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Situation en Argentine

2.5.7 SITUATION ET FLUX DE TRÉSORERIE

(En millions d’euros)   Exercice 2021 Exercice 2020   Var

Flux net de trésorerie liés aux activités opérationnelles   276,0 222,3   + 53,7

Flux net de trésorerie liés aux activités d’investissement   (709,2) (502,4)   – 206,8

Flux net de trésorerie liés aux activités de financement   643,5 204,0   + 439,5

Incidence de la variation des taux de change   7,3 (9,5)   + 16,8

Variation de trésorerie   217,6 (85,6)   + 303,2

2.5.7.1 FLUX NETS GÉNÉRÉS PAR L’ACTIVITÉ OPÉRATIONNELLE DU GROUPE

(En millions d’euros)   Exercice 2021 Exercice 2020   Var

Résultat net de l’ensemble consolidé   40,2 3,3   + 36,9

Éliminations(a)   202,0 248,5   – 46,5

Incidence de la variation du besoin en fonds de roulement(b)   44,3 (11,3)   + 55,6

Impôts décaissés (encaissés)(c)   (10,6) (18,1)   + 7,6

Flux net de trésorerie liés aux activités opérationnelles   276,0 222,3   + 53,7 (a) Ce flux comprend les variations sans impact trésorerie, dont notamment les amortissements et provisions, les plus et moins-values de cession, le coût de l’endettement

financier et la charge (produit) d’impôt différé et courant. Les moindres éliminations en 2021 par rapport à 2020 s’expliquent essentiellement par l’impact des plus ou moins-values de cession. En 2021, elles sont éliminées à hauteur de (42,0) millions d’euros, correspondant essentiellement aux produits nets de cessions des opérations de farm-down pour (50,0) millions d’euros et aux mises au rebut de coûts de développement immobilisés pour 8,1 millions d’euros. En 2020, elles sont éliminées à hauteur de 4,1 millions d’euros et correspondaient exclusivement à des mises au rebut de coûts de développement immobilisés (se reporter au tableau des flux de trésoreries consolidés – section 4.1- paragraphe 4.1.5 du présent document).

(b) En 2020, l’incidence de la variation du besoin en fonds de roulement s’expliquait principalement par des indemnités contractuelles compensant des pertes de chiffre d’affaires liées à des retards dans la mise en service de certains projets, en attente de règlements, et par une augmentation des créances de TVA en attente de remboursement en lien notamment avec des projets en cours de construction. En 2021, l’incidence de la variation du besoin en fonds de roulement résulte des encaissements constatés au titre de ces indemnités contractuelles et de ces créances de TVA historiques (se reporter au tableau des flux de trésoreries consolidés – section 4.1- paragraphe 4.1.5 du présent document).

(c) La variation des impôts décaissés de + 7,6 millions d’euros entre 2020 et 2021 s’explique notamment par (i) des remboursements d’impôt dont a bénéficié le Groupe en Australie dans le cadre d’un dispositif à caractère temporaire mis en œuvre par les autorités australiennes et par (ii) une baisse de l’impôt décaissé sur le périmètre de l’intégration fiscale Neoen S.A. (se reporter au tableau des flux de trésoreries consolidés – section 4.1 au paragraphe 4.1.5 du présent document et à la note 11 « impôts »).

La progression des flux nets de trésorerie générés par les activités opérationnelles de + 53,7 millions d’euros est directement imputable à l’amélioration du besoin en fonds de roulement (+ 55,6 millions d’euros).

