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La machine nous interroge continuellement sur ce qui constitue notre humanité. Se de- mander qui de l’homme ou de la machine doit être au service de l’autre manque ce qui se joue dans l’échappée de nos comportements ordinaires, ce qui n’est pas de l’ordre du service. La façon de faire du numérique marquée par l’idéologie du « Web �.� » présup- pose que l’humain est modélisable et en attente de résolutions de problèmes. Au terme de cette étude, il apparaît bien que la supposée rupture du « Web �.� » s’inscrit dans des théories économiques qui n’ont rien de nouveau. La volonté de rassembler les fruits d’un travail éparpillé ain de tirer quelque bénéice de leur organisation est déjà ce que Marx critiquait à propos du capital qui tire bénéice d’une chose qu’il n’a pas produite. En ce sens, le capital est pensable comme ce qui retire un élément du domaine public, ce qui rend inaccessible quelque chose auparavant disponible pour tous. Alors que l’on n’a ja- mais autant parlé de partage et d’expression libre, il s’avère que les sites web qui se récla- ment du « Web �.� » n’en produisent qu’un simulacre. Il est rare que l’accès à ses propres productions puisse s’opérer sans « conditions d’utilisation ». L’expression de « banque de données » peut alors se comprendre comme entité faisant fructiier une matière retirée du domaine public. Cette mise au secret qu’opère le capital créé de l’économie, au sens où ce mot désigne une restriction, un resserrement d’un domaine qu’on cherche à délimiter. Or, comme nous l’avons vu avec Benjamin Bayart, Internet s’est initialement construit contre toute centralisation et privatisation. L’ouverture du Web via le html se situe ini- tialement dans la volonté de concevoir des outils et langages documentés et cohérents ain d’assurer un partage des connaissances via une structuration standardisée des infor- mations.

Faire l’expérience de ce décentrement fondateur, c’est penser que les conditions actuelles du Web favorisent l’émergence de programmes « inauthentiques », qui n’affrontent pas les déterminations techniques impliquées par la mobilité de la matière numérique. Penser le design des programmes, c’est aussi, comme nous l’avons vu, s’intéresser à leurs moda- lités de circulation dans les réseaux. Leur centralisation au sein de « stores » a certes favo- risé leur diffusion, mais quelque chose du design auquel nous tenons semble s’être perdu dans cette opération. Le passage du logiciel à l’application indique la volonté de penser le design des programmes dans une logique de services voués à répondre à des besoins. Cette technique bridée couplée à des terminaux et processus de validation opaques

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manque de fait l’expérience de l’ouvert. La iliation de logiques anciennes recouvertes sous l’éclat d’une nouveauté performative (de discours) s’opère dans une restriction de la technique qui va de pair avec une gestion eficace des rapports sociaux. On ne parle plus de technique ou de pratiques, mais « d’expérience ». Dans ce design « d’expériences utilisateur », de quoi faisons-nous vraiment l’expérience ? Quel sens donner à l’expé- rience d’une situation où tout est déjà prévu pour moi avant que je ne puisse expérimen- ter quoi que ce soit ? Contestant cette vision d’un design luide, magique, sans accrocs, nous soutenons une façon de faire du numérique qui aborde franchement le rapport pro- blématique à la technique : authentiier la médiation des programmes et de leurs codes sources au lieu de les dissimuler dans des interfaces invisibles et transparentes.

En mai 2009, les développeurs d’Ubuntu (une « distribution » de Linux) constatent que l’installation et la gestion des logiciels (softwares) sont partagées entre plusieurs outils dédiés 304, ce qui entraîne une confusion et une perte d’eficacité tant au niveau des uti-

lisateurs que des développeurs :

Il devrait y avoir une façon simple d’installer, de supprimer et de mettre à jour des logiciels dans Ubuntu, avec un nom dédié cohé- rent, et une interface que tout le monde puisse utiliser 305.

Cet outil dont le nom de code était AppCenter va ensuite être renommé en Ubuntu

Software Center Store306. Le terme AppCenter est écarté car il fait à la fois trop référence

à Apple, et que le terme d’application ne va pas dans le sens de ce que propose Ubuntu :

À long terme, je suis presque certain que dans vingt ans le terme « logiciel » existera toujours, et sera compréhensible et perti- nent. Je suis beaucoup moins sûr que « application » le sera 307.

