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Non-Résidents

50

40

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n-Fig. 12:

SUCCÈS DE CHASSE

^

SELON LA PROVENANCE

Non-Résidents^^

^ ^ - ^ Total _

— — — — ~^....

Résidents

1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993

N)

TITRE : Bilan de l'exploitation du pékan au Québec en 1993 AUTEURS : Jean Lamoureux et Alain Pelletier

1. Portrait de la situation

1.1 Modalités d'exploitation

Peu de changements importants ont été apportés aux saisons de piégeage du pékan au cours des dernières années. La majorité des zones ont une saison de piégeage d'une durée d'environ 130 jours. En 1986, toutefois, la saison a été réduite de 135 jours à 61 jours dans les zones 1 et 2.

Dans la zone 19 sud, la saison a aussi été réduite de 46 jours pour la ramener à 142 jours de piégeage à compter de 1991.

1.2 Paramètres généraux 1.2.1. La récolte

La récolte de pékans au Québec est en progression depuis 1991 et a atteint 2569 captures en 1993-1994. Cette augmentation (120 %) est vraiment significative lorsqu'elle est comparée à la faible récolte des années 1988 à 1990 (figure 1). La tendance observée ne peut cependant être expliquée par la valeur de la fourrure ou par l'augmentation de la pression de piégeage. La valeur de la fourrure est à son plus bas niveau depuis deux ans avec un prix moyen indexé d'environ 40 $ en 1993-1994, comparativement à 190 $ en 1981. Le nombre de permis vendus est aussi en diminution depuis quelques années pour se situer à 7601 permis en 1993-1994.

La hausse récente de la récolte du pékan peut être attribuable soit à une augmentation des populations ou à une plus grande vulnérabilité au piégeage. A cet effet, il est intéressant de noter que les variations de la récolte de pékans semblent être inversement proportionnelles à celles du lièvre (figure 3) soutenant plutôt cette dernière hypothèse. Donc, l'augmentation de la récolte de pékans pourrait être en partie attribua-ble à une vulnérabilité plus grande au piégeage en période de rareté du lièvre.

1.2.2. Les régions

L'évolution de la récolte selon les régions (tableau 1) suit la même tendance que celle du Québec, marquée par une reprise à la suite du faible niveau des années 1988 à 1990. Les variations de la récolte au cours des dix dernières années ont été moins importantes dans les régions 01 et 08 que dans les autres régions à pékan, si l'on considère le coefficient de variation (%) calculé avec la récolte des années 1984-1985 à 1993-1994 (tableau 1).

1.2.3. Le réseau

La majeure partie de la récolte s'est effectuée sur le territoire libre (73 % ) . Le faible niveau de récolte des années 1988 à 1990 s'est fait sentir autant dans la zone libre que dans les territoires structurés.

Depuis cette période, la récolte est en augmentation dans tous les réseaux.

1.3 Paramètres spécifiques 1.3.1 Rendement

Le rendement a atteint 0,2 pékan/100 km2 au Québec en 1993-1994 (figure 2). Ce paramètre a été recalculé avec les superficies validées des réseaux de piégeage de chacune des régions du Québec. Le rendement observé sur le territoire libre (1,16 pékan/100 km ) est deux fois et demi supérieur au rendement du réseau des territoires structurés. Les régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie (01), de Québec (03), de l'Estrie (05) et de l'Outaouais (07) présentent les rendements les plus élevés du Québec.

1.3.2. Succès

Le succès calculé à partir des données issues du carnet de piégeage a augmenté significativement de 1989 à 1993 dans presque toutes les régions du Québec (tableau 2). Les régions du Bas-Saint-Laurent (01), de Montréal (06) et de l'Outaouais (07) présentent les augmentations les plus importantes. A l'échelle du Québec, la hausse du succès de piégeage est surtout importante sur le territoire libre. La tendance observée au niveau du succès peut être indicateur d'une augmentation des populations de pékans ou d'une plus grande vulnérabilité de cette espèce au piégeage.

1.3.3. Rapport des sexes

Le rapport des sexes montre en 1993-1994 un léger débalancement en faveur des femelles (0,9:1) à l'échelle du Québec (tableau 3). Les résultats sont variables selon les régions. Les régions du Bas-Saint-Laurent (01), de Québec (03) et de l'Outaouais (07) présentent un rapport des sexes acceptable^, légèrement supérieur en faveur des mâles ou près de la parité. A l'inverse, les régions du Saguenay-Lac-Saint-Jean (02), de Montréal (06) et de l'Abitibi (08) présentent un rapport des sexes plutôt en faveur des femelles. Suivant la littérature scientifique, une saine exploitation devrait se traduire par un rapport des sexes plutôt en faveur des mâles ou à tout le moins égal ou supérieur à la parité. Ce paramètre, à l'échelle du Québec, révèle un léger débalancement des sexes en faveur des femelles, ce qui ne serait pas concordant avec l'hypothèse d'une augmentation des populations de pékans.

