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Correspondance d’un segment avec un composant du PSF 118

Dans le document The DART-Europe E-theses Portal (Page 133-140)

4.2 Patrons Structurels Flous pour la repr´esentation de symboles

4.2.2 Formalisation des PSF

4.2.2.1 Correspondance d’un segment avec un composant du PSF 118

Pour un segmentSi donn´e, on peut d´eterminer un score bipolaire de son positionnement et un score de l’ad´equation de son ´etendue avec un composantMj du psf. Le sch´ema de la figure4.5 pr´esente le mode de calcul de ces deux scores.

Si

Figure4.5: Sch´ema d’exploitation du composant j d’unpsf pour un segment Si (mod`ele spatial bipolaire et mod`ele associ´e d’´etendue par points particuliers). Le score de posi-tionnement global est la moyenne arithm´etique des scores bipolaires des points de Si. Le score global d’´etendue est une moyenne arithm´etique des scores d’´etendue de chaque point particulier (a,m,b).

Le score Pxyj (Si) mesure l’ad´equation du positionnement des points de Si par rapport au mod`ele Mj d´evelopp´e sur les deux r´ef´erences rx etry. Un composant du psf est d´efini par deux m´eta-mod`eles spatiaux, chacun relatif `a l’une des deux r´ef´erencesMj = (ajx, ajy).

Pour un point pi du segment Si, son ad´equation au mod`ele de positionnement doit donc prendre en compte son positionnement par rapport aux deux r´ef´erences, selon quatre points de vue directionnels pour chacune d’entre elles. On rappelle que selon l’´equation (3.20), l’ad´equation du positionnement d’un pointp par rapport `a un mod`ele bipolaireaj appliqu´e

`

a une r´ef´erenceR est exprim´e par :

µaj(R)(p) =>[µαi(R)(p)]i=1..4, (4.2) avec > une t-norme bipolaire et αi qui d´esigne l’un des quatre points de vue consid´er´es dans le m´eta-mod`eleaj.

Dans le cas d’un point p `a positionner conjointement par rapport `a deux mod`eles dis-tinctsajx etajy, chacun ´etant d´evelopp´e sur une r´ef´erence diff´erente, on peut calculer l’ad´e-quation de son positionnement par :

µMj(rx, ry)(p) =>(µajx(rx)(p), µajy(ry)(p)). (4.3) L’utilisation d’un op´erateur de conjonction signifie que, pour ˆetre bien positionn´e par rapport `a la description du composantMj, le pointpdoit ˆetre bien positionn´e vis-`a-vis des deux mod`eles et des deux r´ef´erences `a la fois.

La figure4.6repr´esente le calcul de l’intersection de deux m´eta-mod`eles spatiaux d´efinis sur les r´ef´erences rx etry du caract`ere pris en exemple `a la figure 4.4. Les deux premiers mod`eles d´ecrivent la position du premier composant du caract`ere par rapport `a rx et ry respectivement, tandis que le troisi`eme mod`ele illustre le r´esultat de leur fusion selon l’´equa-tion (4.3). Cette figure illustre pour cet exemple l’int´erˆet de d´ecrire le posil’´equa-tionnement par rapport aux deux r´ef´erences simultan´ement : le mod`ele complet est en effet bien plus pr´ecis que les deux autres pris s´epar´ement.

(a) (b) (c)

Figure4.6: M´eta-mod`ele pour le composantM1 du caract`ere de la figure4.4par rapport `a sa r´ef´erencerx(a), par rapport `ary (b) et visualisation du mod`ele d´efini par leur intersection selon l’´equation (4.3)(c).

Par distributivit´e de la t-norme, on peut en fait consid´erer le score globalµMj(rx, ry)(p) (´equation (4.3)) comme le r´esultat d’application d’un mod`ele `a huit points de vue, dont les quatre premiers sont relatifs `a la r´ef´erencerx et les quatre autres sont relatifs `a ry. Ainsi, dans le sch´ema de la figure 4.5, on exprime l’ad´equation du positionnement d’un point pi par rapport au mod`ele comme le r´esultat de la conjonction bipolaire de huit mesures d’ad´equation (selon les points de vuehautpar rapport `arefx, . . .,droitepar rapport `arefx, haut par rapport `a refy, . . ., droite par rapport `a refy). Le score bipolaire µMj (rx, ry)(p) y est not´e pour simplifier < p+;p >. Il exprime, par un degr´e flou bipolaire, dans quelle mesure le pointp est correctement positionn´e par rapport aux mod`eles de positionnement consid´erant quatre points de vue depuis les deux r´ef´erences `a la fois.

