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i) Définition de la simulation dans le domaine médical

La simulation est une méthode pédagogique innovante et active qui consiste à reproduire un environnement le plus réel possible afin de permettre un apprentissage de compétences techniques ou non techniques via la participation des personnes présentes. Cette méthode est utilisée dès le début du XXème siècle dans le domaine de l’aéronautique28. En effet, l’entrainement au vol pour les pilotes en conditions réelles étant très coûteux, l’application de cette méthode permettait de baisser considérablement les frais de formation.

Cette méthode a été appliquée dans le domaine médical à partir de la seconde moitié du XXème siècle29, la première réalisation étant la fabrication de mannequin piloté par ordinateur dans le domaine de la réanimation cardio-pulmonaire, s’inspirant là de la poupée en coton et en bois utilisée par Angélique du Coudray30, sage-femme française, au XVIIIème siècle pour former ses élèves à l’accouchement. Elle a été généralisée à la suite du rapport « To err is human » 31 écrit en 1999 aux États-Unis. Ce rapport est à l’origine d’une prise de conscience dans le domaine médical de l’importance des facteurs humains dans la survenue d’erreurs médicales32. Ce rapport dénombre la présence de 44 000 à 98 000 décès par an des suites d’erreurs médicales qui auraient pu être évités. Pour remédier à cela, ce rapport propose d’intégrer la simulation à la formation initiale des professionnels de santé afin, d’une part, expérimenter les erreurs médicales, apprendre des gestes techniques et les répéter et, d’autre part, s’entraîner avant de le faire sur des vrais malades.

28 R. BETA, A. GHUYSEN, V. D’ORIO, « Simulation en pédagogie médicale : état des lieux », Revue médicale de Liège, 2014, 69 : 3, pp. 132-138.

29 K. R. ROSEN, “The history of medical simulation”, Journal of critical Care, juillet 2008, volume 23, pp. 157-166.

30 J. BARRÉ, A. JOB, D. MICHELET, P. CABON, C. DELGOULET, A. TESNIÈRE, « La simulation obstétricale : du mannequin d’Angélique du Coudray aux Environnements Virtuels. Exemple d’un Simulateur numérique pour l’acquisition de Compétences Non –Techniques », SeGaMed, 2018, 13 p.

31 LT. KOHN, JM. CORRIGAN, MS. DONALDSON, To err is human. Building a safer health system, National Academies Press, 2000, 287p.

32 F. MOUGEOT, P. OCCELLI, K. BUCHET-POYAU, M. ROBELET, S. TOUZET, P. MICHEL, « L’émergence de la question de la sécurité des patients en France », Santé Publique, 2017/6 Vol. 29, pp. 869-877.

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Appliquée à l’univers de la médecine, la simulation33 se définit alors comme34 « l’utilisation d’un matériel (comme un mannequin ou un simulateur procédural), de la réalité virtuelle ou d’un patient standardisé pour reproduire des situations ou des environnements de soin, dans le but d’enseigner des procédures diagnostiques et thérapeutiques et de répéter des processus, des concepts médicaux ou des prises de décision par un professionnel de santé ou une équipe de professionnels »35 .

Il existe différents objectifs possibles en simulation en santé : la réalisation de gestes techniques, la mise en œuvre de procédures, la gestion de comportements ou encore la gestion des risques. Il existe, à ce titre, différentes techniques de simulation qui peuvent être organique (cadavre, animal) ou non organique36 comme l’utilisation de « patient standardisé », des jeux de rôles, de la réalité virtuelle ou encore des jeux dits sérieux (« serious game »). La pratique de la simulation en santé a toujours pour but final l’amélioration des pratiques professionnelles et donc l’amélioration de la prise en charge des patients.

Une séance de simulation37 repose systématiquement sur l’enchaînement de trois étapes : - la phase de briefing qui permet la présentation du contexte et de l’environnement. L’important pour l’animateur de la session est de créer un environnement propice à l’apprentissage.

- le déroulement du scenario. Le scenario doit représenter un environnement réaliste et est écrit en fonction de la population d’apprenants, des objectifs pédagogiques, des moyens humains et technologiques et de la durée de la séance.

