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Code postal déclaré :39570- Déposée le : 2019-02-04 - N1-41690 (lecture : 4 min.)

En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les élus, c’est le fondement de la démocratie, mais il faut sortir de la monarchie constitutionnelle.

En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?Oui

Si oui, à quel type d’associations ou d’organisations ? Et avec quel rôle ?

Des associations représentatives des citoyens avec tirage au sort dans leur composition.

Des syndicats avec un rôle accru, mais avec un vrai dialogue paritaire.

Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? C’est à la fois une question d’éducation et de confiance.

Mais il faut cesser de faire des promesses quand on est candidat en campagne et faire autre chose quand on est élu.

Peut-être faut-il des engagements écrits, qui auront été préalablement échangé dans des réunions publiques.

Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est : Une bonne chose

Les parlementaires doivent pouvoir se consacrer entièrement à cette fonction, il convient également de limiter le nombre de renouvellement, pour moi, un seul renouvellement par fonction élective.

Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ? Une part de proportionnelle dans chaque élection de l’ordre de 20%

Pensez-vous qu’il serait souhaitable de réduire le nombre d’élus (hors députés et sénateurs) ?Oui

Je suis pour la réduction du nombre de députés et la suppression du sénat, que votre question exclue à priori, mais aussi soit supprimer les départements ou revenir à un élu par canton (ce scrutin par couple est sans valeur ajoutée pour les territoires).

Il faut trouver une taille de commune qui permettent de maintenir des services publics de proximité, pour moi en zone très rurale, c’est de l’ordre du millier d’habitants.

Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Voter reste un devoir, pour moi cette question ne se pose pas, si les citoyens sont suffisamment informés sur leurs droits et leurs devoirs.

Faut-il prendre en compte le vote blanc ?Oui

En tenir compte dans les suffrages exprimés et ne pas déclarer élu un candidat qui n’est pas majoritaire.

Ensuite si nécessaire faire un troisième tour pour une désignation avec une majorité relative, en changeant les représentants des premiers tours.

Que faudrait-il faire aujourd’hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Organiser des rencontres des échanges des débats, avec des communications par différents canaux.

Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d’initiative partagée (le RIP est organisé à l’initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?Non

Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l’utilisation de l’argent public, par l’Etat et les collectivités ?

Dès lors que des représentants ont été élus, faut-il permettre de remettre en cause les orientations à chaque budget ? Je ne crois pas que ce soit une demande citoyenne.

Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Pour moi c’est la suppression de ces institutions.

S’il faut remplacer le conseil économique social et environnemental, alors il serait opportun de la composer avec des citoyens tirés au sort, plutôt que de recycler d’anciens hommes politique.

Faut-il les transformer ?Oui Voir ma réponse précédente

Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ? Par de l’éducation et de l’information.

Quels sont les comportements civiques qu’il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ? Le respect de notre environnement, les écogestes.

Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ? Éducation, mais aussi exigence de réparation de participation.

Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Contraindre et faire payer, y compris par prélèvement sur les allocations Pensez-vous qu’il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?Oui Travail d’intérêts général, recherche active d’emploi.

Transition écologique

2.1 Biodiversité

Code postal déclaré :39570- Déposée le : 2019-03-11 - N2-134052 (lecture : 7 min.)

Quel est aujourd’hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l’environnement ? La biodiversité et la disparition de certaines espèces

Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Revoir profondément l’occupation, l’utilisation de territoire Français

Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd’hui touchée par le changement climatique ?Oui Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Plus grande hétérogénéité du climat plus chaud, périodes de pluies et de sécheresses plus intenses.

Moins d’insectes, d’oiseaux

À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l’environnement ?Oui

Si oui, que faites-vous aujourd’hui pour protéger l’environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Abandon des produits chimiques et pesticides dans le jardin, Maintien des buissons, plantation d’arbres Achats Français, circuit court si possible

Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu’il existe des solutions alternatives plus écologiques ?Oui Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Temps de retour acceptable

Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l’auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?Non Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

La disponibilité des moyens alternatifs et développement des infrastructures pour les pistes cy-clables développer de petits systèmes de transport autonomes et électriques facilement accessibles.

Des parkings suffisants et gratuits aux entrées des villes aux départs de bus et de gares Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun, Le transport à la demande, Le vélo, véhicules autonomes en circuit vers les gares les réseaux de bus

Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ? Région

Y a-t-il d’autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ? La biodiversité et surtout impactée par l’agriculture en France.

