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Différentes façons de promouvoir une offre globale par l’émergence de nouveaux profils professionnels

2.  L’émergence de certifications portées par des associations

2.2  Différentes façons de promouvoir une offre globale par l’émergence de nouveaux profils professionnels

qu’en listant les certifications qui s’avèrent plus ou moins proches de leurs propres titres, la création d’un  titre commun à plusieurs organismes de formation constitue une indéniable avancée. Elle a conduit les  associations concernées à se concerter sur de nombreux sujets et renforce les missions de la fédération en  termes de promotion et de gestion du titre. Elle pourrait devenir un lieu de mutualisation des informations  et des réflexions de chacune des associations ayant participé à la création du titre ou chargé de la mise en  œuvre des formations qui permettent de le préparer, et en s’appuyant sur les relations que chaque  association entretient avec son environnement – entreprises, anciens stagiaires, autres  associations  d’écoconstruction  ‐ veiller à promouvoir et faire évoluer l’offre de certifications de ses membres sans  perdre de vue ce qui fait l’originalité et la dimension innovante des démarches des associations. 

 

2.2. Différentes façons de promouvoir une offre globale par l’émergence de  nouveaux profils professionnels 

 

Le coordinateur en rénovation énergétique et sanitaire (code RNCP 15759)   

Les concepteurs de ce titre semblent se référer à la notion d’habitats sains et pas seulement à celle de  bâtiments performants. L’activité de rénovation des habitations vise autant la préservation du bâtiment  que l’amélioration  énergétique.  Le  rôle  du  coordonnateur est de  concevoir  et  exécuter  un  projet  d’amélioration de l’habitat dans un objectif d’optimisation énergétique, mais aussi de réduction des risques  sanitaires. Son intervention couvre toutes les étapes du projet de rénovation : étude de l’existant,  proposition de stratégies d’amélioration, coordination des travaux de second œuvre, jusqu’à la réception  des travaux. Ce titre de niveau III se compose de quatre unités correspondant à quatre activités. La  première activité concerne le bilan de l’existant : celui‐ci est global et non pas seulement énergétique. La  deuxième activité est entièrement consacrée à la proposition d’une offre globale qui ne concerne pas  seulement l’amélioration énergétique mais aussi l’état sanitaire du bâtiment et son confort. La quatrième  activité vise à assurer des prestations coordonnées et concertées, seules à même de garantir la qualité  d’une prestation globale : 

 

Activité 1. Réaliser le bilan énergétique et sanitaire de l'existant. 

Activité 2. Proposer une offre globale d'amélioration énergétique et sanitaire de l'habitat. 

Activité 3. Mettre en œuvre les procédés d'isolation de l'enveloppe du bâtiment. 

Activité 4. Animer la coordination d'un ensemble de travaux de second œuvre préconisés pour  garantir une performance énergétique et sanitaire. 

 

Ce titre a été créé en 2012 par INIT Environnement avec effet rétroactif à partir de 2008 et est également  préparé depuis 2016 par l’association Oïkos qui a remplacé la formation « Eco‐habitat et Performance  énergétique » moins longue et pas certifiante, qu’elle proposait jusque‐là. 

 

Le conducteur de projet en éco‐construction et bio‐climatisme (CPECB) 

 

Ce  conducteur  de  projet  est  un  technicien  qui  intervient  aussi  à  toutes  les  étapes  d’un  projet  d’écoconstruction et de bioclimatisme, depuis les phases d’étude, la conception du projet, la préparation  du chantier, la réalisation des travaux jusqu’à la clôture des opérations. Son activité s’adresse aussi bien aux  projets de création neuve, qu’aux opérations de restauration ou de réhabilitation de bâtiments. La  référence au principe du bioclimatisme marque la volonté de prendre en compte la relation du bâtiment  avec son environnement. La référence au principe de l’écoconstruction, celle visant à privilégier l’usage des  écomatériaux disponibles localement. Sa présence à toutes les étapes de la construction et l’accent mis sur  sa fonction d’animateur d’un réseau d’acteurs en font un acteur du rapprochement entre toutes les  entreprises concourant à la réalisation d’un projet de construction. Il contribue en cela à réunir les  conditions de production et de réalisation d’une offre globale qui passe par le développement d’une  approche collaborative et la constitution de groupements d’entreprises momentanés ou permanents. Cette  formation longue (1 085 heures en centre et 290 heures en entreprise) organisée par l’association Noria et  Cie, préfigure la création d’un titre de niveau III actuellement en cours d’instruction. 

   

Le chargé de projet Énergie et Bâtiment Durables  

 

Cette formation de 1 326h (dont 440h en entreprise) est organisée depuis 1989 par l’association savoyarde  pour le développement des énergies renouvelables (ASDER). Elle a été inscrite au RNCP en 2010 comme un  titre de niveau II sous l’intitulé « Chargé de Projet en Maîtrise de l’énergie, énergies renouvelables et  écoconstruction » (code RNCP 11512), puis sous l’intitulé chargé de projet énergie et bâtiments durables en  2016 (code RNCP 26787). L’un comme l’autre, ces intitulés marquent la volonté d’intégrer l’approche  énergétique dans une démarche plus globale de qualité environnementale. La présentation de ce profil  métier met également l’accent sur les compétences à communiquer avec la maîtrise d’ouvrage : « Le  chargé de projet informe et sensibilise ses différents interlocuteurs, le plus souvent des maîtres d’ouvrage  sur les enjeux énergétiques, écologiques et sanitaires, sur les solutions techniques de l’éco‐bâtiment et des  énergies renouvelables, sur la réglementation, les coûts, les aides financières. Il écoute et évalue la  problématique de son interlocuteur et l’oriente dans ses choix de maîtrise de l’énergie. La communication  est une composante importante de son métier. » 

 

Outre l’ASDER, ce titre est préparé par le CFP La Futaie de la maison Familiale rurale (MFR) de la Mayenne  et par l’institut régional universitaire polytechnique (IRUP) de Saint‐Etienne qui est une structure sous  statut associatif. 

