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Plan d’actions possibles/chances et risques

115. https://tanakia.wordpress.com/2011/06/26/larbre-de-vie/, consulté août 2017

1er scénario : exemples d’ouverture vers l’EDD dans le cadre des prestations habituelles du Réseau d’écoles21

PUBLIC SETTING ACTIVITES CHANCES RISQUES Ecoles membres Journée d’étude

Site internet Mise en ligne des contenus des jour-nées et des forma-tions

Accessibilité à

tous ici et ailleurs Non utilisation

Ecoles membres

2ème scénario : collaboration et sensibilisation/formation avec des acteurs ex-trascolaires santé et environnement

PUBLIC SETTING ACTIVITES CHANCES RISQUES Acteurs

3ème scénario : formation de multiplicateurs intéressés

PUBLIC SETTING ACTIVITES CHANCES RISQUES Tout

4ème scénario : sensibilisation et formation à éducation21

PUBLIC SETTING ACTIVITES CHANCES RISQUES Collaborateurs

8 Conclusions

Pensée en systèmes. Apprendre à sortir des compartiments

L’exploration des interdépendances entre environement et santé est fort intéressante. Elle permet avant tout de développer une pensée systémique, complexe parfois, mais com-bien nécessaire. Passer de nos habitudes de pensée causale à une pensée systémique non compartimentée est un enjeu tant pour le développement durable que pour l’éducation au développement durable. Un des défis est d’intégrer ces nouveaux modes de pensée et réflexion dans des applications concrètes pour des mises en situation éducatives. Chercher des questions qui stimulent et qui habituent les enfants et jeunes à changer leur manière de voir et comprendre le monde. Cet enjeu est exigeant en premier lieu pour le corps enseignant tout comme pour tous les professionnels et autres adultes qui participent à l’éducation. Une éducation formelle telle qu’à l’école obligatoire peut favoriser le dévelop-pement de cette pensée en systèmes et non compartimentée, mais doit le faire de manière vivante et concrète pour qu’idéalement tous les enfants puissent acquérir des compétences dans ce sens de manière à participer aux changements nécessaires visés par le DD. Cette vision systémique est bien promue par l’Agenda 2030.

Ecole lieu d’éducation et d’exploration des interdépendances

L’EDD propose de tisser des liens entre tous les thèmes et dimensions. Il n’est pas fa-cile de pouvoir appliquer cette vision de par la complexité des interdépendances entre les thèmes et aussi de par la difficulté à mettre en place des collaborations entre acteurs issus de milieux très variés. Dans ce sens il me semble très opportun aujourd’hui d’aller pas à pas. Ainsi se focaliser dans un premier temps sur deux entrées thématiques à la fois, telles que la santé et l’environnement, est déjà suffisamment ambitieux. Cela permet de construire peu à peu de nouvelles situations et offres éducatives entre écoles, acteurs de la santé et de l’environnement et autres partenaires extrascolaires (communes, familles, etc.).

Co-construire et s’approprier dans le quotidien scolaire cette prise en compte d’interdé-pendances concertées et focalisées, devrait permettre des réalisations visibles, collectives et valorisantes. Pour tous à l’école, autant les élèves que les autres acteurs et profession-nels, il est bon de découvrir et pratiquer avec les talents et ressources à disposition, des changements concrets et vécus dans un esprit positif.

Tandem santé et environnement à contextualiser

La prise en compte des interdépendances entre santé et environnement ouvre un horizon très large de thèmes ou sujets. A nouveau il me semble nécessaire de se focaliser sur l’une ou l’autre de ces sous-thématiques afin d’éviter de se perdre dans la complexité, voir le compliqué. L’actualité ne cesse de poser de nouvelles questions vives tant du côté de l’envi-ronnement que de la santé. Pollutions multiples, catastrophes écologiques, augmentations