2.5.7.2 FLUX NETS PROVENANT DES INVESTISSEMENTS DU GROUPE

(En millions d’euros)   Exercice 2021 Exercice 2020   Var

Acquisitions de filiales nettes de la trésorerie acquise(a)   (32,2) (11,0)   – 21,2

Cessions de filiales nettes de la trésorerie cédée(b)   72,1 0,0   + 72,1

Acquisitions d’immobilisations corporelles et incorporelles(c)   (754,5) (529,7)   – 224,7

Cessions d’immobilisations corporelles et incorporelles   0,2 0,1   + 0,2

Variation des actifs financiers(d)   3,2 37,3   – 34,1

Dividendes reçus   1,9 0,9   + 1,0

Flux net de trésorerie liés aux activités d’investissement   (709,2) (502,4)   – 206,8 (a) En 2021, ce flux correspond essentiellement à l’acquisition de projets en développement en Irlande, en Finlande, en Suède et en France (se référer au paragraphe

2.3.1.1 « poursuite de la croissance du portefeuille » du présent document). En 2020, ce flux correspondait essentiellement à l’acquisition de deux parcs éoliens français (se reporter au tableau des flux de trésoreries consolidés – section 4.1- au paragraphe 4.1.5 du présent document).

(b) En 2021, les cessions de filiales nettes de la trésorerie cédée correspondent principalement aux opérations de farm-down qui ont concerné les centrales solaires de Grabels (Hérault) et Lagarde (Vaucluse), les centrales solaires de Lugos (Gironde) et Miremont (Haute-Garonne), et les projets éoliens Le Berger (Meuse) et Les Beaux Monts (Yonne). (Se référer au paragraphe 2.1.3.8 « Opérations de farm-down » et au tableau des flux de trésoreries consolidés – section 4.1- au paragraphe 4.1.5 du présent document).

(c) Ces flux sont détaillés dans le paragraphe ci-après et dans le paragraphe 2.5.8.2 « principaux investissements réalisés » du présent document.

(d) La variation observée sur la période s’explique essentiellement par l’impact net du déblocage et de la constitution de dépôts de garantie liés à la construction et au financement d’actifs de production. En 2021, les acquisitions s’élèvent à 23,8 millions d’euros et les cessions à 27,0 millions d’euros. En 2020, les acquisitions s’élevaient à 41,3 millions d’euros et les cessions à 78,6 millions d’euros.

En 2021, la progression des dépenses liées aux activités d’investissement à hauteur de – 206,8 millions d’euros, s’explique principalement par une augmentation des acquisitions d’immobilisations corporelles et incorporelles (– 224,7 millions d’euros), qui avaient connu, en 2020, un ralentissement temporaire, conséquence directe du calendrier de réalisation des projets du Groupe, et dans une moindre mesure, de retards ponctuels inhérents notamment à l’épidémie de COVID-19, ayant ralenti le timing de réalisation de certains actifs en construction.

A cela s’ajoutent l’effet de la variation négative des actifs financiers (– 34,1 millions d’euros) et de la hausse des acquisitions de filiales nettes de la trésorerie acquise réalisées sur la période, en Irlande, en Finlande, en Suède et en France (– 21,2 millions d’euros).

Cette hausse des flux d’investissement est en partie compensée par l’impact de la cession de certaines centrales dans le cadre des opérations de farm-down réalisées sur la période (+  72,1 millions d’euros).

En 2021, les investissements réalisés dans les projets (acquisitions d’immobilisations corporelles et incorporelles nettes des variations de dettes de fournisseurs d’immobilisations) se sont élevés à 754,5 millions d’euros, et concernent principalement les projets Bulgana (52,3 millions d’euros), Kaban (62,5 millions d’euros), Victorian Big Battery (85,5 millions d’euros) et Western Downs (150,6 millions d’euros) en Australie, Mutkalampi (123,7 millions d’euros) en Finlande, Metoro (17,3 millions d’euros) au Mozambique, Altiplano 200 (10,8 millions d’euros) en Argentine, Itzoteno (12,1 millions d’euros) au Mexique, ainsi que des projets

solaires (73,8 millions d’euros) et éoliens (91,0 millions d’euros) en France, et des coûts de développement (38,5 millions d’euros).

