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C’ est un fleuve de

sensualité

et de

désirs

qui affleurent. Ils essayent de garder une certaine distance dans les sentiments, tout en s´ évadant dans une fusion des corps.

- Tu sais où me trouver! crie-t-il une dernière fois avant que la porte ne

se referme sur lui.

À partir de ce jour-là, ses

désirs

furent bien remplies. Chaque retrouvaille est intense, chargée d’ émotions. Il y a entr´eux un attrait

sexuel

, c’ est certain, mais pas que ça, ils partageaient les mêmes idées, les mêmes valeurs.

Il fait chaud, c’ est la canicule. Je mets une petite robe de coton, courte et décolletée, dévoilant la naissance de ma poitrine généreuse, pas besoin de soutien-gorge, il fait trop chaud et puis les bretelles qui dépassent, ce n’ est pas joli.

Emmanuelle

enfile une petite

culotte

, le frottement du tissu sur mon minou me trouble, et délicieusement réveille mes sens, doux prémices de ce

que nous allons faire tout à l’heure. Une goutte de parfum et voilà je suis prête. Elle n’ a que quelques kilomètres à parcourir, heureusement, car il fait vraiment très chaud, nous ne sommes pas loin des

35°

et je transpire un peu. Elle arrive à son domicile,

Mamud

est dehors sur la terrasse, il l’ attend. Lorsqu´elle le voit, juste vêtu d’ un short, apercevant son torse velu et ses jambes puissantes, elle ressent non seulement des picotements dans le bas ventre mais aussi une joie indicible, son cœur fait un bond dans la poitrine. Il lui manque...

- Bonjour.

- Bonjour, tu vas bien?

- Oui, surtout quand je te vois comme ça.

- Coquin! Lui dit-elle, ce qui la fait sourire.

Ils bavardaient un peu dehors. Les rayons du soleil les brûlent la peau alors ils entraient. Debout au milieu du salon, ses corps serrés l’ un contre l’ autre,

Emmanuelle

a plaqué ses mains sur ses hanches, les siennes reposant sur le bas de son dos. Au travers du tissu de sa robe de soie, il sent la fermeté, mais surtout la nudité de ce fessier parfait. Enfin à l’ abri des regards ils étreignaient, elle se serre contre lui et ressent cette force, cette chaleur qui émane de lui. Ce

désir

l’ étonnait, la troublait. Jamais elle n’ avait rien ressenti de pareil. Ses bouches s’ unissent. Ses langues se mélangent, il enfonce sa langue dans sa bouche, caresse son palais, ses gencives. Puis ses lèvres se promènent sur son visage jusqu’ à son oreille, il aspire le lobe et le suce, il fait subir le même sort à l’autre oreille, c’est sublime. Les oreilles sont hyper sensibles, de tout petits frissons parcourent son cuir chevelu... Elle avait enlevé complètement sa robe et, nue sur le foin, elle releva sensiblement ses petites

fesses

pour mieux lui offrir son

sexe

. Elle pouvait parfaitement voir son amant

black

s’approcher encore tout bandé. Il lui posa les mains sur les hanches et s’ étant agenouillé derrière elle, la pénétra d’ un grand coup. Ce qui fit échapper un petit cri de surprise qu’ il la ménageait du tout. Elle lui dit:

- Oh Mamaud… Quel engin, je n’ en connaissais pas d’ aussi

impressionnant! Hé! Pas trop fort avec ta grande queue! Dans cette position tu

risques de me défoncer, mon salaud. Doucement, ne va pas trop vite, je veux

profiter de tous ces instants.

Ne l’ écoutant nullement, il redoubla ses coups de

butoir

pendant un long moment, avec plus de force encore. Presque avec furie, jusqu’à ce que ma tante recommence à

jouir

pleinement. Elle se laissa tomber sur le ventre pendant que

Mamud

, la suivant, continuait à la chevaucher de plus belle, pilonnant son

sexe

de toutes ses forces et lui arrachant des cris presque surhumains. Puis il se cambra en arrière en disant:

- Tiens, je vais te l’ emplir, ta petite caverne de plaisir. Prends cela.

Je décharge.

- Hummm, Mamud c’ est fort… Humm.