N’étant pas pris dans des logiques de rentabilité immédiate, les développeurs d’Ubuntu ont pour objectif de s’écarter des termes marketing. Le deuxième terme discuté est celui de store (magasin, comme pour les « Apple Store »), qui désigne généralement un choix

304 « Idea #20010 : a single interface to manage applications », Ubuntu Brainstorm, mai 2009, [ En ligne ],

http://brainstorm.ubuntu.com/idea/20010 [ Consulté le 28/10/2012 ] : « Rationale : We have a lot of application to manage application in ubuntu, those are : synaptic, add/remove software, update manager, etc. We need to merge them all in one. »

305 « Software center », Ubuntu wiki, [ En ligne ], https://wiki.ubuntu.com/SoftwareCenter [ Consulté le

01/07/2013 ].

306 M. Paul Thomas, « Ubuntu Developer Discussion », août 2009, [ En ligne ], http://comments.gmane.org/

gmane.linux.ubuntu.devel/28911 [ Consulté le 28/10/2012 ] : « At the Ubuntu Developer Summit in May, we discussed AppCenter -- the codename for a new interface for inding, installing, and removing software in Ubuntu. Now, AppCenter has a brand name : the Ubuntu Software Store. »

307 Ibid. : « In the long term, I am pretty sure that in twenty years, ‹ software › will still exist and be publicly

relevant. I am much less certain that ‹ applications › will. » ouvertures et fermetures du « web �.� »

178 plus grand de produits que le terme shop 308. L’idée initiale du store compris comme

lieu de stockage accessible (entrepôt, et aussi le terme repository, le répertoire) entraîne donc une confusion quant au positionnement non-commercial d’Ubuntu. Pourquoi, par exemple, aurait-on besoin « d’aller au magasin » pour mettre à jour ses programmes ? Même s’il est possible d’acheter des programmes, le terme de store est trop restrictif, et un mot neutre est préférable. Un sondage 309 acte le changement de nom, le terme store

disparaît pour faire place au « Ubuntu Software Center 310 » [ Fig. 142 ]. La dé-

marche générale de discussion (propre au projet Ubuntu et au logiciel libre) per- met une rélexion commune autour de concepts forts. L’ouverture ne concerne pas seulement les logiciels proposés (qui comprennent aussi des sons, polices de caractères, thèmes graphiques, etc.) mais aussi leur nomination et leur démarche globale d’accès — une façon de faire du numérique qui nous intéresse.

308 Aux États-Unis, on emploie aussi store pour les petits magasins (the newspaper store, the shoe store, mais

aussi the coffee shop). Le verbe to shop désigne par contre tout le temps l’action d’acheter, contrairement à

to store, qui a trait a au stockage et à la conservation.

309 « Brainstorm: SoftwareStore should be renamed », Ubuntu Forums, septembre 2009, [ En ligne ],

http://ubuntuforums.org/showthread.php?t=1261040&s=ff59e475b1ed5bb3ed784bf443d7bc4c [ Consulté le 01/07/2013 ] & « Idea #21362: SoftwareStore should be renamed », septembre 2009, [ En ligne ], http://brainstorm.ubuntu.com/idea/21362 [ Consulté le 01/07/2013 ].

310 « [ UserInterface Freeze Exception ] Change name of software-store to software center », septembre 2009,

[ En ligne ], https://bugs.launchpad.net/ubuntu/+source/software-center/+bug/436648 [ Consulté le 01/07/2013 ].

Fig. 142

Fig. 115

Fig. 116

Fig. 117

[ P. 147 ] Minitel 1 rtic « mar- ron » avec clavier azerty cou- lissant. Dimensions : 25 cm (l.) � 25 (p.) � 24 cm (h.).

Publicité pour le service télé- matique du journal France

Soir, 1987.

« 1983, un Minitel fait son entrée à l’agence de La Com- pagnie des Reporters, c’est la création du premier serveur télématique pour la mise en relation des photographes, des services photo et de l’agence ». Photo : Sylvie Lan- guin, secrétaire de rédaction à l’agence. »

[ Source ] « La Ville de Montpellier expose ‹ l’Objet du désir › », Miss Buffet Froid, novembre 2011 [ En ligne ], http://www.buffetfroid.net/ en-tant-que-photographe/la- ville-de-montpellier-expose- la-photographe-miss-buffet- froid. Image � Miss Buffet Froid.

[ Source ] M. Puech, « 1984- 2014 : Presse et cyberspace, trente ans d’errance », À l’œil, janvier 2014 [ En ligne ], http://www.a-l-oeil.info/ blog/2014/01/03/1984- 2014-presse-et-cyberspace- trente-ans-derrance. [ Source ] M. Puech, « 1984- 2014 : Presse et cyberspace, trente ans d’errance », À l’œil, janvier 2014 [ En ligne ], http://www.a-l-oeil.info/ blog/2014/01/03/1984- 2014-presse-et-cyberspace- trente-ans-derrance. Image � Christian Rausch.

