)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(72)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(73)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(74)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(75)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(76)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(77)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(78)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(79)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(80)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Fibrés et connexions de Cartan

[∇] (ou [g])7→ (P → M) [∇] (ou [g])7→ (ω : TP → g) ωu:TuP → g bijection ∀u ∈ P P ⊂ P2M, p : P → P0 P1M C∞(P0,V )G0 3T 7→ p∗T ∈ C∞(P, V )H avec H = G0o G1, h = g0⊕ g1 g= g−1⊕ h, g−1 ∼= Rm ω → ∇ω(ei) =Lω−1(ei), ei ∈ g−1 f G0-équivariant⇒ ∇ωf G0-équivariant f G1-équivariant; ∇ωf G1-équivariant

(81)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Le cas des densités (P. Mathonet, R.) :

S 7→ p∗S ∈ C(P, Sk δ(Rm))H f 7→ p∗f ∈ C(P, ∆λ(Rm)) H ω →Divω =P ii(i)Lω−1(ei) Condition : Lh∗Q(p∗S)(p∗f ) = 0 ∀h ∈ g1 hp∗S, ∇ωk s p∗f i pas G1-équivariant !

On ajoute des termes d'ordre inférieur en p∗f ...

On trouve alors : QM(∇,S)(f ) = p∗ −1 (Pk l=0Ck,lhDivωlp∗S, ∇ωsk−lp∗f i), avec Ck,l = (λ+ k−1 m+1)···(λ+m+1k−l) γ2k−1···γ2k−l  k l  , ∀l ≥ 1, Ck,0=1

(82)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Le cas des densités (P. Mathonet, R.) :

S 7→ p∗S ∈ C(P, Sk δ(Rm))H f 7→ p∗f ∈ C(P, ∆λ(Rm)) H ω →Divω =P ii(i)Lω−1(ei) Condition : Lh∗Q(p∗S)(p∗f ) = 0 ∀h ∈ g1 hp∗S, ∇ωk s p∗f i pas G1-équivariant !

On ajoute des termes d'ordre inférieur en p∗f ...

On trouve alors : QM(∇,S)(f ) = p∗ −1 (Pk l=0Ck,lhDivωlp∗S, ∇ωsk−lp∗f i), avec Ck,l = (λ+ k−1 m+1)···(λ+m+1k−l) γ2k−1···γ2k−l  k l  , ∀l ≥ 1, Ck,0=1

(83)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Le cas des densités (P. Mathonet, R.) :

S 7→ p∗S ∈ C(P, Sk δ(Rm))H f 7→ p∗f ∈ C(P, ∆λ(Rm)) H ω →Divω =P ii(i)Lω−1(ei) Condition : Lh∗Q(p∗S)(p∗f ) = 0 ∀h ∈ g1 hp∗S, ∇ωk s p∗f i pas G1-équivariant !

On ajoute des termes d'ordre inférieur en p∗f ...

On trouve alors : QM(∇,S)(f ) = p∗ −1 (Pk l=0Ck,lhDivωlp∗S, ∇ωsk−lp∗f i), avec Ck,l = (λ+ k−1 m+1)···(λ+m+1k−l) γ2k−1···γ2k−l  k l  , ∀l ≥ 1, Ck,0=1

(84)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Le cas des densités (P. Mathonet, R.) :

S 7→ p∗S ∈ C(P, Sk δ(Rm))H f 7→ p∗f ∈ C(P, ∆λ(Rm)) H ω →Divω =P ii(i)Lω−1(ei) Condition : Lh∗Q(p∗S)(p∗f ) = 0 ∀h ∈ g1 hp∗S, ∇ωk s p∗f i pas G1-équivariant !

On ajoute des termes d'ordre inférieur en p∗f ...

