• Aucun résultat trouvé

C. Limites de l’évaluation du langage élaboré

III. Figures

Figure 1 : Modèle simplifié du système lexical d’après Caramazza et Hillis (1990). In B. LECHEVALIER, F. EUSTACHE, F. VIADER (2008). Traité de neuropsychologie clinique, 486-502. Louvain-la-Neuve : De Boeck Université……….……...16 Figure 2 : Organisation de la mémoire de travail selon Baddeley (Baddeley, 1996)………..27

170

BIBLIOGRAPHIE

1) ABERNETHY M., CONEY J. (1990). Semantic and phonemic priming in the cerebral hemispheres. Neurospsychologia, 28, 933-945.

2) Army individual test Battery (1944). Manual of directions and scoring. Washington DC. 3) AZOUVI P. (2009). Les troubles cognitifs des traumatismes crâniens sévères. Lettre de

Médecine Physique et de Réadaptation, 25, 2, 66-68.

4) AZOUVI P., BELMONT A. (2010). Le handicap invisible : principaux troubles cognitifs et comportementaux après un traumatisme crânien sévère. In LAURENT-VANNIER A., PELISSIER J. (Eds.), Expertise après traumatisme crânien, 25-30. Montpellier : Sauramps Medical.

5) BADDELEY A. (1992). Working memory. Science. 255, 556-559.

6) BADDELEY A. (1996). Exploring the central executive. The Quarterly Journal of Experimental Psychology, 49, 5-28.

7) BADDELEY A. (2000). The episodic buffer: a new component of working memory? Trends in cognitive sciences, 4, 417-423.

8) BADDELEY A., HITCH G. (1974). Working memory. In BOWER G. H., (Eds.), The psychology of learning and motivation: advances in research and theory. 8, 47-89, New York : Academic Press.

9) BARBAULT-LAPIERE J., LEVEL L. (2007). Évaluation du langage élaboré : création et normalisation d’un outil diagnostique. Mémoire pour l’obtention du certificat d’orthophonie, Université de Lille 2.

10) BARDET J. (2007). Rapport sur la prise en charge précoce des accidents vasculaires cérébraux. Office parlementaire d’évaluation des politiques de santé.

11) BARWOOD C. H., MURDOCH B. E. (2013). Language abilities of patients with primary progressive multiple sclerosis: A preliminary group and case investigation. International Journal of speech-language pathology, 15, 234–244.

12) BASSO A. (1995). Aphasie post-traumatique : Aspects cliniques et évolution. In BERGEGO C., AZOUVI P. (Eds), Neuropsychologie des Traumatismes Crâniens Graves de l'Adulte, 25-32. Paris : Frison-Roche.

13) BASTIN L., DEROUX C. (2007). Evaluation des capacités attentionnelles chez l’enfant. In NOEL M.-P. (Eds), Bilan neuropsychologique de l’enfant, 97-114. Wavre : Mardaga.

171 14) BAUCHET L., RIGAU V., MATHIEU-DAUDE, et coll. (2007). French brain tumor data

bank : Methodology and first results on 10,000 cases. J. Neurooncol, 84, 189-199.

15) BERGEGO C., AZOUVI P. (1995). Neuropsychologie des traumatismes crâniens graves de l’adulte. Paris : Frison-Roche.

16) BERNSTEIN B. B. (1960). Language and social class, British journal of sociology II, 217. In Glossa, 90, 44-56.

17) BEUKELMAN D.R., KRAFT G.H., J. FREAL (1985). Expressive communication disorders in persons with multiple sclerosis: A survey. Archives of Physical Medicine and Rehabilitation, 66, 675-677.

18) BIBBY H., MCDONALD S. (2005). Theory of mind after traumatic brain injury. Neuropsychologia, 43, 99-114.

19) BOGOUSSLAVSKY J., BOUSSER M.-G., MAS J.-L. (1993). Accidents Vasculaires Cérébraux. Rueil-Malmaison : Doin Editions.

20) BOURGUIGNON M. (2012). Validation du test de Langage Elaboré auprès d’un échantillon de sujets cérébro-lésés âgés de 20 à 39 ans. Mémoire pour l’obtention du Certificat de Capacité d’Orthophonie, Université Victor Segalen Bordeaux 2.

