• Aucun résultat trouvé

Cas à part : l’Actinomycose

6. Diagnostic radiologique

8.2. Traitement chirurgical

8.2. Traitement chirurgical

Le traitement chirurgical de première intention doit être évité et ne doit être indiqué qu’en cas de nécessité au stade diagnostic ou thérapeutique. En effet, dans la plupart des cas rapportés dans la littérature. La chirurgie d’exérèse, parfois large et mutilante, a été pratiquée faute de diagnostic préalable.

Une analyse histologique extemporanée des pièces opératoires doit être pratiquée préalablement afin de limiter les risques d’une chirurgie extensive inappropriée, grevée de complication à type de plaies digestive ou urinaire.

Le traitement chirurgical ne garde sa place qu’en cas de lésions fistulisées ou abcédées. Une chirurgie d’exérèse raisonnable des lésions abcédées complète avantageusement l’antibiothérapie. Elle accélère la guérison, diminue la durée et les doses de l’antibiothérapie postopératoire et minimise la fréquence des rechutes.

La chirurgie peut également être proposée secondairement en cas de douleurs résiduelles, de compression d’organes, d’occlusion persistante ou chez la femme jeune pour un bilan d’infertilité. En cas d’abcès profond, un drainage percutané sous contrôle radiologique peut être proposé [75, 82, 63, 90].

9. Prévention

Pour les femmes porteuses de DIU, la prophylaxie telle que résumée par Huss et Bongain repose sur :

 Changement de DIU tous les deux à trois ans

 Discernement des indications de la contraception par DIU  Suivi rapproché des femmes porteuses de DIU

 Retrait du DIU et sa mise en culture sur milieux appropriés en cas de symptômes anormaux tels que : douleurs pelviennes, fièvre inexpliquée, leucorrhées, métrorragies [91].

86

Cependant, il n’y a pas de recommandations consensuelles sur la conduite à tenir chez les femmes porteuses d’un DIU asymptomatiques et chez qui des frottis cervico-vaginaux auraient mis en évidence des Actinomyces dans la flore vaginale.

Il parait malgré tout raisonnable d’entreprendre un suivi régulier tout en gardant le DIU en place, l’antibiothérapie n’a par contre aucune indication.

Enfin, chez les femmes ménopausées, le retrait du DIU s’avère nécessaire vu l’absence de flux menstruel favorisant l’élimination de l’Actinomyces.

87

Figure 31 : Conduite à tenir chez une femme porteuse de DIU devant une suspicion d’actinomycose [92]

88

89

Depuis plusieurs années, le DIU est considéré comme un moyen de contraception très efficace et sûr, à la fois par le comité scientifique de l’OMS et de très nombreux praticiens de par le monde.

Malgré les avantages nombreux, de cette méthode contraceptive, le DIU est encore regardé avec méfiance du fait des résultats des premières études, qui lui attribuaient un risque augmenté de grossesses extra-utérines, d’infections génitales hautes, de perforation et d’autres complications.

Les craintes liées à une éventuelle complication en relation avec la présence d’un DIU pourraient être atténuées, si les professionnels de la santé avaient connaissance des nouvelles recommandations de l’OMS qui encouragent l’utilisation du DIU. Cette méthode de contraception pourrait être proposée à toutes les femmes qui souhaitent une contraception, efficace, réversible et de longue durée. Ainsi, cela permettrait de contourner le problème d’adhésion fréquemment rencontré avec les autres méthodes de contraception et d’éviter des grossesses non désirées.

le DIU, en cuivre ou en LNG, est une méthode de contraception hautement efficace, simple d’utilisation, et réversible. Le lien entre le DIU et l’IGH pourrait d’avantage être qualifie de mythe que de réalité .Au vu de ces résultats, la crainte d’une IGH ne devrait pas être un frein à la pose du DIU. L’utilisation du DIU devrait être proposée comme premier choix de contraception a toutes les femmes quelles que soient leur âge et leurs parités.

Concernant l’actinomycose pelvienne c’est une infection rare. Le diagnostic doit être suspecté chez toute femme porteuse d’un stérilet présentant un syndrome fébrile douloureux subaigu ou chronique. Une ablation du stérilet pour recherche bactériologique est indispensable. Toute suspicion du diagnostic impose la mise en œuvre d’une antibiothérapie à base de pénicilline, la prévention repose sur une bonne hygiène, changement de DIU tous les deux à trois ans et un suivi gynécologique régulier.