En 2020, les 529,7 millions d’euros d’acquisitions d’immobilisations corporelles et incorporelles concernaient principalement les projets Bulgana (16,8 millions d’euros), Victorian Big Battery (25,1 millions d’euros), Western Downs (37,0 millions d’euros), Hornsdale Power Reserve (53,2 millions d’euros) en Australie, Hedet (11,2 millions d’euros), Yllikkälä Power Reserve (12,9 millions d’euros) et Mutkalampi (36,1 millions d’euros) en Finlande, Bangweulu (10,2 millions d’euros) en Zambie, Altiplano 200 (60,9 millions d’euros) en Argentine, Itzoteno (20,0 millions d’euros) et El Llano (48,2 millions d’euros) au Mexique, Capella (23,3 millions d’euros) au Salvador, Paradise Park (7,8 millions d’euros) en Jamaïque, ainsi que des projets solaires (44,6 millions d’euros) et éoliens (73,3 millions d’euros) en France et des coûts de développement (40,0 millions d’euros).

Les investissements réalisés au cours de la période sont détaillés au paragraphe 2.5.8.2 du présent document.

2.5.7.3 FLUX NETS PROVENANT DU FINANCEMENT DU GROUPE

(En millions d’euros)   Exercice 2021 Exercice 2020   Var

Augmentation de capital de la société mère(a)   592,1 27,0   + 565,1

Contribution des investisseurs minoritaires aux augmentations (réductions)

de capital   (2,4) 0,0   – 2,4

Cession (acquisition) nette d’actions propres   (12,1) (4,1)   – 8,0

Émissions d’emprunts(b)   419,3 794,4   – 375,1

Dividendes payés(c)   (0,2) (10,9)   + 10,7

Remboursements d’emprunts(b)   (272,0) (527,9)   + 255,9

Intérêts financiers versés   (81,3) (74,6)   – 6,7

Flux net de trésorerie liés aux activités de financement   643,5 204,0   + 439,5 (a) En 2021, ce flux correspond principalement à l’augmentation de capital réalisée le 9 avril 2021 par le Groupe pour 591,2 millions après prise en compte des frais

d’émission (se reporter au paragraphe 2.3.1.3 du présent document et à la section 4.1 - note 2.2 des états financiers consolidés).

En 2020, des obligations convertibles sous formes d’OCEANE Verte ont été émises pour un montant d’environ 170 millions d’euros. S’agissant d’un instrument composé au sens des normes IFRS, 144,8 millions d’euros (142,8 millions d’euros nets de frais) ont été reconnus au titre de la composante « dette » et 25,2 millions d’euros (24,9 millions d’euros nets de frais) ont été comptabilisés au titre de la composante « capitaux propres », avant imputation des frais.

(b) Les émissions d’emprunts et les remboursements réalisés en 2021 sont détaillés au paragraphe 2.5.4 du présent document.

En 2020, le Groupe avait procédé au refinancement des centrales Hornsdale 1,2 et 3, ce qui a donné lieu à un remboursement de dettes à hauteur de – 350,2 millions d’euros (dont – 295,0 millions d’euros d’emprunts bancaires, – 23,5 millions d’euros de financements obligataires et – 31,7 millions d’euros de dénouements des swaps historiques), avec pour contrepartie l’émission d’une nouvelle dette pour un montant de 361,1 millions d’euros (nets de frais).

(c) Ils correspondent aux dividendes versés aux actionnaires minoritaires et concernent exclusivement l’Australie.

La hausse des flux nets de trésorerie liés aux activités de financement est essentiellement imputable (i) à l’augmentation de capital réalisée en 2021, (ii) à la baisse des remboursements de financements existants et (iii) au recul des émissions d’emprunts. Ces effets sont détaillés sous le tableau ci-avant.

Les investissements de l’exercice 2021 effectués dans les projets du Groupe ont en effet été financés, pour une part importante, sur fonds propres, conformément aux calendriers de tirages prévus dans leurs documentations de financement ou dans l’attente de la mise en place de leurs financements de projets.