Et il gémit son

plaisir

pendant qu’ elle agrippait le foin à pleines mains en

jouissant

et braillant comme une petite danseuse. Elle

jouit

ainsi plusieurs minutes durant, se tordant le postérieur pour accepter plus profondément en elle la semence de son amant et sa grosse

bite

, un peu comme si elle avait voulu conserver à jamais ce membre tout en chair dans son

sexe

distendu, pendant que l’oncle Jacob se cramponnait à ses hanches pour maintenir son

pénis

savamment planté dans le creux des reins de sa belle-sœur. Il jouissait, le cochon, comme cela n’ était pas possible, et une chose est sûre, il ne faisait

pas semblant de décharger. Il lui en déversait tout ce que contenait ses testicules et il semblait

jouir

au plus haut point.

Ensuite, sans dire un seul mot, il se retira d’ elle et la saisit par les hanches, la faisant se retourner. Il s’ affala sur elle en la pénétrant à nouveau puis, cambrant son torse, immobile dans la chair de cette jolie femme comblée, se redressant en se retirant de sa

chair

enflammée de

plaisir

, il entreprit de lui caresser les

seins

. Le visage empreint d’ un sourire

énigmatique

, il semblait tout heureux de l’ avoir soumise à son

plaisir

.

-

Allez, debout et habille-toi. Moi, il me faut aller réparer la clôture.

La nuit est calme, pas de vent, juste la musique du mariage en bruit de fond. Il fait très sombre dès que l’on s’éloigne des bâtiments. La lune est absente, ne restent que les étoiles et la Voie lactée.

Emmanuelle

semblait tout à coup épuisée et perdait presque l’ équilibre en tentant de remettre sa

culotte

. La nuit ne fait que commencer… Quand son époux

Christophe

est rentré chez lui.

Emmanuelle

l’ attendait calmement comme à son habitude. Elle avait ses longues jambes dénudées, ne portant qu’ une robe courte et était étendue nonchalamment sur le canapé du salon. En interrompant brièvement la lecture d’ un roman, elle lui gratifia de son familier sourire qu’ autrefois il trouvait si réconfortant et qui soudain raviva ses

libertinages

… Sa femme, une belle plante blonde aux seins généreux et montée sur la plus belle paire de jambes qu´il connaisse, est une experte dans l’ art du

plaisir

. Tout en admirant

Emmanuelle

souillée de

sperme

de son

amant black

, la robe troussée et les jambes ouvertes. Elle s’ est tout de suite calmée. L’ odeur de

foutre

était assez forte. Elle lui fixa droit dans les yeux. Il trouvait son regard fiévreux.

-

J’ étais ici et je t’ attendais… La place est encore chaude.

Profites-en…

- Ce n’ est rien, ma belle.

- Il m’a fait jouir deux fois!… Je t’ assure ! La première fois lorsqu’ il a

sorti sa queue et qu’ il me l’a enfoncée. Et puis encore après, pendant qu’ il

me baisait… J’ ai pris mon pied! C’ est uniquement pour te faire plaisir,

dit-elle.

Il t bouche bée. C´ était tout qu´ il rêvait pour lui. Tel un

voyeur

. il passe sa main sur sa

braguette

au niveau de sa

queue

. Il voyait se dessiner sur ses charmantes lèvres, l’ expression de la volupté qu’ elle voulait se dissimuler. Ce contentement, n’ était plus celui qu´il avait cru percevoir jusqu’ ici, du simple

plaisir

de lui revoir, mais c’ était sans doute celui d’ une femme qui venait d’ être comblée par son jeune amant

black

. Ces lèvres si belles et discrètement maquillées qu’ elle avait peut-être apprêté quelques minutes à peine avant qu´ elle ne soit là, car il arrivait toujours à

19

heures précises. Ces lèvres

sensuelles

et douces, qui accordaient toujours un délicat

baiser

contre les siennes, avaient peut-être glissé langoureusement il y a quelques instants, le long de la

verge

de son

amant black

.

- Filles de Sata! Allez vous rhabiller et venez demain vous confesser

pour votre péché mortel! Rigole-t-il.

- Moi? Ça c’ est du compliment?