90

91

Résumé

Titre: Complications infectieuses et non infectieuses du dispositif intra-utérin Auteur: BENAMAR Fatima Zahra

Directeur de Thèse: Pr. SEKHSOKH Yassine

Mots-clés: Actinomycose-Complications-Dispositif intra utérin-Infections-prévention

Le dispositif intra-utérin constitue l'un des moyens contraceptifs les plus utilisés au monde. C'est une méthode simple, efficace, globalement bien tolérée, peu couteuse, et réversible. Il permet d'assurer une contraception de longue durée sans poser le problème de l'observance.

L’insertion doit être réalisée en respectant des conditions d’hygiène rigoureuses et après évaluation du risque infectieux. Les contre-indications sont précises et chaque type de dispositif intra-utérin a ses particularités et ses avantages.

Les dispositifs intra-utérins au cuivre peuvent être particulièrement utilisés chez les femmes ayant des intolérances ou contre-indications à l’emploi de contraceptions hormonales. Ils peuvent être aussi employés en tant que contraception d’urgence. Le dispositif intra-utérin hormonal est quant à lui particulièrement indiqué en cas de ménorragies fonctionnelles.

Les patientes doivent être informées de la survenue d’effets indésirables et de complications éventuelles. Les complications non infectieuses les plus fréquemment rencontrées sont les douleurs pelviennes et les métrorragies, elles représentent la principale cause du retrait du dispositif intra-utérin, la grossesse extra utérine et la perforation sont d’incidence faible.

Concernant le risque infectieux, ce ne sont ni l’âge ni la parité qui sont en cause, mais les infections sexuellement transmissibles, qui sont le premier facteur de risque de maladie inflammatoire pelvienne.

Un dépistage des infections sexuellement transmissibles et une antibioprophylaxie ne sont pas recommandés de façon systématique mais doivent être ciblés sur les situations à risque d’infections génitales hautes. Le port d’un stérilet au long cours ou un traumatisme pendant sa pose ou son retrait peut prédisposer au développement de l'actinomycose pelvienne.

Une bonne hygiène, des examens gynécologiques réguliers et un remplacement du dispositif intra utérin tous les 3 à 5 ans sont fortement recommandés en tant que mesures prophylactiques contre l'actinomycose.

92

Abstract

Title : Infectious and non-infectious complications of the intrauterine device Author: BENAMAR Fatima Zahra

Supervisor : Pr. SEKHSOKH Yassine

Key-words : Actinomycosis ; Complications, Intrauterine device; Infections prevention

The intrauterine device is one of the most widely used contraceptives in the world. It is a simple, effective method, globally well tolerated, inexpensive, and reversible. It provides long-term contraception without the problem of compliance.

The insertion must be carried out respecting strict hygienic conditions and after evaluation of the infectious risk. The contraindications are precise and each type of intrauterine device has its peculiarities and its advantages.

Copper intrauterine devices may be particularly used in women with intolerances or contraindications to the use of hormonal contraceptives. They can also be used as emergency contraception. The intrauterine hormonal device is particularly indicated in case of functional menorrhagia.

Patients should be informed of the occurrence of adverse effects and possible complications. The most common non-infectious complications are pelvic pain and metrorrhagia, the main cause of intrauterine device removal, and extra uterine pregnancy and perforation are of low incidence.

Regarding the risk of infection, it is neither age nor parity that is involved, but sexually transmitted infections, which are the first risk factor for pelvic inflammatory disease.

Screening for sexually transmitted infections and antibiotic prophylaxis are not routinely recommended, but should be targeted to situations at risk for high genital infections. Wearing a long-term intrauterine devices or trauma during placement or removal may predispose to development of pelvic actinomycosis.

Good hygiene, regular gynecological examinations and intra-uterine device replacement every 3 to 5 years are strongly recommended as a prophylactic measure against actinomycosis.