2.5.8 INVESTISSEMENTS

2.5.8.1 POLITIQUE D’INVESTISSEMENT

Les dépenses d’investissement du Groupe sont essentiellement réalisées dans des projets de parcs solaires et éoliens, et de centrales de stockage, en développement ou en construction, et se composent d’acquisitions d’immobilisations corporelles d’une part et incorporelles d’autre part. Les flux de trésorerie liés aux activités d’investissement comprennent aussi des investissements financiers réalisés à travers des acquisitions d’actifs financiers (essentiellement sous forme de comptes de réserve du service de la dette - DSRA) et des acquisitions de filiales et d’actifs en développement.

La politique d’investissement du Groupe repose sur le Conseil d’administration qui valide annuellement le budget alloué aux dépenses en capital et approuve (i) tout investissement par la Société ou l’une de ses filiales, immédiatement ou à terme, en fonds propres ou dépense relatif à un projet non prévu au budget (y compris tout partenariat ou contrat de joint-venture) d’un montant unitaire supérieur à 20 millions d’euros, (ii) tout investissement ou dépense réalisé par la Société ou l’une de ses filiales relatif à un projet prévu au budget ou autorisé par le Conseil d’administration, pour un montant qui entraîne un accroissement de plus de 15 % des fonds propres prévus au budget ou autorisé par le Conseil d’administration pour ledit projet.

2.5.8.2 PRINCIPAUX INVESTISSEMENTS RÉALISÉS

Le tableau ci-dessous détaille les investissements consolidés réalisés au cours des exercices clos les 31 décembre 2021 et 31 décembre 2020 :

(En millions d’euros)   Exercice 2021 Exercice 2020   Var

Var (en %) Acquisitions d’immobilisations incorporelles et corporelles(a)   754,5 529,7   224,7 + 42%

Dont acquisitions d’immobilisations incorporelles   38,5 40,0   (1,5) – 4%

Dont acquisitions d’immobilisations corporelles   715,9 489,7   226,2 + 46%

Investissements financiers(b)   56,0 52,3   3,7 + 7%

Dont acquisitions d’actifs financiers(c)   23,8 41,3   (17,5) – 42%

Dont acquisitions de filiales nettes de la trésorerie acquise(d)   32,2 11,0   21,2 x3 (a) Les montants bruts d’acquisitions d’immobilisations incorporelles et corporelles sont présentés ci-dessus en incluant la variation des dettes fournisseurs d’immobilisation,

ce qui permet de rapprocher la valeur des actifs immobilisés des dépenses en trésorerie engagées. Les montants bruts de ces variations, hors dettes fournisseurs d’immobilisation, au titre du 31 décembre 2021 et du 31 décembre 2020 s’élèvent, respectivement, à 881,5 millions d’euros et 561,6 millions d’euros, pour plus de détails le lecteur est invité à se reporter au paragraphe 2.5.7.2.

(b) Les investissements financiers sont analysés dans le paragraphe 2.5.7.2 du présent document.

(c) La variation des actifs financiers s’explique essentiellement par le remboursement de dépôts de garantie liés aux constructions et au financement d’actifs de production. En 2021, les acquisitions s’élèvent à 23,8 millions d’euros et les cessions à 27,0 millions d’euros. En 2020, les acquisitions s’élèvent à 41,3 millions d’euros et les cessions à 78,6 millions d’euros.

(d) Les acquisitions de filiales nettes de la trésorerie acquises sont détaillées dans le paragraphe 2.5.7.2 du présent document.

L’évolution des immobilisations corporelles du Groupe entre le 31 décembre 2020 et le 31 décembre 2021 se décompose comme suit (les montants sont exprimés en millions d’euros) :

31.12.2020 Europe ‑ Farm‑down

Afrique (b) Changement

d’estimation comptable (d)

Effets de change

Australie (a) Ameriques Amortissements Autres

(c) IFRS 16

Nouveaux baux Réévaluations

31.12.2021 2 838,7

+ 510,4

+ 324,3 + 30,7

− 44,8

− 6,1

+ 55,1 + 7,0

− 122,4

+ 84,7 3 677,6

(a) Les acquisitions de la période correspondent aux centrales en construction en Australie au cours de l’année 2021 dont principalement : la Victorian Big Battery (169,9 millions d’euros), Western Downs (152,8 millions d’euros), Bulgana (67,2 millions d’euros), Kaban (55,3 millions d’euros) et Goyder (42,9 millions d’euros).

