Il alla chercher la bouteille dans sa cave, la déboucha et servit deux verres. Ils trinquèrent, les yeux dans les yeux.
- Tu ne m’ entendras pas dire que tu es belle. Je ne vais pas te
servir de plats réchauffés. Tu es juste une bombe de sensualité prête à
exploser. Moi ou un autre, peu importe. Tu es à un moment de ta vie où tu
as besoin de plaire à nouveau. Séduire avant de sombrer dans la
vieillesse et de regarder les autres vivre leur vie.
- Je suis encore jeune…
- Je n’ai pas dit le contraire, j’ ai dix ans de plus que toi, mais c’est
toi qui veux te prouver que tu es encore jeune et désirable.
Il la voulait tout autant qu’ elle le voulait. Quelle délicieuse sensation, que d’ avoir un homme à sa merci. Sa raideur en témoignait. Elle fit glisser ses mains le long de leurs corps et la saisit. À travers le tissu, elle percevait la chaleur qui s’ en dégageait. Elle était dure comme de la pierre. Elle abaissa l’ élastique du vêtement et la
queue
marron clair jaillit. Sans même y penser, elle se libéra de leur étreinte pour admirer l’objet de sondésir
. Elle ne s’ était pas trompée:Marek
avait été gâté parla nature. Il était un arabe. Quelle classe cet homme! Son
membre
se dressait vers le ciel, large et long. Legland
était d’ un marron un peu plus foncé que le fourreau. Il se dégageait de l’ ensemble une puissance animale. Elle avait une envie irrésistible de sentir monsexe
en elle. Son cher et tendreRomain
ne tenait pas la comparaison avec cetAdonis.
Elle vit courir sa main le long du membre. Il tressaillit, vivant sous ses doigts. De la main gauche, elle lui caressasensuellement
legland
tandis que la droite partait à la recherche de ses bourses encore cachées par le jogging. Quand elle les atteignit,Emmanuelle
entreprit de les malaxer tendrement entre ses doigts. Ses couilles étaient imposantes et si lourdes, si pleines… Elle les soupesait de la main, pensant ausperme
qui en jaillirait.Marek
regarda avecplaisir
la femme s’ agenouiller devant lui pour mieux le caresser. Il sentait ses mains aller et venir, lui caressant passionnément les cuisses, les bourses et laqueue
. Il n’ en pouvait plus maintenant; voilà près d’ une heure qu’ elle le chauffait, et il touchait enfin au but. Il posa ses mains sur la tête de la femme et la guida fermement vers sonérection
.Emmanuelle
, comprenant les attentes de l’ homme, guida legland
gonflé contre ses lèvres et le goûta timidement. Elle n’ avait jamais connu d’ hommes avec un telpénis
; à ce stade, l’engin
l’ effrayait presque. Après quelquesbaisers
, elle fit courir sa langue contre le prépuce puis, s’ enhardissant, elle se décida à le prendre totalement en bouche. Le goût était légèrement salé, délicieusementérotique
. Tous ses sens étaient en éveil devant l’ intimidante beauté qu’ elle tétait. Ses joues se creusaient maintenant et sa langue dansait. Ses mains se confondaient en caresses tantôt langoureuses, tantôt énergiques quand elle le masturbait. Levant les yeux, elle vitMarek
, les paupières mi-closes. Il semblait être au septième ciel. Afin de lui rendre le spectacle plus agréable encore, elle fit glisser les bretelles de sa robe, lui offrant la vue de ses deux grosseins
supportés par les corbeilles de sa lingerie.Marek
se mordit la lèvre inférieure enregardant la femme débridée. Il lisait dans ses yeux une fureur
sexuelle
qui se traduisait par une puissante succion de sonmembre
. Il ne résisterait pas longtemps à ses assauts, d’ autant que la vue de ses seins blancs… Il se pencha afin de dégrafer sonsoutien-gorge
et profiter pleinement du spectacle. À présent, les deux mamelles laiteuses ballotaient librement au gré des mouvements de tête. Cette vision était incroyablementérotique
etMarek
sentit monter en lui les picotements annonciateurs d’ une puissanteéjaculation
. Il ne prévint pas Solange. Il voulaitjouir
dans sa bouche,jouir