Fig. 118

Fig. 119

[ P. 150 ] « Web �.� meme map », Cartographie mentale du « Web �.� ». Image réalisée durant un brainstorming au foo Camp, conférence orga- nisée par O’Reilly Media.

[ Source ] T. O’Reilly, « Qu’est ce que le Web �.� : Modèles de conception et d’affaires pour la prochaine génération de logiciels » [ 2005 ], trad. de l’anglais par J.-B. Boisseau,

Internet actu, avril 2006, [ En ligne ], http://goo.gl/sJz7s8. Image � O’Reilly Media.

[ P. 154 ] Pôle économique de la ville de Miami (Floride), le quartier de Brickell Key est un exemple de « gated com-

munity » (ensemble résiden-

tiel fermé) prenant la forme d’une île aux gratte-ciels haut de gamme. Si n’importe qui peut accéder à l’île à pieds ou par le bus, seules les voitures autorisées peuvent y entrer.

[ Source ] M. Averette, « File: Brickell Key from north 20100211.jpg », Wikipedia, février 2010, [ En ligne ] http://en.wikipedia.org/ wiki/File : Brickell_Key_from_ north_20100211.jpg. Image sous licence libre cc by �.�.

[ P. 155 ] Synthèse du fonctionnement d’un cdn selon Akamai. Pour accélérer l’affi chage d’un site web, les données du serveur d’origine sont envoyées chez Akamai avant d’être redistribuées chez les utilisateurs « fi - naux », qui n’ont donc accès qu’à cet intermédiaire.

[ P. 155 ] À l’opposé des serveurs ftp centralisés, un système de téléchargement par essaimage (« swarming

download ») comme BitTor-

rent résout les problèmes de « bande passante » en se basant sur une mise en com- mun des utilisateurs. Plutôt que de s’appuyer sur un petit nombre de fournisseurs, BitTorrent crée un réseau

peer-to-peer (p�p), géré par

un site de contrôle (« seed ») qui aide à la répartition des fl ux et remplace le serveur ftp classique. De cette façon,

[ Source ] L. Komol, « Dos- sier : le cdn, ou l’art de mettre en cache pour trouver plus vite », Clubic, mars 2014, [ En ligne ], http://pro.clubic.com/ it-business/reseau-informa- tique/article-687546-1-cdn- art-cache-trouver-vite.html. Image � Akamai.

l’essaimage des téléchar- gements est plus effi cace pour les données les plus demandées. Comme le dit Terry Hancock : « Encourager le développement collectif d’un design libre implique de rendre les données existantes plus disponibles, plutôt que de se focaliser sur l’appa- rences de celles-ci. »

[ Source ] T. Hancock, « To- wards a free matter economy (Part 5) », Free Software Maga- zine, avril 2006, [ En ligne ], http://fsmsh.com/1240.

Fig. 120

Capture d’écran du site web de partage de photos Flickr. La page d’une photo fait apparaître le nom de son auteur, sa description libre, les commentaires des utili- sateurs, sa géolocalisation, ses métadonnées exif, les groupes dans lesquels appa- raît cette image, etc. Tous ces modes de classement parti-

cipent de logiques propres au Web, qui excèdent ce que permettait de faire la photo- graphie argentique.

[ Source ] L. Janin, « Flickr : Déjà 4 ans », Entre réel et numé- rique, novembre 2011, [ En ligne ], http://blog.lucas3d. com/2011/11/28/l ickr-deja- 4-ans.

[ P. 158 ] Mosaïque des photos favorites (« Favorites

photostream ») de Lucas Janin

sur le site web Flickr.com.

[ Source ] L. Janin, « Flickr : Déjà 4 ans », Entre réel et numé- rique, novembre 2011, [ En ligne ], http://blog.lucas3d. com/2011/11/28/l ickr-deja- 4-ans.

Fig. 122

Fig. 123

Fig. 124

[ P. 158 ] Cartographie des photographies de Lucas Janin, site web Flickr.com.

[ Source ] L. Janin, « Flickr : Déjà 4 ans », Entre réel et numé- rique, novembre 2011, [ En ligne ], http://blog.lucas3d. com/2011/11/28/l ickr-deja- 4-ans.