(b) Les acquisitions de la période correspondent aux centrales en construction en Europe – Afrique au cours de l’année 2021, dont principalement : Mutkalampi en Finlande (96,4 millions d’euros), des centrales éoliennes et solaires en France (respectivement 102,6 millions d’euros et 82,0 millions d’euros), Metoro au Mozambique (25,6 millions d’euros).

(c) Les acquisitions de la période correspondent principalement à la centrale d’Altiplano 200 (21,1 millions d’euros) en Argentine et au projet Itzoteno (7,7 millions d’euros) au Mexique.

(d) Se reporter à la section 4.1 - note 12.3 des états financiers consolidés.

2.5.8.3 PRINCIPAUX INVESTISSEMENTS EN COURS DE RÉALISATION

Les principaux investissements du Groupe en cours de réalisation correspondent aux actifs en cours de construction au 31 décembre 2021. Les immobilisations corporelles en cours s’élèvent à 708,6 millions d’euros au titre de l’exercice 2021 contre 634,4 millions d’euros au titre de l’exercice 2020 (se reporter à la section 4.1 - note 12 «  écart d’acquisition, immobilisations incorporelles et corporelles  » et à la section 4.3 - note 12.2 «  immobilisation incorporelles  » et note 12.3

« immobilisations corporelles » du présent document).

2.5.8.4 PRINCIPAUX INVESTISSEMENTS ENVISAGÉS

Le Groupe poursuit majoritairement une stratégie develop-to-own selon laquelle il développe ses projets dans le but de contrôler et d’exploiter ses actifs de production.

En 2021, Neoen a annoncé son intention de procéder de manière régulière mais sélective à la cession totale ou majoritaire de projets de son portefeuille sécurisé (farm-down), dans la limite de 20 % du volume des projets remportés chaque année. Ces opérations de farm-down permettent de renforcer la capacité financière du Groupe et donc de contribuer au financement de la construction de nouveaux actifs. Neoen prévoit, dans la mesure

du possible, de maintenir une détention minoritaire au sein des projets concernés, d’en assurer la gestion administrative et opérationnelle, et de conserver des droits fonciers afférents, de manière à pouvoir prendre part à la phase de repowering ultérieure de ces projets. 

Dans ce cadre, les investissements qu’il envisage de réaliser dans le futur consisteront principalement à alimenter son portefeuille par de nouveaux projets, et à continuer de faire avancer les projets existants jusqu’à la mise en service des installations ou leur cession dans le cadre de son activité de farm-down.

Ces derniers concernent les projets entrés en phase awarded 15 pour un volume total de 582 MW à la date du présent document (contre 582 MW au 31 décembre 2021) mais dont la construction n’a pas encore été lancée. Le Groupe continue, par ailleurs, de développer ses projets en phase advanced development et tender ready 15 dont le volume s’élève à 10 084 MW à la date du présent document (contre 7 914 MW au 31 décembre 2021).

15 Pour une définition des différents stades de développement des projets du Groupe, le lecteur est invité à se reporter à la section 9.6 « glossaire » du présent document.

2.5.8.5 CONTRAINTES ENVIRONNEMENTALES POUVANT INFLUENCER SUR L’UTILISATION PAR LE GROUPE DE SES IMMOBILISATIONS CORPORELLES

Les contraintes environnementales pouvant influer sur l’utilisation des différentes installations en pleine propriété et/ou exploitées par le Groupe sont décrites au chapitre 5 « développement durable et responsabilité sociétale ».

Les provisions pour démantèlement sont évoquées à la section 4.1 - note 18 « provisions » du présent document.