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a/ Evaluations de la CEA, prix courants cbrr'iges selon l'indice des prix a la ''

consommation de Banjul, . ' : -. - : I

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1977 environ mille hectares etaient plantes en coton «6»tre-44Q ^©c^^res-ett :i

La production commerciaiisee s'est elevee a 285 tonnes et 795 J^onnes^en^.1975/1976,.£t~_

OnpreVoyaTt \que ;les superficies cultivees ratteindraiifenjb -'-'T

-4Jne-us-JUve -dJ-effpenage du coton- ^dr'une uapaclte de 10 OOCTr

tonnes a 5te inauguree en 1977 a Basse. J. , ■ .

La production de palmistes a ete entravee par le vieillissemerit des arbres et de faibles renderaents. La production s'est elevee a 2 332 tonnes en 1971/1972 opntre 2 081 tonnes en 197O/197L Elle a ensuite dlminue progressivement et n'etait plus, que de 1.396 tonnes en 1974/1975* Elle est remontee de 18,1 p. 100 en 197$A976 pour . atteindre 1 649 tonnes et de 14>9 p. 100 en 1976/1977 pour atteindre 1 896 tonnes,

En ce qui cone erne les cultures vivr$.eres, cejle du r^.z a considerablementraug-' mente ces dernieres annees qui ont vu un changement dans les habitudes alimentaires des Gambiens qui se sont mis a manger du riz. La production de riz non decortique en

I976/1977 atalt evaluee a 31*900 tonnes soit une augmentation de 4 P- 100 par rapport.

a l'annee precedente. Cependant on est encore oblige d1 importer 30 000 tonnes de riz

par an pour completer les ressources locales. L'objectif qiie s'est fixe ie gouverne—

ment est de realiser 1'autosuffisance en 1980. Le plan quinquennal de developpement actuellement en cours d'execution prevoit .la bonification d'environ-:^ 000 hectares de marecages pour la culture de riz inonde et la remise en etat de 51 Km de canaux pour

la culture de riz irrigue. .

e qui~concerne lreievage, on estime que le cheptel total augfflente de 3 P« 100 par an. Sn 1976/77 le cheptel boyin comptait 300 000 tgtes de betailv Un office de la commercJLalisation du betail fTonctionne de^uis juil^etj 1977* 'Dans sa premiere annee A 'existencef-l' office a aGhete-des boeufs,- des -moutons -et-ties-chevres pour une valeur

de D 226 000. .. r, ,

expor'fations de poisson et de preparations de poisson ont caugn'ente de 729 tonnes en 1970/1971 a 11 >524 ^tonnes en 1975/1976. Elles 0nt legerement -diminue ehsuite

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et ji!_etaient_|ilus. .que-de-dl 4h&>--tonaes--en 2£?6/a07?f--'nafes~'Ci&ns"les neuf. mois de 1977 » mars 1978f les exportations de poisson ont atteint 27.838 tonhes« L'Etat a . acquis une participation dans deux corapagnies de pScheries modernes> la ."Gambia

Fishe^-ries Ltd" (Soci'ete anonyme o^es t>^cheFishe^-ries d'er ^arabie)^ et_J.a^ J^e^ul^J^^^^ ComE^il!!!_. _.

TrtouetFe"), Les deux compagnies ont une capacite^tpta^e^ permettant la; transformation de 65 tonnes de ^Issoti'par Jour et elles peuvent ei^trepbser i~55O .„

tonnes* On encourage le developpemenf de la pectie artlsanale par des programmes de vulgarisation, et de formation du personn^- une amelioration. de lfinfT!astructure et des

f acilites de credit. , r;ii_

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-(b): Industries mamifacturieres* Ce secteur a fait quelques progres pendant la derniere decennie, mais sa contribution au PIB en termes de valeur ajoutee reste assez faible. L'Office de commercialisation des produits de la Gambie a elargi sa sphere d'activites, ajoutant lEusinage du riz et x'egrenage du coton au decorticage et au broyage des arachides, Parmi les autres industries de la Gambie on peut citer la mise en bouteilles de boissons non alcoolisees, la transformation des cuirs et peaux, la fabrication de portes et fene*tres en acier, de mobilier scolaire, de petit outillage pour 1Tagriculture et de panneaux de fibre Une brasserie est en activite depuis 1977*