[ P. 158 ] Capture d’écran du compte Facebook d’André Gunthert, qui la commente ainsi : « Mon désir n’est pas de produire une bonne photo de Copacabana, il est d’enregistrer ce moment où j’ai foulé pour la première fois la plage de Rio. Il n’est

pas question de revenir plus tard avec un meilleur appareil ou de rejoindre un autre point de vue : ce que je veux n’est pas une image, mais un souvenir – une relique. [ … ] Une performance qui sera évidemment transmise sur mon compte Facebook,

augmentée de sa localisation, dès mon retour à l’hôtel [ … ]. Destinés à être partagés avec ma famille ou mes amis, tous ces clichés visaient non pas à montrer Rio, site déjà immortalisé des millions de fois, mais à transmettre un symbole de ma présence. »

[ Source ] A. Gunthert, « Pho- tos de vacances », L’ Atelier des icônes, septembre 2012, [ En ligne ], http://culturevisuelle. org/icones/2490.

Fig. 125

Fig. 126

[ P. 159 ] Le programme expérimental TinEye Mul- ticolorEngine permet de rechercher des photos sur Flickr.com à partir d’une valeur colorimétrique. L’api de TinEye permet rechercher par couleur dans des sets d’images particuliers.

[ Source ] L. Boujnane, « Color search to make you smile! », TinEye blog, décembre 2012, [ En ligne ], http://blog.tineye. com/color-search-to-make- you-smile. Image � TinEye.

Fig. 127

[ P. 161 ] Le tableau de bord de la voiture électrique Tesla model s est un écran tactile qui combine le contrôle des éléments physiques du véhicule à des fonctions de communication et de gestion de médias.

[ Source ] A. Patel, « Tesla Mo- del S Information & Images », World Of Cars, février 2014 [ En ligne ], http://wapcars. blogspot.fr/2014/02/tesla- model-s-information-images. html. Image � Tesla.

[ P. 162 ] Capture d’écran du site web Google Maps, faisant apparaître la fonction ‹ embed › (« embarquer »), qui permet d’afficher une portion de carte sur n’importe quel site web par l’intermédiaire d’un widget.

[ Source ] Google Maps, mars 2014, [ En ligne ], http://goo.gl/ maps/3zyzS. Image � Google.

Dévoilées en mars 2013, les nouvelles règles de l’api Twitter �.� resteignent fortement les possibilités des développeurs et des designers. Là où l'ancienne version énonçait des recom- mandations, on passe ici à

une logique de régulation. L'affi chage des tweets depuis des programmes tiers doit dé- sormais respecter des règles précises, sous peine d'être désactivé. En imposant aux designers de rendre visibles des liens et des boutons

déterminés, Twitter s'assure que l'utilisateur fi nal fi nira le plus vite possible sur le site offi ciel. Il en va de même pour les fl ux de micro-mes- sages, qui devront, à terme, être capable d'affi cher des messages sponsorisés.

[ Source ] S. Jenkis, « Twitter : How do the new api rules effect you ? », Web Designer, janvier 2013, [ En ligne ], http://www.webdesignermag. co.uk/features/twitter-how- do-the-new-api-rules-effect- you. Image � Twitter.

Fig. 129

Fig. 130

Fig. 131

[ P. 163 ] Modèle d’affi chage d’un tweet « condensé » res- pectant les spécifi cations de l’api Twitter �.�.

[ Source ] « Developer Display Requirements », Twitter.com, [ En ligne ], https://dev.twitter. com/terms/display-require-

ments. Image � Twitter. [ P. 164 ] La nouvelle appa-

rence du bouton Facebook

Like a été révélée en no-

vembre 2013. Il fut automa- tiquement mis à jour sur tous les sites web utilisant ce wid-

get. Facebook peut contrôler

l’apparence des boutons « à distance » grâce à l’usage de la balise ‹ iframe ›, qui permet d’affi cher un morceau de page web dans une autre.

[ Source ] M. McGee, « Facebook Drops The Thumb, Intros New ‹ Like › & ‹ Share › Buttons », Marketing land, novembre 2013, [ En ligne ], http://marketingland. com/facebook-drops-the- thumb-intros-new-like-share- buttons-64355. Image � Facebook.

Fig. 132

Fig. 133

Fig. 134

Widgets interactifs du

tableau de bord (« Dash-

board ») du système d’exploi-

tation Mac os ��.� Mave- ricks : « Le Dashboard permet d’accéder rapidement aux éléments que vous utilisez ou consultez au quotidien

(par exemple, la météo, vos notes, votre calculatrice, etc.). Grâce au Dashboard, vous avez accès à plusieurs mini-applications, amusantes et fonctionnelles, appelées widgets. »

[ Source ] Apple support, mars 2014, [ En ligne ], http://goo.gl/ r5TtVB. Image � Apple Inc.

[ P. 164 ] Ajout et suppres- sion de widgets dans Mac os ��.� Mavericks.