93

صﺧﻠﻣ

ﻟﺍ :ﻥﺍﻭﻨﻌ ﺕﺎﻔﻋﺎﻀﻤﻟﺍ ﺔﻴﻨﻔﻌﺘﻟﺍ ﻭ ﻼﻟﺍ ﺔﻴﻨﻔﻌﺘ ﺏﻟﻭﻠﻟ ﻲﻤﺤﺭﻟﺍ ﻥﻤ ﻑﺭﻁ : ﺔﻤﻁﺎﻓ ﻭﺭﻤﻌﻨﺒ ﺀﺍﺭﻫﺯﻟﺍ ﻑﺭﺸﻤﻟﺍ : ﺥﻭﺴﺨﺴ ﻥﻴﺴﺎﻴ ﺭﻭﺴﻴﻓﻭﺭﺒﻟﺍ ﻟﺍ ﺕﺎﻤﻠﻜ ﺔﻴﺴﺎﺴﻷﺍ : ﺀﺍﺩ ,ﺕﺎﻴﻌﺸﻟﺍ ,ﻲﻤﺤﺭﻟﺍ ﺏﻟﻭﻠﻟﺍ ,ﺕﺎﻔﻋﺎﻀﻤ , ﻯﻭﺩﻋ ﺔﻴﺎﻗﻭﻟﺍ ﺔﻟﺎﻌﻓ ،ﺔﻁﻴﺴﺒ ﺔﻘﻴﺭﻁ ﻩﺭﺎﺒﺘﻋﺎﺒ .ﻡﻟﺎﻌﻟﺍ ﻲﻓ ﺎﻤﺍﺩﺨﺘﺴﺍ لﻤﺤﻟﺍ ﻊﻨﻤ لﺌﺎﺴﻭ ﺭﺜﻜﺃ ﻥﻤ ﺍﺩﺤﺍﻭ ﻲﻤﺤﺭﻟﺍ ﺏﻟﻭﻠﻟﺍ ﺩﻌﻴ ﻤ ﺭﻴﻏ ﺍﺩﻴﺠ ﺔﻟﻭﺒﻘﻤ .ﺎﻬﺴﻜﻋ ﻥﻜﻤﻴﻭ ﺔﻔﻠﻜ ﻟﺍ ﻥﻜﻤﻴ ﻠ لﺎﺜﺘﻤﻻﺍ ﺔﻠﻜﺸﻤ ﻥﻭﺩ لﻴﻭﻁﻟﺍ ﻯﺩﻤﻟﺍ ﻰﻠﻋ لﻤﺤﻟﺍ ﻊﻨﻤ ﻥﻤ ﻲﻤﺤﺭﻟﺍ ﺏﻟﻭ ﺏﻴﻜﺭﺘ لﻼﺨ ﺏﻟﻭﻠﻟﺍ ﻲﻤﺤﺭﻟﺍ ﺭﻁﺎﺨﻤﻟﺍ ﻡﻴﻴﻘﺘ ﺍﺫﻜﻭ ﺔﻤﺭﺎﺼﻟﺍ ﺔﻴﺤﺼﻟﺍ ﻁﻭﺭﺸﻟﺍ ﻡﺍﺭﺘﺤﺍ ﺏﺠﻴ ﺔﻴﻨﻔﻌﺘﻟﺍ . لﺎﻤﻌﺘﺴﺍ ﻊﻨﺍﻭﻤ ﻟﺍ ﺏﻟﻭﻠ ،ﺔﻘﻴﻗﺩ ﻲﻤﺤﺭﻟﺍ ﻭ ﻜ ﻉﻭﻨ ل ﻪﻟ .ﺕﺍﺯﻴﻤﻤﻭ ﺹﺌﺎﺼﺨ ﺎﺤﻨﻟﺍ ﺏﻟﻭﻠﻟﺍ ﻡﺩﺨﺘﺴﻴ ﺩﻗ ﻲﺴ ﻥﻜﻤﻴ ﺎﻤﻜ ،ﺎﻬﻤﺍﺩﺨﺘﺴﻻ ﻊﻨﺎﻤ ﻥﻬﻴﺩﻟ ﻭﺍ ﺔﻴﻨﻭﻤﺭﻬﻟﺍ لﻤﺤﻟﺍ ﻊﻨﻤ لﺌﺎﺴﻭ ﻥﻠﻤﺤﺘﻴ ﻻ ﻲﺘﺍﻭﻠﻟﺍ ﺀﺎﺴﻨﻟﺍ ﺩﻨﻋ ﺹﺎﺨ لﻜﺸﺒ ﺙﻤﻁﻟﺍ ﺓﺭﺍﺯﻏ ﺔﻟﺎﺤ ﻲﻓ ﺹﺎﺨ لﻜﺸﺒ ﻲﻨﻭﻤﺭﻬﻟﺍ ﺏﻟﻭﻠﻟﺍ ﻑﺼﻭﻴ .