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AUTRES SOLUTIONS POSSIBL~S

1'stude' des -problemes techniques que po s srrt les differ12-nts as so Lementr,~ et l'introduction de nouvelles' culture's dans La Gezireh po ur-r-ai e nt do nne r-des solutions utiles ElU.X: problemes de l a demalide de mui n-cdIoeuvre. Pour faiI'6 de La Gezireh UTIC I',;~~'iol1 de oultur-o 8Quilibree, i l imports d laxer les cXI).~ricnc\:"G c.'8..8so1sriunt eur- lCB r~coltcs vivric.Ti...3 ;:Ll.rt'~rt (1U8 sur Lc

ootoniJ{ ot d'etudier les possibilite8 eoonomiQues et teohniques d'inelure dE: nouvslles cult1.1T8S de rapport dans les assoleoents.

Une limitation d.e certaines c u],'ture s

a

certaines zones de la Gezireh pc rract tr-ai t , ~~lobt(;l!i.r nu.tatis nut8..r.(l.is, UrJ(; aUC~::i..:Dtation c.n,:.ra,l(: d u

r<....rJ-dement, en c onc errtr-arrt Le c oton et 188 aut res cultures sur les sols qui

leur eonviennent Ie

P.lieUY.~

en reduis2.nt les doubles e!Ilploi3 et les de-plac8R8nts, et en permettant au~ in2pectcUTs de mieux surveillsr Ie tout.

On pourrait aussi examiner IGS possibilites 8ccnomiqu8s d1une sgriculture

qu~ associe dfautres cultures de rapport et l'elevags du bstail~ On pourrait a l o r s na rmo n.i s er- un c e rt ai n nOIT,8re de ty'pes cle oul ture avec les

besoin~ de la production da cotOD~ de tclle maniere que durant la reealte, Le cul tLvateur- c;.1..U se livre

a

La curt ur« as soci ee p ua s s e fournir de la maa n-u ' o e uz re , De gr.c:.ncls progres orrt

cte

faits au "Village Fi!..-rr.'li:rJ["

Exper.im.'17t", G-~ qU2,I'::JJt'----:~'--'l;t co lone co 118.b""::rx.nt :.LV2C un fanet.io rm ai.rc ::I eXt':-cut ion ru Sudan Ge zi t.a, Boawour

de l'eXl110i'ta.ti o r, aa.ioci ee 3 •

Du point de vue de l!int~ret national, on pourrait justifier Que la doura soi t exclue de l 'assolement dans La Gezir8h et achot£e a1..l.1C complexes

r.!,~'cn.r:is'~.s· qui procluisent cie La do ure, sur Le s terres ar ro s eo s par Le s p'l u.i e s , Ce La Lai s acr-ait s ub si st e r un ae so l emcnt coton-leubia, et reserverait la

possibilite de oultiver des lcgw~es, Q~S araohiQes ~t P8ut-5tre des plantes foucTageres. Cela pe rmstt raa t dI aeeroltre La p roIucti or; cie eotor1£{ de r8duire la rnain-c'l'oeuvre9 dt e nc c ur-age r l'exploitatiorJ a.s s o c i.ce et l'clevagc.

ll!

Voir referoncos

a

la fin cie 11<1rticlo.

2M

Voir T':::fcrE:Dces

u

la fin (10 I' artiele.

l5J

Voir references a 10. fin de l'artiole.

36/

Voir references

.

a la fin de l'artiele.

E/CN.14/AGREB/5 Page 37

Le veri table obstaole

a

ce sy et e me~ cIest la resistance: du colon fOl"JU68 sur l'h8..bitude de produire 8GS (.lour':0s a.Li.r.c nta.i r'r.s , ot 1"" pc.u r de no pouvoir acheter de la doura a bas prix.