en elle et la remplir de sasemence
. Aussi, quand il sentit les premières contractions de ses couilles, elle se leva.Après quelques minutes,
Emmanuelle
sentit une pression pointer contre son ventre rond.Marek
rebandait. Elle acheva de remonter sa robe jusqu’ à la taille et baissa impatiemment sa petite culotte à mi-cuisses. Rarement elle n’ avait tant eu envie de se sentir pénétrée. Son corps réclamait d’ être comblé par ce mâle, de sentir sonmembre
au plus profond d’ elle. Elle le saisit et, tels qu’ ils étaient, debout et face-à-face, elle dirigea saqueue
vers safente
. le gland venait presser contre elle. Le contact tant attendu lui fit l’ effet d’ un électrochoc et elle gémit deplaisir
. Enfin elle le sentait là où elle le voulait. Le gland était si gros, si gonflé… Il lui écartait les lèvres et pressait contre sonclitoris
. La sensation était exquise. À ce moment, rien ne comptait plus pour elle que cette grosse queue qui allait bientôt la prendre. De la main, elle la fit aller et venir contre safente
; leurs jus se mixèrent, faisant glisser leurssexes
..
La tenant fermement par le bassin, il poussa fortement afin de s’ enfoncer en elle. Il se heurta cependant rapidement au fond de la cavité. La pression contre l’ entrée de l’utérus déclencha un nouvel un éclair de douleur chez-elle, qui tenta alors de se dérober. La pénétration était difficile et il faudrait un peu de temps pour que son corps s’adapte, comprit tardivement l´ homme. Il se retira de quelques centimètres, puis
débuta un lent
va-et-vient
. Petit à petit, il sentit de nouveauEmmanuelle
s’ adapter, réagir à lui. Tout d’ abord, ses muscles semblèrent s’être détendus, sa respiration s’ apaisa avant de s’ accélérer au rythme de ses gémissements. Enfin il la vit maintenant onduler des hanches. Bien que toujours particulièrement serrée, sa queue coulissa agréablement et il se vit progresser en elle millimètre par millimètre. Quand enfin il approcha du but, il donna un dernier coup de hanches et se figea au plus profond d’ elle. Cette fois-ci, pas de douleur pour elle mais une vague deplaisir
amplifiée par labestialité
du geste. Elle se sentit remplie et comblée par tant de virilité.Marek
était loin des gentilles attentions et petites caresses de son mari. Et c’ était tout ce qu’ elle voulait à cet instant, ce qu’ elle attendait de sonamant
. Un homme qui la saille, qui la fasse se sentir femme. Là, elle était vivante, une énormequeue
plantée dans sachatte
! Ondulant du bassin, Elle reprit alors leva-et-vient
, baisant elle-même lesexe
enfoncé en elle. Tandis qu’ elle accélérait la cadence, elle sentitMarek
poser les mains sur son large ventre. La peau était tendue et soyeuse. Il le lui caressa avant de remonter vers sesseins
ballottants. Les coups de boutoir assénés parEmmanuelle
les faisaient valser et s’entrechoquer au rythme des gémissements de leur propriétaire.Elle gémit de plus en plus fort.
Marek
n’ avait pas menti: il la limait maintenant avec une vigueur et sentant monter l’ explosion, elle glissa une main entre ses cuisses et frotta, stimulant son clitoris engorgé, sentant les bourses de l’ homme la fouetter en rythme. Ses lourdes couilles se balançaient et venaient lui frapper les cuisses, lesexe
et ses doigts qui s’ agitaient frénétiquement. L’ orgasme la prit presque par surprise. Elle se massait encore lesexe
, leclitoris
glissant entre son majeur et l’ annulaire quand elle reçut un coup de reins violent, l’ écrasant un peu plus contre la table. Le monstre de chair gonfla, se figea profondément en elle, l’ écartelant, avant qu’elle ne sente laqueue
tressaillir puis déverser des flots desperme
chaud. L’ éjaculation la fit basculer et une explosion de plaisir l’envoya au ciel. C’ était la délivrance tant attendue et espérée. Un séisme dont son corps ressentit les répliques, secoué de spasmesincontrôlables.