ﺉﺭﺎﻁ لﻤﺤ ﻊﻨﻤ ﺔﻠﻴﺴﻭﻜ ﻡﺩﺨﺘﺴﻴ ﻥﺍ ﺎﻀﻴﺃ ﺔﻴﻔﻴﻅﻭﻟﺍ ﻔﻋﺎﻀﻤﻟﺍﻭ ﺔﻴﺒﻨﺎﺠﻟﺍ ﺭﺎﺜﻵﺎﺒ ﺔﻠﻴﺴﻭﻟﺍ ﻩﺫﻬﻟ ﺕﺎﻤﺩﺨﺘﺴﻤﻟﺍ ﻍﻼﺒﺇ ﺏﺠﻴ .ﺎﻬﺜﻭﺩﺤ ﻥﻜﻤﻴ ﻲﺘﻟﺍ ﺕﺎ ﺕﺎﻔﻋﺎﻀﻤﻟﺍ لﻤﺸﺘ ﺔﻴﻨﻔﻌﺘ ﻼﻟﺍ ﺔﻴﺴﻴﺌﺭﻟﺍ ﺏﺎﺒﺴﻻﺍ ﻥﻴﺒ ﻥﻤ ﺩﻌﺘﻭ ،ﻑﻴﺯﻨﻟﺍﻭ ﺽﻭﺤﻟﺍ ﻡﻻﺁ ،ﺎﻋﻭﻴﺸ ﺭﺜﻜﻷﺍ ﻟﺍ ﺔﻟﺍﺯﻹ ﻠ ﻭ ﻡﺤﺭﻟﺍ ﺝﺭﺎﺨ لﻤﺤﻟﺍ ﺩﻌﻴ ﺎﻤﻜ ﻲﻤﺤﺭﻟﺍ ﺏﻟﻭ ﺜ ﻭﺩﺤﻟﺍ ﺔﻠﻴﻠﻘﻟﺍ ﺕﺎﻔﻋﺎﻀﻤﻟﺍ ﻥﻤ ﻡﺤﺭﻟﺍ ﺏﻘ ﺙ ﺭﺒﺘﻌﺘ ،ﻯﻭﺩﻌﻟﺍ ﺭﻁﺨﺒ ﻕﻠﻌﺘﻴ ﺎﻤﻴﻓ ﺍ لﻤﺎﻋ ،ﺎﻴﺴﻨﺠ ﺔﻟﻭﻘﻨﻤﻟﺍ ﺽﺍﺭﻤﻻﺍ ﺏﺎﻬﺘﻟﺍ ﺽﺭﻤﻟ ﻲﺴﻴﺌﺭﻟﺍ ﺭﻁﺨﻟ ﺒﺴ ﺎﻤﻫ ﺅﻓﺎﻜﺘﻟﺍ ﻭﺃ ﺭﻤﻌﻟﺍ ﺱﻴﻟﻭ ﺽﻭﺤﻟﺍ ﻯﻭﺩﻌﻟﺍ ﺏ ﺀﺍﺭﺠﻹ ﺓﺭﻭﺭﻀ ﻙﺎﻨﻫ ﺱﻴﻟ ﺎﻴﺴﻨﺠ ﺔﻟﻭﻘﻨﻤﻟﺍ ﺽﺍﺭﻤﻸﻟ ﻱﺭﻭﺩ ﺹﺤﻓ ﺍﺫﻜﻭ ﺔﻴﻭﻴﺤﻟﺍ ﺕﺍﺩﺎﻀﻤﻟﺍ لﺎﻤﻌﺘﺴﺍ ﺎﻬﻓﺍﺩﻬﺘﺴﺍ ﻲﻐﺒﻨﻴ ﻥﻜﻟﻭ ،ﻲﻨﻴﺘﻭﺭ لﻜﺸﺒ ﻯﺩﻟ ﺔﺒﺎﺼﻹﺍ ﺭﻁﺨﻟ ﺔﻀﺭﻌﻤﻟﺍ ﺕﻻﺎﺤﻟﺍ ﺍ ﺽﺍﺭﻤﺃ ﻯﻭﺩﻌﺒ ﺀﺎﻀﻋﻷ ﺔﻴﻠﺴﺎﻨﺘﻟﺍ ﺔﻴﻭﻠﻌﻟﺍ ﺢﻀﺭﻟﺍ ﻭﺃ ﺍ لﻴﻭﻁﻟﺍ ﻯﺩﻤﻟﺍ ﻰﻠﻋ ﺏﻟﻭﻠﻟﺍ ﺀﺍﺩﺘﺭﺍ ﻱﺩﺅﻴ ﺩﻗ ﺍ ﺕﺎﻴﺭﻁﻓ ﺀﺍﺩ ﺭﻭﻁﺘ ﻰﻟﺇ ﻪﺘﻟﺍﺯﺇ ﻭﺃ ﻪﻌﻀﻭ ﺀﺎﻨﺜ ﻭﺤﻟﺍ ﺽ ﺔﻓﺎﻅﻨﻟﺎﺒ ﺢﺼﻨﻴ ،ﺓﺩﻴﺠﻟﺍ ﺹﺤﻔﻟﺍﻭ لﺍﺩﺒﺘﺴﺍﻭ ﻡﻅﺘﻨﻤﻟﺍ لﻜ ﻲﻤﺤﺭﻟﺍ ﺯﺎﻬﺠﻟﺍ 3 -5 ﺩﻀ ﻲﺌﺎﻗﻭ ﺱﺎﻴﻘﻜ ﺕﺍﻭﻨﺴ ﺀﺍﺩ ﺕﺎﻴﻌﺸﻟﺍ .