II faudrait egRlement faire des recherches sur les dimensions des exploita.ti one , On a d(ja Lai s s o entendre que leur superficie devai t etre fODation, non seulement de 10. production de coton, mais aussi lies D,6Cen-si tes de I' exploi tation mi.xt e , Une diversification et Ul"J8 intensifica-tion futures de la culture dans la Gezireh pourraient peut-etre cDtralnsr certaines reformes. 18 systeme actuel de tenure manque de sQupless8J car il ne tient pas compte des difforences d'aptituds des colons

a

la gestion

dtune exploi t.at r on , Certains colons peuvent consid0rer que Le systeme actuel de r6parti tion des terres leur a a I l.o ue une surface trop ctend ue , et dIautres pe uve nt consiG..";rer qu'ils seraient e n mesure d' exploi ter 11118 surface plus vaste et de mettre a profit toutes leurs c~pacitc8 en ayant d ' autres activi tos en dehors de leur exploitation pro premerrt di teo On pourrait done envisager d'etablir un systene plUG couple Q8 tenure qui tiendrai t compt o des b o soi ns Iiivers du c u Lti vateur 'lui p:co.f,ique La culture associee, de l'exigellce de nouvelles cultures de rapport, et des differences d'aptitude

a

la gestion des exploitants.

L'introduction de nouveaux pz-oc ede s dIassolem8nt et une revision de la surface des exploitations pourraient reduire les besoins de

main-d'oeuvre temporaire~ mais i1 faudrait neanffioins recruter un certain !lambre de travailleurs pOllY' certaines o pe r-a-t Lo n s s no-t ammerrt pour la recalte ,

Dans le cadre de l'expansion oconomique globalo

uu

paysj la Gezireh serait dans uno situation prGcaire, si elle c orrt i.nuai t

a

.cornpt e r sur La main-dIoeuvre venant de 11ext~rieur. Le seul Doyen de e usci.tcr- unc am{lior:-cl,tion pe rtnancrrt e do 10, ei t uati on c onsi sto

n

ac c oit r-> Lo vo Lunc lIe l:lQin-JI O eu.VTE:

residente, et I t or: n'y a r riv e t-a q ulo n 3T1,.:·lior'·~nt 8[.:3 c c ndi ti ons dE: vie et en lui f'o ur-ni s s arit regulierement du travail

a

des conditions avantageuses

pour to us , Dans Le pas s e , on a.ugmentai t La ma.in-riIoeuvre residente en etablissant des villages de travailleurs dans toute la region et en encou-rageant les etrangers

a

s'y installer. Pour des raisons politi'lues, cette

E/CN.14/AGREB/5 Page 38

solution n'est plus possible. On a envisage de donner des exploitations aux paysans riverains du Nil Blanc pour stablir des liens soli~es entre les colons du prolongement de Managhil et une source de main-d' oeuvre ea.i sonni e r-e , Quant

a

10. Gezireh, si, l' on veut y etabLi r une ma.in-d ' oeuvre locale Qui soit assures ~e trouver du travail toute l'ann~e, il conviendrait de oreer une industrie Loc e.Le du type artisanal et saisonnier et une in-dustrie cotorniere. Dans l'etat actuel des choses, les jeUYl8S gens Qui n'ont pas de terres erJigrent vers les villes, et la region perd ainsi

a

tout jamais une source precieuse de main-d'oeuvre.

Les re Lati ons errt re Le co Lon et L' Et at , e'J tarrt Que pa r-t e nai r-e s dans Le Programme de 10. Gezireh, constituent l'un des p ro b l eme s les plus dif-f i.ci Los

a

resGudre. En effet, l'Etat r-ec h e r-che surtout UYl tres haut ren-dement techniQue, oe Qui s'expliQue par la place QUe tient le Projet de la Gezireh dans l'economie nat i.onaLe , Le colon, lui, a so. propre echelle de valeur et ses coutlliJeS Qui sont souvent en conflit avec les buts du Gouve rnemerrt , II supporte mal la contrainte nec e saai.r-e

a

La mise en oeuvre du Programme.

