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CHAPITRE IV Contexte historique et situation actuelle de l’enseignement du FLE et de la littérature française en Chine

2. Récurrence de l’enseignement de la littérature française en Chine : quels enjeux?

2.1 De l’enseignement AVEC la littérature à l’enseignement DE la littérature

Le programme national a indiqué dans les connaissances linguistiques et les connaissances sociolinguistiques l’importance d’acquérir des connaissances sur la littérature française. Le placement de la « littérature française » en tête de liste reflète probablement sa place non négligeable dans la didactique du FLE en milieu universitaire chinois d’aujourd’hui.

Si l’apprentissage de la littérature française est inclus actuellement dans le programme national pour les étudiants spécialisés en langue française, il n’était pourtant pas une discipline obligatoire aux prémices de l’enseignement du français en Chine. Nous nous permettrons de dire que les objectifs n’étaient sans doute alors pas les mêmes que dans l’enseignement DE la littérature en FLE d’aujourd’hui.

2.1.1 Présence et absence des textes littéraires en classe de FLE

Les premières études du texte littéraire chez les étudiants universitaires chinois en langue française peuvent remonter aux années 30 en Chine. La naissance du manuel

Œuvres choisies de la littérature française contemporaine65

destiné aux étudiants

chinois mais rédigé par professeur français J. Reclus de l’Université Nationale de Pékin illustre le premier enseignement et apprentissage du Français Langue Étrangère avec les textes littéraires. Si nous avons choisi l’emploi des termes « enseignement du Français Langue Étrangère avec les textes littéraires » au lieu de « didactique de la littérature » ou « enseignement de la littérature française en cours de Français Langue Étrangère », c’est parce que d’un côté les établissements d’alors ne créaient pas, en général, de

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RECLUS, Jacques, Œuvres choisies de la littérature française contemporaine, Shanghai, Presse commerciale, 1937.

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séminaire de littérature française et parce que cette méthode employée comme « manuel de français » était le support pédagogique du cours de « Français avancé ». De l’autre côté la composition du manuel se divise en deux parties :

- extraits des œuvres littéraires ;

- notes du texte (dont les explications grammaticales occupent une place primordiale).

Nous n’y trouvons pas d’activités ou de questions à répondre suivies d’un texte. La méthodologie de l’enseignement concernait alors seulement la traduction des textes littéraires et l’apprentissage de la grammaire. Il faut aussi noter que ce « premier manuel de niveau avancé rédigé en Chine » (Pu, 2005 : 74) avait pour objectif de permettre d’acquérir les compétences linguistiques, surtout la compétence grammaticale et celle de la traduction. Néanmoins, les compétences littéraire et socioculturelle n’étaient pas prises en compte. Malgré l’omniprésence de la méthode de traduction dans « l’enseignement littéraire » au début du développement de l’enseignement du FLE en Chine, l’introduction des textes littéraires a effectivement enrichi les supports pédagogiques encore stériles de l’époque. Elle marque aussi une étape « précoce » mais non négligeable pour l’évolution de la didactique de la littérature en cours de FLE en Chine, bien que nous ayons une préférence de la nommer tout de même comme le « premier enseignement du français langue étrangère AVEC les textes littéraires » !

La méthode de Reclus a créé une grande influence durant quasiment vingt ans et a été « largement utilisé[e] dans les universités chinoises avant la fondation de la République populaire de Chine en 1949 » (Pu, 2005 : 74). Cette méthode rééditée même encore après la fondation de la République ouvre une piste pour les études du texte littéraire et construit un modèle pour l’enseignement de la langue française avec le support littéraire. L’augmentation des établissements offrant une spécialité de français après la fondation de la République n’a pourtant pas créé d’impacts significatifs sur la méthodologie de l’enseignement de la littérature française en milieu universitaire chinois. Nous remarquons que la littérature française, jusqu’à la seconde moitié du XXe siècle, continue de servir en tant que simple support pédagogique permettant d’acquérir la compétence grammaticale parce qu’elle est classique et fait autorité. Il faut se