94

95

[1] Vacheret N. L'appareil génital féminin http://www.spiral.univ-lyoun1.fr/ polycops/

Histologie Fonctionelle Organes/Genital Feminin/TexteP3. consulté le 12 Novembre 2017.

[2] Elaine N. Anatomie et physiologie humaines. PEARSON. Education 6e edition

2005

[3] http://www.med.univmontp1.f r/Enseignement/cycle_1/PCEM2/ modintegre s/MI5_genetique/ressources_locales_MI5/Reproduction/MI5_reproduction_histolo gie_fem, ale.pdf.

[4] Guillebaud J. Intrauterine devices. Contraception. Your questions answered. 4ème

édition, 2004 ; 367-449

[5] Boudineau M, Multon O, Lopes P. Contraception par dispositif intra-utérin.

Encycl Med Chir Gynécologie 2001 ;738 : 1-9

[6] Rochat P, Störi P. Etude objective et subjective de l’emploi du Cu-7. Schweiz

Rundsch Med Prax 1978 ; 67(18) : 668-77.

[7] Jihad O. Les médicaments et les dispositifs médicaux au service de la

contraception. Université Mohammed V : Faculté de médecine et pharmacie, Rabat ; 2008.

[8] Serfaty D. Dispositifs intra-utérins. Contraception. Masson, Paris, 4ème éd. 2010 ;

177-98

[9] Winckler M. Les dispositifs intra-utérins. Contraceptions mode d’emploi. Le

Diable Vauvert, 2ème édition, 2003 ; 288-357.

[10] Graham S, Simcock BW. A. review of the use of intrauterine devices in

96

[11] Service de recommandations professionnelles de l’ANAES, Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme, Etude de l’Afssaps, ANAES et INPES, décembre 2004.

[12] Stratégie de choix des méthodes contraceptives chez la femme. disponible sur le web à : www.anaes.fr

[13] Chi IC, Champion CB, Wilkens LR. Cervical dilatation in interval insertion of an

IUD. Whorequiresit and doesit lead to a high expulsion rate ? Contraception. 1987 ; 36(4) : 403-15.

[14] Heister VR. [The copper IUD as an alternative to the "pill". Experiences with the

intrauterine device Gyne-T] Fortschr Med. 1977 ; 95(3) :186-8.

[15] Linet T. Les contraceptifs intra-utérins2010 ; 29-33

[16] Kovacs GT. Insertion and removal of intrauterine devices. Aust Fam

Physician.1990 ; 19(5): 703-4.

[17] Lansac J, Lecomte P, Marret H. Contraception locale et méthodes naturelles.

Gynécologie pour le praticien. 6ème ed. Masson Paris 2002 ; 431-42.

[18] French RS, Cowan FM, Mansour D, Higgins JP, Robinson A, Procter T, et al.

Levonorgestrel-releasing (20 microgram/day) intrauterine systems compared with other methods of reversible contraceptives. BJOG 2000 ; 107:218–25.

[19] Critchley HO, Wang H, Jones RL, Kelly RW, Drudy TA, Gebbie AE, et al.

Morphological and functional features of endometrial decidualization following long-term intrauterine levonorgestrel delivery. Hum Reprod 1998; 13: 218–24.

[20] Luo H, Zhu P, Xu R, Cheng J, Zhao X, Wang JD. Inhibition of DNA synthesis

in isolated human endometrial cells by a levonorgestrel-releasing intrauterine device. Anal Quant CytolHistol 1999 ; 21 : 409–12.

97

[21] Mandelin E, Koistinen H, Koistinen R, Affandi B, Seppala M. Levonorgestrel

releasing intrauterine device-wearing women express contraceptive glycodel in A in endometrium during mid-cycle: another contraceptive mechanism ?Hum Reprod 1997; 12 :2671–5.

[22] Jarvela I, Raudaskoski T, Tekay A, Jouppila P.Effect of the levonorgestrel

releasing intrauterine system on the uterine artery pulsatility index in postmenopausal hormone replacement therapy. Ultrasound Obstet Gynecol 1997; 10 : 350–5.

[23] Jarvela I, Tekay A, Jouppila P. The effect of a levonorgestrel-releasing

intrauterine system on uterine artery blood flow, hormone concentrations and ovariancyst formation in fertile women. Hum Reprod 1998; 13 : 379–83.