de maladies non transmissibles ou problèmes de santé psychique, la liste est longue et peut faire peur. Les objectifs proposés dans l’Agenda 2030, concertés par tant de pays et personnes de par le monde peuvent aider à faire un choix dans ces sous-thématiques à prendre en compte en priorité. Mais ils sont à décliner de manière précise en fonction du contexte suisse et de chaque école. L’objectif initial de me focaliser sur l’éducation aux changements climatiques en priorité dans l’élaboration du dossier, ne me paraît plus la meilleure solution. En effet les changements climatiques dépendent de facteurs et d’équi-libres à vaste échelle, plutôt mondiale que régionale. Il est ainsi plus difficile d’avoir un accès et influence directs, visibles et compréhensibles pour les enfants et les jeunes.

L’Agenda 2030, une possibilité de vision commune

A la réflexion, tous nous souhaitons un monde meilleur, plus soutenable. L’Agenda 2030 avec ses 17 objectifs concertés offre une myriade de possibilités de penser global et d’agir local. Il est de plus un excellent document très utile pour une réflexion dans mon milieu professionnel, et aide à développer une pensée systémique. Pour une école qui cherche à s’impliquer en EDD, c’est l’occasion au moment de définir sa vision, de la situer par rapport à l’Agenda 2030. Ce faisant, elle favorise pour les élèves comme pour les autres acteurs le développement d’un sentiment d’appartenance à une citoyenneté mondiale, donnant du sens à leurs engagements et affirmant des valeurs communes. Pour les raisons évoquées plus haut, dans le développement du dossier prévu pour le Réseau d’écoles21 en 2018, je favoriserais plutôt une prise en compte de l’objectif lié à la biodiversité qu’à celui de l’éducation aux changements climatiques. Il ouvre des possibilités de pratiques locales très variées et sur lesquelles une influence directe peut se vivre et se voir. Hypothèse à vérifier plus tard. A ce stade, il me semble que peu importe l’angle d’approche, au final les liens d’interdépendance entre santé et environnement auront une influence sur multiples objectifs de l’Agenda 2030. Pour exemple, la mise en place d’un jardin d’école peut ouvrir beaucoup de pistes : favoriser la biodiversité, développer des liens concrets avec la terre, cultiver des légumes ou fruits pour des repas collectifs, impliquer les familles ou d’autres citoyen-ne-s, apprendre à collaborer, découvrir les cycles de vie, promouvoir une alimen-tation saine, augmenter la responsabilisation, bouger plus, etc. Tout est lié et toute action influence ce réseau de liens. Vivre ces liens et y développer une attention plus consciente est au cœur de telles démarches éducatives.

Besoin et souci de la nature peuvent aller de pair

Mon hypothèse de départ sur l’importance du lien avec le tissu vivant, avec la nature pour le développement harmonieux des enfants et des jeunes a été largement confortée.

Multiples études aujourd’hui le soulignent, bien que peu sont disponibles en français. Un tout nouvel ouvrage « Le souci de la nature. Apprendre , inventer, gouverner » présente des synthèses d’approches récentes, inter ou pluri-disciplinaires, prometteuses. Je citerais tout particulièrement deux extraits (p. 141 et 146)(16) : « Les défis environnementaux

auxquels nous sommes confrontés actuellement nous rappellent à quel point la santé des humains et celle de l’environnement sont liées : les conditions environnementales affectent notre santé, mais nos perceptions, nos attitudes et surtout nos comportements affectent à leur tour la santé de l’environnement. Pour comprendre les causes de la dégradation anthropique de l’environnement et les meilleurs moyens d’en atténuer les effets, nous de-vons donc comprendre comment les individus se représentent l’environnement naturel, comment ils y réagissent et comment ils interagissent avec lui. . . Ce champ de recherche en psychologie vise à comprendre et encourager une relation saine entre les humains et le monde naturel (Clayton et Myers 2015). ». L’approche de la psychologie de la conser-vation me paraît à suivre attentivement ces prochaines années : « actuellement quelques principes et théories sont partagés par tous : partant du principe de l’interdépendance de la soutenabilité environnementale et sociale, la psychologie de la conservation met l’accent sur la santé, la justice et l’éducation pour augmenter la sensibilité aux problématiques en-vironnementales et la connexion des individus à la nature». Dans un langage plus simple, l’expression « besoin de nature » me paraît toujours un très bon fil rouge pour aborder ce sujet avec un public d’âges et de provenances variés. Ce besoin de nature par trop sous-estimé de nos jours et si essentiel tant à la santé physique qu’à la santé psychique ! Pour autant il ne s’agit pas que d’une approche romantique, il est et sera nécessaire de réapprendre à vivre avec les forces de la nature, ce qui nous fera tous sortir de nos zones de confort habituelles. Quant à savoir si cette conscience augmentée de l’importance du lien avec la nature pour notre santé augmentera la précaution et le respect des limites environnementales, il n’est pas possible à ce jour d’être affirmatif, sujet à suivre donc.