On trouve alors : QM(∇,S)(f ) = p∗ −1 (Pk l=0Ck,lhDivωlp∗S, ∇ωsk−lp∗f i), avec Ck,l = (λ+ k−1 m+1)···(λ+m+1k−l) γ2k−1···γ2k−l  k l  , ∀l ≥ 1, Ck,0=1

(85)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Le cas des densités (P. Mathonet, R.) :

S 7→ p∗S ∈ C(P, Sk δ(Rm))H f 7→ p∗f ∈ C(P, ∆λ(Rm)) H ω →Divω =P ii(i)Lω−1(ei) Condition : Lh∗Q(p∗S)(p∗f ) = 0 ∀h ∈ g1 hp∗S, ∇ωk s p∗f i pas G1-équivariant !

On ajoute des termes d'ordre inférieur en p∗f ...

On trouve alors : QM(∇,S)(f ) = p∗ −1 (Pk l=0Ck,lhDivωlp∗S, ∇ωsk−lp∗f i), avec Ck,l = (λ+ k−1 m+1)···(λ+m+1k−l) γ2k−1···γ2k−l  k l  , ∀l ≥ 1, Ck,0=1

(86)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Le cas des densités (P. Mathonet, R.) :

S 7→ p∗S ∈ C(P, Sk δ(Rm))H f 7→ p∗f ∈ C(P, ∆λ(Rm)) H ω →Divω =P ii(i)Lω−1(ei) Condition : Lh∗Q(p∗S)(p∗f ) = 0 ∀h ∈ g1 hp∗S, ∇ωk s p∗f i pas G1-équivariant !

On ajoute des termes d'ordre inférieur en p∗f ...

On trouve alors : QM(∇,S)(f ) = p∗ −1 (Pk l=0Ck,lhDivωlp∗S, ∇ωsk−lp∗f i), avec Ck,l = (λ+ k−1 m+1)···(λ+m+1k−l) γ2k−1···γ2k−l  k l  , ∀l ≥ 1, Ck,0=1

(87)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Le cas des densités (P. Mathonet, R.) :

S 7→ p∗S ∈ C(P, Sk δ(Rm))H f 7→ p∗f ∈ C(P, ∆λ(Rm)) H ω →Divω =P ii(i)Lω−1(ei) Condition : Lh∗Q(p∗S)(p∗f ) = 0 ∀h ∈ g1 hp∗S, ∇ωk s p∗f i pas G1-équivariant !

On ajoute des termes d'ordre inférieur en p∗f ...

On trouve alors : QM(∇,S)(f ) = p∗ −1 (Pk l=0Ck,lhDivωlp∗S, ∇ωsk−lp∗f i), avec Ck,l = (λ+ k−1 m+1)···(λ+m+1k−l) γ2k−1···γ2k−l  k l  , ∀l ≥ 1, Ck,0=1

(88)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Le cas des densités (P. Mathonet, R.) :

S 7→ p∗S ∈ C(P, Sk δ(Rm))H f 7→ p∗f ∈ C(P, ∆λ(Rm)) H ω →Divω =P ii(i)Lω−1(ei) Condition : Lh∗Q(p∗S)(p∗f ) = 0 ∀h ∈ g1 hp∗S, ∇ωk s p∗f i pas G1-équivariant !

On ajoute des termes d'ordre inférieur en p∗f ...

On trouve alors : QM(∇,S)(f ) = p∗ −1 (Pk l=0Ck,lhDivωlp∗S, ∇ωsk−lp∗f i), avec Ck,l = (λ+ k−1 m+1)···(λ+m+1k−l) γ2k−1···γ2k−l  k l  , ∀l ≥ 1, Ck,0=1

(89)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Formule explicite sur M (R.)

(90)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Formule explicite sur M (R.) •Non-unicité↔courbure de ω (R.)

(91)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Autres opérateurs diérentiels et cas conforme (P.

Mathonet, R.) : méthode des opérateurs de Casimir :

•Cas "plat" : Quantication ane QA : si S = P|α|fα⊗e1α1∨ · · · ∨emαm,

QA(S) := P|α|fα∂xα11· · · ∂xαmm.

•Cas "courbe" : "Quantication ane" Qω : si

S = f ⊗ h1⊗ · · · ⊗hk, Qω(S) := f ◦ Lω−1(h1)· · ·Lω−1(hk).

