Table des annexes
ANNEXE 1 QUESTIONNAIRE ET MÉTHODOLOGIE
Parallèlement aux différents entretiens que nous avons menés et à nos visites, nous avons envoyé le questionnaire suivant à un grand nombre de bibliothèques des régions parisiennes et lyonnaises.
La littérature orale comme corpus littéraire
1. Avez-vous déjà abordé la notion de littérature orale dans votre travail en bibliothèque ? (si oui, merci de préciser rapidement dans quel contexte)
2. Considérez-vous la littérature orale comme un ensemble littéraire à part entière ? (O/N)
3. Quels sont les critères qui priment dans la définition de la littérature orale selon vous ?
- l’origine orale des récits (O/N) - la variabilité des récits (O/N)
- l’inadaptation du terme d’auteur pour la plupart de ces récits (O/N) - la vocation orale des récits (O/N)
- autre (préciser)
La littérature orale dans les collections de la bibliothèque
4. La bibliothèque regroupe-t-elle les œuvres de littérature orale en un fonds à part, clairement identifiable ? (O/N)
Si oui :
• Ce fonds contient :
- les textes fondateurs, mythes, légendes, épopées (O/N)
- les fables, chansons, comptines et petites formes (proverbes, énigmes, dictons…) (O/N)
- les études théoriques sur les différents genres cités ci-dessus (O/N) - les anthologies de contes (O/N)
- les recueils de contes de différents continents/pays/régions (O/N) - des albums adaptés ou détournés de contes traditionnels (O/N) - les contes littéraires (contes d’écrivains) (O/N)
- les études théoriques sur le conte (O/N)
- les revues sur la littérature orale ou le conte (O/N)
- les documents sonores en lien avec la littérature orale (O/N) - autre (préciser)
DRIANT Pénélope | DCB | Mémoire d’études | janvier 2014 - 117 - • Où est situé le fonds dans la bibliothèque ?
- dans le secteur adulte (O/N) - dans le secteur jeunesse (O/N) - dans un espace intermédiaire (O/N) - autre (préciser)
• Comment est signalé ce fonds dans la bibliothèque ?
• Quel est le personnel responsable du fonds ? Cette fonction lui a-t-elle été confiée :
- parce qu’il avait un goût personnel pour ce corpus ? (O/N) - parce qu’il bénéficiait d’une compétence particulière ? (O/N) - parce qu’il avait reçu une formation spécifique ? (O/N) - autre (préciser)
Si non :
• Où trouve-t-on les textes fondateurs et les mythes ?
- avec les documentaires sur la religion, aux cotes 200-299 (O/N) - avec les documentaires sur la littérature, aux cotes 809, 870-899 (O/N) - avec les documentaires sur l’histoire-géographie, aux cotes 930-939 et
950-999 (O/N)
- avec les documentaires sur la société, aux cotes 390 et 398 (O/N) - autre (préciser)
• Où trouve-t-on les épopées ?
- avec les documentaires sur la religion, aux cotes 200-299 (O/N) - avec les documentaires sur la littérature, aux cotes 809, 870-899 (O/N) - avec les documentaires sur l’histoire-géographie, aux cotes 930-939 et
950-999 (O/N)
- avec les romans (O/N) - avec la poésie (O/N) - autre (préciser)
• Où trouve-t-on les contes et légendes de différents continents/pays/régions ?
- uniquement en section jeunesse (O/N)
- avec les documentaires sur la société, à la cote 398 (O/N)
- avec les documentaires sur la littérature, aux cotes 870-899 (O/N) - avec les documentaires sur l’histoire-géographie, aux cotes 930-939 et
950-999 (O/N)
- avec la littérature (O/N) - autre (préciser)
DRIANT Pénélope | DCB | Mémoire d’études | janvier 2014 - 118 -
- avec les documentaires sur la société, à la cote 398 (O/N)
- avec les documentaires sur la littérature, aux cotes 809, 870-899 (O/N) - avec les contes de la section jeunesse (O/N)
- avec le fonds professionnel/pédagogique de la section jeunesse (O/N) - autre (préciser)
• La bibliothèque possède-t-elle :
- des enregistrements de conteurs ? (O/N)
- des documents sonores issus de collectes orales ? (O/N) 5. Le secteur jeunesse de la bibliothèque comprend-il :
- des albums adaptés ou détournés de contes traditionnels de contes ? (O/N) comment sont-ils signalés ?