21) BOUTARD C., GUILLON A., CHARLOIS A-L. (2011). PELEA : Protocole d’Evaluation du Langage Elaboré de l’Adolescent. Isbergues : Ortho Edition.

22) BRACOPS M. (2006). Introduction à la pragmatique : les théories fondatrices actes de langage. Louvain-La-Neuve : De Boeck Université.

23) BRIN F., COURRIER C., LEDERLE E., MASY V. (2004). Dictionnaire d’orthophonie, 2. Isbergues : Ortho Edition.

24) BRISSART H., LEROY M., MORELE E., et coll. (2012). Cognitive rehabilitation in Multiple sclerosis. In Neurocase: the neural basis of cognition, 19, 553-565. Londres : Psychology press

25) BROWN J.W, GROBER E. (1981). Age, sex and aphasia type. Evidence for a regional cerebral growth process underlying lateralization. Journal of Nervous Mental Disorders, 171, 431-434.

26) BROWNELL H. H., POTTER H. H., BIHRLE A. M., GARDNER H. (1986). Inference deficits in right brain-damaged patients. Brain and Language, 27, 310-321.

27) BRYDEN M.P, HECAEN H., DEAGOSTINI M. (1983). Patterns of cerebral organization. Brain and language, 20, 249-262.

28) BURHOLT KRISTENSEN L., WANG L., MAGNUS PETERSSON K., HAGOORT P. (2013). The interface between language and attention: prosodic focus marking recruits a

172 general attention network in spoken language comprehension. Cerebral Cortex, 23, 1836- 1848.

29) CADET B. (1998). Psychologie cognitive. Paris : Press Editions.

30) CALLANAN M. M., LOGSDAIL S. J., RON M. A., WARRINGTON E.K. (1989). Cognitive impairment in patients with clinically isolated lesions of the type seen in multiple sclerosis. Brain, 112, 361–74.

31) CARAMAZZA A. (1999). Minding the facts: A comment on Thompson-Schill et al.’s : A neural basis for category and modality specificity of semantic knowledge. Neuropsychologia, 38, 944-949.

32) CARAMAZZA A., HILLIS A.E., (1990). Where do semantic errors come from? Cortex, 26, 95-122.

33) CARDEBAT D., JOANETTE Y. (1999). Perturbations discursives en pathologie du langage. De la description à l’interprétation. In SERON X., JEANNEROD M., (Eds.), Neuropsychologie humaine, 408-418. Liège : Mardaga.

34) CARON J. (1989) Précis de psycholinguistique. Paris : Presses Universitaires de France. 35) CAULIN C. (2012). Vidal Recos, recommandations et pratique, 4. Issy Les Moulineaux :

Vidal.

36) CECCALDI M., JOANETTE Y., TIKHOMIROF F., et coll. (1996). The effect of age- induced changes in communicative abilities on the type of aphasia. Brain and language, 54, 75-95.

37) CHAMPAGNE M., DESAUTELS M., JOANETTE Y. (2003). Accounting for the pragmatic deficit in RHD individuals: a multiple case study. Brain and Language, 87, 210-211.

38) CHARCOT J.-M. (1868). Histologie de la sclérose en plaques. Gazette Hôpitaux, 41, 557–558.

39) CHAUME, C., VIOLLAND, F. (2001). Analyses des dysfonctionnements du langage de haut niveau d’adultes atteints de traumatisme crânien grave à partir d’un matériel linguistique complexe dans une perspective écologique. Mémoire pour l’obtention du Certificat de Capacité d’Orthophonie, Université de Lyon.

40) CHOMEL-GUILLAUME S., LELOUP G., BERNARD I. (2010). Les aphasies, évaluation et rééducation. Paris : Elsevier Masson.

41) CLOUET A., DELLECI C., MAZAUX J.-M. (2011). Théorie de l’Esprit et compétences de communication : étude exploratoire chez des sujets cérébro-lésés. Annals of Physical and Rehabilitation Medicine, 54, 246-247.

173 42) COHADON F. (2000). Sortir du coma. Paris : Odile Jacob.