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rappeler que c’était les compétences primordiales dans l’enseignement de la langue française en Chine. C’était donc un moyen de construire un support linguistique ayant la même fonction que le support dialogique non authentique. Un bon exemple peut revenir à la rédaction du manuel Le français fondamental dans les années 60. Les enseignants de l’Institut des Langues Étrangères de Pékin (actuellement l’Université des Langues Étrangères de Pékin) a construit, à la demande du Ministère de l’Éducation chinois, une méthode plus moderne à usage des cours de français en milieu universitaire chinois. Le travail final des chercheurs du moment illustre définitivement le rôle de la littérature dans l’enseignement du français, par le fait de l’utilisation quasiment entière de textes littéraires comme support principal. Ce manuel se différencie des anciennes méthodes par ses activités suivant la lecture du texte et par sa division en quatre volumes en fonction du niveau. Les textes littéraires ne sont plus un support unitaire pour le niveau avancé comme la méthode de Reclus mais s’étendent à tous les niveaux, du « fondamental » au « avancé ».

Les activités supplémentaires par rapport à la méthode de Reclus consistent en :

- exercices grammaticaux ; - traduction (thème) ; - traduction (version).

La structure du manuel nous permet de percevoir rapidement la continuité de la méthode traditionnelle - la traduction avec les textes littéraires - . L’ajout des activités renforce l’intention d’acquérir, durant l’apprentissage du français, les compétences linguistiques chez les étudiants chinois, surtout la compétence grammaticale à travers des textes littéraires.

Surpris par l’absence de l’enseignement de la littérature en cours de FLE strictement dit dans les établissements chinois, nous essayons d’explorer les différentes raisons pour ce phénomène : tout d’abord, la discipline de la langue française n’a été introduite officiellement dans deux établissements supérieurs chinois qu’à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Malgré une augmentation légère du nombre d’universités offrant une spécialité de français après la fondation de la République, la

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quantité d’établissements et des enseignants-chercheurs traitant le français restent très limitée. Sans parler de l’enseignement de la littérature française en classe de FLE, cette période est donc encore une étape « précoce » pour l’enseignement de la langue française. À cette raison s’ajoute le manque d’un programme national pour la discipline de la langue française. Cela forme donc une reconnaissance limitée par rapport à l’enseignement et l’apprentissage d’une langue étrangère. La méthodologie de l’enseignement de la littérature est donc consacrée à l’apprentissage linguistique et la grammaire ainsi que la traduction, comme la méthode traditionnelle pendant trois siècles avec la traduction littéraire comme outil pour l’apprentissage du grec et du latin en Occident. La grammaire et la traduction se positionnent donc au centre de l’apprentissage avec textes littéraires.

La seconde raison est liée à la situation sociale et historique dans la seconde moitié du XXe siècle. Après la fondation de la République et surtout pendant la Révolution culturelle dans les années 60 et 70, les critiques sur la littérature occidentale étant « subjectives, unilatérales et extrémistes » (He, 1986 : 103) proviennent du gouvernement « extrême gauche » mais ont vite envahi l’intégralité de la société. Ainsi la littérature occidentale est-elle complètement exclue des classes de langue, voire de toute la société chinoise, parce qu’aucune littérature occidentale ne parvient à la fois à s’échapper du « féodalisme », du « capitalisme » et du « révisionnisme » (Lin, 1989 : 53). L’ancien Premier ministre Zhou Enlai a proposé au début des années 70 les trois compétences nécessaires pour les étudiants en langue étrangère - « politique, linguistique et culturelle » - dont la troisième comprend les connaissances littéraires. Mais l’impact de l’esprit « gauche » qui condamne la littérature occidentale créait toujours une contrainte sur le développement de l’enseignement de la littérature française en Chine.