Et vous qu´aime sucer la grosse

bite de Mamud. Il n´ est pas? Un homme bien et un amant excellent à priori.

- J’ aime bien trop te planter pour me priver de ce divin plaisir,

confessait-il.

- Tu veux jouer? On va jouer… Et on va bien voir où cela nous mène! Et

alors, tu es dans quel état?

- Je bande! Il est un mec insatiable... Ne t’ inquiète pas, il y en a

suffisamment pour étancher ta soif.

Trois jours et deux nuits en amoureux sur

Paris

. Sans néanmoins tomber dans la vulgarité. S ’il y a un point sur lequel ils étaient particulièrement bien en phase,

Christophe

et elle, c’ est le dégoût de toute attitude vulgaire et de tout comportement malsain. La

sexualité

est un moment de partage intime qui réclame de la délicatesse, du respect surtout et aussi des sentiments. Avec le temps, ils évoluaient peut-être d’ une

sexualité

instinctive,

sentimentale vers une

sexualité

plus épanouie, décomplexée, pour simplement prendre du

plaisir

et en donner.

Emmanuelle

connaissait ses

désirs

. Elle ne les partageait pas nécessairement et je respectais ses positions.

L’

amour

qu´ il avait pour elle était immense, profond. La jalousie était absente, même dans ses histoires imaginaires. Si

Emma

devait

jouir

d’ un autre, son

amour

pour elle n’ en serait en rien entaché et le sien non plus. Qu’ Emma prenne et donne du plaisir la rendrait encore plus désirable. Son époux n’ a pas arrêté d’ être charmeur avec son épouse. Difficile de rester indifférent quand elle est ainsi.

Emma

était très

sensuelle

. Elle croisait et décroisait ses jambes, signe d’ un léger trouble... Une chose était certaine,

Christophe

n’ était pas resté indifférent et ses yeux n’avait rien perdu de ce qui s’ offrait à sa vue. Elle savait lui provoquer.

- Nous sommes des libertins débutants, continua son mari.

- Debutants ? Non... Adeptes de la cocufiage... C´est ça.

Candauliste

et cocu volontaire, oui.

Cocu

tout court, non. C’ était une trahison. Rien de plus. Elle aime se montrer dans l’ intimité. Son regard est coquin, ses cuisses s’ ouvrent facilement avec son chéri. Elle jouit à répétition et a toujours faim.

Mon Dieu

qu’ elle est belle, nue, quand elle bouge son bassin. Les courses, les factures à payer elle n´a jamais ce type de problème. La rente de son mari est plus grand que de qu´ il a necessité à vivre. Ceci étant, tout va bien.

Emmanuelle

n’ avait même pas rêvé d’ une seconde vie aussi tranquille. En réalité son époux voudrait qu’ elle en montre d’ avantage, qu’ elle se montre ouverte, qu’ elle se laisse draguer, qu’ elle allume discrètement, qu’ elle fasse sa fausse ingénue quand des regards lubriques la cherchent. Quand il lui avait parlé de son rêve de

cocu

concentant,

Emmanuelle

avait eu le sentiment que ça l’ excitait. Alors le moment est venu de jouer, de pousser le jeu, de lui faire découvrir qu´ il est, un mari bi et de lui faire découvrir qui elle est aussi, sans doute.

Regarder sa femme alors qu’ elle porte une magnifique robe légère en mousseline blanche, très haute sur la cuisse, avec de fines bretelles qui ne laissent aucun doute sur l’ absence de lingerie en dessous pour retenir ses petits seins fermes. Au moindre mouvement de buste ils se baladeront libres comme l’ air pour le

plaisir

de qui voudra bien les regarder. Comme souvent dans ces cas-là, l’ excitation de ne pas porter de

soutien-gorge

et le contact direct de la peau avec le tissu de la robe font que ses tétons pointent largement. Inutile de préciser que la robe est très décolletée sur le devant, sans quoi ce ne serait pas intéressant. La légèreté de la robe et sa finesse laissent entrevoir par transparence le corps mince et élancé d´elle lorsqu’ on la regarde à contre-jour. Il admire toujours autant ses fesses galbées et fermes, surtout quand la ficelle d’ un string et des talons hauts les mettent en valeur comme ce soir. Sa réaction immédiate est de faire remarquer à

Emmanuelle

que sa tenue est très

sexy

et que, la connaissant, elle risque de ne pas toujours faire attention à ses positions et de dévoiler aux autres invités ses parties intimes et ses

seins

.