43) COHADON F., CASTEL J.-P., RICHER E., et coll. (2008). Les traumatisés crâniens, de l’accident à la réinsertion. Rueil Malmaison : Arnette Blackwell.

44) COHEN G., FAULKNER D. (1986). Memory for proper names: Age difference in retrieval. British Journal of Developmental Psychology, 4, 187-197.

45) COLLE F., (2010). Place du réentraînement à l’effort et de l’activité physique après accident vasculaire cérébral. In YELNIK A., DANIEL F., GRIFFON A., Actualités dans la prise en charge de l’AVC. Montpellier : Sauramps médical.

46) COLLINS A., QUILLIAN M. (1969). Retrieval time from semantic memory. Journal of verbal learning and verbal behavior, 19, 722-735.

47) CONNIN S. TILLARD A. (2011). Validation d’un test de langage élaboré auprès de patients atteints de démence. Mémoire en vue de l’obtention du Certificat de Capacité d’Orthophonie, Université Lille 2.

48) COQUET F. (2004). Troubles du langage oral chez l'enfant et l'adolescent. Méthodes et techniques de rééducation. Isbergues : Ortho Edition

49) CORDIER F., GAONAC’H D. (2004). Approche cognitive des aphasies. In B. LECHEVALIER, F. EUSTACHE, F. VIADER (2008). Traité de neuropsychologie clinique, 486-502. Louvain-la-Neuve : De Boeck Université.

50) CORRIGAN J.D., SELASSIE A.W., ORMAN J.A. (2010). The epidemiology of traumatic brain injury. Journal of Head Trauma Rehabilitation, 25, 72-80.

51) CROSSON B. (1996) Assessment of subtle language deficits in neuropsychological batteries: Strategies and implications. In SBURDONE R. J., LONG C. J., Ecological validity of neuropsychological testing, 243-259. Boca Raton : CRC Press LLC.

52) DEFER G., BROCHET B., PELLETIER J. (2010). Neuropsychologie de la sclérose en plaques. Paris : Elsevier Masson.

53) DELOCHE G., HANNEQUIN D. (1997). DO 80 – Epreuve de dénomination orale d’images. Paris : les Éditions du Centre de Psychologie Appliquée.

54) DUBOIS J., GIACOMO M., GUESPIN L., et coll. (1999). Dictionnaire de linguistique et des sciences du langage. Paris : Larousse.

55) DUCARNE DE RIBAUCOURT B. (1965). Test pour l'examen de l'aphasie. Montreuil : ECPA.

56) DUCARNE DE RIBAUCOURT B. (1988). Rééducation sémiologique de l’aphasie, 2. Paris : Masson.

174 57) DUCASTELLE C. (2004) Proposition d’une batterie d’évaluation du langage élaboré

(niveau lexical) et normalisation en population générale. Glossa, 90, 44-56.

58) DUCHÊNE A., DELEMASURE A., JAILLARD M. (2012). Predilem : Protocole d’Evaluation et de Dépistage des Insuffisances du Langage Elaboré et de la Mémoire. Grenade : Edition Créasoft.

59) DUCHENE MAY-CARLE, A. (2000). La gestion de l’implicite. Théorie et Evaluation. Isbergues : Ortho-édition.

60) DUCHENE MAY-CARLE, A. (2008). Les inférences dans la communication : cadre théorique général. Rééducation orthophonique, 234, 15-23.

61) DUCROT O., TODOROV T. (1972). Dictionnaire encyclopédique des sciences du langage. Paris : Seuil.

62) DUGUE A. (2013). Poursuite de validation et étalonnage d’une évaluation de langage élaboré du sujet adulte. Mémoire pour l’obtention du Certificat de Capacité d’Orthophonie, Université Victor Segalen Bordeaux 2.

63) DUPONT S. (2008). Epilepsie et tumeurs cérébrales. Revue Neurologique, 164, 517-522. 64) ELLIS, H.C., HUNT, R.R. (1993). Fundamentals of Cognitive Psychology, 5. Dubuque :

WM. C. Brown Communications.

65) EMERY C. (2008). Évaluation du langage élaboré : validation d’un outil diagnostique auprès de patients adultes cérébrolésés. Mémoire pour l’obtention du certificat d’orthophonie, Université de Lille 2.