Emmanuelle
ne perçut plus rien du monde qui l’ entourait. Elle n’ était queplaisir
à répétition, qu’ un instrument tendu et vibrant dont la musique émise était un interminable râle deplaisir
. Sa verge pendait mollement entre ses jambes. Même flasque, ses dimensions étaient impressionnantes. Une quantité incroyable de sperme s’était déversée. Ses lèvres étaient encore couvertes de la substance blanche. La situation semblait irréelle pourEmmanuelle Brésilienne
. Et pourtant aucun sentiment de culpabilité ne la submergea. Rien. Peut-être était-ce cet incroyable orgasme qui continuait de l’ apaiser, ou bien était-ce parce que, justement, elle avait découvert la puissance que pouvait prendre un orgasme? Elle se sentit épanouie et rassasiée.C’ était son corps qui avait réclamé cet homme, qui l’ avait poussée à faire
sexe
avec lui. Elle avait suivi son instinct et laissé la nature faire son œuvre. Après de longues minutes à récupérer sans dire un mot, Solange sortit de sa torpeur, dérangée par le froid du carrelage qui l’ envahissait. Après une courte discussion pendant qu’ ils se rhabillaient, Elle remercia l´ homme. En posant le sac avec les courses sur la table, elle sourit à l’ avance en pensant à ce qu´elle va dire à son mari: qu’un homme l’ a draguée, la baisée… Ça va lui donner des idées… Et puis non, c’ est trop bête… Ça a si peu d’ importance. cette histoire sans lendemain l’a marquée car elle avait toujours depuis, consciemment ou pas, recherché de nouveau ce type de relations.Quatre
Ce samedi-là, la belle
Emmanuelle
passa l’ après-midi à se préparer. Le montagediabolique
de cette reine du suspense nous entraîne sur un territoire délicieusement vénéneux, en droite ligne des films deClaude Chabrol.
Les petits jeuxd’ exhibition
auxquels elle se livre avec l’ approbation de son homme, les excitent tous deux, elle se promet donc de recommencer dès que l’ occasion se présentera. Une viesexuelle
plutôt ordinaire et classique. Elle fit couler un bain chaud et bien moussant. Elle s’ y prélassa un moment puis elle s’occupa de son corps si voluptueux. Elle ferma les robinets. Il ne fallait pas rater sa sortie. Les cheveux collés, elle quitta la cage de verre et fit un pas vers le porte-serviette pour arracher le tissu éponge de son support, s’en couvrir la tête et le presser contre son visage. Le gel et un gommage rendit sa peau douce et parfumée. Il n’ avait pas encore établi de liaison entrePlaton et
Eros
, entre sentiment etsexe
, entre pureté et lubricité; bref: entre la tête et lecul
. L’ image de la chair ensorcelante restait en décalage avec le regard profond, immatériel, romantique de sa muse. Elle appliqua un baume sur ses cheveux blonds, puis ladéesse
entreprit de s’épiler consciencieusement. Lerasoir
rose glissa sur ses jambes, les rendant à chaque passage un peu plus lisses. Pour finir, la miss prêta une attention toute particulière à sonsexe
. Elle étala la mousse blanche puis délicatement, elle rasa son pubis et les lèvres parfaites de sa petitechatte
. Au bout de cinq minutes, safente
était parfaitement lisse et douce. La voici enfin, étincelante de beauté et de distinction.Cette petite séance de rasage intime avait un peu excité la belle
Emmanuelle!