8. CONCLUSION

Au cours de oe tTavail, nous avons expose, Qans ses granQ8S lignes, le p r-ob Leme de 10. main-dIoeuvre dans la region de 10. GGziroh. 11 faut entreprenclre des etudes speoiales pour pouvoir rGponclre

a

des que st Lo n s

de cette nature , est-il possible de faire vi vre, par ce programme , uno vaste categore d'intermediaires dont le role se situe entre celui de

l' embaueheur et celui du proprietaire de plantations, quells est 1'8vo-lution que suivra Ie marche de la main-d'oeuvre, pUiSqU6 18 nouveau pro-longement d.u programme non s e ul.etr.e nt ernpec he dEls travailleurs QG devenir e ux-rneme s exploi tants, mais fait en sorte Que les no uv e aux exploi tants rivalisent entr8 eux pour obtenir la Itain-d'oeuvre l1Cccss:.ire? Quels

s(,r~~iGnt los effcts cloG r>rojyys clG ~c'VCl0PP(;UCllt 0C0nOEJiquc COD9uS dans les aut rc s pa r-t.Los \..l.U P"';'J"D sur Iloffro J." t:",c.:,:;,TJ-UI o0:u-,rre?

E/CIJ.14/AGREB/5

P~ge 39

La demande de main-d'oeuvre actuelle peut-elle stre oODtrGoalanc~G p~r

l'offrc, clans 1:_ o,->.u1'1,;; c..u cl6vclor:,p_:.:'i.::.-nt (~c:::mOJ:,'iqDJ .Iu Scudnn au, pour 1:.-:,

r}rc~-n i e r e I ' oi s , L c o pro{;r:J.[1;:-:Os a g r i c o l . . . . : ct i n c : . u s t r i e l o r r t r - c n t 811 c o n cur-i-en c e trvcc o e ux de la Gezireh? Siil i1~en o st J!c.i.C ai nci , 16 cotor, Lst perdu, et C'OGt non c8ulefJ'.jnt 1: ,---oxploit:'"nt, r:l,:l-is tout Ie I.J~tY8, qui, e11 s(juffrir... 1);'.nr.: qu'~;11'2

mesure la mecanisation va-t-elle nous donner la reponse? Certaines opera-ti one ant

ete

maintenant fortement moo ani s eo s , Cela po ur-r-ai,t ,_~~:ccurrtgcr

les ouvriers agricoles cle venir dans la Gezireh. :De plus en plus, .[1 ~G'­

marque que La crise de 1a main-d.'oeuvre ne s evi t q u ' e.n perior~_e d.e cueil-lette. Avant l'introduction du JesherbaG8 ffi8canique sur les jacheres~ la region attirait la main-d'oeuvre de toutes les parti~~ du paYSa Les tra-vailleurs nomades vena.i e nt pour Le disherbage et r-epartaient Lor sque la

r-e e oLte de coto n et ai t t.e rmi nce , L8 profit qu'i~_s Tetiraient de ces di-verSes activites etait elev8 oe qui les encousageait

a

venir ctaque annes.

Ma'int er.arrt c 'est la reco l te de doura qui coi'noi de avec La premiere periods d'affluence de la main-d'oeuvre, bien que 10 d6sherbage des culiures se fasse encore

a

la main, dans les 3-DDeeS de fortes p luies , la mo.in->..."oe uv r-e a des pLu.s .granc.es chances de gain dans les nombreuses parties d.u pays qui c u.lt ivent 1::. cloura, s peci a.Leme rrt dans les perimetres .ir ri gues meca-niquement de La partie orientale du pays. La pE;riode ellaffluence pourrail alors co~ncider avec la p~riode de la cueilletie elle-meoe, ei les dGmande~

ccnc ur-r-errt e s s ' oxcrc c rc.i cnt sur La main-dIoe uv re , non se u.l emerrt clans 18 p z-o Lo n g erno nt de ]'i,fanaghil, rnais aussi d a.ne Le s nombreuses r£cioDs i r-r-i.g-aecs

par pompage qui bordeni 18 IJilll!