1.3.4. Rapport .juvénile/femelle adulte

Le rapport juvénile-femelle adulte et le pourcentage de jeunes dans les carcasses sont présentés au tableau 4. Le rapport juvénile-femelle adulte s'est établi à 3,9 en 1992-1993, soit légèrement sous le seuil reconnu pour une exploitation acceptable du pékan. A noter que la faible productivité dans la région 01 en 1991-1992 pourrait résulter de la rigueur exceptionnelle de l'hiver précédent dans cette région.

Les données pour 1993-1994 ne sont pas disponibles en raison de l'abandon du programme de cueillette des carcasses. De plus, les carcasses originent principalement de la région 01, ce qui biaise l'interprétation de ce paramètre pour le Québec. Cependant, on remarque que le rapport juvénile-femelle adulte est généralement plus faible sur le territoire libre (3,4 en 1992-1993) que dans le réseau structuré (4,4 en 1992-1993), dénotant ainsi une plus forte exploitation du pékan sur le libre.

Le pourcentage de jeunes dans les carcasses est demeuré relativement élevé avec 79,5 % en 1992-1993. Avec un taux d'exploitation plus faible, on aurait dû retrouver une plus grande proportion d'adultes dans la récolte et donc un plus faible pourcentage de jeunes dans les carcasses, ce qui n'est pas le cas.

1.3.5. Ratio raton laveur/pékan

Dans certaines régions du Québec, le raton laveur est une espèce exploi-tée un peu plus intensivement depuis 1991 par suite de l'augmentation de la valeur de sa fourrure. Nous émettons l'hypothèse que la pression de piégeage accrue exercée sur le raton aurait eu un certain impact sur la récolte de pékans en entraînant un plus grand nombre de captures acciden-telles de cette espèce. Dans les régions de Québec (03), de Trois-Rivières (04), de l'Estrie (05), de Montréal (06) et de l'Outaouais (07), la récolte de pékans est proportionnelle à celle du raton laveur (figure 4). A notre avis, cette relation n'est pas fortuite et pourrait expliquer en partie l'augmentation de la récolte de pékans dans ces régions.

2. Discussion

La récolte de pékans a poursuivi sa progression en 1993-1994 malgré un nombre de permis en diminution et la dévaluation de cette fourrure. Les autres paramètres liés à l'exploitation, le rendement et le succès de piégeage, suivent la même tendance que celle de la récolte. Le profil de la récolte peut donc être indicateur, soit d'une augmentation des populations de pékans ou être causé par des facteurs extrinsèques comme une plus grande vulnérabilité de cette espèce au piégeage. Cette dernière hypothèse serait corroborée par le rapport des sexes, le rapport juvénile/femelle adulte et le pourcentage des jeunes qui présentent des valeurs se situant près ou légèrement sous les minimums acceptables selon la littérature scientifique.

La rareté du lièvre (figure 3) pourrait expliquer en partie l'augmenta-tion du succès de piégeage en rendant les pékans plus vulnérables aux appâts des trappeurs. Le ratio raton laveur/pékan dans les régions où ces deux espèces sont piégées est révélateur de la même tendance.

Les paramètres de la récolte et les paramètres spécifiques laissent entrevoir une forte exploitation du pékan, particulièrement sur le territoire libre dans les régions du sud du Québec. Les travaux de M. Yves Garant devraient permettre d'apporter un peu de lumière sur la dynamique des populations de pékans au Québec et sur son niveau d'ex-ploitation.

3. Recommandations

Le pékan pourrait facilement être surexploité au Sud du Québec advenant une augmentation significative de la valeur de cette fourrure et plus particulièrement si cela coïncide avec une période de rareté du lièvre.

Les faibles valeurs des principaux indicateurs spécifiques devraient nous inciter à adopter une stratégie de gestion plus conservatrice pour cette espèce.

Les saisons de piégeage du pékan au Québec sont les plus libérales en Amérique du Nord. Pour diminuer la pression sur cette espèce, il y aurait lieu de réduire d'environ deux mois l'exploitation de cette espèce en coupant la période hivernale dans les zones du Sud du Québec. La mise en oeuvre de cette recommandation constituerait un premier pas vers une gestion plus conservatrice de cette espèce.

Récolte de pékans (nbre) -* * *

Valeur et permis (nbre) r200

-160

-100

- 6 0

1984 1986 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 Année

H l Libre I Structure ~*~ Permis (nbre»100) ' Valeur ($)

F i g u r e 1 : É v o l u t i o n d e l a r é c o l t e d e p é k a n s , d e l a v a l e u r d e l a f o u r r u r e e t d u n o m b r e d e p e r m i s a u Q u é b e c e n t r e 1 9 8 4 et 1 9 9 3 . V a l e u r i n d e x é e p a r r a p p o r t à 1 9 8 1 .

