- Autre chose, des hobbies dans la vie?
- La cocufiage. Mon mari est un cocu concentant. C´est le plaisir
dans la transgression de l’interdit…
Une initiatrice
sexuelle
parfaite, une totale liberté dans la relation basée uniquement sur lesexe
, sans aucun plan de vieà deux.- En étant très indulgent, c’ est une femme dont le mari s’ occupe
moins d’ une fois par semaine… Et encore quand il a le temps et qu’ il ne fait
ni trop chaud, ni trop froid. Madame, votre mari est une lopette, il ne vous
mérite pas, à vous offrir ainsi au premier venu, il vous faut mieux… Quelqu’ un
qui vous protège, qui prenne soin de vous…
- Vous? Vous soulez me protéger?
- Vous êtes une vraie chienne, nous vous donnons un peu de choix, un
peu de liberté, et voilà que vous tortillez du cul auprès du premier mâle qui
passe, vous frétillez à la recherche de queues dès qu´il tourne le dos.
Un large sourire illumine mon visage et il perçoit très vite une petite étincelle de
malice
dans son regard. Ce soir-là il lui parut plus exubérant encore qu’ à l’ ordinaire. Il riait et bavardait avec un entrain singulier, et cette ironie fine qui lui est spéciale, ironie sans amertume, légère et spontanée. Le mot« libertinage »
est très à la mode, mais il y a des siècles que les hommes(et les femmes !)
jouent de leur corps. Leplaisir sexuel
n’ entache en rien l’amour
qui lie ces couples libérés.En réalité, on devrait plutôt parler de loisir que de véritable travail, mais il piquerait une crise rien qu’ à l’ évocation de ce mot
« loisir ».
Tout était arrivé si brusquement. Il demeura un instant silencieux, puis, très simplement, les yeux fixés sur elle.Elle avait toujours eu un esprit très créatif pour les ébats
sexuels
. Il lui fallait du piment dans cette relation amoureuse, une sortede jeu perpétuel entre les deux
amants
, ou l’ un essaie deséduire
l’ autre et l’ autre fait tout pour rester insensible aux charmes proposés.Elle se prêtait au jeu avec un petit amusement. Cela demeurait assez soft, mais petit à petit, elle prenait de plus en plus d’ assurance. Cela ne faisait que la remplir de joie. Une fois, elle l’ a proposé d’ aller faire un tour en ville. Il faisait chaud, mais il avait senti qu’ il y avait quelque chose de particulier dans sa demande.
Puis ils marchaient lentement vers la porte ouverte de sa maison où le gardien, debout, a recommencé à somnoler. Dans sa propre maison, dans sa propre chambre, il se sent soudain étranger et dominé. Toute cette cavalcade, rien que pour faire
l' amour
? Ses pointes de seins se dressent et apparaissent à travers le fin tissu de ta robe. Il l’ observe d’ un sourire narquois, assez satisfait de son petit effet. Une sensation familière me prend dans le bas du ventre.- C’ est fou ce que tu es belle et désirable dans cette tênue. Tu
vois que tu fais de l’ effet, cochonne, Ça te plait de t’ exhiber devant une
inconnu?
- Tu es en train de découvrir des pulsions que tu n’ imaginais pas.
- Regardes-toi. Tu as l’air d’ une véritable pute.
Il est prêt à donner sa tête à couper pour prouver que le
vagin
d´Emmanuelle
est en or et sertit dediamant
, pour avoir à l' entourer d' autant de mystère. Deux magnifiques mamelons, qui même refaits, étaient splendides. Une peau douce, des tétons durs comme du bétons et surtout, surtout, une fermeté extra. Lechirurgien plasticien
avaitbien travaillé. De magnifiques
seins
, pointus, presque énormes, qui nerentrent pas entièrement dans la bouche d’ un homme normalement
constitué. Il se sent presque comme insensible et sa
queue
glisse dansson
vagin
sans ressentir la moindre émotion… A moins que ce ne soitgrâce à la petite pilule bleue…
- Vas-y idiot, qu’est-ce que tu attends, accélères, envoi moi tout ce que
tu as. Tu crois que j’ ai attendu si longtemps pour te voir me prendre comme un
puceau? Défonces moi chéri.
Il la pilonnait avec sa
bite
jusqu’ au fond de sachatte
, ses boulestapaient sur son
cul
de plus en plus vite, elle poussa des gémissements de plus en plus forts et soncul
avait envie qu´il aille encore plus vite et plus loin.Impossible de s’arrêter, elle était une vraie bonne
salope
et elle savaitcomment bien bouger pour sentir sa
bite
. Il continuait en lui tenant les bras en arrière pour qu’ elle tienne quasiment en équilibre sur le bureau en étant posée sur sabite
. Le râle qu’ elle lâcha se confirma que c’ était une position qu’ elle aimait bien.Au bout de plusieurs minutes, il sentit que sonsperme
était prêt à remonter à l’ extrémité de songland
, mais c’ était si bon qu´elle ne voulait pas s’ arrêter. Il sortit labite
de sachatte
, toute écrasée et ouverte… Iljouit
cette fois-ci juste avant d´ elle. Il se vidait les couilles sur sonvagin
et sesfesses
écarlates. Elle arrivait à une