•Cas "plat" : Application γ :

LXhQA(S) = QA((LXh + γ(h))S).

•Cas "courbe" : Application γ0 :

(92)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Autres opérateurs diérentiels et cas conforme (P.

Mathonet, R.) : méthode des opérateurs de Casimir : •Cas "plat" : Quantication ane QA : si

S = P|α|fα⊗e1α1∨ · · · ∨emαm,

QA(S) := P|α|fα∂xα11· · · ∂xαmm.

•Cas "courbe" : "Quantication ane" Qω : si

S = f ⊗ h1⊗ · · · ⊗hk, Qω(S) := f ◦ Lω−1(h1)· · ·Lω−1(hk).

•Cas "plat" : Application γ :

LXhQA(S) = QA((LXh + γ(h))S).

•Cas "courbe" : Application γ0 :

(93)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Autres opérateurs diérentiels et cas conforme (P.

Mathonet, R.) : méthode des opérateurs de Casimir : •Cas "plat" : Quantication ane QA : si

S = P|α|fα⊗e1α1∨ · · · ∨emαm,

QA(S) := P|α|fα∂xα11· · · ∂xαmm.

•Cas "courbe" : "Quantication ane" Qω : si

S = f ⊗ h1⊗ · · · ⊗hk, Qω(S) := f ◦ Lω−1(h1)· · ·Lω−1(hk).

•Cas "plat" : Application γ :

LXhQA(S) = QA((LXh + γ(h))S).

•Cas "courbe" : Application γ0 :

(94)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Autres opérateurs diérentiels et cas conforme (P.

Mathonet, R.) : méthode des opérateurs de Casimir : •Cas "plat" : Quantication ane QA : si

S = P|α|fα⊗e1α1∨ · · · ∨emαm,

QA(S) := P|α|fα∂xα11· · · ∂xαmm.

•Cas "courbe" : "Quantication ane" Qω : si

S = f ⊗ h1⊗ · · · ⊗hk, Qω(S) := f ◦ Lω−1(h1)· · ·Lω−1(hk).

•Cas "plat" : Application γ :

LXhQA(S) = QA((LXh + γ(h))S).

•Cas "courbe" : Application γ0 :

(95)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Autres opérateurs diérentiels et cas conforme (P.

Mathonet, R.) : méthode des opérateurs de Casimir : •Cas "plat" : Quantication ane QA : si

S = P|α|fα⊗e1α1∨ · · · ∨emαm,

QA(S) := P|α|fα∂xα11· · · ∂xαmm.

•Cas "courbe" : "Quantication ane" Qω : si

S = f ⊗ h1⊗ · · · ⊗hk, Qω(S) := f ◦ Lω−1(h1)· · ·Lω−1(hk).

•Cas "plat" : Application γ :

LXhQA(S) = QA((LXh + γ(h))S).

•Cas "courbe" : Application γ0 :

(96)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Cas "plat" : Casimirs C et C :

C = −1

2ρ∗(E ) +2m1 ρ∗(E )2+Pjρ∗(Aj)ρ∗(A∗j),

C =C − 2 Piγ(i)∂xi.

•Cas "courbe" : "Casimirs" Cω et Cω :

:= −1

2ρ∗(E ) + 2m1 ρ∗(E )2+Pjρ∗(Aj)ρ∗(A∗j),

:=Cω2 P

iγ0(i)Lω−1(ei).

•Cas "plat" : Quantication de S t.q. C(S) = αS : QA(Q(S)), Q(S) t.q C(Q(S)) = αQ(S) et "tête" de

Q(S) = S.

•Cas "courbe" : Quantication de S t.q. Cω(S) = αS :

Qω(Q(S)), Q(S) t.q. Cω(Q(S)) = αQ(S) et "tête" de

(97)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Cas "plat" : Casimirs C et C :

C = −1

2ρ∗(E ) +2m1 ρ∗(E )2+Pjρ∗(Aj)ρ∗(A∗j),

C =C − 2 Piγ(i)∂xi.