- le débriefing. Ce dernier comprend trois temps : la phase descriptive du scenario qui permet notamment de recueillir le ressenti des participants ; la phase d’analyse avec des échanges entre les participants et l’animateur sans être dans le jugement ; la phase de synthèse qui résume ce qui a été abordé et appris.

33 S. BOET, J.-C. GRANRY, G. SALVODELLI, La simulation en santé. De la théorie à la pratique, Springer, 2013, 442 p.

34 J.-C. GRANRY, M.-C. MOLI, Rapport de mission, État de l’art (national et international) en matière de pratiques de simulation dans le domaine de la santé, HAS, 2012.

35 Chambre des représentants USA, 111th congress – 2009.

36 G. CHINIARA, Simulation médicale pour acquisition des compétences en anesthésie, Société française d’anesthésie et de réanimation, Congrès national d’anesthésie et de réanimation 2007, Conférences d’actualisation. Paris, SFAR, 2007, pp. 41-49.

37 HAS, Guide de bonnes pratiques en matière de simulation en Santé, 2012.

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ii) Les enjeux de la simulation en Santé

L’utilisation de la simulation en santé présente plusieurs enjeux38 :

- Des enjeux pédagogiques : il a été démontré que lors d’une simulation d’une expérience et ce après deux semaines on retient 90% de ce que nous avons fait et dit contrairement au 10%

retenu lors d’une lecture39. Cette hiérarchie des apprentissages est explicitée par le cône d’apprentissage d’Edgar Dale40. La simulation permet par ailleurs le développement de compétences professionnelles41.

- Des enjeux d’actualité42 : la génération Y (la génération née entre 1980 et 2000), considère les cours magistraux comme désuets et, pour cette génération, l’enseignement doit être interactif, agréable et stimulant et les apprenants doivent devenir actifs lors de leur formation.

- Des enjeux éthiques : la phrase « jamais la première fois sur le patient » justifie l’utilisation de la simulation.

- Des enjeux de sécurité des soins : on dénombre encore et toujours le signalement de beaucoup d’évènements indésirables chaque jour dans les établissements de santé.

- Des enjeux humains : avec l’apprentissage, par exemple, de la bonne communication dans un service ou avec les patients.

- Des enjeux psychologiques : avec l’apprentissage de la gestion du stress dans les situations d’urgence ou les bonnes pratiques de l’annonce d’un cancer43.

- Des enjeux politiques : avec le soutien du ministère de la santé via la Direction Générale de l’Offre de Soins (DGOS) avec l’instruction du 12 juillet 201344 incitant le développement de la

38 J.-C. GRANRY, « La simulation en santé : quels enjeux ? », Revue des Maladies respiratoires, 2015, 32, pp.

966-968.

39 E. DALE, Audiovisual methods in teaching. Dryden Press, 1969, 748 p.

40 Annexe n°3.

41 M.-C MOLL, J.-C. GRANRY « La simulation : un facteur de développement des compétences professionnelles », Risque et qualité, 2014, Vol. 9, pp 21-25.

42 F. BOULÉ, « Hautement différente : la génération Y, un défi de taille pour l’enseignement médical », Pédagogie médicale, 2012, 13 (1), pp. 9-25.

43 I. CARTIER-CHATRON, T. URBAN, J. HUREAUX, « Formation à l’annonce en oncologie par la simulation : Implications psychologiques et place du psychologue », J. Psycho Oncologie, 2014, Volume 8, pp. 200-204.

44 Instruction DGOS/PF2 n° 2013-298 du 12 juillet 2013 relative au programme national pour la sécurité des patients.

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simulation dans le programme national pour la sécurité des patients et l’arrêté du 26 septembre 2014 relatif au diplôme d’état d’infirmier intégrant la simulation dans le cursus officiel45.

- Des enjeux financiers : avec l’instruction du 19 novembre 201346 relative au développement de la simulation et accordant une dotation annuelle de 8,26 millions d’euros.