La region d.e la Gezirbh va d.one etre forcee de rosclldre ses problemas de main~d'oeuvre sur SOD propre territuire. 11 lui fau~ra, pour cela, en-treprendre des recherches sur les nouveaux: syst~ll:es d ' a s eo Leraerrt et

pro-ce~er

a

une refonte de la dioension des propri6i6s. L'adopiion de la di-versi te des cultures f ond ee sur I.'introc..uction de :nouvelles cultures com-merciales pourrait conduire ~ l'instauratioYl ~e diverses zones de produc-tion

a

l'int6rieur de la region et

a

ItharmonisatioY; des ~ivers e18~ents

ll!

Voir references a la fin de l'article.

BieN .14/AGREB/5 Page 40

pour satisfaire aux e:{ltt,:::nces de la recal"t8 cle COtDl1. II imports egalement de concilier les di f'f'e r e rts points de vue de s parties au pro jet de I a

Cezi r-eh , Le Gouver:n(;ment sI.int ez-e e s o c xc Lue i.veme nt

a

La product Lon du coton0 LIe xp Loi tant cherche en o ut r'e ,

a

oul tiVOl' ,les pz-odui.tG C1-ui S8TVE::nt

a.

sa nourrit ur«9 ai nsi qUE; C::E;S pLarrte e f'Jurrnt~cr(;s. LI3 prl::Ei~T tLer,i;;'x;cle

avant tout ill) d~gre elev8 d'efficacite t&chnique. Cetts exigE~ce nl~st

pas salivent respectG8 pa~ suite des us Et cout~~es et des jugements de valour d'une paysanerie qui en est encore

a

un stade de transition,

au

les

travaux de culture cozrt i.nucnt

a

inspirer uno forte aversion. Cetto at-titude ne pourra pas se transformer du jot:.r 'au lendernain, rnai.s s e mcdifiera peu

a

peu, par l~introductionde l'enseigne~ent st par ,ill ctancement dans 11echel} e des valeurs,

a

rneSUI'B qUE Le ni.vc a u de vie s I araeLi o r'era.,

Tl est clifficile de prevoir quslle SE-ra La d ur-;o de s p r-ob Lcme a de main-d'oeuvre da~s la region ie la Gezireh. La situation actuelle ne represente-t-elle Qu'une simple etape dans un processus courant d'adapta-tion? 11 ne fait pas de daute Que Ie d?velappcuent du prolongement de Managhi I a cont rib uc pour be arc o up

a

acaro£tre les di f'fi c ul te s , 11 e st lU1 moment

au

un seul bond pu'i s sarrt d.ans la voi e du progres te-chriiclU0 pt.:T:,let de r ea.l Ls e r une av aric e corisi d e r-ab Le sur la progression o l uc lonte (~U volume et de la qua l.L

te

clu travail. II se peut 0:_18 1:: situation ctange radica-lement Ioraq.ie le prOl0t1£20211t de Hariaghi L aUI'iC f'oncti ormc pc nd.arrt un

certain nombre d ' arinces ou S Ii l se ~')ro~uit. uno rsgrossion rlc,l1S Le !Larch6 du coton, Dans ~(;S no uvcLlc.e crrc or.c tuncce , un Chc.ngl:F,~nt pO\l-::,re,it sl11'V.:..nir ..t3.T,F l'act Lon exe:::-ce8 par les :acteurs 8rn:UTlSre8 d.ans la p1'2Sents etucle,

a

mo Lns

qU'OD n'assiste,

la

encore,

a

illl phenomen8 d'adaptation aux concitioTIo nouvelles. 1'acoroissemcnt rapide de la population, evalue

a

2,8 pour 100 par an pour l'ensemble du pays, peut ayoir un effet

a

doubls tranchant.

Si cet aco roi as errerrt entrafne une plus erar,de affluence do travo,illeurs dl une part, il ps ut ,

a

l'intsTieur de La OE:zireh elle-msL18, conc>lire

a

une

plus grande pression pour un nombre limit~ d' sxploit ati cns , Dos •.·ffectifs lie main-dIceuvre, une raobi L'i

te

croissanto des e f'f'e ct Lf'e de travailleurs, 11 organisati on de La nain-dIoeuvre, I' utilisati on 0.13 clis:)osit i f'e pr-o p re s