Elle sortit de la baignoire, enfila un peignoir et ouvrit son dressing plein à craquer. Après moult hésitations, ladéesse
choisit une tenuesexy
et classe. Elle se maquilla avec goût et se coiffa comme une pro.Emmanuelle
réapparut dans une petite robe d’ été descendant aux genoux mais faisant la part belle au décolleté puisque se portant sans soutien-gorge. Ses jambes étaient épilées de près, et ne distinguant pas de trace deculotte
à travers la robe,Luc
ne put s’empêcher de glisser sa main dessous pour constater qu’ elle portait un string qui laissait libres sesfesses
magnifiques, lui faisant uncul
hypnotisant. Les escarpins rouges choisis sont aussi du plus bel effet et montrent un contraste saisissant avec le noir et mettent en valeur l’ ensemble. Vers20
heures elle était prête à sortir.- Tu as perdu ta culotte, aujourd’ hui?
- Non, non! L’ a-t-elle répondu. Il faudra que j’aille la rechercher,
c’est un gage…
- Tu es vraiment un sacré salaud!
- Et toi, une allumeuse de première!
- Était-il mieux que le mien?
- Ne sois pas ridicule! Ça n’ a rien à voir et je ne te compare pas.
Laisse-moi continuer, sinon j’arrête si tu me coupes avec tes questions
oiseuses.
- OK, OK, continue, tu sais pertinemment que ça m’ excite.
- Je sais très bien et c’ est bien pour t’exciter que je te raconte.
-Ou vas tu?
- Le destin est en réalité une association de hasards
.Baiser...
Baiser beaucoup...
- Je te raconterai plus tard; tu sais comme je suis, je n’ aime pas
raconter dans l’ action.
L’ été était chaud et très agréable cette année-là. Les souvenirs éclataient comme des bulles de sang à l’ intérieur de son cerveau.
Bizarre
cetteEmmanuelle
, avec son attachement soudain et cette grande faimsexuelle
. Chaque douleur, chaque étourdissement portait désormais un nom, celui desdiablesses
qui l’ accompagnaient. Ce jour-là, une sortie enParis
était prévue, dans le but de regarnir lacave
à cigares, de faire le plein encharcuterie
et de manger une moule-frites aurestaurant
habituel. Les hommes qu´elle croise la reluquent. Les chars défilent sur la place, entre une double haie de badauds en délire. Les cris, les rires, les fleurs et les confetti jetés à poignées tournoient dans la mollesse de l’après-midi. Suivant lesdésirs
qu´ elle leur inspire, ils ont les yeux rivés sur ses cuisses, ses yeux clairs ou sa bouche rouge cerise.Emmanuelle
avait le hérisson en feu suivant son expression. Ainsi c’ est uneAngie
au top de sabeauté
et de son élégance qui fermait la porte de son appartement baroque…Elle monta dans sa voiture et prit la direction du centre ville, en effet, elle arrêtait le moteur et attendit le cœur battant. Maintenant elle sort de la ville. Le peu de circulation était essentiellement constitué de
routiers
. Elle le fixait avec un drôle de regard, à la fois vide et provocateur, un vague sourire s’ était posé au coin de ses lèvres. Sa belle peau luisait d’un éclat étrange et presque vénéneux, éclairée par la seule lumière naturel. Les jolies jambes de sa conductrice sont parfois couvertes de bas dont la jarretière est visible, mais surtout, le plus naturellement du monde et comme si elle l’ ignorait, son string renflé par savulve
et parfois son intimité sans rien dessus lui apparaissent sans pudeur.Doublant un poids-lourd elle fut accueillie par un concert de
klaxon
au moment où elle arrivait à hauteur de la cabine. Amusée elle terminaison dépassement pour s’apercevoir que le chauffeur, sans doute émoustillé par la vue de sa petite robe d’ été, continuait ses manifestations par des appels de phares. Le fait d’exciter ainsi un inconnu fit naître en elle le