- Des enjeux d’innovation : avec le développement de la recherche scientifique sur la simulation47.

iii) Les limites de l’utilisation de la simulation en Santé

Cette méthode de la simulation dans le domaine de la santé présente quelques limites. La principale limite identifiée est le coût élevé de ces formations48 puisque ces dernières nécessitent du matériel, des locaux et du personnel formé49. La création d’un centre de simulation est également très coûteuse50 ; on compte ainsi en France seulement 49 centres de simulation51. L’accès à ces formations à l’ensemble des professionnels de santé sur le territoire est nécessairement limité.

Une deuxième limite identifiée est le temps nécessaire pour former un professionnel de santé par la simulation. En effet, il s’agit de formations chronophages car elles nécessitent une mise en situation de chaque professionnel qui doit être formé dans son environnement de travail avec un scenario qui peut être assez long et un « debriefing » par le responsable de la formation.

Une autre limite est la gestion des émotions des participants et le caractère stressant de la séance de simulation : la simulation peut engendrer du stress chez les participants du fait d’être observés par des tierces personnes puis jugés. Pour éviter que ces situations se produisent, il est indispensable pour l’animateur d’évoquer dans le briefing que la séance n’a pas pour but

45 Arrêté du 26 septembre 2014 modifiant l'arrêté du 31 juillet 2009, Annexe 3, chapitre 5 ; relatif au diplôme d'Etat d'infirmier

46 Instruction DGOS/PF2 n° 2013-383 du 19 novembre 2013 relative au développement de la simulation en santé.

47 D. BOULD, V. N NAIK, « Le futur de la recherche en simulation : défis et opportunités » in S. BOET, J.-C.

GRANRY, G. SALVODELLI, La simulation en santé. De la théorie à la pratique, Springer, 2013, pp. 389-399.

48 PJ. MORGAN, D. CLEAVE-HOGG, “A worldwide survey of the use of simulation in anesthesia”, Canadian Journal of Anesthesia, août-septembre 2002, volume 49(7), pp. 659-662.

49 T. BAUGNON, J.-C. GRANRY, O. ORLIAGUET, « Challenges dans le fonctionnement d’un centre de simulation : organisation, matériel, personnel » in S. BOET, J.-C. GRANRY, G. SALVODELLI, La simulation en santé. De la théorie à la pratique, Springer, 2013, pp. 425-432.

50 M. JAFFRELOT, G. SAVOLDELLI, « Concevoir un centre de simulation » in S. BOET, J.-C. GRANRY, G.

SALVODELLI, La simulation en santé. De la théorie à la pratique, Springer, 2013, pp. 403-410.

51 Site internet de l’association la société francophone de Simulation en Santé : http://www.sofrasims.fr/pages/services/centres-de-simulation/, consulté le 17 mai 2019.

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l’humiliation, ne sera pas pénalisante et surtout de mettre à l’aise les participants qui pourraient être timides. Ce côté stressant peut être un frein à la participation.

La présence de personnel qualifié est donc indispensable pour respecter les bonnes pratiques de simulation. En outre, le nombre de participants doit rester limité afin de favoriser les échanges et limiter le stress des participants.

Enfin des limites techniques persistent car malgré l’avancée de l’innovation dans le domaine des mannequins, le matériel ne reproduit pas encore le réalisme complet de l’être humain.

iv) Utilisation de la simulation dans le domaine pharmaceutique

En France, l’utilisation de la simulation dans le domaine pharmaceutique est encore peu fréquente. On note néanmoins depuis quelques années un essor de cette méthode comme moyen de formation. Ainsi, quelques projets de pédagogie avec simulation ont été mis en place en pharmacie hospitalière52 ou dans les domaines de la pharmaco-technie, de la gestion des risques et de la pharmacie clinique ou encore dans le domaine officinal.

Quelques illustrations :

1. Dans le domaine de la pharmacie hospitalière, en pharmaco-technie avec le recours fréquent à la méthode de « la chambre des erreurs » 53. Cette méthode, originaire du Canada, s’est développée en France à partir de 2011. Il s’agit d’un outil ludique54 qui permet de sensibiliser les professionnels de santé à la sécurité des patients et à la qualité des soins55. Le principe de l’utilisation de la chambre à erreurs consiste en un exercice de simulation in situ56, organisé dans l’environnement de travail. Cette mise en situation permet aux participants d’identifier les erreurs volontairement présentes dans la pièce et en tirer un enseignement afin que ces erreurs ne se produisent plus jamais.