2.1.2 Récurrence de la littérature française

La littérature a connue une place « extrêmement dangereuse » dans l’enseignement des langues étrangères à la fin des années 70 (Wang, 1992 : 20). La pénurie de l’apprentissage de la littérature occidentale pendant une longue période en

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Chine a suscité des réflexions et des échanges vifs chez d’abondants chercheurs en langue étrangère après la Révolution culturelle en 1976. Quelles sont les nécessités d’aborder la littérature étrangère en classe de langue étrangère? Comment enseigner la littérature étrangère? Comment ne pas tomber dans l’esprit « gauche » pour analyser et commenter « objectivement » un texte littéraire étranger et quelle attitude devons-nous tenir dans l’enseignement? Ce sont des questions principales posées à ce moment dans leurs articles publiés (soit dans un périodique soit dans le journal de l’université où ils travaillent) par les chercheurs chinois de différents établissements. Contrairement à la pénurie des ressources pendant la première moitié du XXe siècle et la période de la Révolution culturelle, nous pouvons trouver de nombreux articles publiés à la fin des années 70 et pendant les années 80, tels que celui de Wu Qianzhi concernant Cours de

littérature pour les spécialités de langue étrangère (1980), celui de Lin Yaguang sur Construction et enseignement des séminaires de littérature étrangère dans les instituts des langues étrangères (1989). Ces articles problématisent non seulement le besoin et la

méthodologie de l’enseignement de la littérature étrangère en classe de langue, mais aussi la relation langue/littérature, sachant que précédemment les textes littéraires français n’étaient utilisés que comme support linguistique pour acquérir la compétence de grammaire et de traduction!

L’enseignement de la littérature française dans les départements de français est donc généralement divisé en deux parties durant cette période :

- cours de langue française : enseignement de la langue française à travers des textes littéraires français dans le but d’acquérir la compétence linguistique ;

- cours de littérature française : enseignement de la littérature française avec des textes littéraires français dans le but d’apprendre à analyser et apprécier la littérature, ainsi que d’acquérir la compétence littéraire.

C’est donc un tournant radical dans l’enseignement de français en Chine car il s’agit du premier enseignement de la littérature française en classe de FLE proprement dit au lieu

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de, comme présenté précédemment, l’enseignement du français à travers les textes littéraires en classe de FLE !

2.1.3 Évolution de la méthode de langue : dilemme pour l’enseignement de la littérature

D’ici se poursuit l’évolution de l’enseignement de la littérature française en classe de FLE dans les établissements supérieurs chinois. Nous avons parlé dans le premier point de l’apparition abondante des manuels de français à partir des années 80 et 90. En effet, la méthode de français évolue pendant cette période avec les dialogues et les textes narratifs dont le sujet se rapproche davantage de la vie courante des apprenants. Malgré la trame évidente de la méthode traditionnelle et la méthode de traduction dans le manuel, les exercices structuraux nous permettent de découvrir l’« éclosion » de l’approche communicative.

Le fait que la littérature s’emploie à la fois en cours de français et en cours de littérature française, ainsi que la méthode évolue dans l’enseignement de la langue française en Chine, amène de nouveau les enseignants et les chercheurs chinois à une réflexion sur le dilemme de la littérature en classe de FLE. Ces chercheurs en langue étrangère ont essayé de sauver la littérature en danger. Cela prouve le rôle non négligeable de la littérature en classe de FLE. Mais est-il toujours nécessaire de se servir seulement de la littérature comme support linguistique pour acquérir la compétence linguistique? Les questions similaires ont été posées chez les chercheurs chinois, parmi eux les écrits de Shu Jingzhe - enseignant de français et auteur du Manuel de français - expliquent davantage la place embarrassante de la littérature dans l’enseignement de la langue française dans les années 90 :