E!CN.14!AG\lEB!S Page 41

a

epargner 18 travail ie l'hoillr:l8 po ur-r'ai e nt co nt r-Lb ue.r

a

La solution dE;

certains pr o bL e r n es , Cependant, Ie a y s t e r a e C:'urbal1isation ct la r nu l . tipli-cite des projets de developpement un peu partout dans Ie pays ne semblent pas devoir a.ssur-er- au p rogr'amne un apport illimi te de mai rr-dIoeuvre saison-niere. 1a ~ualite, par opposition

a

la quantit6, des effectifs Qe ~ain­

d'oeuvre embauches revetira liTIS nouvell£ signification. Pour Iss pErsonnes qui habitent dans la region tropicale, une plus largo part serait faite atn: loisirs. On pourrait ameliorer Ie rendement de la main-d'oEuVTS de d.i.f'I'e.rerrt e s manieres, en exigeant tout d ' abord un travail plus continu et en insistant ever-t ue L'lemen-t davantage sur Ie rytlme du travail

a

la

piece.

On peut tirer un certain nombre de le90ns de.l'etude du probleme de La main-d'oeuvre c.ans la Gezireh. Comme d'autres et.at s africains se lancent dans de vastes projets a6riccles, il serait bon, pour eux, de s'interesser a upa ra.varrt

a

Lvhae t.o r-a que de La Gezireh .. Ll urJ des poi nte essentiels qui se degagent de la presente et~de est peut-etre cette cons-tatation C_U8 l'ec a.rt entre la tr.snsformation economique et sociale d.ans les nouvelles nations d'~frique est une source de ncmbreuses difficultes et que le.. devsloppement agricolo p l ani f'a e exige une poli tic;ue qui tien110 compte -Le s f'acteurs ec onorm que s et s cci aux, 1e grand danger consists

a

concent~"er toute I.'attention s ur- l' efficacitt technique sans avail'

suf-f i s a r n a nt tenu conpte de l'aspect Gconor.lique d.e la q u ee r ti o r . ,

E/CN .14/1J.GREB/5 Page 42

REFERENCES

y'

L' auteur de cette etude a~I'e88Q SSG r-emor-ci emerrts au personnel admi.nis-tratif et au personnel charg{ dbe operations Sl~r Ie terrain, du

C o n ss.ij d tadnrin L zt r - ati . o n a cuda n ai a d.E l a G c z i r - e h ( 8 G B ) , p o u r L ' a i d c co nsi d.er-ab Le qui ils ant ar..!'-'0rt~e 2:- 13.. redaction de cet article, ainsi qui

a

l' administrateur del~b'u~, d.u SGE: qui l' a aut.o ri se

a

consulter des documents dans les arohiv~s du Co~~eil G.'~dministration,

a

son siege

de Barakat9 province du Nil Bleu (CEA). II a egalGment cc rrt racte une cleVt'.0

~8 rcconnaiGG~nce envcrc l'archivist~ ':u Minist~rQ ~LS finr~nc0s ct Qe 1':00--l1C:.;ic; :L.. Kh,~:rt')lU:;, 1:~U.i l'tel ,:ti,_:: IGr::-:; L~_r_;.." :..~ccl'.( l~cL_.8 cntr;_,~~ri8CS L.l1ClS l(';~::;

a rohiv..n ilc.: ce nini cte re (PEA). II ti"nt (:,I"'J.lcl:,L;nt Ct or:1c.:ntionncr La documentation tir£e d8 1a co Ll.ecti o n d.u SOldan, i1 1" Brb li otheque de L' Uni.ve r-si te d.e Khartoum (KUL). M. H. Fer.tuso n , chef de la Division de s rechercLes, r.iin.Lstere de I' agricul tUTE:: du GouVerYH':"EI8nt -soudanaiB,

