• Aucun résultat trouvé

Les étudiants de M1 et M2 sont déjà invités à partir en stage de 4 mois à l’étranger. Nous allons maintenir cette proposition.

Les langues secondes seront aussi encouragées, sous la forme d’options supplémentaires. Nous bénéficierons alors des cours offerts par le service commun des langues.

Nous travaillons déjà avec les différentes institutions culturelles du département et de la région : INA, ENS Louis-Lumière, Scène Nationale La ferme du Buisson, Cinéma Le Bijou, Noisy-le-Grand, Ecole de Musique du Val-Maubuée, San du Val d’Europe, Eurodisney et diverses sociétés de post-production ou de jeu vidéo. Ces liens effectifs sont en train de se formaliser sous la forme de conventions pédagogiques et/ou de recherches.

Les étudiants ont déjà mis sur pied une association (L’Accrossession) avec laquelle nous travaillons depuis plusieurs années, notamment autour du Festival Annuel Crostival, des

« bœufs » périodiques dans nos locaux et des projections de films à l’université et divers cinémas. La prochaine étape est effectivement la formalisation d’une association des anciens diplômés, comme nous le faisons déjà pour l’IMAC, les premiers pas de celles-ci sont déjà en cours depuis une année.

Spécialité : Lettres modernes Note de l’AERES : A

Réponse aux points faibles

Le nombre d’inscrits en M2 est variable selon les années, en fonction des effectifs initiaux mais aussi en fonction du niveau des étudiants. Ce nombre était faible en 2007- 2008 mais plus important en 2006- 2007 (13) ainsi qu’en 2008- 2009 (11). Les étudiants étrangers accueillis dans le cadre d’échanges internationaux viennent s’ajouter aux effectifs indiqués.

8/103

Des enseignements en langue vivante sont prévus dans la maquette au S2 (M1) et S4 (M2).

L’ouverture à l’international est assurée dans le cadre des échanges Erasmus ainsi que dans le cadre de conventions signées avec des universités étrangères (conventions avec le CREPUQ, échanges Erasmus avec l’Allemagne, la Pologne, la Roumanie, l’Espagne).

Les étudiants sont incités aux échanges internationaux dans le cadre de la formation.

Spécialité : Cinéma et audiovisuel Note de l’AERES : A

Réponse à l’appréciation générale

L’AERES souligne la cohérence d’une formation qui combine savoirs théoriques, esthétiques, historiques et techniques, ce dont nous nous félicitons. En effet notre ambition est de former des chercheurs et des professionnels capables de réfléchir à un champ en constante mutation, d’y formuler des propositions originales et de s’ouvrir sur le long terme aux changements technologiques inévitables.

Réponse aux points faibles

L’anglais demeure une langue indispensable dans ce domaine ; la mise en place de son enseignement aux étudiant de master a été prioritaire. Une ouverture de la formation à plusieurs langues étrangères est en effet souhaitable : espagnol (des collaborations en Master 2 avec le département d’espagnol), portugais (plusieurs bourses Alban avec le Brésil) voire chinois (plusieurs étudiants effectuent des stages en Chine ou des recherches sur les cinémas ou les télévisions chinoises). Nous espérons le proposer dès l’année prochaine en options, en collaboration avec le service commun des langues de l'université.

Le suivi des mémoires étudiants en M1 et M2 recherche nous semble solidement assuré par les enseignants titulaires et les cours de méthodologie. Le suivi de stages en des entreprises aussi diverses que, par exemple cette année, — Publicis Consultant, Eurowide Film Productions, Conseil Général de Seine et Marne, MTV Networks, CNRS Images, France Televisions, Fun TV, …— pourrait être renforcé, notamment par la participation des enseignants en réalisation ou production.

Réponse aux recommandations

Des échanges ont lieu avec l’université de Montreal, Brooklyn College aux Etats Unis, plusieurs universités chinoises et en Europe, via le programme Erasmus. Un partenariat se développe avec l’université Nationale de Chon Buk en Corée du Sud : des échanges d’étudiants et d’enseignants sont prévus l’automne prochain ainsi que des conférences et programmations sur le cinéma coréen en novembre 2009, à l’Université Paris-Est et au cinéma Le Bijou de Noisy-le-Grand. En outre une professeure de l’Université California Santa Cruz est invitée au printemps 2010. Ceci, ainsi que nos échanges au sein du LISAA EA 4120 avec les professeurs invités par les équipes FTD et EHMIS, devrait en effet déboucher sur la mise en place de doubles diplômes.

Spécialité : Musique Note de l’AERES : A

Réponse à l’appréciation générale

L’AERES approuve les choix et la philosophie générale de cette spécialité, ce dont nous nous réjouissons. Celle-ci est en parfaite cohérence avec le projet commun de de la mention.

Réponse aux points faibles

Notre département de musique est né il y a relativement peu de temps et a connu plusieurs réorganisations majeures depuis 2006. Dans ce contexte, il y a eu une forte évolution des attentes et exigences pédagogiques qui ont surpris plus d’un licencié : les résultats en question en sont la trace. Globalement, cette hausse de niveau est désormais stabilisée et les résultats en master devraient donc suivre de façon entièrement satisfaisante.

Les étudiants sont à notre avis déjà bien encadrés : nombreux séminaires de méthodologie, rendez-vous individuels réguliers avec les directeurs de recherches, animation de projets communs, etc. Nous devons réfléchir plus longuement à ce commentaire de l’AERES pour développer mieux encore le suivi des stages professionnels.