[24] Luukkainen T, Toivonen J. Levonorgestrel-releasing IUD as a method of

contraception with therapeutic properties. Contraception 1995; 52 : 269–76.

[25] Arias RD. Compelling reasons for recommending IUDs to any woman of

reproductive age. Int J Fertil Womens Med. 2002 ; 47(2):87-95.

[26] Kaufmann E. Stérilet et nullipare en 1985. Gynakol Rundsch 1986;26(2):80-9.

[27] Site d’Amélie Santé : http://www.ameli-sante.fr/contraception/efficacite-des-moyenscontraceptifs.html

[28] Site de la Haute Autorité de Santé:

http://www.hassante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2013-04/efficacite-methodescontraceptives.pdf

[29] Haute Autorité de Santé, Méthodes contraceptives : Focus sur les méthodes les plus efficaces disponibles. Document de synthèse 2013.

98

[30] French R, Sorhaindo AM, Mansour DD, et al. Progestogen-releasing intrauterine

systems versus other forms of reversible contraceptives for contraception. Cochrane Database of SystematicReviews 2004.

[31] Farmer M, Webb A.Intrauterinedevice insertion-related complications :can they

be predicted? J Fam Plann Reprod Health Care. 2003; 29(4):227-31.

[32] Goldstuck ND, Matthews ML. A comparison of the actual and expected pain

response following insertion of an intrauterine contraceptive device. Clin Reprod Fertil 1985 ; 3(1):65-71.

[33] Goldman JA, Dekel A, Reichman J. Immediate postabortion intrauterine

contraception in nulliparous adolescents. Isr J Med Sci. 1979 ; 15(6):522-5.

[34] Goldstuck ND. Pain response following insertion of a Gravigard (Copper-7)

intrauterine contraceptive device in nulliparous women. Int J Fertil. 1981;26(1): 53-6.

[35] Otero-Flores JB, Guerrero-Carreno FJ, Vazquez-Estrada LA. A comparative

randomized study of three different IUDs in nulliparous Mexican women. Contraception. 2003 ;67(4):273-6.

[36] Suhonen S, Haukkamaa M, Jakobsson T, Rauramo I. Clinical performance of a

levonorgestrel-releasing intrauterine system and oral contraceptives in young nulliparous women : a comparative study. Contraception. 2004; 69(5):407-12.

[37] Chi I. What we have learned from recent IUD studies: are searcher's perspective.

Contraception. 1993 ; 48(2):81-108.

[38] Programme National de Planification Familiale. Les standards des méthodes de planification familiale au Maroc 2007.

[39] Grimes DA. Intrauterine devices and infertility: sifting through the evidence.

99

[40] Toivonen J. Intrauterine contraceptive device and pelvic inflammatory disease.

Ann Med 1993 ;25(2):171-3.

[41] Grimes DA. Intrauterine device and upper-genital-tract infection. Lancet. 2000 ;

356 :1013-9.

[42] Policy Guidelines for Prevention and Management of Pelvic Inflammatory Disease (PID) Disponible sur le web à : www.cdc.gov

[43] Burkman RT. Intrauterine devices and pelvic inflammatory disease: evolving

perspectives on the data. Obstet Gynecol Surv. 1996 ;51:35-41.

[44] Burkman RT. Association between intrauterine device and pelvic inflammatory

disease. Obstet Gynecol. 1981 ;57(3):269-76.

[45] Vessey MP, Yeates D, Flavel R, Mc Pherson K. Pelvic inflammatory disease and

the intrauterine device : findings in a large cohort study. Br Med J (Clin Res Ed). 1981 ; 282 :855-7.

[46] Darney PD. Time to pardon the IUD? N Engl J Med 2001;345(8):608-10.

[47] Farley TM, Rosenberg MJ, Rowe PJ, Chen JH, Meirik O. Intrauterine devices

and pelvic inflammatory disease: an international perspective. Lancet 1992 ; 339:785-8.

[48] Lee NC, Rubin GR, Borucki R. The intrauterine device and pelvic inflammatory

disease revisited: new results from the Women's Health Study. Obstet Gynecol 1988 ;72(1):1-6.

[49] Walsh TL, Grimes DA, Frezieres R, et al. Randomised controlled trial of

prophylactic antibiotics before insertion of intrauterine devices. IUD Study Group. Lancet. 1998 ; 351 :1005-8.

100

[50] Lee NC, Rubin GL, Grimes DA. Measures of sexual behavior and the risk of

pelvic inflammatory disease. Obstet Gynecol. 1991;77(3):425-30.