66) EVANS, C.D. (1984). Rééducation du traumatisme crânien. Paris : Masson.

67) FERY-LEMONNIER E. (2009). La prévention et la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux en France. Rapport à Madame la ministre de la santé et des sports. 68) GALLON C. (1995). Les maladies du système nerveux, la sclérose en plaques. Dossier

santé de deuxième année d’assistant de service social non publié. Rhône

69) GATHERCOLE S.E., BADDELEY A. (1993) Working memory and language. Hillsdale : Lawrence Erlbaum Associates.

70) GATIGNOL P. (2007). Rééducation des troubles syntaxiques, In MAZAUX J.M., PRADAT-DIEHL P., BRUN V., Aphasie et Aphasiques. Paris : Masson.

71) GATIGNOL P., JUTTEAU S., OUDRY M., WEILL A. (2012). BIA - Bilan Informatisé Aphasie. Isbergues : Ortho Edition.

72) GATIGNOL, P., MARIN CURTOUD S. (2007). BIMM : Batterie Informatisée du Manque du Mot. Montreuil : ECPA.

175 73) GINESTE M.-D., LE NY J.-F. (2005). Psychologie cognitive du langage : De la

reconnaissance à la compréhension. Paris : Dunod

74) GONSETTE, R. (1995). La sclérose en plaques, maladie, espoirs et réalités. Bruxelles : Fondation Charcot Editeur.

75) GOSSERY S., JAMAN C. (2010). Fin de normalisation et validation d’un test de langage élaboré auprès de patients adultes cérébrolésés. Mémoire pour l’obtention du certificat de capacité d’orthophonie, Université de Lille 2.

76) GRATIER M. MOREL C. (2008). La compréhension de l’implicite chez les traumatisés crâniens. Elaboration d’un protocole d’évaluation écologique autour de la publicité audiovisuelle. Mémoire pour l’obtention du Certificat de Capacité d’Orthophoniste, Lyon. 77) GROBER E, BUSCHKE H. (1987). Genuine memory deficits in dementia.

Developmental Neuropsychologie, 3, 13-36.

78) HAITH M. M. (1997). The development of futur thinking as essential for the emergence of skill in planning. In S. L. FRIEDMAN, E. K. SCHOLNICK (Eds.), The developmental psychology of planning, 25-42. Mahwah, NJ : Erlbaum.

79) HAMMELRATH C. (2001). DVL 38 – Test de dénomination de verbes lexicaux. Isbergues : Ortho Edition.

80) HANNEQUIN, D., GOULET, J., JOANETTE, Y. (1987). La contribution de l’hémisphère droit à la communication verbale. Paris : Masson

81) HARLOW JM. (1868). Recovery from the passage of an iron bar through the head, 2, 327-246. Boston : Massachusetts Medical Society.

82) HARNISHFEGER, K. K. (1995). The Development of cognitive inhibition: Theories, definitions and research evidence. In F. N. DEMPSTER, C. J. BRAINERD (Eds.), Interference and inhibition in cognition. San Diego : Academic Press.

83) HASTING M.C., ZAZZO R. (1967). Echelle de développement psychosocial. Paris : Delachaux et Niestlé

84) HAUTE AUTORITE DE SANTE (2007). Guide affection de longue durée, accident vasculaire cérébral. Paris.

85) HECAEN H., DEAGOSTINI M., MONZON-MONTES A. (1981). Cerebral organization in lefthanders. Brain and language, 12, 261-284.

86) HEILMAN K.M., SAFRAN A., GESCHWIND N. (1971). Closed head trauma and aphasia. Journal of Neurology, 34, 265-269.

87) HESLING I. (2006). Traitement neuronal de la métaphore ? Bulletin de la Société de Stylistique Anglaise, 27, 177-194.

176 88) HUBER S.J., PAULSON G.W., SHUTTLEWORTH. E.C., et coll. (1987). Magnetic

resonance imaging correlates of dementia in MS. Archives of Neurology, 44, 732-736. 89) JAMES W. (1890). The principles of psychology, 2. New-York : Holt.

90) JOANETTE Y., SKA B., COTE H. (2004). Protocole MEC : Protocole Montréal d'évaluation de la communication. Isbergues : Ortho-Edition.