•Cas "courbe" : "Casimirs" Cω et Cω :

:= −1

2ρ∗(E ) + 2m1 ρ∗(E )2+Pjρ∗(Aj)ρ∗(A∗j),

:=Cω2 P

iγ0(i)Lω−1(ei).

•Cas "plat" : Quantication de S t.q. C(S) = αS : QA(Q(S)), Q(S) t.q C(Q(S)) = αQ(S) et "tête" de

Q(S) = S.

•Cas "courbe" : Quantication de S t.q. Cω(S) = αS :

Qω(Q(S)), Q(S) t.q. Cω(Q(S)) = αQ(S) et "tête" de

(98)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Cas "plat" : Casimirs C et C :

C = −1

2ρ∗(E ) +2m1 ρ∗(E )2+Pjρ∗(Aj)ρ∗(A∗j),

C =C − 2 Piγ(i)∂xi.

•Cas "courbe" : "Casimirs" Cω et Cω :

:= −1

2ρ∗(E ) + 2m1 ρ∗(E )2+Pjρ∗(Aj)ρ∗(A∗j),

:=Cω2 P

iγ0(i)Lω−1(ei).

•Cas "plat" : Quantication de S t.q. C(S) = αS : QA(Q(S)), Q(S) t.q C(Q(S)) = αQ(S) et "tête" de

Q(S) = S.

•Cas "courbe" : Quantication de S t.q. Cω(S) = αS :

Qω(Q(S)), Q(S) t.q. Cω(Q(S)) = αQ(S) et "tête" de

(99)

Quantications équivariantes

Fabian Radoux •Cas "plat" : Casimirs C et C :

C = −1

2ρ∗(E ) +2m1 ρ∗(E )2+Pjρ∗(Aj)ρ∗(A∗j),

C =C − 2 Piγ(i)∂xi.

•Cas "courbe" : "Casimirs" Cω et Cω :

:= −1

2ρ∗(E ) + 2m1 ρ∗(E )2+Pjρ∗(Aj)ρ∗(A∗j),

:=Cω2 P

iγ0(i)Lω−1(ei).

•Cas "plat" : Quantication de S t.q. C(S) = αS : QA(Q(S)), Q(S) t.q C(Q(S)) = αQ(S) et "tête" de

Q(S) = S.

•Cas "courbe" : Quantication de S t.q. Cω(S) = αS :

Qω(Q(S)), Q(S) t.q. Cω(Q(S)) = αQ(S) et "tête" de

(100)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas "plat" : L ◦ Q = Q ◦ L car [C, L] = 0 et [C, L] = 0.

•Cas "courbe" : (Lh∗+ γ0(h)) ◦ Q = Q ◦ Lh∗ car

[Cω,Lh∗+ γ0(h)] = 0 et [Cω,Lh∗] =0.

•On a dans le cas courbe

Lh∗Qω(Q(S)) = Qω((Lh∗+ γ0(h))Q(S)) = 0 si Lh∗S = 0.

•Si S est G0-équivariant, Q(S) est G0-équivariant et Qω(Q(S)) préserve la G0-équivariance.

(101)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas "plat" : L ◦ Q = Q ◦ L car [C, L] = 0 et [C, L] = 0. •Cas "courbe" : (Lh∗+ γ0(h)) ◦ Q = Q ◦ Lh∗ car

[Cω,Lh∗+ γ0(h)] = 0 et [Cω,Lh∗] =0.

•On a dans le cas courbe

Lh∗Qω(Q(S)) = Qω((Lh∗+ γ0(h))Q(S)) = 0 si Lh∗S = 0.

•Si S est G0-équivariant, Q(S) est G0-équivariant et Qω(Q(S)) préserve la G0-équivariance.

(102)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas "plat" : L ◦ Q = Q ◦ L car [C, L] = 0 et [C, L] = 0. •Cas "courbe" : (Lh∗+ γ0(h)) ◦ Q = Q ◦ Lh∗ car

[Cω,Lh∗+ γ0(h)] = 0 et [Cω,Lh∗] =0.