Rendement (Nbre/100 k m 2 )

Régions

F i g u r e 2 : R e n d e m e n t d u p é k a n , e x p r i m é e n n o m b r e d e c a p t u r e s / 1 0 0 k m , d a n s les d i f f é r e n t e s r é g i o n s d u Q u é b e c

Récolte (nbre) 3000 r

2600

-1981 1982 19831984 1986 1986 1987 198819891990 1991 1992 1993

Année

Pékan (nbre) I Lièvre (N/500 km2)

Figure 3 : Variations historiques de la récolte de pékans et du rendement du lièvre depuis 1981. Le rendement du lièvre provient des données de récolte enregistrées dans les territoires structurés des régions du Bas-Saint-Laurent/Gaspésie, du Saguenay-Lac-Saint-Jean et de la Mauricie.

Raton laveur (nbre • 1000) Pékan (nbre)

86 86 87 88 89

Année

2000

- 1600

- 1000

- 600

90 91 92 93 Raton laveur Pékan

Figure 4 : Variations de la récolte du pékan et de celle du raton laveur dans les régions de Québec (03), de Trois-Rivières (04), de l'Estrie (05), de Montréal (06) et de l'Outaouais (07) depuis 1984.

RÉGION Léger fléchissement de 88 à 90; t marquée de 91 à 93 Faible récolte de 86 à 90 Faible récolte de 86 à 90;

t de 91 à 93

Faible récolte de 88 à 90 Faible récolte de 88 à 90 Faible récolte de 88 à 90;

t en 93

Faible récolte de 89 à 91 Légère augmentation Faible effectif Faible effectif Stabilité

Faible récolte de 88 à 90;

t en 93

Faible récolte de 88 à 90;

t marquée de 91 à 93 Faible récolte de 88 à 90,

t en 93 C.V. : coefficient de variation

RÉGION Augmentât i on Augmentation mais effectif faible

Augmentation probable car récolte î et permis i Stable

Augmentation probable car récolte et permis

Augmentation Augmentation

Légère augmentation Aucune, faible récolte Aucune, faible récolte Augmentation

significative Augmentation significative Augmentât ion significative

CO

RÉGION Carnet(n) Carcasse(n)

1,1 Carnet(n) Carcasse(n)

0,8 Caraet(n) Carcasse(n)

0,8 Carnet(n) Carcasse(n)

1,4 Carnet(n) Carcasse(n)

1,0

Faible effectif

Augmentation

Diminution

Augmentation Diminution Aucune, faible récolte Aucune, faible récolte Stable Stable Stable

CO]

RÉGION Juv/fem % jeunes

3,6

% jeunes 67,2

Titre: Situation du pékan au Québec Auteur: Yves Garant

Le pékan a été classé dans le 2e groupe d'espèces prioritaires par le ministère de l'Environnement et de la Faune en raison surtout de sa vulnérabilité au piégeage et d'une méconnaissance générale de son écologie au Québec. Le présent rapport dresse un bilan sur la situation du pékan et sur son exploitation.

Trois aspects ont été étudiés: 1) l'analyse des statistiques de récolte de 4 saisons de piégeage par l'entremise d'un programme volontaire de collecte de.

carcasses; 2) une étude sur le terrain dans des secteurs inexploité et exploité par le piégeage et 3) l'utilisation de simulations sur ordinateur pour déterminer la récolte maximale soutenue et les indicateurs du taux d'exploitation.

Plus de 1200 carcasses ont été examinées durant le projet, dont la moitié provenait de la région du Bas-Saint-Laurent-Gaspésie. Les juvéniles représentaient 68,2 % des captures alors que ceux de 1,5 an et > 2,5 ans comptaient respectivement pour 15,7 et 16,2 %. Le rapport des sexes était biaisé en faveur des femelles en 1990 et 1991 alors qu'il favorisait les mâles en 1992. Environ 95 % des femelles ont produit des corps jaunes; celles de > 2,5 ans étant significativement plus fertiles que celles de 1,5 an. Malgré une saison de piégeage qui dure jusqu'à 135 jours dans certaines régions, 90 % de la récolte s'est prise au cours des 2 premiers mois.

L'analyse de 545 estomacs de pékans nous a indiqué un régime alimentaire très diversifié, car plus de 20 espèces ont été identifiées. Le lièvre d'Amérique (27,6 %), les micromammifères (35,2 %) et les oiseaux (19,7 %) furent les espèces les plus fréquemment retrouvées dans les contenus stomacaux. Le régime alimentaire ne diffère pas entre les mâles et les femelles.