91) KERBRAT-ORECCHIONI C. (1986). L’Implicite. Paris : Armand Colin.

92) KERNBAUM S., GRÜNFELD J.-P. (2001). Dictionnaire de médecine, 7. Paris : Flammarion.

93) KINTSCH W., VAN DIJK T. A. (1975). Comment on se rappelle et on résume des histoires. Langages, 40, 98-116.

94) LAAKSO K, BRUNNEGAÊRD K., HARTELIUS L. (2000). Assessing high-level language in individuals with multiple sclerosis: a pilot study. Clinical linguistics & phonetics, 14, 329-349.

95) LECHEVALIER B., EUSTACHE F., VIADER F. (2008). Traité de neuropsychologie clinique. Louvain-la-Neuve : De Boeck.

96) LECLERQ, M., COUILLET, J., MARLIER, N., et coll. (1999). Etude de l'attention divisée après traumatisme crânien grave ou lésion préfrontale vasculaire. Annales de Réadaptation et de Médecine Physique, 42, 360-360.

97) LECUREUIL C. (2007). Création et étalonnage de “SEP, langage and Co. » : une batterie visant à évaluer les troubles du langage élaboré chez les patients atteints de Sclérose En Plaques. Mémoire pour l’obtention du Certificat de Capacité d’Orthophonie, Université Victor Segalen Bordeaux 2.

98) LEGER, J.-M., MAS, J.-L. (2009). Accidents vasculaires cérébraux. Paris : Doin.

99) LETHLEAN J.B., MURDOCH B.E. (1997). Performance of subjects with multiple sclerosis on tests of high-level language. Aphasiology. 11, 39-57.

100) LEVIN H.S., BROWN S.A., SONG J.X., et coll. (2001). Depression and posttraumatic stress disorder at three months after mild traumatic brain injury. Journal of Clinical and Experimental Neuropsychology, 23, 754-769.

101) LOISEAU H., HUCHET A., RUE M., et coll. (2009). Epidémiologie des tumeurs cérébrales primitives. Revue Neurologique, 165, 650-670.

102) LUBINSKI, R., STEGER MOSCATO, B., WILLER, B.S. (1996). Prevalence of speaking and hearing distabilities among adults with traumatic brain injury from a national household survey. Brain Injury, 11, 103-114

177 104) MAGNE, C. (2005). Approche comportementale et électrophysiologique du rôle de la prosodie dans la compréhension du langage. Thèse pour l’obtention du DESS de Neurosciences de Université d’Aix-Marseille III.

105) MANLY T., ROBERTSON I.H., ANDERSON V., MIMMO-SMITH I. (2004). TEA- Ch : Test d’évaluation de l’attention chez l’enfant. Montreuil : ECPA.

106) MARTIN I., MCDONALD S. (2003). Weak coherence, no theory of mind, or executive dysfunction? Solving the puzzle of pragmatic language disorders. Brain and Language, 85, 451-466.

107) MAZAUX J.M., BARAT M., JOSEPH P.A., et coll. (1997). Troubles du langage, de la parole et de la communication verbale après traumatisme crânien grave. Glossa, 58, 22- 29.

108) MAZAUX, J.-M., ORGOGOZO J.-M. (1982). Echelle d’évaluation de l’aphasie. Paris : Editions et applications psychologiques.

109) MCDONALD J. P. (1992). Dilemmas of planning backwards : Rescuing a good idea. Teachers College Record, 94, 152-169.

110) MEULEMANS T., AZOUVI P., COYETTE F., AUBIN G. (2004). Neuropsychologie des traumatismes crâniens légers. Marseille : Solal.

111) MILBERG W., BLUMSTEIN S. E., KATZ D., et coll. (1995). Semantic facilitation in aphasia: Effects of time and expectancy. Journal of Cognitive Neuroscience, 7, 33-50. 112) MILNER B. (1963). Effects of different brain lesions on card sorting. Archives of

Neurology, 9, 90-100

113) MIYAKE A., FRIEDMAN N. P., EMERSON M. J., et coll. (2000) The unity and diversity of executive functions and their contributions to complex “frontal lobe” tasks : A latent variable analysis. Cognitive Psychology, 41, 49-100.