Elle est une source importante des rejets de CO2 (transports) de la pollution des sols par l’emploi massif d’engrais chimiques et les phytosanitaires, la pollution des nappes phréatiques, la mortalité des espèces par les pesticides en emploi abusif et l’atteinte à la santé par les résidus dans les ali-ments.

Il faut revoir les objectifs de l’agriculture.

A la sortie de la guerre, l’agriculture s’est fixé comme objectif de nourrir la France.

Ce qui a été fait mais il ne faudrait pas que l’objectif devienne pour l’agriculture de nourrir la planète, objectif que c’est fixé l’INRA.

Objectif intéressant mais qui doit être mis en oeuvre localement dans chaque pays ou région du monde.

Aujourd’hui, les pays d’Europe de l’Est ont retrouvé leur rôle de grenier de l’Europe, ils produisent des céréales à des prix très bas qui pour les concurrencer nous oblige à ventre en dessous des coûts de production obsorbant la majorité des aides de la PAC ! ll faut modifier profondément les services agricoles pour développer une agriculture respectant l’environnement et répondant aux attentes des consommateurs.

Actuellement diminution des surface agricoles par l’extension des zones habitables, commerciales, artisanales, industrielles, les infrastructures et également reforestation.

Il y a également une diminution importante de l’emploi en agriculture, diminution des exploitation et une forte augmentation des surfaces des grandes exploitation au détriment des petites et de la possibilité de nouvelles installations.

Cette spoliation des terres par les grandes exploitation est la conséquence de la PAC qui est une aide à l’ha et pas une aide à l’emploi.

20% des exploitation se partagent 80% de l’aide ! Ces grandes structures recherche toujours une augmentation des rendements par des techniques polluantes, forte utilisation des engrais, des pes-ticides, une importante mécanisation et une pollution non assumée au détriment de techniques plus respectueuses des hommes et de la nature.

Cette PAC accordée majoritairement à une part infime des agriculteurs, permet des productions commercialisées et exportées à prix cassés ne profitants pas aux consommateurs locaux.

Il faudrait que la PAC soit redistribuée majoritairement au personnel travaillant dans l’agricul-ture, faciliter l’installation sur des petites strucl’agricul-ture, pour des productions locales et diversifiées et limiter les échanges et importation source d’une consommation d’énergie primaire et d’une part importante de la pollution agricole.

Il faudrait obliger la vente ou la location des terres en cas d’arrêt d’activité et facilité la reprise par des petits exploitants ou de nouveaux entrants.

Il faut être plus exigeant pour interdire les intrants et les pesticides à très court terme ayant une suspicion de risque sur la santé et l’environnement et mettre des sanctions dissuasives.

Il ne faut pas penser que les très gros exploitants qui ont la main mise sur les instances agricoles voudront changer ces pratiques qui leurs sont très profitables et les échéances seront régulièrement repoussées.

Il faudrait réorienter les productions vers les produits qui sont importés puisque plus de 80% des fruits et légumes proviennent de l’importation alors que la France dispose d’une diversité clima-tique permettant une diversité de production bio ou écoresponsable.

Pour la qualité de l’alimentation, il faudrait une meilleure information des consommateurs.

Créer comme le nutriscore, un indicateur ”nutriculture” des conditions de culture des fruits et légumes tenant compte des techniques culturales, des intrants chimiques ou naturels et des phytos utilisés ainsi que des gaz à effet de serre rejetés transports compris.

A compléter par un ”nutrirésidus” traçant les différentes molécules utilisées et susceptibles de se trouver dans le produit.

Ces information seraient disponibles pour l’ensemble des produits cultivés localement ou importés.

Des compléments d’informations sont également à prévoir pour les viandes et en particulier les im-portations avec les nourritures OGM, les hormones, les antibiotiques et les traitements appliqués en particulier sur les produits pré-transformés ou les informations incomplètes.

Certains agriculteurs comme dans les fruitières à comté envisagent de limiter le nombre d’animaux sur les fermes pour être autonomes en nourriture du bétail et ne plus avoir recours aux aliments complémentaires importés d’autres régions ou d’autres pays et s’affranchir des risques OGM et molécules non autorisées en France.

Cette réflexion est importante et en l’appliquant pour les diverses production, il y aurait une baisse spectaculaire des rejets CO2 des transports agricoles.