Liste des widgets disponibles dans Mac os ��.� Mavericks.

[ Source ] Apple support, mars 2014, [ En ligne ], http://goo.gl/ r5TtVB. Image � Apple Inc.

[ Source ] Apple support, mars 2014, [ En ligne ], http://goo.gl/ r5TtVB. Image � Apple Inc.

Fig. 135

[ P. 165 ] Capture d’écran du site web OpenWhaterMap.

org. Firefi shy, un contribu-

teur d’OpenStreetMap, a créé le site web OpenWha- teverMap.org en avril 2011 pour mettre en valeur la grande diversité des réglages d’affi chage des cartes osm. La mosaïque des thèmes se recompose automatiquement en zoomant et dézoomant.

[ Source ] R. Weait, « Image of the Week: OpenWhate- verMap », OpenStreetMap blog, mars 2014, [ En ligne ], https://blog.openstreetmap. org/2011/04/25/image-of- the-week-openwhatevermap. Image libre de droits.

Fig. 138

Fig. 139

Fig. 136

[ P. 169 ] Publicité pour le service Shazam, qui permet d’identifi er une musique ou une émission tv par l’analyse des ondes sonores.

[ Source ] J. Van Camp, « Shazam moves beyond music: How a simple tagging app could be the next big thing », Digital Trends, juillet 2013, [ En ligne ], http://www. digitaltrends.com/mobile/ shazam-moves-beyond-music. Image � Shazam.

Fig. 137

[ P. 168 ] Publicité Apple célébrant la barre des 500 000 millions de télécharge- ments d’« applications » sur l’App store.

[ Source ] Apple.com, capture d’écran, juin 2011. Image � Apple Inc.

[ P. 169 ] « Night of the Living

Dead Pixels est à la fois un

livre et un jeu vidéo pour iPhone [ … ] Le livre [ … ] se lit de gauche à droite, de bas en haut et de haut en bas. [ … ] Le livre se déplie devant vous suivant vos choix de parcours

et vous permet d’avancer dans le jeu vidéo sur votre iPhone. À chaque page se cachent des armes, des médicaments, mais surtout des zombies ! Pourrez-vous survivre à cette lecture létale ? »

Night of the living dead pixels,

2011.

[ Source ] B. Duplat, E. Mineur, « Night of the living dead pixels », Les éditions volumiques, [ En ligne ], http:// volumique.com/v2/portfolio/ night-of-the-living-dead- pixels-2. Images � Les éditions volumiques

[ P. 175 ] Captures d’écran de la vidéo de présentation du navigateur web Amazon Silk, qui précharge les pages sur les serveurs d’Amazon

(aws) avant de les renvoyer à l’utilisateur. Le « poids » des pages et des images est ainsi adapté au terminal qui reçoit les données.

[ Source ] Amazon, « Amazon Silk — Amazon’s Revolutio- nary Cloud-Accelerated Web Browser », Youtube, septembre 2011, [ En ligne ], http://youtu. be/_u7F_56WhHk. Images � Amazon.

Fig. 141

Fig. 140

[ P. 170 ] Visualisation des usages d’Internet. Alors que la vidéo progresse, le Web décline. Le succès des « applications » risque-t-il de faire défi nitivement basculer les pratiques du côté d’une simple consultation d’infor- mations ?

[ Source ] C. Anderson, M. Wolff, « The Web Is Dead. Long Live the Internet », Wired, juillet 2010, [ En ligne ], http://www.wired.com/maga- zine/2010/08/ff_webrip/all.

Données fournies par Cisco, basées sur les publications de caida (The Cooperative Association for Internet Data). Image � Wired / Andrew Odlyzko.

Fig. 142

Fig. 143

[ P. 178 ] Capture d’écran du programme Ubuntu Software Center, Ubuntu os ��.��. Ce catalogue comprend plusieurs milliers de pro- grammes libres, non libres, gratuits ou payants.

Capture d’écran de la fi che détaillée du logiciel de création vectoriel Inkscape, logithèque Ubuntu (Ubuntu Software Center).

Il offre une grande marge de liberté à l’utilisateur : auto- matisation des mises à jour, choix des sources, ajout de modules complémentaires, gestion des langues, etc.

[ Source ] « software-cen- ter_03.png », Wikimedia, décembre 2011, [ En ligne ], http://goo.gl/gHB7P9. Image libre de droits.

[ Source ] Tuankiet65, « File: Ubuntu Software Center Ubuntu 12.10.png », Wikime- dia, mars 2013, [ En ligne ], http://goo.gl/F4eYw8. Image libre de droits.

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Élément historique 4

Idéologies de la