- Tu ne penses pas que c’ est un peu léger comme tenue? Tu es vraiment

magnifique dans cette robe, mais tu te connais, souvent tu oublies qu’ en te

penchant en avant tu offres une vue imprenable sur tes seins et parfois même

sur ta culotte.

- Oh non, j’ ai acheté cette robe exprès pour ce soir, j’ ai envie de me

sentir, est toujours bien habillée et très sexy, j’ ai envie de lui faire honneur.

Mais tu ne m’ avais jamais dit que tu avais le fantasme de me voir prise par

un autre homme?

Emmanuelle

aime par-dessus tout s’ amuser. Elle adore jouer avec ses sens, sentir son désir à fleur de peau.

Emmanuelle

est une femme subtile et provocante. Elle a un corps sublime, des formes parfaites et elle le sait! Elle adore les souliers à talons hauts qui lui font oublier sa taille modeste. Ses

escarpins, ses sandalettes mettent en évidence ses pieds fins et élégants et cambrent délicieusement ses reins. Quand la chaleur n’est plus là, elle enfile sensuellement des bas fins et délicats qu’ elle retient avec un porte-jarretelles ou une guêpière. Ses

seins

sont tout simplement parfaits. Ni trop volumineux, ni trop fluets. De délicieux

seins

ronds et pleins, joliment en forme de poire, aux tétons sensibles et pointant à la première émotion. Elle aime autant les parer de dentelle que de les laisser libres, nus. Leurs mouvements légers sous un chemisier délicat aiguisent son

désir

à longueur de journée. Elle aime la fine dentelle de ces parures et apprécie prendre son temps à les choisir, à les coordonner à ses habits. Elle sourit chaque fois en pensant aux hommes ou aux femmes qui la regarderont. Elle aura pris soin que ces observateurs attentifs devinent ce qu’elle porte sous ses habits, mais subtilement. Dévoiler, donner envie d’en savoir plus… Et si le spectateur lui plaît, elle continuera à s’ amuser avec lui en s’ exhibant de manière plus ostensible. Ses cheveux longs blonds encadrent son visage et ses yeux clairs pétillent d’ envie presque en permanence… Elle aime explorer tous ses trésors.

- Quel plaisir de pouvoir choisir ! J’ ai eu le temps de réfléchir… En fait

je fantasmais que j’ étais empalée sur un phallus dressé, excité. Je m’

imaginais chevauchant un sexe chaud, planté dans mon ventre et palpitant. Eh

bien, j’aimerais beaucoup réaliser ce fantasme fou avec toi.

- Je suis prêt à satisfaire ton envie. Je t’ imagine assise sur moi,

vêtue de ta jolie robe.

Emmanuelle Brésilienne

aspirait des relations

libidineuses

avec accord intelectuel. Elle appliquait ses idées : elle rejettait les fêtards, les buveurs, les

drogués

. Jamais elle n´irait en boîte de nuit, à une fête arrosée entre copains ou a un bal, les garçons qui les fréquentent étant trop vulgaures. Les jours de son mari

Christophe del Nero

étant très occupés par ses affaires.

Emma

est heureuse avec son époux, sa vie lui convient. Les affaires de

Christophe

se développent toujours. Il prend

Alfred de la Croix

comme associé, une celibataire plus jeune que lui et qui a hérité d´affaire que complètent les siennes. À deux, ils ont de possibilités qu´ils n´auraient pas

seuls. La colaboration est fructueuse. Les entreprises communes propèrent. Ils se lancent dans l´entretien et les modifications de bateaux suivant les

désirs

des clients. Les commands affluent. Les entreprises se développent.

Emmanuelle Brésilienne

, une femme de

35

ans, magnifiquement bien roulée… Elle lui faisait beaucoup d’ effet.

Alfred

savait que les femmes sont plus disponibles à tromper leur mari. Il est beau et il avait seulement

25

ans d´âgé, et surtout avec un

engin

très bien proportionné.