N~ A. Gai t ake L'l , anci e n adrai r.Let r-ato ur- clE:le['u(' du Programme de 'la GI.?-zireh, qui t r-avai Ll e nt actue Ll er-orit au FOllel;.:> S-"Gcial d.es Nations Uni e s , et Le Dr. DQ S. 'I'ho r-nton d u Depa.rt e ne n't de 1tE:'conomie rurals de L'Tlni ve r-si t c de !_harto'u;.;, c nt G..}Jl)Ort€ dGS Sl.1.LCest1C:"z; et uno ai d.c prec18u2;8t. Le~3 dGpe11SeE~ -nc o ur-uc s au cours des travav...x ~e T8cherches sur Ie t6rraill peur 1a pr8paration at 1a r~daction db c~,t ~rticlo, Grit

~t£ cc uver-te s par 18 don (~€ la Fo ndr.t.i on Ford

a

La facult , 1).'3:':; Gtudes

€cone-miQuE::s

et

F]ocial>::s de 11'(.Tniversitc d.e Kha r-t ourn, Lt a ut.o u r ~st seul responsab1e ~GS 6rreurs au lacunes que lIon pourr2it Tclever dG.DS oe ClaGUE,eDt.

a) H. Fergusor, "The Ce zi r-a Scheme", r,jeclite chez Harld Crops, Vol. IV, EOG 1, 2 et 3, janvier, f~"'.Jrier et mars 1352 (;'lvee postfacc) •

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E/ClJ.14/AGRm:!5

l'dgT; 43

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pares

120-13'), !'To 3, rages 216-235.···

§j Ce tt.e etude D. puace cL::.ns IGS dCJCU,f:1cntc;: suiv ar.b s ;;

A. Gaitskel, idem, pages 230-9;

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T~le Advisory

Cow-;;il

for the Forth81'YJ SuJan , sixi sn.e session, 1-6

Janv:er 1947, (Kh,,:rtoum, GOUVcrYi8ElG!1t sc ud.ana.i s , 1947), p~ltes 6'5-66, KUL', En't ret i e ns avec I.e }JersclllJol dtc xec uti on .

Actue LLe merrs , 011 cultive days 1'=, -rl:f~;'icl1 pre,",Que oxc Lusi vez ent d.es varietes lie c ot o n 8[;y-ptiell (Gos8JTri urn baI'badense). Lbo vsriGt~s Doma.i ns Sakel at Eb,R 14/2), po ua a crrt cans La fJ·?t.rtie ;"'30~tGrJtrionCt.le de La region 8t la v:irietc L8.cb~l't i;LR XLI '~8.r:~ Lo >j·.:.d st ians I e

p r oL on g em er r t de I : : a n a g h i l . D u r a r J t 1 0 . p;jl·.i.Qcl~ 1 9 6 1 - 6 2 , 1l2: c c t . o n

EAR XLI 'caul/rait uno s upe r'fi-ei e de .29[1,-49.7£ fC"d.~n8., Le Dom. Sakel, ' . 95.722t f'edd aris , Ie BAR

14L2..2,

72.14n feclJa(,~, l'Aecala, 643 foddaniJ,"

et 11 AShnOl.U1i , 1.255 ff?cldans. TIcr,3sigsD6W::Hitc Qotenu3 du Iri r'ect e ur' Q8 la diviSfOn B6rico10, SG3.

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2/ s.

R~ Si mpson, "Land TenuI't.: h.3:pGcts of tho Ce z i.r'a Scl:..eril8 in t,he

Sud.an"~~,"-.J_.,...,of .(i.f'ricarJ Admi11.? Vol. IX, ~:o ;2; ,:i'/ril 19 ')7, paC8G 92-5.

1SY

Au cours de 10. Gro.mle crice $.eotJo<::iQ<iO d.e 1)29-34, que Lq ue 2.000 exploitations, soit 1e8"10 po ur 100 ,J.U total i:t 1f cjJo"l',lO, Bt,,~ent vacarrt es , B';:';::-'"LlCOUpv~ "d 'Occ, i.derr::al0:" 1 (. ,'.--:,o;:,_.L.'.Ll,;~",---.I:;;\,.l:-'._"'''r,--1- ~ "'"1' -' ... I" r" {j,j >"u~,aant•• CU'". - 0 )tc pe r-i o de ,

