Il restait de longs instants pantois, affalé dans le canapé, absent, à la fois incrédule qu´était possible quelque chose entr´eux. Elle était belle, elle semblait paisible. Le halo blafard de la lumière du couloir éclairait ses
fesses
, posées telles deux collines douces, aux courbes gracieuses, à la pente bombée et régulière, symétriques, seules aspérités se dégageant de sasilhouette rectiligne. Ils s’ embrassèrent pendant plusieurs minutes, tout en se déplaçant vers le salon. Ils se
mirent sur le canapé. L’ instinct féminin?
- Tu me plais beaucoup, Jacques. Viens, j’ ai envie de toi.
- Tu aimerais l’ avoir dans ta chatte? Tu veux vraiment faire cocu ton
mari?
- Oui... Oui, c’est une super bonne idée! N’ abuse pas trop pour cette
première fois…
C’ était le moment ou jamais d´elle se montrer
audacieuse
. Inconsciemment, elle savait qu’en qualité de femme mariée,Jacques
voulait posséder son corps et la soumettresexuellement
. Elle avait tout préparé avec soin à êtrebaisée
par lui. Lepolicier
est vraiment bienmembré
, une grossequeue
longue et veineuse, déjà raide. La comparaison n’ est pas à son avantage. Ses yeux brillent comme millesaphirs
, oui enfin… ils brillent. Elle est magnifique et son sourire est resplendissant. saisit labite
tendue, sa petite main en faisait difficilement le tour, elle était dure comme du fer. Elle commença à le branler.Emmanuelle
prend sa bite en main, le branlant avec douceur. Puis elle le conduit vers le lit, le fait s’ allonger et s’agenouille à son coté. Se penchant doucement, elle pose unbaiser
sur le gland, puis elle l’ embouche. Laqueue
disparaît entre ses lèvres. Le contraste de cette verge près du visage pâle d´elle est saisissant, elle en retire une puissante impressionérotique
et l’ empresse de saisir ce moment pour l’ éternité. Il a commencé à lui pistonner dès qu´elle a été plus détendue; c’ était bon. Elle se laissait faire, accompagnant son rythme d’ un mouvement lent etlascif
de tout son corps. Elle lui regardait de ses yeux chavirés et lui souriait. Il pouvait lire sur son visage leplaisir
qu’ elle éprouvait. Il se sentait fort et sûr elle. Leva-et-vient
commence, la grossebite
va de plus en plus profond, il entend les gémissements et les halètements d´elle.- Je sens ton bâton, va plus loin, défonce-moi, je suis ta salope, j’ aime
ta queue, je n’ ai jamais ressenti ça.
- Chienne, traînée, tu aimes une grosse bite, je vais te baiser toute la
nuit.
- Chéri, merci, c’ était bon, ma plus belle nuit d’ amour, merci encore.
•- Ouiiii… Je la sens bien… Elle est grosse… Elle va au fond… Elle est
bonne… Tu la vois, qui rentre et sort? Vas-y, prends-moi comme une salope,
prends-moi la chatte, mais prends-moi sauvagement, fais-moi jouir, autant
qu’ il a pu me faire jouir, plus si tu peux. Mais tu n’ en es peut être pas
capable après tout, lui dit-elle pour le provoquer. Baise-moi plus fort,
prends-moi, baise, baise ! Enfonce-moi, défonce-moi. Baise. Quelle bonne
bite. Pousse, bouscule, va, baise, baise encore. Allez viens, lâche la sauce.
Il l’ a limée sans ressentir un début de
jouissance
monter de ses reins. Il a accéléré l’ allure sans plus de réussite. Il fut fulgurant, elle était terrassée, du liquide giclait de sachatte
comme jamais. Il l´avait comblésexuellement
et amoureusement. Elle ne peut et ne veut pas toujours suivre la cadence qu’ il aimerait s’ imposer.Ce fut le début d’ une relation
sexuelle
d’ une qualité particulière, d’ une expeience vécue comme une aventure, et d’ unbaiser
vécu comme unejouissance
extraordinaire. Iljouit
en elle alors qu’ il pouvait sentir son plaisir à elle couler le long de ses jambes. Ils s’ embrassèrent longuement, allongés sur le lit. Ils rirent ensemble de la situation aussi bien que deplaisir
.Ça y est!
Elle l’ avait fait. Et elle ferme la porte, laissantDelayé
perplexe dans le hall. Elle essaierait une prochaine fois de repousser un peu plus ses limites.Luc Babon
son mari aurait donc dû être le plus heureux des hommes mais, au fil des années, il ne parvenait plus à la satisfaire de sa seule plastique. Il essayait de lui faire partager ses fantasmes, qu’elle s’exprime les siens. Mais elle restait toujours aussi sage et réservée. Attention : elle n’ était pas pour autant unesainte-nitouche
et se donnait à lui presque quotidiennement. Comme bien des hommes, il fantasme sur sa condition decocu
.- Ton cocu est là, ma chérie!
- Pourquoi tu ne m’ as jamais dit que tu voulais être cocu?
- Tu sembles si heureuse, la journée a été bonne?
-
Plus que tu ne pourrais l’ imaginer. Je… Je sais pas trop! C’ est
gênant! Tu ne vas pas me laisser dans cet état, mon chéri? Comment ça? Tu
vas pas me laisser pleine de la semence d’ un autre? C’ est pas bien! Ça
pourrait me rendre amoureuse de lui. Et puis tu ne m’as pas léchée depuis
des siècles. C’ est pas très gentil ça!
- C’est-à-dire! On va faire quoi?
- Toi rien! Moi, je vais aller me faire baiser encore. Tu sais que j’
adore ça et j’ ai envie de faire plaisir à mon petit mari. Maintenant, je crois
que tu es prêt. Si c’ est ce que tu veux, pourquoi pas?
Comme d’ habitude, ne prenant pas de décision, elle l’ attrapa par la nuque et lui plaqua le visage contre sa
chatte spermeuse
. Elle me garda bloqué ainsi. Elle attendait que sa langue se mette en action. Il obtempérait. Il bandait.
Luc
partit explorer cettechatte
qu´il redécouvrait. Dilatée, rougie, ornée,spermée
. Je la nettoyai consciencieusement, sachatte
, sa petite rosette, ses cuisses. Même sesseins
, ils avaient joué assez longtemps ensemble, attendant xon retour. SelonEmmanuelle
, elle était arrivé pour la troisième et dernière salve. Sesseins
et deux fois sonminou
ont été honorés par le colosse multicolore. Deux heures et demie debaise
intensive. Il comprends les irritationsvaginales
. Il estcocu
, il bande. Il rendit sa liberté à cette joliechatte
. Elle-même très excitée, elle courut en cette soirée vers les bars du quartier, sansculotte
, sans soutien-gorge et jupe ras-la-touffe.
Dans le document
Sexe, sensualité et glamour, Ivan RIBEIRO LAGOS
(Page 118-122)