- des anthologies et recueils de contes populaires ? (O/N) ; comment sont-ils signalés ?
- des éditions jeunesse de mythes, légendes et épopées ? (O/N) ; comment sont-elles signalées ?
6. Les acquisitions des albums, anthologies et recueils de contes populaires concernent-ils uniquement le secteur jeunesse ? (O/N)
Si non : sur quels critères s’organise la répartition de ces ouvrages entre le secteur adulte et le secteur jeunesse ?
- contenu de l’ouvrage (O/N)
- degré d’illustration de l’ouvrage (O/N)
- édition dans laquelle l’ouvrage est publié (O/N) - autre (préciser)
7. Quels sont les critères présidant aux acquisitions des albums, anthologies et recueils de contes populaires ?
- la collection ou l’édition dans laquelle l’ouvrage est publié (O/N) - la qualité du récit (O/N)
- la qualité des illustrations (O/N)
- les recommandations et conseils des revues spécialisées (O/N) - autre (préciser)
8. Quel est le personnel en charge des acquisitions des albums, anthologies et recueils de contes populaires ? S’agit-il du même personnel en charge des animations autour du conte ?
Le conte et la littérature orale dans l’action culturelle de la bibliothèque
9. La bibliothèque mène-t-elle des actions spécifiques pour mettre en valeur les œuvres de littérature orale ? (O/N)
DRIANT Pénélope | DCB | Mémoire d’études | janvier 2014 - 119 -
- mise en place de tables thématiques (O/N) - réalisation de bibliographies spécifiques (O/N) - recommandations et coups de cœur (O/N)
- expositions dédiées au conte ou à la littérature orale en général (O/N) - expositions incluant une présentation de ce corpus littéraire (O/N) - lectures à haute voix de contes, mythes, légendes ou épopées (O/N)
10. La bibliothèque organise-t-elle des lectures à voix haute d’albums pendant l’accueil des groupes scolaires ? (O/N)
11. Arrive-t-il à des bibliothécaires de la section jeunesse de lire des albums de manière informelle et spontanée à des jeunes lecteurs ? (O/N)
12. La bibliothèque organise-t-elle une heure du conte de manière régulière ? (O/N)
Si oui :
- à quelle fréquence ?
- pour quelles tranches d’âge ?
- quel est le personnel en charge de cette animation ? - a-t-il suivi une formation spécifique ?
- s’agit-il d’albums lus à haute voix, de contes racontés sans support, ou des deux ?
- sur quels principaux critères sont choisis les albums ou les récits ? - la bibliothèque dispose-t-elle d’une salle dédiée à cette animation ? - un lien est-il établi avec les collections physiques à l’issue de la séance ? - quelles sont les éventuelles difficultés rencontrées ?
- quel sens a cette activité selon vous ?
13. La bibliothèque invite-t-elle des conteurs professionnels ? Si oui, à quelle fréquence ?
14. La bibliothèque organise-t-elle des actions de médiation autour d’autres formes d’oralité ? (poésie, slam…)
Environnement et publics
15. La bibliothèque dispose-t-elle d’un environnement documentaire ou artistique particulier pour penser son fonds de littérature orale (festival de conte, réseau local de conteurs…) ?
16. Pourriez-vous brièvement décrire le public venant consulter ou emprunter les œuvres de littérature orale acquises par la bibliothèque ? S’agit-il d’un public plutôt élargi ou plutôt restreint ? Quelles sont les professions particulièrement représentées (conteurs, animateurs, chercheurs…) ? Constatez-vous des évolutions, et si oui, lesquelles ?
DRIANT Pénélope | DCB | Mémoire d’études | janvier 2014 - 121 -