52 M.-A. VONESCH, A. CAPELLE, M. ROUAULT, S. RENET, H. DE FREMINIVILL, D. HOEGY, A.

JANOLY-DUMENIL, C. DUSSART, « Intégrer les nouvelles technologies en santé : exemple de la pharmacie hospitalière », Journal de Pharmacie Clinique, mars 2018, volume 37(1), pp. 37-45.

53 M.-J. D’ALCHE-GAUTIER, La chambre des erreurs : un outil de simulation ludique pour améliorer la sécurité des soins, 15e journée du RRH, octobre 2015.

54 HAS, La « chambre des erreurs », un outil ludique d’amélioration des pratiques, de la qualité et de la sécurité des soins, 2014.

55 E. ESTIVAL, J.SINOQUET, F. CLUZEL, La chambre des erreurs, un outil d’apprentissage ludique, Soins dossier l’apprentissage par la simulation en santé, Mars 2017, n°817, pp 52-54.

56 HAS, Guide de bonnes pratiques de la simulation en santé, 2012.

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Cette méthode est appliquée au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Nîmes sur la stérilisation des Dispositifs Médicaux (DM) ; au CHU de Clermont-Ferrand57 avec une Zone à Atmosphère Contrôlée (ZAC) des erreurs ; dans les hôpitaux de Saint-Louis et Foch à Paris grâce à un isolateur des erreurs58 afin de former à la préparation d’anticancéreux ; en gestion des risques au CHU de Caen avec une chambre de patient59 pour former au bon usage du médicament, à l’hygiène et à l’identitovigilance ; à Créteil, dans l’hôpital Albert Chenevier via la mise en place d’une armoire à pharmacie des erreurs60 pour former au bon usage des médicaments à domicile. Enfin, l’association pour le digital et l’information en pharmacie61 propose trois formations par la chambre des erreurs sur les dispositifs médicaux, le circuit du médicament et la préparation des anticancéreux. Ces formations présentent une réelle innovation avec l’utilisation de la réalité virtuelle associée à un parcours immersif à 360°.

2. Dans le domaine hospitalier, le centre d’apprentissage par la simulation « Cap’Sim » du Centre Hospitalier (CH) du Mans62 développe entre autre deux formations originales par la simulation qui peuvent être à destination des pharmaciens hospitaliers dans le cadre d’une approche sécuritaire pour tous avec les thèmes suivants : la première sur la communication avec le patient63 et la seconde sur la prise en compte des facteurs humains en travail d’équipe64.

3. Dans le domaine de la pharmacie clinique avec la mise en place d’une formation par jeux de rôle sur des situations comme la conciliation médicamenteuse, l’entretien

57 Site internet du Groupe d'Evaluation et de Recherche sur la Protection en Atmosphère Contrôlée (GERPAC) : https://www.gerpac.eu/la-zone-a-atmosphere-controlee-zac-des-erreurs-apprendre-autrement, consulté le 22 mai 2019.

58 Site internet du GERPAC : https://www.gerpac.eu/isolateur-des-erreurs-un-outil-original-de-formation-continue-des-preparateurs, consulté le 22 mai 2019.

59 V. VILLENEUVE, E. THYARD, S. LEMAIRE, S. BRÉCHET, G. CANCE, M. CAMUS, « Chambre des erreurs : outil de simulation pour améliorer la prise en charge des patients », Le Pharmacien Hospitalier et clinicien, septembre 2015, volume 50(3), pp. 319-320.

60 A. LAINCER, S. LUKAT, M. DALLE-PECAL, C. DIVINÉ, « Éducation pour la santé réalisée à l’hôpital : une simulation d’armoire à pharmacie pour sécuriser l’usage des médicaments au domicile », Le Pharmacien Hospitalier et clinicien, mars 2016, volume 51 (1), pp. 26-32.

61 Site internet de l’association pour le digital et l’information en pharmacie (ADIPH) : https://www.adiph.org/services/simulation-numerique-en-sante/simulations, consulté le 21 juin 2019.