 

Le technicien bâtiment basse consommation (BBC) 

 

Porté par Néopolis, qui n’est pas une association mais un service de la CCI de la Drôme, ce titre de niveau IV  a été enregistré au RNCP en 2014. Il fait suite à un premier titre ayant quasiment le même intitulé  enregistré au RNCP en 2011 avec effet rétroactif en 2008.  La  fiche RNCP du premier titre faisait  explicitement référence à l’utilisation de bottes de paille comme isolant, de mortier de chanvre ou de  chaux et à la réalisation des espaces nécessaires à l’intégration des énergies renouvelables, des appareils de  domotique, des différents systèmes de chauffage et des réseaux électriques et d’eau. En cela, ce technicien  est un peu plus qu’un ouvrier qualifié en enveloppe du bâtiment car il présente quelques atouts pour  réduire les problèmes relatifs aux interfaces entre corps d’état. Outre Néopolis, la préparation à ce titre est  assurée par les associations Batipôle en Limouxin, Etudes et chantiers Bretagne – Pays de Loire, Fondation  d’Auteuil, ASDER. 

 

On voit bien au travers de ces quelques exemples, qu’il existe différentes façons de définir ce qu’est une  offre  globale,  selon  que  l’on  a  en  référence  un  objectif  d’amélioration  énergétique,  de  qualité  environnementale des bâtiments, de qualité d’usage et différentes manières d’en assurer l’aboutissement  selon l’importance qu’on accorde aux besoins et attentes des clients, à l’utilisation d’éco‐matériaux de  proximité, aux collaborations verticales et horizontales entre professionnels. Les démarches relatives à ces  différentes approches peuvent être encore approfondies et améliorées pour peu que l’on parvienne à  mutualiser l’expérience acquise par un grand nombre d’acteurs engagés dans des problématiques plus ou  moins proches. 

 

 

 

Conclusion 

En examinant quelques dispositions réglementaires prises dans le cadre de la transition écologique du  secteur de la construction, il s’avère que : 

 

 la priorité a été donnée à la réduction de la consommation énergétique des bâtiments ; 

 les dispositions réglementaires sont fondées sur une dissociation entre caractéristiques techniques  des bâtiments et fonctions d’usage ; 

 elles font une large place à des procédures de certification (des entreprises, des bâtiments, des  professionnels) dont la légitimité et la valeur sont incertaines, au détriment de l’engagement d’un  processus de changement concernant les relations économiques et l’organisation des entreprises,  les compétences des professionnels et leur formation, les comportements et modes de vie ; 

 elles ne tiennent pas compte des spécificités des territoires, hormis quelques aménagements des  objectifs de consommation énergétique à atteindre en fonction des caractéristiques climatiques. 

 

La transition écologique ne peut se limiter, même si s’en est une des dimensions, à une politique de  réduction de la consommation énergétique et  elle ne peut réussir  sans la prise de conscience et  l’implication des hommes : ménages, citoyens, consommateurs, professionnels. Le premier enseignement  de cette étude est qu’il importe d’infléchir la politique menée dans le domaine de la construction durable  pour l’ouvrir  à l’ensemble  des  dimensions  du  développement durable.  En  abordant les problèmes  environnementaux du seul point de vue de la consommation énergétique des bâtiments, on risque de faire  l’impasse sur la fonction première des bâtiments qui est celle d’être occupés et « habités ». 

 

Associations d’institutions et associations citoyennes ou professionnelles peuvent être porteuses d’un  projet « d’habitat durable ». Les premières en incitant à l’échange et à la coopération entre institutions aux  finalités et modes d’organisation différents, les secondes en permettant le développement d’approches  pluridisciplinaires entre professionnels et une relation accrue entre ces professionnels et les particuliers. 

 

Pour peu qu’elles  se  fixent  des  objectifs  en termes  de changement  organisationnel  et  social, ces  associations ont des missions complexes de sensibilisation et d’élaboration de nouvelles problématiques et  méthodologies. Elles sont cependant fragiles. Leurs moyens financiers et en ressources humaines sont  limités.  Elles  peuvent  se  détourner  de  leur  objet  social  du  fait  de  leur  propre  dynamique  d’institutionnalisation ou des influences et procédures de contrôle qu’elles subissent. Elles ont à se  coordonner et à fonctionner en réseau, ce qui n’est pas toujours aisé compte tenu de leur quasi‐complète  autonomie et de leur positionnement dans un champ concurrentiel. Elles ont à la fois à rechercher une  reconnaissance sociale et des moyens d’action qui passent par un processus d’encastrement politique et  social, à se professionnaliser et à évoluer sans pour autant perdre de vue ce qui fait leur originalité et leur  capacité à innover.  

 

L’apport des associations à l’adaptation du secteur du bâtiment au temps du développement durable, mais  aussi l’envergure de cette tâche et les difficultés qu’elles ont à affronter, invitent à proposer quelques  pistes de travail pour lesquelles sont présentés les apports éventuels du Céreq. 

   

 

Développer les  compétences en  interne 

Faire bénéficier les adhérents de formations sur la 

 

Annexe 1 ● Bibliographie 

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