[51] Faundes A, Telles E, Cristofoletti ML, Faundes D, Castro S, Hardy E. The risk

of inadvertent intrauterine device insertion in women carriers of endocervical Chlamydia trachomatis. Contraception. 1998; 58(2):105-9.

[52] https://www.google.com/search?biw=1304&bih=629&tbm=isch&sa=1&q=Actino myce+israelii+.&oq=Actinomyce+israelii+.&gs_l=psyab.3...28858.29332.0.30278. 2.2.0.0.0.0.165.165.0j1.1.0....0...1.1.64.psyab..1.0.0....0.ttqxOhOZN_I#imgrc=fhS9 6zBheEOK3M

[53] Barbut F, Dubreuil L, Jean-Pierre H, Marchandin H. Bactéries anaérobies à

Gram positif. Biologie médicale 2015; 10: 5

[54] Hall V. Actinomyces-Gathering evidence of human colonization and infection.

Anaerobe2008; 14: 1-7.

[55] Heymann D L. Control of Communicable Diseases Manual (19th Edition).

Washington, DC: American Public Health Association 2008

[56] Sansonetti P J, Shigella. In Collier L, Balows A, Sussman M, Duerden B I.

Topley & Wilson's Micriobiology and Microbiological infections: Systametic Bacteriology. (9th ed,). NY, USA: Arnold press 1998; 1386-95

[57] Könönen E, Wade W G. Propioni bacterium, Lactobacillus, Actinomyces, and

Other Non-Spore-Forming Anaerobic Gram-Positive Rods. In Murray P R, Baron E J, Jorgensen J H, Landry M L, Pfaller M A. Manual of Clinical Microbiology (9th ed,). Washington, D.C.: ASM Press 2007; 872-88

[58] Wilson W R, Sande M A, Drew W L. Current diagnosis & treatment in infectious

101

[59] Lyudmila B, Rossen K, Lyudmila M, Rumyana M et Ivan M .Actinomycosis : a

frequently forgotten. Future Microbiol2015;10(4): 616

[60] Shikino K, Ikusaka M, Takada T. Cervico facial actinomycosis. J Gen Intern

Med 2015; 30: 263

[61] Morgan MG, Mardel SN. Clenchedfist actinomycosis in a penicillin-allergic

female. J Infect 1993; 26: 222-3.

[62] Mubiayi N, Bory A, Orazi G, Therby D. Actinomycose abdominopelvienne

révélée par des abcès pariétaux. Presse Med 2007 ; 36 : 428-31.

[63] Jackson AE, Parry JR, Shah PJ. Ureteric Obstruction Secondary to Pelvic

Actinomycosis. Br J Urol 1988 ; 62 : 85-7.

[64] Mbarki C, Ben Abdelaziz A, Sahnoun R, El Kadhi Y, Douik F, Hsayaoui N, et al. Actinomycose pelvienne : aspects diagnostiques et thérapeutiques. Gynécologie

Obstétrique & Fertilité 2016 ; 44 : 168-74.

[65] El Hassani ME, Babahabib A, Kouach J, Kassidi F, El Houari Y, Moussaoui D, etal. Actinomycose pelvienne pseudo tumorale associée au dispositif

intra-utérin: à propos de trois cas. The Pan African Medical Journal 2014 ; 19 : 87.

[66] Chelli D, Hassini A, Aloui F, Sfar E, Zouaoui B, Chelli H, et al. Actinomycose

pelvienne Expérience tunisienne : à propos de 5 cas. Santé : cahiers d'étude et de recherches francophones 2008 ; 18 : 77-82.

[67] Join-Lambert O. Infections à actinomycètes anaérobies. Service de Microbiologie

2015.

[68] Rantomalala HY, Rakotoarisoa A, Rakotoarisoa AJC, Rajaonarison P, Rasoloarivalona F, Razafindramboa H. Un cas d’actinomycose abdominale chez

102

[69] Alexa Orian EA, Daou I, Gageanu C, Dumousset E, Alfidja A, Chanudet M, et al.Actinomycose abdominopelvienne sans antécédent gynécologique ni d’immunosuppression : une observation. Imagerie de la Femme 2011 ; 21 : 80-2.

[70] Bernet C, De Brabant F, Gonzalez M, Jung B, Millet O. Actinomycose

pelvienne un tableau trompeur. Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 2010 ; 29 : 50-2.

[71] Daraï E, Ploteau S, Ballester M, Bendifallah S. Endométriose : physiopathologie,

facteurs génétiques et diagnostic clinique. La Presse Médicale 2017 ; 46 : 1156-65.