Depuis la promotion de la politique de Réforme et d’Ouverture, l’enseignement des langues étrangères a pris la tendance multidisciplinaire. Les manuels classiques avec seulement des textes littéraires ne correspondent évidemment plus au besoin de cette tendance. Jusqu’à aujourd’hui, le manuel employé pour les étudiants en troisième année de l’Institut des Langues Étrangères de Shanghai ne comprennent quasiment que des œuvres littéraires du XIXe

et XXe siècle. Les étudiants diplômés font des remarques sur la langue démodée et sur le programme du manuel classique éloigné de la société réelle. Cela leur a apporté de grands obstacles

118 une fois entrés dans le monde du travail. La raison en est alors le

bouleversement radical depuis la Seconde Guerre Mondiale dans les domaines de la politique, l’économie et la culture du monde. Les nouvelles expressions et grammaires émergent du jour au lendemain66.

Cette réflexion sur la relation littérature/langue détermine la composition du nouveau Manuel de français pour les étudiants chinois :

[...] les textes sélectionnés sortent du cadre purement littéraire avec une diversité du thème et du genre. Le contenu est plus pragmatique et la langue utilisée est plus plus proche au langage commun. Nous faites aussi attention à l’utilisation du français moderne.

À part de très peu de textes littéraires de la seconde moitié du XIXe siècle, la grande majorité provient des auteurs français contemporains. Les textes sont pragmatiques avec une langue à la fois moderne et à la norme. Les sujets de textes concernent donc la politique, l’économie et la culture de la société contemporaine [...]67.

Nous avons donc bien remarqué l’impact que l’évolution de la méthode de langue française joue sur le statut de la littérature française en cours de FLE. Si nous pouvons dire que la méthode de langue de l’époque se positionne entre la méthode SGAV avec la proportion importante des activités audio-visuelles et la méthode communicative avec l’intention de pratiquer des textes à la fois conversationnels et pragmatiques, la méthode traditionnelle concernant la traduction avec des textes littéraires a tendance à être rejetée ! Cela crée donc un nouveau module : l’enseignement de la langue avec la littérature et l’enseignement de la littérature en FLE ne sont plus mélangés comme avant pendant des dizaines d’années. Dans les manuels de langue, on ne retrouve que quelques voire « très peu » de textes littéraires, comme par exemple nous trouvons zéro texte littéraire dans les deux premiers volumes de la méthode de Ma Xiaohong et seulement 17 sur 62 dans les deux derniers volumes !

En ce qui concerne l’enseignement de la littérature française en classe de FLE, les établissements gardent toujours ce séminaire pour les étudiants en général en troisième ou quatrième année. Les enseignants poursuivent la méthode et les objectifs datant du « moment de la récurrence » depuis fin des années 70, c’est-à-dire dans le but d’acquérir la compétence linguistique, littéraire et culturelle à travers la présentation de

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Jingzhe Shu, Manuel de français, Shanghaï, 上海外语教育出版社 Shanghai waiyu jiaoyu chubanshe, 1991, avant- propos, cité partiellement par Q. Li et traduit par nous avec soins.

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l’auteur, l’étude du contexte historique et l’analyse du texte. Nous avons bien remarqué que le fonction de la littérature sur l’apprentissage de langue n’est pas exclue du cours de littérature, mais au contraire est toujours classée en première position selon les recherches publiées par des enseignants de langue étrangère des années 9068. L’enseignement de la littérature en classe de FLE en Chine a donc retrouvé sa place avec une fonction bien plus distinctive de l’utilisation du texte littéraire en cours de langue française.

Une fois entrée dans le programme national dans les années 90, la littérature française, qui n’est plus un cours optionnel, renforce son statut dans de nombreux établissements comme séminaire obligatoire. Intitulé souvent « Lecture choisie de la littérature française » ou « Histoire de la littérature française » (Cao, 2011 : 89), le cours de littérature française d’aujourd’hui concerne une lecture chronologique des textes littéraires, en général du Moyen Âge au XXe siècle, selon le choix de l’enseignant.