Une durabilité forte renforcée par les sorties en nature

Une durabilité forte serait favorisée par le corps enseignant et les acteurs de la santé s’ils prenaient en compte le besoin de nature, et l’appliqueraient de manière à renforcer les liens vécus par les enfants et les jeunes avec le système vivant dans leurs diverses situa-tions éducatives. Comme présenté dans le tout récent ouvrage«Devenir écocitoyen»(33)

« La démarche est ancrée dans le quotidien des élèves dans leur établissement scolaire mais n’a pas vocation de les y enfermer ! L’école, le collège constituent le point de départ de ces démarches qui doivent ouvrir les élèves à leur territoire par des sorties, des visites, des rencontres, etc. Plus particulièrement les sorties dans la nature sont indispensables tout d’abord parce qu’elles apportent du bien-être aux élèves qui ont ce besoin de lien avec les autres êtres vivants. En outre, l’écosystème est un laboratoire merveilleux pour appréhender la complexité d’un système. Sortir pour exercer ses sens : sentir, écouter, regarder. . . Sortir pour vivre des émotions : émerveillement, joie, peur parfois. . . Sortir pour observer, représenter. . . Sortir pour apprendre, comprendre. . . Sortir pour marcher, courir, pédaler. . . ».

Prendre en compte les portes entrouvertes par les multiplicateurs

Avec quels multiplicateurs dans mon contexte professionnel y a-t-il le plus de potentiel pour avancer dans une prise en compte interdépendante entre santé et environnement ? Deux champs d’opportunité me semblent les plus intéressants. D’une part le Réseau d’écoles 21 et d’autre part les réseaux d’acteurs extrascolaires, et tout particulièrement en environnement. La nouvelle prise de responsabilité nationale par éducation21 du Réseau d’écoles21- Réseau suisse d’écoles en santé et durables, en pleine période de changements et d’ouverture à l’EDD, facilite l’accès et le rapprochement avec les acteurs santé dans et autour de l’école. éducation21 a aussi une longue tradition de collaboration avec les réseaux d’acteurs extrascolaires et de recherche de coopération pour des offres de qualité en vue de l’EDD. La mise en évidence et valorisation de la richesse des activités et projets en éducation à l’environnement pour une meilleure santé des humains, pourraient être une motivation pour les acteurs extrascolaires à développer de nouvelles pistes d’actions et de nouvelles collaborations. Pour autant il sera essentiel de pratiquer ces collaborations (peu importe sous quelle forme : formation, conseil, développement d’outils, etc.) dans une position gagnant-gagnant. En tant que centre de prestations et de services pour l’EDD, il n’est pas toujours aisé de coopérer sans se positionner comme expert, de faire avec et non pas pour.

L’empreinte de gratitude

Santé et environnement sont si intimement liés qu’il forme un tandem éducatif essentiel.