Les étudiants qui choisissent cette spécialité viennent en majorité de la spécialité de licence « musique et métiers du son ». Un certain pourcentage vient aussi des universités parisiennes (Paris-8, Paris-4, Evry) ou des conservatoires de Musiques diplômant à Bac +3. Sauf une ou deux exceptions, ils sont tous en formation initiale. En effet, nous devons encore développer notre offre au niveau de la formation continue car celle-ci n’est pas encore passée dans les mœurs du milieu musical où règne encore beaucoup la formation

« sur le tas ».

Réponse aux recommandations

La pratique musicale a autant sa place en M1 qu’en M2 : nombreux projets de réalisations musicales et travaux de recherche appliquée. Les étudiants sont aussi invités à participer à la chorale du département et ne se font pas prier pour jouer lors des concerts collectifs et festivals. Nous rendrons l’affichage de cela plus clair.

Comme indiqué ci-dessus, nous avons déjà des partenariats avec le Conservatoire du Val-Maubuée, le Conservatoire de Sarcelles, l’Institut Supérieur de Musique de Sousse, L’Université de Montréal, l’UQUAM, l’Université Laval, l’Université de Scheffield, le ZKM à Karlsruhe, l’Université de Paris-8, le CDMC, et la MSH Paris-Nord. D’autres sont en préparation avec l’Ircam et l’INA-GRM et le CNSMP. Les premiers pas ont aussi été franchis avec le Labri de Bordeaux, USC à Los Angeles, le CNMAT à Berkeley, le Musée des instruments de musique de Poznan (Pologne), la Cité de la Musique, l’Université de Nice-Sophia-Antipolis et l’Université McGill à Montréal.

10/103

Spécialité : Edition, livre et multimédia Note de l’AERES : A

Réponse à l’appréciation générale

Cette réponse est intégrée dans les commentaires généraux des premières pages.

Réponse aux points faibles

Le taux d’abandon apparent est à relativiser. La formation a été habilitée par le Ministère pour la première fois à une date tardive : juillet 2007, ce qui explique le recrutement d’une petite promotion : 11 étudiants. Une étudiante mexicaine a dû rentrer dans son pays pour des raisons personnelles. Il n’y a eu qu’un seul abandon réel (une étudiante peu assidue pendant l’année).

Il est à remarquer que depuis, les effectifs ont rejoint les normes universitaires usuelles.

Les étudiants de cette spécialité sont fortement encouragés à prendre des cours au service commun des langues, comme les autres étudiants de la mention.

N°demande : S3100018599 Domaine : Arts, lettre, langues

Mention : Langues et cultures étrangères Note de l’AERES : B

Réponse à l’appréciation générale

L’architecture commune de certains enseignements, si elle n’a pas été perçue clairement, est néanmoins une réalité pédagogique ( enseignements communs de civilisation et de pratiques de la langue) qui a des effets sensibles sur la fluidité de l’orientation des étudiants linguistes licenciés issus des trois formations. La politique de cohabilitation dans le cadre du PRES « Université Paris-Est » sera développée pour assurer un maillage plus dense et plus riche des offres de séminaires et de parcours.

Réponse aux points faibles

Des efforts seront fournis pour renforcer le « tronc commun » en particulier dans les techniques de traduction (spécialisation de certains enseignants-chercheurs en traduction). La spécialité traduction spécialisée est candidate au « Label European Master in Translation » de la Direction Générale de la Traduction de la Commission Européenne qui lui permettra d'intégrer le réseau de master de traduction du même nom (EMT).

Des demandes de PAST en économie, gestion, droit et TICE devraient, si elles sont honorées , renforcer la part des professionnels.

Concernant le tronc commun, toutes les spécialités comportent des enseignements mutualisés de traduction (traduction littéraire mutualisée entre les spécialités recherche et la spécialité « traduction spécialisée », traduction économique financière commune aux deux spécialités professionnelles). Les spécialités professionnelles mutualisent en outre les enseignements juridiques, la communication professionnelle, l'UE « cultures et sociétés ». Chaque année des étudiants choisissent de se réorienter ou de compléter leur formation dans une autre spécialité. Ils peuvent accéder directement au M2 de l'autre spécialité professionnelle, après le M1 ou effectuer les deux M2 professionnels. La forte part de tronc commun leur permet de ne pas perdre une année et de ne « rattraper » que les enseignements du « cœur de métier », parallèlement à la poursuite en M2.

Réponse aux recommandations

 Des demandes de postes de PAST et de Professeurs sont faites régulièrement chaque année et nous espérons qu’elles seront intégrées de façon prioritaire dans la politique de formation de notre université, mais il faut rappeler le sous-encadrement global de l'établissement

 Des parcours permettant d’ouvrir à d’autres débouchés que l’enseignement sont à l’étude comme cela a été signalé dans les maquettes : lien avec les métiers du tourisme, avec le diplôme de guide national interprète. D’autres débouchés sont évidemment possibles mais ils ne s'appuient pas sur des formations de notre université, ils n’ont donc pas été signalés. Nous allons nous attacher à faire une présentation plus analytique des débouchés qu’offre un master recherche en langue.

12/103

Spécialité : Aires anglophones Note de l’AERES : B