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CONCLUSION DE LA PREMIERE SECTION DU PREMIER CHAPITRE
1. Perception de l’existant Avis sur le chalet Avis sur le chalet
1.3.3. Réseaux techniques et électricité et électricité
3 : vol de disques paraboliques (18 %)
6 : vol de moutons (9 %) ; 7 : vol de jouets
oirie
66 % des enquêtés sont insatisfaits à cause de la dég
se dégrade après un
Les trottoirs sont non construits ou impraticables. La SONELAZ a effectué des travaux pour amener le gaz de ville et n’a pas réhabilité les passages piétons.
1.3.3. Réseaux techniques et électricité
Les habitants bénéficient de l'électricité, mais les coupures sont répétées et parfois très dérangeantes en hiver. En plus, 80 % des enquêtés dénoncent l
existent mais ne sont pas fonctionnels.
En 1997, la SONELGAZ décide d'amener le gaz naturel à Gammas. Malgré une interdiction formelle au début à cause des risques d'incendie car les chalets de
base de bois. Les habitants de l'ancien Gammas sont restés une vingtaine d'années sans gaz naturel, alors que ceux du nouveau Gammas en sont restés dépourvus plus d'une décennie.
0% 1 2 3 4 5 6 7 objets cibles 5% ta u f s 10% x d e 15% 20% 25% 30% 35% 40% a mille s v o lé e
b. L'eau potable
n période d'été, les besoins en eau augmentent et les quantités diminuent. Jusqu'à un
passé proche, l'eau n'arrive qu'une fois tout les vingt j r
mois dans le nouveau Gammas. Maintenant, la situa s enquêtés reçoivent l'eau trois fois par semaine.
En 2008, des enquêtés, nous ont partagé leur p tre contaminés par la galle. En effet, une dizaine de cas se présente au centre hospitalier de Constantin
répand généralement à cause de la cohabitation et du manque d'eau. c. Le téléphone
Jusqu'en 1998, seules 14 lignes souterraines alimentent l'ancien Gammas. Dix ans après, un projet de 1800 lignes téléphoniques ou 900 pair : président de
l’arrondissement de Gammas). L'enquête révèle que 5 phone en
2008. Nombreux sont ceux qui déclarent avoir formulé des demandes d'installation, mais ils
téléphonique a toujours existé, mais comme la majorité des biens étatiques, il a subi pl
er profit de la vente des câbles en cuivre en marché noir. Selon nos inte
s enquêtés souffrent des problèmes d'assainissement. Le terrain de Lors des grandes pluies, les regards se bouchent par les ordures et la boue. Les habitants proches des regards
ssous des chaabet, payent les conséquences. Le service technique de l'arrondissement est débordé et incapable de résoudre le problème définiti
E
ours dans l'ancien Gammas, et une fois pa tion s'est améliorée, le
eur d’ê
e, ce genre d'épidémie se
es alimente la cité (source 0 % des habitants possède le télé
n’ont reçu aucune réponse. Le réseau
usieurs fois des opérations de destruction ou de vol des câbles téléphoniques. La destruction des cabines de distribution des lignes a un double but : semer la peur et l’insécurité dans la cité et, en même temps, tir
rrogés, le réseau téléphonique était interrompu plus d’une décennie. 1.3.4. Assainissement
Plus de la moitié de Gammas est en pente.
subissent souvent des inondations.
L'eau de pluie, mal recueillie, se déverse dans les chalets de la partie basse. Les habitants dont les chalets, sont localisés à côté ou au de
vement.
Une enquêtée nous raconte un événement connu de toute la cité. Après une forte pluie, un grand courant d’eau emporta un père et sa fille d’environ deux ans. La fille est morte et le père était grièvement blessé. Aujourd’hui, avec la construction des clôtures, les accidents sont rares.