La mise en évidence de ces liens, ainsi que l’attention consciente et transformatrice qui pourrait en découler, est un chemin qui vaut la peine d’être parcouru tant pour la santé des hommes que pour la santé de la planète terre. Sur ce chemin aux multiples intersec-tions, impossible de ne pas questionner notre manière d’être au monde et nos valeurs, de repenser nos modes de production, de consommation et d’échanges. Il me plait ainsi de citer Matthieu Ricard en dialogue entre « Trois amis en quête de sagesse » p. 90(3) :

« . . . lorsque je tiens dans ma main une feuille de papier, au moins trente-cinq pays ont rendu ce geste possible. Un bûcheron, par exemple, a coupé un arbre dans une forêt de Norvège, un transporteur danois a transporté cet arbre jusqu’à une usine française, et ainsi de suite. Puis on a ajouté à la pâte de papier de l’amidon extrait de pommes de terre venant de République tchèque, cette pâte a été colorée ou blanchie à l’aide de substances chimiques fabriquées en Allemagne, etc. Par ailleurs, chacun des être qui a contribué à cette chaîne a des parents, des grands-parents, des enfants. . . , qui tous l’ont peut-être influencé dans le choix de ce qu’il fait. . . . Cette constatation de l’interdépendance de tous les êtres et de toutes les choses devrait continuellement nous remplir de gratitude.

Comme les environnementalistes qui évaluent l’empreinte écologique d’un produit, nous pourrions évaluer l’empreinte de gratitude. . . ». Certains encouragent les douches de fo-rêt, pourquoi ne pas encourager les douches de gratitude ? Seraient-elles un bon moyen pour nous motiver à ralentir et à nous satisfaire de tout ce qui rend notre vie sur cette terre possible ? Apprendre à reconnaître et à se réjouir de ces interdépendances pourrait peut-être bien nous inviter à vivre ensemble, consommer, échanger avec plus d’humilité

et de simplicité. Pour le bien et la santé de tous aujourd’hui et demain, ici et ailleurs, et surtout en harmonie et respect avec l’ensemble du vivant.

Une biodiversité de pistes, d’acteurs et de projets

Ce travail final de CAS DD post 2015, a été un chemin d’analyse, d’exploration et d’ap-profondissement, me permettant de replonger dans les fondamentaux de la promotion de la santé avec ses réussites et ses manques, et de découvrir de manière plus approfondie l’éducation à l’environnement. Les objectifs des plans d’étude, les ressources pédagogiques à disposition, tout comme les offres expérimentées des divers acteurs et réseaux dans et autour de l’école constituent un riche terreau pour l’EDD. Il en existe à ce jour énormé-ment, et ils ne demandent qu’à être utilisés et expérimentés. Les semences qui lèveront seront diverses, peut-être inattendues, apparaitront avec un rythme et une intensité qui leur seront propres. Sachons favoriser l’émergence de nouveaux écosystèmes sociaux, éco-nomiques, environnementaux, et surtout sachons savourer avec curiosité et confiance la créativité, l’intelligence et l’engagement des jeunes dans un monde en pleine transition.

Santé et environnement, un tandem prometteur et surtout nécessaire car osons l’espérer en prenant soin de renforcer les liens et le vécu des enfants et des jeunes avec leur milieu naturel ils sauront être plus prudents avec l’ utilisation des ressources de ce milieu, avec leurs consommations et leur manière d’être, de vivre et d’échanger entre eux.

Figure 8 – source : http://copainsdavant.linternaute.com/question-reponse/

291580/quel-est-le-role-de-l-etre-humain-sur-la-planete-terre/, consulté septembre 2017

Références

[1] D’une seule santé à l’écosanté, volume 57. La Revue Durable, 2016.

[2] Forger une conviction universelle sur le climat, volume 56. La Revue Durable, 2016.

[3] Christophe André, Alexandre Jollien, Matthieu Ricard, Alexandre Jollien et MatthieuRicard : Trois amis en quète de sagesse. L’Iconoclaste et Allary éditions, 2016.

[4] Jérémy Bouchez : Le shinrin-yoku ou la nature comme médecine préventive, sep-tember 2014.

[5] ValérieDesgroseilliers, NicolasVonarx, AnneGuichard et BernardRoy: La santé communautaire en 4 actes : repères, acteurs, démarches et défis. Chronique sociale, Presses de l’Université de Laval, 2016.