•On a dans le cas courbe

Lh∗Qω(Q(S)) = Qω((Lh∗+ γ0(h))Q(S)) = 0 si Lh∗S = 0.

•Si S est G0-équivariant, Q(S) est G0-équivariant et Qω(Q(S)) préserve la G0-équivariance.

(103)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Cas "plat" : L ◦ Q = Q ◦ L car [C, L] = 0 et [C, L] = 0. •Cas "courbe" : (Lh∗+ γ0(h)) ◦ Q = Q ◦ Lh∗ car

[Cω,Lh∗+ γ0(h)] = 0 et [Cω,Lh∗] =0.

•On a dans le cas courbe

Lh∗Qω(Q(S)) = Qω((Lh∗+ γ0(h))Q(S)) = 0 si Lh∗S = 0.

•Si S est G0-équivariant, Q(S) est G0-équivariant et Qω(Q(S)) préserve la G0-équivariance.

(104)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

Remarque : cette méthode permet de trouver des applications naturelles

Q : {réductions de P2M à H} → {quantications sur M},

où P2M est le bré des repères du deuxième ordre et où H

est un groupe de Lie provenant d'une algèbre IFFT g= g−1⊕ g0⊕ g1.

(105)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication des espaces singuliers (N. Poncin, R. Wolak, R.)

•Espace de conguration M possède une symétrie→on considère le quotient M/G où G est un groupe de Lie

•Sous certaines conditions, M/G : orbifold V

•Désingularisation : V ∼=Espace des feuilles de (M, F) •Quantication : ∇F,SF Q F// QF(∇F)(SF) p∗−1  ∇V,SV QV // p∗ OO QV(∇V)(SV)

(106)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication des espaces singuliers (N. Poncin, R. Wolak, R.)

•Espace de conguration M possède une symétrie→on considère le quotient M/G où G est un groupe de Lie •Sous certaines conditions, M/G : orbifold V

•Désingularisation : V ∼=Espace des feuilles de (M, F) •Quantication : ∇F,SF Q F// QF(∇F)(SF) p∗−1  ∇V,SV QV // p∗ OO QV(∇V)(SV)

(107)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication des espaces singuliers (N. Poncin, R. Wolak, R.)

•Espace de conguration M possède une symétrie→on considère le quotient M/G où G est un groupe de Lie •Sous certaines conditions, M/G : orbifold V

•Désingularisation : V ∼=Espace des feuilles de (M, F)

•Quantication : ∇F,SF Q F// QF(∇F)(SF) p∗−1  ∇V,SV QV // p∗ OO QV(∇V)(SV)

(108)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication des espaces singuliers (N. Poncin, R. Wolak, R.)

•Espace de conguration M possède une symétrie→on considère le quotient M/G où G est un groupe de Lie •Sous certaines conditions, M/G : orbifold V

•Désingularisation : V ∼=Espace des feuilles de (M, F) •Quantication : ∇F,SF Q F// QF(∇F)(SF) p∗−1  ∇V,SV QV // p∗ OO QV(∇V)(SV)

(109)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication des supervariétés (T. Leuther, P. Mathonet, R.)

•Quantication pgl(p + 1, q)-équivariante sur Rp|q (P. Mathonet, R.)

•Quantication naturelle projectivement invariante sur les supervariétés (T. Leuther, R.)

(110)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication des supervariétés (T. Leuther, P. Mathonet, R.)

•Quantication pgl(p + 1, q)-équivariante sur Rp|q (P. Mathonet, R.)

•Quantication naturelle projectivement invariante sur les supervariétés (T. Leuther, R.)

(111)

Quantications équivariantes Fabian Radoux

•Quantication des supervariétés (T. Leuther, P. Mathonet, R.)

•Quantication pgl(p + 1, q)-équivariante sur Rp|q (P. Mathonet, R.)

•Quantication naturelle projectivement invariante sur les supervariétés (T. Leuther, R.)

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