1.3.5. Les luttes urbaines a. Les
sans eau potable. Les manifestants barrent la route qui mène à leur cité pou
ent même à barrer la route qui mène vers la ville d’El Khroub. Les services de sécurité sont venus pour calmer
ent qu’il fait plus froid dans les nouveaux chalets que dans les anciens
000, les comités de quartier, désespérées, publient un article sur la situatio
la production d’eau de Consta
aine. Seulement pour une grande cité comme Gammas, cette tentative reste très insuffis
n en 1988. La voirie est dégradée et l’éclairage public est inexistant. Chaque hiver, et à chaque tombée de pluie, des quantités d’eau se déversent dans les voiries et inondent des ensembles de
contestations
Plus de la moitié des interviewés a participé à des contestations. L'EPECO (entreprise de la production d'eau de Constantine) était la plus ciblée par ces contestations. En 1989, les habitants sont restés 03 mois
r prouver leur mécontentement
Les années 88, 89 et 90 étaient les plus marquées par ces contestations. Juste après l'installation des chalets du nouveau Gammas, les manifestants arriv
nationale(RN3),
la population et dégager la route mais aucune solution efficace n’a été entreprise.
Le deuxième organisme concerné par ces contestations est la société nationale d'électricité et de gaz (SONELGAZ). Avant l'amenée du gaz de ville, Les manifestants ont réclamé le renforcement des points de vente des bouteilles à gaz, précisément en période d'hiver.
Les habitants estim
, car les nouveaux ne contiennent aucune isolation thermique. Dans l’ancien Gammas le problème se pose différemment. « Quant on ferme les fenêtres pour se réchauffer, une odeur insupportable se dégage des murs en bois, et quand on ouvre pour aérer, c’est le froid qui pénètre.» déclare une enquêtée de l’ancien Gammas.
b. Les articles du journal En décembre 2
n dramatique de la cité. L’article apparait sur le Quotidien El KHABAR. Sur la même page du journal, le président de l’arrondissement de Gammas répond par un autre article, montrant du doigt les services incompétents de l’entreprise de
ntine (EPCO).
Le président de l’arrondissement signale que ses services techniques étaient obligés de venir en aide aux habitants et aux écoles par la mise en place de grands réservoirs d’eau potable une fois par sem
ante.
En mai 2005, parait un article qui décrit la situation lamentable des habitants du nouveau Gammas. Pour l’auteur, la cité des 800 logements à Gammas n’a pas changé depuis sa créatio
chalets. Des actes de violence en pleine journée et des opérations de vol la nuit. Le port d’armes tion des drogues et des boissons alcooliques. (Quotidien El KHABAR, du dimanche 29 mai 2005, P.8)
DA et qui sont : l’amélioration de la voirie et de l’éclairage p
catégor
médicales ont montré que « l’Asbestose » attaquant les poumons en particulier, et causé par l’exposition à l’amiante ciment, n’a jamais été mentionnée au niveau de la cité.
d. Les
a délégation conclut qu’il faut prendre en charge toute la population de l’ancien Gamma
blanches et la propaga
L’auteur de l’article poursuit pour dire que, la population attend la réalisation des promesses émises lors de la réunion tenue en décembre 2003, qui a regroupé les représentants des comités de quartiers avec les responsables des différents services. Huit projets sont ainsi retenus avec un budget de 64 000 000
ublic, la réalisation d’une station de train et la revalorisation de l’accès de la cité. En 2009, aucun des projets n’a été réalisé.
c. Mouvement associatif
L’association Chahid Larbi Ben Mhidi établit un rapport concernant la situation des habitants de la cité des 500 logements (1ere tranche), sise à El Gammas, souffrant pour plusieurs cas de maladies chroniques à cause de l’amiante ciment. La commission de wilaya a rejeté
iquement cette hypothèse mentionnant que « les 61 cas signalés par l’association représentent des malades atteints de maladies chroniques qui n’ont aucun lien avec la matière de construction des chalets ». (El ACIL, vendredi 9 – samedi 10 juillet 2004)
D’après le journal, la commission explique que cette situation est due à la dégradation des conditions de vie au sein de la cité. Les données
qui est un type de cancer
De nos jours, les autorités jugent les chalets d'un bon œil, et demandent aux nouveaux acheteurs de verser la somme de 100.000.000 centimes pour l’octroi définitif des chalets. D’après nos enquêtés, les associations de quartier ont pu diminuer la somme à 80.000.000 centimes.
tentatives du médecin Zouad
Le médecin Zouad a essayé de prendre la défense des habitants. Hélas, l’enjeu est énorme. Selon le médecin, une délégation de Grenoble, est venue pour diagnostiquer et émettre un rapport. L
s, pour des éventuelles surveillances.
Le médecin suggère l’éradication total du produit source de maladies diverses. Seulement, les autorités locales, fournissent des cartes de soin gratuit pour les plus touchés et nient tout rapport entre les maladies de la population et l’amiante ciment.