[6] Réseau école et nature : Syndrôme de manque de nature. 2013.

[7] Fondation éducation21: Compréhension edd d’éducation21.

[8] Fondation éducation21 : Une école de qualité : aujourd’hui et demain, ici et ailleurs, revue ventuno édition, 2016.

[9] Fondations éducation21 et RADIX : Perspectives en vue d’une école en santé et durable.

[10] Michel Maxime Egger : Ecopsychologie. Edition Jouvence, 2017.

[11] European environment agency : Environment, health and wellbeing : a systemic approach.

[12] Louis Espinassous: Contes et l’égendes de l’arbre. Edition Hesse, 2003.

[13] Louis Espinassous : Besoin de nature, Santé physique et psychique. Edition Hesse, 2014.

[14] Office fédéral de la santé publique (OFSP) : Fin des programmes nationaux de prévention. Revue Spectra, 116, Avril 2017.

[15] Office fédéral du développement territorial (ARE) : Vers une alimentation respon-sable. bonnes pratiques pour les cantons et les communes. 2016.

[16] Cynthia Fleury et Anne-Caroline Prevot : Le Souci de la nature. Apprendre, inventer, gouverner. CNRS éditions, 2017.

[17] U. Frischknecht-Tobler, B. Gugerli-Dolder et Ingold A. Eugster : Um-weltbildung Plus Bausteine zu einer Bildung für nachhaltige Entwicklung. Praxisbuch Schubi, 2015.

[18] Geneviève Grimm-Gobat : Des enfants hors-sol. Largeur, l’actualitévue par large network (Revue en ligne), 2016.

[19] MichaelHuppertzet VerenaSchatanek:Achtsamkeit in der natur : 84 naturbezo-gene achtsamkeitsubungen und theoretische grundlagen. Junfermannsche Verlagsbuc, 2015.

[20] Bruno Chatenoux Andrea De BonoHy Dao, Pascal Peduzzi et StefanSchwarzer: Limites et empreintes environnementales de la suisse dérivées des limites planétaires.

OFEV, 2015.

[21] Ilona Kickbusch : Les bases conceptuelles de la promotion de la santé et l’agenda du développement durable.

[22] Frances E Kuo et Andrea Faber Taylor : A potential natural treatment for attention-deficit hyperactivity disorder : evidence from a national study. American journal of public health, 94(9):1580–1586, 2004.

[23] DavidLe Breton: Aventure, marche et accompagnement avec des jeunes en rupture sociale.

[24] René Longet : Planète, sauvetage en cours : une responsabilité collective : le déve-loppement durable. Presses polytechniques et universitaires romandes, 2016.

[25] Serge Morandet GillesPipien: Notre santé et la biodiversité : tous ensemble pour préserver le vivant. Buchet/Chastel, 2013.

[26] William A Ninacs : Empowerment et intervention : d’éveloppement de la capacité-d’agir et de la solidarité. Les Presses de l’Université de Laval, 2008.

[27] OFEV : La santé en jeu. environnement, 2015.

[28] OMS : Charte d’ottawa pour la promotion de la santé. 1986.

[29] OMS : Santé publique, environnement et déterminants sociaux de la santé. 2017.

[30] ONU : Harmonie avec la nature. 2013.

[31] UNESCO : L’éducation en vue d’un développement durable. objectifs d’apprentis-sage. 2017.

[32] UNESCO: Programme d’action globale pour l’éducation au développement durable.

2017.

[33] BéatriceVenard:Devenir écocitoyen : Neuf projets pour le cycle 3. Réseau Canopé, 2017.

[34] Fédération Fourchette verte : « principes et recommandations pour une alimenta-tion durable destinée aux enfants et aux adolescents. 2016.

[35] Sarah Wauquier: Les enfants des bois. Pourquoi et comment sortir en nature avec des jeunes enfants. Books On Demand Editions, 2008.

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