62 Site internet du CH du Mans : https://www.ch-lemans.fr/formations-professionnelles/cap-sim-centre-d-apprentissage-par-la-simulation/ consulté le 2 octobre 2019

63 Site internet du CH du mans :

https://www.ch-lemans.fr/media/05__formation_communication_patient__015262500_1824_06122017.pdf consulté le 2 octobre 2019.

64 Site internet du CH du Mans :

https://www.ch-lemans.fr/media/04__formation_facteurs_humains_travail_en_equipe__017347700_1826_06122017.pdf consulté le 2 octobre 2019.

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pharmaceutique ou le conseil au CHU de Strasbourg65 afin de former les pharmaciens et internes en pharmacie à la communication ou encore l’outil « Kfarma »66 mis en place par l’Association Nationale des Enseignants en Pharmacie Clinique (ANEPC) afin de permettre un enseignement avec la méthode d’apprentissage par résolution de problèmes.

4. Dans le domaine officinal, domaine dans lequel plusieurs universités dont celles de Nantes et Angers ont développé plusieurs projets : l’utilisation d’une pharmacie pédagogique67 dans le cadre de la formation des pharmaciens d’officine avec la réalisation de jeux de rôle68 au comptoir et la formation par la simulation à la vaccination antigrippale6970. Dans ce même domaine le CHU d’Amiens associé à l’Université de Picardie proposent une formation nommée : Urgence vitale en pharmacie71 qui permet une formation des professionnels de l’officine à la prise en charge d’un patient présentant une urgence vitale en attendant les secours spécialisés.

Cette méthode de formation étant en plein essor, on peut s’attendre dans les années à venir à l’augmentation du nombre de formations tant dans le domaine hospitalier (pour les pharmaciens, les internes, les externes ou les préparateurs en pharmacie) que dans le domaine officinal, au moment de la formation initiale ou en formation continue.

65 B. GOURIEUX, Y. NIVOIX, B. MICHEL, T. POTTECHER, A. GAIRARD-DORY, D. LEVEQUE, « La simulation ou l’expérimentation d’un outil pédagogique », Le Pharmacien Hospitalier et clinicien, juin 2014, volume 49 (2), p. 19.

66 M. ROUSTIT, M.-C. WORONOFF-LEMSI, G. AULAGNER, P. BEDOUCH, B. ALLENET, J. CALOP,

« Développement d’un outil interactif pour l’apprentissage par résolution de problèmes en pharmacie », Le Pharmacien Hospitalier et clinicien, juin 2010, volume 45(2), pp. 66-71.

67 Site internet de l’ERSS http://www.simulationpdl.com/wp-content/uploads/2019/03/pharmacie-dofficine-UFR-Pharma.pdf sur le programme de l’Université de Nantes : Développer les compétences relationnelles en pharmacie d’officine : la simulation comme méthode pédagogique pour améliorer la communication avec les patients, leur entourage et les soignants, consulté le 28 octobre 2019.

68 Site internet de l’université de Nantes, Programme Diplôme de Formation Approfondie en Sciences

Pharmaceutiques Semestre 4 officine, UE 1 : Education thérapeutique du patient, dispensation des médicaments,

« Serious game » niveau intermédiaire, https://pharmacie.univ-nantes.fr/diplome-de-formation-approfondie-en-sciences-pharmaceutiques-2015673.kjsp?RH=1331107053961 consulté le 28 octobre 2019.

69 Site internet de l’université de pharmacie de Nantes, Vaccination antigrippale pour les pharmaciens :

https://pharmacie.univ-nantes.fr/les-formations/formation-continue/vaccination-antigrippale-pour-les-pharmaciens-2224627.kjsp, consulté le 21 mai 2019.

70 Site internet de l’université de pharmacie d’Angers, DPC Vaccination antigrippale : http://fcsante.univ-angers.fr/fr/acces-direct/formations/dpc/dpc-vaccination-anti-grippale.html consulté le 2 octobre 2019.

71 Site internet de SimUSanté http://simusante.com/catalog/Catalogue_simusante_2020VD.pdf, consulté le 28 octobre 2019.

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