114) MONETTA L., CHAMPAGNE M. (2004). Processus cognitifs sous-jacents déterminant les troubles de la communication verbale chez les cérébrolésés droits, Rééeducation orthophonique, 219, 27-41.

115) MORTON J. (1980). The logogen model and orthographic structure. In FRITH U., (Eds.), Cognitive Processes in Spelling. London : Academic Press.

116) NESPOULOUS J.-L., JOANETTE Y., ROCH LECOURS A. (1998). MT 86 – Protocole Montréal-Toulouse d’examen linguistique de l’aphasie. Isbergues : OrthoEdition

178 117) NORMAN D.-A., SHALLICE, T. (1980). Attention to action: Willed and automatic control of behavior. In R. J. DAVIDSON, G. E. SCHWARTZ, & D. SHAPIRO (Eds.), Consciousness and self-regulation, 4, 1-18. New York: Plenum.

118) NOTA, A. (2002). Les troubles du langage en sclérose en plaques. Journées de la Mission SEP de l’APF. Paris.

119) PAOLUCCI S., GANDOLFO C., PROVINCIALI L., et coll. (2005). Quantification of the risk of post stroke depression: the Italian multicenter observational study DESTRO. Acta Psychiatrica Scandinavica, 112, 272-278.

120) PAPAGNO, C., BASSO, A. (1996). Perseveration in two aphasic patients. Cortex, 32, 67–82.

121) PAPEIX C. (2011). La sclérose en plaques, s’informer pour mieux se soigner. Paris : Odile Jacob.

122) PELISSIER J., BARAT M., MAZAUX J.-M. (1991). Traumatisme crânien grave et médecine de rééducation. Paris : Masson.

123) PELISSIER J., LABAUGE P., JOSEPH P.-A. (2003) La sclérose en plaques. Paris : Elsevier Masson.

124) PERETTI C., GRIMAUD O., TUPPIN P., et coll. (2012). Prévalence des accidents vasculaires cérébraux et leurs séquelles et impact sur les activités de la vie quotidienne : apports et enquêtes déclaratives Handicap-santé-ménages et Handicap-santé-institution. In Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire, 1, 1-6.

125) PETER FAVRE C. (2002). Neuropsychologie et pragmatique. Paris : L’harmattan. 126) PILLON A. (1987). Le sexe du locuteur est-il un facteur de variation linguistique ?

Revue critique. La linguistique, 23, 35-48.

127) PILLON, A. (2001). Les troubles aphasiques de la production de phrases : théorie, évaluation et rééducation. In AUBIN G., BELIN C., DAVID D., DE PARTZ M.P., Actualités en pathologies du langage et de la communication, 151-188. Marseille : Solal. 128) PLANTIER D. (1996). Performances discursives après Traumatisme Crânien Sévère.

Comparaison des aspects du discours narratif et des aspects du discours descriptif, Incidences en médecine physique. Thèse pour l’obtention du doctorat en médecine de l’ Université Claude Bernard Lyon 1.

129) PRAKASH R.S., SNOOK E.M., LEWIS J. M., et coll. (2008). Cognitive impairments in relapsing-remitting multiple sclerosis: a meta-analysis. Multiple Sclerosis Journal, 14, 1250-1261.

179 130) PREMACK, D. G., WOODRUFF, G. (1978). Does the chimpanzee have a theory of

mind? Behavioral and Brain Sciences, 1, 515–526.

131) PURDY, M. (2002). Executive function ability in persons with aphasia. Aphasiology, 16, 549-557. Londres : Psychology Press.

132) RIGAU, V., ZOUAOUI, S., MATHIEU-DAUDE, et coll. (2011). French Brain Tumor DataBase : 5-Year Histological Results on 25 756 Cases. Brain Pathology, 21, 633-44. 133) RONDAL, J.-A., SERON, X. (2003). Troubles du langage. Bases théoriques,

diagnostic et rééducation. Liège : Mardaga.

134) ROSCH E. (1975). Cognitive reference points. Cognitive psychology, 7, 532-547. 135) ROUSSEAUX M., DEIS CAS P, GOSSERY S., JAMAN C. (2012). Le langage

élaboré chez les patients AVC. Annals of Physical and Rehabilitation Medicine, 55, 185. 136) SAMSON D. (2001) Evaluation et rééducation des troubles sémantiques. In G.