(c) Electriciteff Toute 1'electricite produite en Gambie provient de sources thermales. La capacite installee entre 1973 et 1972 a ete de 8 000 kwts. En 1973

elle atteint 9 000 kwts et n'a plus vari& depuis* La production dc£lectrxcite a

aug-mente de 13 millions'4e kWh en 19/0 a 31 millions de kWh en 1977 soit au taux de 13*2 . p. 1Q0 ,par an en moyennea A la fin de 1977c *a principale generatrice de la region de-Banjul a ete gravement endotnraagee. II en est resulte des coupures de courant intermit—

tentes, mais parfois prolongees pendant tout le premier semestre de 1978. La Societe des services.publics defGambia Utilities Corporation) qui exploite toutes les ressources

en electricite du pays, a eu des difficultes de gestion et a souffert d'une grave penurie de personnel technique ce qui n'a pas facilite les choses en ce qui concerne la regula—

rite de la distribution d'electricite. - ;

(d) BStiinent et travaux publics. La part de la valeur ajoutee provenant du bttljnent et des travaux publics, y compris 1! exploitation des carrieres a augnente de 2,6 p. 10O en 197) a 5P7 p<> K)0 en 1977A978. L1 expansion, dans ce secteur, s'est traduite par des grands travaux qui ont ete effectues pendant cette periode an port de Banjul, au nouvel aerodrome de Yumdum, sur le reseau routier et dans 1'hStellerie,

Les importations de ciment ont considerablement augmentecea dernieres annees.

En vuede freiner cette progression^ deux petites manufactures rurales qui fabriquent des briques a base d'argile ont ete crees en 19780 Ce n'est quTun premier pas et on envisage la construction d'une fabrique de briques semi-automatisee qui doit permettre dtameliorer la qualite des logements des paysans etf de facon generale, servir 1'indus-trie locale du b^timento

(e) Transports. En Gambier les. transports routiers sont un complement aux trans ports fluviaux, mais on a eu tendance a utiliser davantage le reseau routier depuis qufil a ete ameliore, Depuis 1969/l9/Of 272 kil^uetres de routes nouvelles ont ete construites et la chaussee de certaines routes lateritiques a ete ref aite. On est en train de realiser un programme de developpement des routes d* alimentation, en vue de

stlmuler 1' agriculture et le commerce©

En 1976; la Societe de transports publics libyo-gambienne a ete fondee pour organi ser un service regulier d(autobus dans tout le paysa On a pu ainsi resoudre, dans une large roesure, le probleme du transport a leur lieux de travail des banlieusardsj, entre Konbo et Banjul,

navires de fort tbrtnage hesitent a faire escale a Banjul parce que les cvargaisons

a destination ou en provenance de la Gambie sont faibles0 L'Etat a a^uis «on premier•'■■

navire de haute mer en 1978*

On a acheve la construction de la gare aerienne a l'aeroport de Yumdura et on y a aneliors les pistes d'envol et les installations techniques., Yumdisri possedera line piste d¥envol de 3 600 metresj lorsque les travaux en Cours seront

Tourisme» Le nombre total des touristes visitant la Gambie a augmente de

9 875 en 1973/1971 a 23 4.96 en 1973/1974* Leur nombre a ensuite baisse et n«etait plus que de 2l 342 en W^A^TSr mais est ranonte a 22 886 en 1975/1976 et a £3,122 en, i976/l977t Le nombre de lits d'hStel a augnente de 404 en 1973/197! a 2 147 en 1976/I977* i'G taux d*occupation a fix tendance a diminuer, etaiit donne que le nomfcre

des Hts a augmente plus vite que le nombre de touristes0 La duree raoyenne des sejours a eu aussl tendance a dimiiiuer pendant la peripde co^sideree* Les recettes totales du tourisme ont cependattt augmente et se sont elevees a D 15,5 millions'en '