Le score d’ad´equation de positionnement pour le segment complet est calcul´e en moyen-nant l’ad´equation bipolaire par rapport au mod`ele point `a point. Cette strat´egie de fusion correspond `a la mise en œuvre bipolaire de la mesure moyenne d’ad´equation formul´ee `a la section2.2.3.3(voir l’´equation (2.6)). L’op´erateur de moyenne arithm´etique donne un poids identique `a chaque point de Si, sans p´enaliser lourdement le score global en cas d’existence de points mal positionn´es. On note le score globalPxyj (Si).

En parall`ele, un score d’ad´equation de l’´etendue deSi peut ˆetre calcul´e relativement au mod`ele. On adopte ici la strat´egie d’´etendue par points particuliers, qui avait ´et´e pr´esent´ee

`

a la section 3.5.3. Pour chaque point particulier identifi´e dans le segment Si (points a, b etm), on peut ´evaluer l’ad´equation de sa position relativement au mod`ele d’´etendue pour chacun des deux mod`eles. Comme pour les scores de positionnement, on peut agr´eger les huit scores d’ad´equation puisqu’il s’agit du mˆeme point de trac´e qui est analys´e sous huit points de vue (quatre points de vue directionnels depuis chacune des deux r´ef´erences).

L’´etendue n’est pas d´ecrite par un mod`ele bipolaire et le r´esultat du calcul pour un point est donc un score flou simple. La fusion entre les scores d’´etendue pour chaque point est faite par une moyenne g´eom´etrique qui d´etermine un score global Exyj (Si). Cet op´erateur (plutˆot qu’une moyenne arithm´etique comme pour le score de positionnement) traduit le besoin d’avoir conjointement chacun des points particuliers bien positionn´e selon le mod`ele d’´etendue. Le score global est donc fortement p´enalis´e si l’un des points particuliers a un mauvais score individuel. Le r´esultat du calcul est un score flou classique qui est ramen´e `a sa g´en´eralisation bipolaire (< u;v >avecv= 1−u) pour son int´egration dans le m´ecanisme de fusion globale.

Le sch´ema pr´esent´e ici pour le calcul de la correspondance entre une portion de trac´eSi et un composant dupsfMj est reproduit presque `a l’identique pour le calcul des scores de larva. La seule diff´erence est que les mod`elesNjsont appliqu´es sur des ´el´ements graphiques virtuelsBi (qui sont les quatre segments qui d´efinissent les bords de la boˆıte englobante du symbole) et non pas sur des portions de trac´es r´eels.

Pour le cas des trac´es de r´ef´erencerxetry, le sch´ema est l´eg`erement diff´erent, puisqu’ils ne sont positionn´es que l’un par rapport `a l’autre (une seule r´ef´erence de positionnement).

Les deux sch´emas de la figure 4.7pr´esentent l’exploitation des mod`eles de positionnement de chaque r´ef´erence par rapport `a l’autre.

4.2.2.2 Fusion globale

Nous exposons ici comment est calcul´e le score global de correspondance entre un sym-bole `a reconnaˆıtreS et un mod`ele depsfnot´eT. Consid´erons le cas g´en´eral d’un symbole segment´e en deux r´ef´erences rx,ry ainsi que k ´el´ements{Si}i=1..k et d’un psf T compor-tantncomposants{Mi}i=1..n. On d´esigne parσ la fonction qui assigne les segmentsS aux composants deT.

σ :{S1..Sk} → {M1..Mn} (4.4) Pour le calcul de l’ad´equation de S et T, la fonction σ n’est pas obligatoirement sur-jective sur{M1..Mn}. Autrement dit, on peut tol´erer que certains composants du mod`ele T ne soient mis en correspondance avec aucun ´el´ement de trac´e de S. On parle alors d’as-signement non couvrant. Certains ´el´ements de trac´es peuvent ´egalement n’ˆetre associ´es `a aucun composant deT parσ : on parle alors d’assignement incomplet.