u/

En 19~25 alors cuc 13. l)01....t b rut e d8"-,'e xpl oi.tan~s :1U'::: b£n~ficss 0'GCiit :ie 1S. 72 par 10 f'edJ.cdJ3 0.(. C()-:"nI~, CO2 ':.!.(.-i T€-r,·'r·,,,,nenLdit une aUi::mC'!Jta-tion de LS. 16 s ur- Icc E;;cisen j)roc6dsr'te, que Lri ue L 100 8x"10it arrt s , soit 188 6 po uz: 100 du totE'~lJ ii.5n:'..s8iotlnCI'E'JY;te L8'8 p:::irjcipal.ES

raisons moti v ant ce s ab andons 0t.;}'lr.:,~t l;:l", })I~,n1j.rj,s .-j.b r:lail1-i'oeuv::'G t;t, les f rai c (j16vt.;s,~ On (2, oo nsta.tc qllE: Ie'S, t;X~).l(.JitLl·nts >:Coflt3.ien~

d 'une bonnB EL,YIS€ pour .3' t;-:r~ ::111\:;_1'. I'liLl.rtco of' 'thE- 8th ;"ketiril" of t1::,

Labour Bonr~~ (KhartolliJ1 ~ textc d.actylocraT':-li~'" 22 aofrt 1943), ~,-'8L"

11/

La p.rod ucti o n a passe de 1~30'kaYJt2:L'G :'<?:;- f,:,;c:<JYJ j t::,c-r,l':'!,Ylt .1.,.1 I"~Ti(;;.,,(:

de 1930-31,2, Sr73 karrt a.r-r. ce.r- feic1,G.lJe r-oridact La ~";cdJ:: 1:,'jO-jl.

(Annual REturns' SG]c GD.fl..).L Une 0tud~ ~1.1T In ]!I'or:ti.ctiol1 ;1 I~'Zi.rtir

de 1949 mcrrt re 1Tamp Le ur dos ('::'itfGI'CDCeS Jt, rGn(~.c.mr-,rJt d '1.. (; c o.ut .\

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Sct~eme, JUH18Xe II, Dcc I a.r-ati or. (c), (Khar-::cLJ,m '; GOUV(:l"l>~elJt coudanais , 1950), KUL.

E/CN.14/1.GR3I3/5 Page 44

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8 perSOnLGS. DIapres Lc s r-c.j-or.ee e e ux forc~~lo.i~c'-'

du premier recensemcnt ie La po puis.ti on du Soud,c:,:n en 1956~ La crand8l~T'

moy e rme d 'uno faoille dans 1r, provir.ce ou Nil Bleu9 d.cnt f0.it pa.rti e la r~gion de la Gezireh ~tait ~6 5,3~ }[oT. Wachter, l1Size of

Eouseho'Lds in Sudan" s (Kharto:ltl ~ RGiJOrt 011 tlH:': SiXt':1 LllYnlal Con i\:,:J'GL>J ~ Philosopl,ical Society of Suc:.al'1, 1958

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p , 62. LUL. ' .

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tLe Ce zi.ra ScheEle,

a.

]I!• Culvi,ck, '7A,--,=,S-"t.:::u?l:-..:::.~~r.".:IT-='--""""~~";:'::c....::=....:::==",--===

(non publio,

st6nci1e, 1955

?

W c.x.

Culwiok, (1955(7», idem, pc:,:" 54.

1§! a.M.

Culwiok, idem, page 85.

12/ a.M.

Culwick, idem, chapitre II, Gubciivi2ion 2.

20/ 011 S 1est reporte au

Service des rerlGcigilGments, Ooirve r-nerne rrt so uaana.i s , ::Lmmi~ratio:n of Labour, (Khartow" , Texte dactylographie, 6 fevrier 1924 , FR~.

L.A. Fab unm.i , "Nigerians on the Hile", West Ai'rica, 4 ao.rt 1956, p ,

555,

K1JL..

Lsam b.-hmed Eas so un , "1'll2stcrnI r~igraticY1 and. Ssttler.'!ent Ln the Gezira",

Lsam b.-hmed Eas so un , "1'll2stcrnI r~igraticY1 and. Ssttler.'!ent Ln the Gezira",

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