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Ça dépend… deux fois par semaine environ

Il restait de longs instants pantois, affalé dans le canapé, absent, à la fois incrédule qu´était possible quelque chose entr´eux. Elle était belle, elle semblait paisible. Le halo blafard de la lumière du couloir éclairait ses

fesses

, posées telles deux collines douces, aux courbes gracieuses, à la pente bombée et régulière, symétriques, seules aspérités se dégageant de sa

silhouette rectiligne. Ils s’ embrassèrent pendant plusieurs minutes, tout en se déplaçant vers le salon. Ils se

mirent sur le canapé. L’ instinct féminin?

- Tu me plais beaucoup, Jacques. Viens, j’ ai envie de toi.

- Tu aimerais l’ avoir dans ta chatte? Tu veux vraiment faire cocu ton

mari?

- Oui... Oui, c’est une super bonne idée! N’ abuse pas trop pour cette

première fois…

C’ était le moment ou jamais d´elle se montrer

audacieuse

. Inconsciemment, elle savait qu’en qualité de femme mariée,

Jacques

voulait posséder son corps et la soumettre

sexuellement

. Elle avait tout préparé avec soin à être

baisée

par lui. Le

policier

est vraiment bien

membré

, une grosse

queue

longue et veineuse, déjà raide. La comparaison n’ est pas à son avantage. Ses yeux brillent comme mille

saphirs

, oui enfin… ils brillent. Elle est magnifique et son sourire est resplendissant. saisit la

bite

tendue, sa petite main en faisait difficilement le tour, elle était dure comme du fer. Elle commença à le branler.

Emmanuelle

prend sa bite en main, le branlant avec douceur. Puis elle le conduit vers le lit, le fait s’ allonger et s’agenouille à son coté. Se penchant doucement, elle pose un

baiser

sur le gland, puis elle l’ embouche. La

queue

disparaît entre ses lèvres. Le contraste de cette verge près du visage pâle d´elle est saisissant, elle en retire une puissante impression

érotique

et l’ empresse de saisir ce moment pour l’ éternité. Il a commencé à lui pistonner dès qu´elle a été plus détendue; c’ était bon. Elle se laissait faire, accompagnant son rythme d’ un mouvement lent et

lascif

de tout son corps. Elle lui regardait de ses yeux chavirés et lui souriait. Il pouvait lire sur son visage le

plaisir

qu’ elle éprouvait. Il se sentait fort et sûr elle. Le

va-et-vient

commence, la grosse

bite

va de plus en plus profond, il entend les gémissements et les halètements d´elle.

- Je sens ton bâton, va plus loin, défonce-moi, je suis ta salope, j’ aime

ta queue, je n’ ai jamais ressenti ça.

- Chienne, traînée, tu aimes une grosse bite, je vais te baiser toute la

nuit.

- Chéri, merci, c’ était bon, ma plus belle nuit d’ amour, merci encore.

- Ouiiii… Je la sens bien… Elle est grosse… Elle va au fond… Elle est

bonne… Tu la vois, qui rentre et sort? Vas-y, prends-moi comme une salope,

prends-moi la chatte, mais prends-moi sauvagement, fais-moi jouir, autant

qu’ il a pu me faire jouir, plus si tu peux. Mais tu n’ en es peut être pas

capable après tout, lui dit-elle pour le provoquer. Baise-moi plus fort,

prends-moi, baise, baise ! Enfonce-moi, défonce-moi. Baise. Quelle bonne

bite. Pousse, bouscule, va, baise, baise encore. Allez viens, lâche la sauce.

Il l’ a limée sans ressentir un début de

jouissance

monter de ses reins. Il a accéléré l’ allure sans plus de réussite. Il fut fulgurant, elle était terrassée, du liquide giclait de sa

chatte

comme jamais. Il l´avait comblé

sexuellement

et amoureusement. Elle ne peut et ne veut pas toujours suivre la cadence qu’ il aimerait s’ imposer.

Ce fut le début d’ une relation

sexuelle

d’ une qualité particulière, d’ une expeience vécue comme une aventure, et d’ un

baiser

vécu comme une

jouissance

extraordinaire. Il

jouit

en elle alors qu’ il pouvait sentir son plaisir à elle couler le long de ses jambes. Ils s’ embrassèrent longuement, allongés sur le lit. Ils rirent ensemble de la situation aussi bien que de

plaisir

.

Ça y est!

Elle l’ avait fait. Et elle ferme la porte, laissant

Delayé

perplexe dans le hall. Elle essaierait une prochaine fois de repousser un peu plus ses limites.

Luc Babon

son mari aurait donc dû être le plus heureux des hommes mais, au fil des années, il ne parvenait plus à la satisfaire de sa seule plastique. Il essayait de lui faire partager ses fantasmes, qu’elle s’exprime les siens. Mais elle restait toujours aussi sage et réservée. Attention : elle n’ était pas pour autant une

sainte-nitouche

et se donnait à lui presque quotidiennement. Comme bien des hommes, il fantasme sur sa condition de

cocu

.

- Ton cocu est là, ma chérie!

- Pourquoi tu ne m’ as jamais dit que tu voulais être cocu?

- Tu sembles si heureuse, la journée a été bonne?

-

Plus que tu ne pourrais l’ imaginer. Je… Je sais pas trop! C’ est

gênant! Tu ne vas pas me laisser dans cet état, mon chéri? Comment ça? Tu

vas pas me laisser pleine de la semence d’ un autre? C’ est pas bien! Ça

pourrait me rendre amoureuse de lui. Et puis tu ne m’as pas léchée depuis

des siècles. C’ est pas très gentil ça!

- C’est-à-dire! On va faire quoi?

- Toi rien! Moi, je vais aller me faire baiser encore. Tu sais que j’

adore ça et j’ ai envie de faire plaisir à mon petit mari. Maintenant, je crois

que tu es prêt. Si c’ est ce que tu veux, pourquoi pas?

Comme d’ habitude, ne prenant pas de décision, elle l’ attrapa par la nuque et lui plaqua le visage contre sa

chatte spermeuse

. Elle me garda bloqué ainsi. Elle attendait que sa langue se mette en action. Il obtempérait. Il bandait.

Luc

partit explorer cette

chatte

qu´il redécouvrait. Dilatée, rougie, ornée,

spermée

. Je la nettoyai consciencieusement, sa

chatte

, sa petite rosette, ses cuisses. Même ses

seins

, ils avaient joué assez longtemps ensemble, attendant xon retour. Selon

Emmanuelle

, elle était arrivé pour la troisième et dernière salve. Ses

seins

et deux fois son

minou

ont été honorés par le colosse multicolore. Deux heures et demie de

baise

intensive. Il comprends les irritations

vaginales

. Il est

cocu

, il bande. Il rendit sa liberté à cette jolie

chatte

. Elle-même très excitée, elle courut en cette soirée vers les bars du quartier, sans

culotte

, sans soutien-gorge et jupe ras-la-touffe.