On d´efinit σ0 l’application pseudo-inverse deσ d´efinie comme suit de {M1..Mn} dans {S1..Sk} ∪ {∅}.

σ0(M) =

({S∈ {S1..Sk}|σ(S) =M} si∃ S∈ {S1..Sk}|σ(S) =M

∅ sinon. (4.5)

rx

Figure 4.7: Sch´ema d’exploitation du mod`ele de position de la r´ef´erence horizontale par rapport `a la r´ef´erence verticale (a) et de la r´ef´erence verticale par rapport `a la r´ef´erence horizontale (b).

La figure 4.8 repr´esente un exemple d’assignement σ incomplet (tous les segments ne sont pas affect´es `a un composant du mod`ele) et non couvrant (tout composant n’a pas de segment affect´e). Les segmentsSi non assign´es sont ceux tels que σ(i) =∅, tandis que les composantsMj non couverts parσ sont tels queσ0(Mj) =∅.

Pour le calcul de l’ad´equation globale d’un symbole avec unpsf, les diff´erentes mesures bipolaires floues de positionnement et d’´etendue doivent ˆetre combin´ees dans un m´ecanisme de fusion. Le syst`eme de fusion propos´e permet d’imiter un raisonnement logique interpr´e-table pour la combinaison de ces diff´erentes sources d’informations. Dans notre cas appli-catif, la construction du m´ecanisme de fusion consiste `a traduire en op´erateurs et mod`eles logiques flous le raisonnement exprim´e comme suit.

Le calcul d’un score global d’ad´equation pour le symbole S = rx, ry,{Si}i=1..k par rapport aupsf T, compte tenu de la fonction d’assignementσ, doit mettre en jeu :

Segments Composants σ

σ

S

1

S

2

..

..

S

k

rsrsrsrsrs rsrsrsrs

M

1

M

2

..

M

n

Figure4.8: Exemple d’assignementσ incomplet et non couvrant.

– la bonne ad´equation de positionnement et d’´etendue relative des r´ef´erences rx et ry

par rapport aux mod`eles axy etayx deT,

– la bonne ad´equation de positionnement et d’´etendue desrva (relativement `a rx,ry) avec les mod`eles {Nj}j=1..4,

– la bonne ad´equation de positionnement et d’´etendue des ´el´ementsSi (relativement `a rx,ry) avec les mod`eles du composant {Mj}j=1..n auxquels ils sont assign´es par σ, – une p´enalisation pour les ´el´ements de trac´e non assign´es (S ∈ {S1..Sk}|σ(i) =∅), – une p´enalisation pour les composants deT non couverts (M ∈ {M1..Mn}|σ0(M) =

∅).

Sch´ema g´en´eral de fusion Le sch´ema de la figure4.9repr´esente le m´ecanisme de fusion combinant tous les ´el´ements mis en œuvre pour d´eterminer le score global de correspon-dance entre un symbole S muni de ses deux r´ef´erences rx,ry et un psf T, en fonction de l’assignementsigma. Nous d´etaillons dans les paragraphes suivants les diff´erents op´erateurs de combinaison intervenant dans ce proc´ed´e de fusion.

Score individuel des ´el´ements de la structure Pour chaque ´el´ement de la structure (chaque ligne de la figure4.9), un scoresi est calcul´e en combinant les scores de positionne-ment et d’´etendue obtenus selon le calcul sch´ematis´e par la figure 4.5. La combinaison est r´ealis´ee par un op´erateur de moyenne g´eom´etrique pond´er´ee. L’op´eration repr´esent´ee dans la figure4.9 par le sch´ema :

P∧E →s se traduit donc par le calcul suivant :

s=< s+;s>=D

(p+)α(e+)β; 1−(1−p)α(1−e)βE

, (4.6)

avec P =< p+;p > et E =< e+;e >. α et β sont les poids d´eterminant l’importance relative du positionnement et de l’´etendue dans le calcul du scores. Ils v´erifientα+β = 1.