D’après Rapport sur le développement de l’enseignement supérieur spécialisé

du français en Chine (2011) de Cao Deming, ainsi que nos recherches plus récentes en

2014 et 2015 sur le terrain dans les établissements offrant une spécialité de français dans la région de Pékin, le cours de littérature en classe de FLE dans les universités chinoises ne s’est vu accordé, malgré sa place retrouvée, qu’en moyenne 1h30 par semaine!

Ce n’est donc pas énorme, ou même très peu par rapport à la proportion importante consacrée à la grammaire et à l’audiovisuel (20h en moyenne par semaine). Si l’enseignement de la littérature se limite à un « pauvre » cours par semaine, c’est l’idée de « pragmatisme » qui y joue : la société chinoise du XXIe siècle se transforme avec une vitesse surprenante en environnement plus économique. L’idée de « néant d’utilité » dans la société par rapport à la littérature poussent l’enseignement de la littérature vers l’image d’une discipline « démodée » (Xu, 2006 : avant-propos).

Le rôle de la littérature dans l’enseignement du français a été travaillé dans le premier chapitre de la partie I. Nous avons constaté que la littérature est un « réservoir des possibles de la langue, un espace où la langue est travaillée et se travaille » (Cuq,

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Nous avons fait des recherches sur les articles des enseignants de langue étrangère dans les années 90, comme par exemple Discussion sur le changement de la didactique traditionnelle de la littérature de Hong Wang, Enseignement de la littérature étrangère et enseignement de la langue étrangère de Shouyi Wang, etc.

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2003 : 159). Les activités du texte littéraire en classe de FLE servent à « y mettre en évidence le travail sur la langue » (Beacco, 2000 : 112). En plus, elle a aussi pour fonction d’acquérir la compétence culturelle :

La littérature et le texte littéraire devraient donc s’insérer d’avantage dans le champ de la didactique des langues pour gagner une place plus cohérente et des fonctions plus opératoires dans l’apprentissage d’une langue et d’une culture étrangère (Cuq, 2003 : 159).

Ce qui nous intéresse ici, ce sont les nouvelles réflexions chez les chercheurs chinois sur les problèmes actuels et les nouvelles méthodologies dans l’enseignement de la littérature en FLE. Quels textes choisir pour le public chinois ? Peut-on sortir du cadre traditionnel de transmission des savoirs pour renforcer les autoréflexions chez les étudiants ? Comment traiter les questions de culture dans l’apprentissage de la littérature ? Les questions que les enseignants chinois posent touchent aussi notre présente recherche. En comparant les manuels de littérature française utilisés dans les universités chinoises actuelles, nous proposerons des réflexions, dans le prochain point, sur les critères de choix des textes littéraires français pour les étudiants chinois. Nous développerons aussi la question de méthodologie actuelle dans l’enseignement de la littérature en classe de FLE et analyserons les questions de culture et d’interculturel avec les transcriptions phonétiques dans le prochain chapitre.

2.2 Pénurie des manuels de littérature?

2.2.1 Situation actuelle

La consultation du marché chinois des manuels de littérature française nous révèle que ces ouvrages n’ont pas tous la même fonction. Nous pouvons les regrouper en trois catégories :

- livres d’« histoire littéraire » :

Les livres qui pourraient par exemple se voir intitulés « Histoire de la littérature française » ont généralement pour auteur soit un enseignant de français et spécialiste de la littérature française dans le département de français d’un établissement supérieur, soit un chercheur en littérature française mais issu du département de lettres sans

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nécessairement posséder la maîtrise de la langue française. Rédigés en langue chinoise, ces livres racontent l’histoire chronologique du développement de la littérature française en présentant par siècle les principaux auteurs. Nous pouvons citer ici Histoire de la

littérature française (2007) de Liu Mingjiu et Histoire simplifiée de la littérature française (2005) de Wu Yuetian.

- ouvrages de « lecture littéraire » :

Il s’agit ici de cahiers d’exercice sur la lecture littéraire. Le livre se compose d’extraits