Vingt-sept pékans ont été capturés et munis d'un collier-émetteur en Outaouais et 13 l'ont été dans la ZEC Jaro. Les animaux ont été suivis par télémétrie, en moyenne durant 288 jours en Outaouais et 153 jours dans la région de la ZEC Jaro. Le taux annuel de survie des pékans dans le parc (0,80) était presque le double de celui de la zone exploitée (0,42). Les taux annuels de mortalité naturelle étaient identiques dans les secteurs piégés et le secteur non piégé. Le taux de mortalité associé au piégeage est élevé (39 %); 2 mortalités sur 3 y sont directement imputables.

Les domaines vitaux des mâles et des femelles dans le Parc de la Gatineau étaient respectivement de 9,3 et 5,5 km2, des superficies nettement inférieures à celles rapportées dans la littérature. Les plus petits domaines vitaux furent attribuées à une forte densité de pékans dans le parc. En effet, la densité a été estimée à 3,0 individus/10 km2 par un inventaire probabiliste de pistes, et à 2,8 pékans/10 km2 en se basant sur la taille des domaines vitaux. En raison de l'absence de piégeage dans le parc depuis quelques dizaines d'années, cette densité a été considérée comme étant près de la capacité de support et a servi de base aux simulations.

Des taux d'exploitation de 10 à 37 % ont été simulés, pendant une période de 25 ans. Une récolte soutenue et une population relativement stable sont maintenues lorsque le taux d'exploitation n'excède pas 25 %. La récolte maximale soutenue se situe à un taux d'environ 20 % pour un rendement de près de 3 pékans/100 km2. La densité des pékans pour atteindre une récolte maximale soutenue est évaluée à 17 pékans/100 km2. Les simulations ont montré qu'une surexploitation continue de 45 % entraînerait une extermination locale de la population de pékans en une cinquantaine d'années. La proportion de juvéniles augmente parallèlement avec le taux d'exploitation en raison de leur plus grande vulnérabilité au piégeage. La cohorte des femelles adultes dans la récolte augmente également avec l'accroissement de la pression de piégeage.

Les statistiques de récolte mesurées au Québec sont comparables avec celles résultant de taux d'exploitation élevés lors des simulations, dépassant vraisemblablement 30 % annuellement. Ce taux d'exploitation est du même ordre de grandeur que celui mesuré par le suivi télémétrique des pékans en milieu exploité.

Nos données soutiennent que le taux d'exploitation sur le pékan est élevé. Le prélèvement est tel que les populations régionales sont maintenues à une faible densité. En raison du risque de surexploitation, il serait opportun de modifier les modalités d'exploitation de cette espèce et tendre vers une gestion plus conservatrice à l'instar des juridictions du Nord-Est américain.

La récolte de rat musqué a connu une diminution de 94,8 % de 1986 à 1993. La dernière saison (1993-1994) enregistre une augmentation de 70 % par rapport à la précédente. Le nombre de permis vendus et la valeur indexée suivent à peu près la même tendance.

Ainsi le bilan faunique semble démontrer qu'il n'y a pas de problème biologique au niveau des populations de rats

musqués. Les régions 03, 04, 06 et 07 contribuent pour 65 % de la récolte à cause principalement de l'intérêt suscité par le couloir fluvial.

Malgré un bilan faunique favorable à l'espèce nous proposons des modifications aux saisons de piégeage du rat musqué afin que sa capture s'effectue lorsque sa fourrure atteint sa qualité maximale au mois de mars. De plus, il est proposé d'éviter la période d'accouplement qui débute à la fin du mois de mars et la mise bas qui s'amorce au milieu d'avril selon une étude réalisée au lac Saint-Pierre.

De plus, il a été démontré que la mortalité hivernale est très importante chez le rat musqué. Ainsi à Mirabel près de Montréal, des chercheurs constatent que 44 % des jeunes présents à l'automne sont morts avant le printemps suivant alors que dans la réserve faunique de Plaisance (Outaouais) on observe que la densité des individus présents dans un marais peut diminuer de 90 % entre l'automne et le printemps suivant. Devant ces faits, les deux études recommandent de permettre un piégeage automnale afin de capturer des

individus voués à mourir, dans les zones où le piégeage n'est actuellement autorisé qu'au printemps.

Compte tenu de ce qui précède, on pourrait proposer d'instaurer une saison de piégeage automnale d'une durée d'un mois dans les zones 04, 05, 06, 07, 08 et une partie de 10 ainsi qu'une courte saison au printemps. Dans les autres zones on pourrait proposer une modification à la

réglementation afin d'uniformiser la fermeture de la saison de piégeage au 31 mars.

Il serait cependant souhaitable que :

1) la D.F.H. et la F.T.G.Q. fassent une évaluation de l'impact économique d'un piégeage automnal et;

2) que la D.M.C. avec la D.F.H. réalisent une enquête auprès des trappeurs touchés par ces modifications,

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