AUBIN C. BELIN, DE PARTZ M.P. (Eds), Actualités en pathologie du langage et de la communication, 103-129. Marseille : Solal.

137) SANTINI B., TALACCHI A., SQUINTANI G., et coll. (2012). Cognitive outcome after awake surgery for tumors in language areas. Journal of neuro-oncology, 108, 319- 326.

138) SERON X., VAN DER LINDEN M., ANDRES P. (1999). Le lobe frontal : à la recherche de ses spécificités fonctionnelles. In M. VAN DER LINDEN, X. SERON, D. LEGALL, P. ANDRES (Eds), Neuropsychologie des lobes frontaux, 33-88. Marseille : Solal.

139) SHALLICE, T. (1988). From neuropsychology to mental structure. Cambridge : Cambridge Press.

140) SHAPIRO K., CARAMAZZA, A. (2001). Language is more than its parts: A reply to Bird, Howard and Franklin. Brain and Language, 78, 397-401.

141) SIEROFF E. (2009). L'attention. In B. Lechevalier, F. Eustache, F. Viader., (Eds), Traité de neuropsychologie clinique. Neurosciences cognitives et cliniques de l'adulte, 265-293. Louvain-la-Neuve : De Boeck.

142) SORIAT-BARRIERE B., TCHERNIACK V., VION-DURY J. (2011). Proposition d’un bilan Clinique et paraclinique chez les traumatisés crâniens légers et modérés, l’expérience du GREPAM TC. In H. CURALLUCI, V. TCHERNIACK, J. VION-DURY, (Eds.), Le traumatisme crânien léger ou modéré : un handicap négligé. Marseille : Solal. 143) SOUTET O. (2011). Linguistique. Paris : Presses universitaires de France – PUF.

180 144) STEMMER B., COHEN H. (2002). Neuropragmatique et lésions de l’hémisphère

droit. In Neurospychologie et pragmatique, 13, 15-46. Paris : L’harmattan,

145) STONE V-E., BARON-COHEN S., KNIGHT RT. (1998). Frontal lobe contributing to theory of mind. Journal of Cognitive Neuroscience, 10, 640-656.

146) SZREMENT C. (2007). Elaboration d’un matériel textuel de rééducation de langage élaboré destiné aux patients souffrant de séquelles d’aphasie. Mémoire pour l’obtention du certificat de capacité d’orthophonie, de l’université de Lille.

147) TOMPKINS C.A., BAUMGAERTNER A., LEHMAN M.T., FOSSETT T.R.D. (1995). Suppression and discourse comprehension in right brain-damaged adults. Brain and Language. 51, 181-183.

148) TULVING, E. (1972). Episodic and semantic memory. In TULVING E., DONALDSON W., (Eds), Organization of memory, 381–403. New York : Academic Press.

149) VAN DER LINDEN, M., SERON, X., LE GALL, D., ANDRES, P. (1999). Neuropsychologie des lobes frontaux. Marseille : Solal,

150) VAN OVERBEKE M. (1972). Introduction au problème du bilinguisme. Langues et culture, 7. Paris : Labor.

151) VAN ZOMEREN A.H., BROUWER W.H. (1994). Clinical Neuropsychology of Attention. New York : Oxford University Press.

152) WAPNER W., HAMBY S., GARDNER H. (1981). The role of the right hemisphere in the apprehension of complex linguistic materials. Brain and Language, 14, 15-33. 153) WECHSLER D. (2000). Wechsler Adult Intelligence Scale, 3. Paris : Editions du

Centre de Psychologie Appliquée.

154) WILZ G. (2007). Predictors of subjective impairment after stroke: Influence of depression, gender and severity of stroke. Brain Injury, 21, 39-45.

155) YATES P.J., WILLIAMS W.H., HARRIS A, ROUND A, JENKINS R. (2006). An epidemiological study of head injury in a UK population attending a emergency department. Journal of Neurology Neurosurgery Psychiatry, 77, 699-701.

181

ANNEXES

I.

Annexe 1 : Notice explicative à l’attention des sujets participants à