[72] Jabri H, Lakhdar N, El Khattabi W, Afif H. Les moyens diagnostiques de la

tuberculose. Revue de Pneumologie Clinique 2016 ; 72 : 320-5.

[73] Maget V, Gromez A, Roman H, Verspyck E, Marpeau L. Stérilet et infections

pelviennes sévères. Étude monocentrique en continu de 70 cas en cinq ans. Gynécologie Obstétrique & Fertilité 2013 ; 41 : 437-8.

[74] Klotz C, Dhooge M, Oudjit A, Barret M, Beuvon F, Chaussade S, et al. Prise en

charge de la maladie de Crohn. La Presse Médicale 2015 ; 44 : 411-7.

[75] Sergent F, Marpeau L. Abdomino pelvic actinomycosis : A tumoral syndrome

due to bacterial infection. J. Chir 2004 ; 141 : 150-6.

[76] Minsker OB, Egorova TP. Studies on Histogenesis of Actinomycosis. Mycoses

1974; 17 : 303-11.

[77] Hamid D, Baldauf JJ, Cuenin C, Ritter J. Treatment strategy for pelvic

actinomycosis: Case report and review of the literature. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol 2000 ; 89 : 197-200.

[78] Dayan K, Neufeld D, Zissin R, Bernheim J, Paran H, Schwartz I, et al.

Actinomycosis of the Large Bowel: Unusual Presentations and their Surgical Treatment. J Surg Case Rep 1996 ; 5 : 657-60.

103

[79] https://www.google.com/search?biw=1304&bih=678&tbm=isch&sa=1&q=galerie +commercialis%C3%A9+rapid+id+32+a&oq=galerie+commercialis%C3%A9+rap id+id+32+a&gs_l=psyab.3...10740.11949.0.12591.4.4.0.0.0.0.166.490.0j3.3.0....0... 1.1.64.psy-ab..1.0.0....0.f7D4Fp9rvW4#imgrc=_QHq48BokL1GNM:

[80] Michon A, Dubreuil L, Marchandin H. Bactéries anaérobies : généralités,

EMC-Biologie médicale Volume 10, n◦1, mars 2015

[81] Hall V. Actinomyces – gathering evidence of human colonization and infection.

Anaerobe2008; 14: 1-7.

[82] Belhamdiya M, Afifi R, Benelbarhdadi I, Ajana FZ, Essaid A. L’actinomycose

abdomino-pelvienne : difficultés diagnostiques et thérapeuthiques. Acta Endoscopica 2004 ; 34 : 431-6.

[83] Tlili-Graiess K, Arifa-Achour N, Mrad DK, Sriha B, Dahmen Y, Bakir D, et al. Actinomycose abdominale. À propos de 4 observations radiocliniques. Journal

de radiologie 2001 ; 82 : 67-72.

[84] Bae JH, Song R, Lee A, Park JS, Kim MR. Comput edtomography for the

preoperative diagnosis of pelvic actinomycosis. J Obstet Gynaecol Res 2011 ; 37 : 300-4.

[85] Marret H, Wagner N, Ouldamer L, Jacquet A, Body G. Actinomycose

pelvienne : est-ce prévisible. Gynécologie Obstétrique & Fertilité 2010 ; 38 : 307-12.

[86] Sinzelle E, Alexandre I, Aziza G, Couzigou C, Bellin M. Un cas d’actinomycose

pelvienne : aspect scannographique et en imagerie par résonance magnétique. Journal de radiologie 2009 ; 90 : 1859-61.

104

[87] Ketata S, Mabrouk M, Derbel F, Fodha I, Sabri Y, Trabelsi A, et al.

Actinomycoses abdominales à forme tumorale : une série rétrospective de sept observations. Revue de médecine interne 2010 ; 31 : 735-41.

[88] Wagenlehner F, Mohren B, Naber K, Männl HFK. Abdominal Actinomycosis.

Clin Microbiol Infect 2003 ; 9 : 881-5.

[89] Heudier P, Taillan B, Ferrari E, Michiels J-F, Dujardin P. Actinomycose

abdomino-pelvienne à forme pseudo-tumorale : diagnostic par ponction sous échographie. Revue de medecine interne 1992 ; 5 : 364-6.

[90] Kayikcioglu F, AkifAkgul M, Haberal A, Demir O. Actinomyces infection in

femalegenital tract. Eur J ObstetGynecolReprodBiol 2005 ; 118 : 77-80.

[91] Laurent T, Grandi P, Schnyder P. Abdominal actinomycosis associated with

intrauterine device: CT features. European Radiology 1996 ; 6 : 670-3.

[92] Chapelle E. Actinomycose pelvienne : comment l’évoquer pour une meilleure

Documents relatifs