Le r´esultats est un score flou bipolaire (s∈ L, ensemble des nombres bipolaires d´efini au paragraphe3.4.1).

score globals(S,T,(rx, ry), σ)

r´ef´erence x Pyx(rx) Eyx(rx) sx ωx

r´ef´erence y Pxy(ry) Exy(ry) sy ωy

composant 1 PxyM1(M1)) ExyM1(M1)) s1 ω1 composant 2 PxyM2(M2)) ExyM2(M2)) s2 ω2

composant p

PxyMp(Mp)) ExyMp(Mp)) sp ωp

segments r´esiduels s0 ω0

RVA1 PxyN1(B1) ExyN1(B1) s1 υ1

RVA4 PxyN4(B4) ExyN4(B4) s4 υ4

positionnement ´etendue score poids

Figure4.9: Sch´ema de fusion globale pour le calcul du score d’ad´equation entre un symbole S et un psf T. Chaque ligne combine un score de positionnement et un score d’´etendue pour constituer un score complet pour l’un des ´el´ements de la structure. Le score global d’ad´equation est obtenu par combinaison pond´er´ee des scores des ´el´ements de structure.

Nous pr´esentons ici une simplification de notation par l’introduction de deux op´erateurs.

Dans ses travaux, Xu [Xu07] d´efinit des op´erateurs d’agr´egation de scores flous intuition-nistes, qui sont formellement ´equivalents `a des scores bipolaires flous. Nous nous en inspirons pour d´efinir l’op´erateur de moyenne g´eom´etrique bipolaire. Notons⊗l’op´erateur de t-norme bipolaire construit `a partir de la t-norme floueproduit et de sa t-conorme duale>, de sorte que, pour touta, bdansL, on a :

a⊗b=< t(a+, b+);>(a, b)>

=< a+∗b+; 1−(1−a)(1−b)> . Nous d´efinissons aussi l’op´erateur •, de R× Ldans Ltel que

λ•a=D

(a+)λ; 1−(1−a)λE

, λ >0. (4.7)

Cet op´erateur v´erifie que :

∀λ >0, a∈ L, λ•a∈ L. (4.8)

A l’aide des deux op´erateurs ⊗ et •, on peut exprimer l’expression de l’´equation (4.6) par la notation suivante :

s= (α•P)⊗(β•E). (4.9)

Pour tous les ´el´ements de la structure, on d´efinit ainsi un score si `a partir de la fusion selon cette mˆeme ´equation de combinaison (4.9). Ce sch´ema de fusion est homog`ene quel que soient les ´el´ements de structure concern´es : r´ef´erencesrx etry (premier bloc du sch´ema 4.9), composantsMi du psf(second bloc) et R´ef´erence Virtuelle Absolue (troisi`eme bloc).

Deux cas particuliers peuvent toutefois se pr´esenter. Les segments r´esiduels ´eventuels sont les segments du trac´e qui n’ont ´et´e associ´es `a aucun mod`ele, pour lesquels il est donc impossible de calculer un score de positionnement et d’´etendue. Ces trac´es non assign´es doivent ˆetre p´enalis´es pour le score global de la correspondance, car ils traduisent la pr´esence de trac´es non attendus par le mod`ele. Le scores0 qui leur est attribu´e est une constante de p´enalisations0 =c0 ∈ L.

Enfin, il peut se pr´esenter le cas de composants du mod`ele auquel aucun segment n’est assign´e (ce sont les composants non couverts,Mj tels que σ0(Mj) = ∅). On leur attribue alors un scoresj d´efini par une autre constante de p´enalisation c1.c0 etc1 sont deux hyper param`etres du syst`eme.

Calcul du score global Le calcul de la fusion globale se fait au moyen des op´erateurs introduits pr´ec´edemment selon l’´equation suivante :

s(S,T, rx, ry, σ) = (ωx•sx)⊗(ωy •sy)

⊗(ω1•s1)⊗..⊗(ωp•sp)

⊗(ω0•s0)

⊗(υ1•s01)⊗..⊗(υ4•s04).

Le calcul du score global de correspondance entre S etT fait donc bien intervenir tous les ´el´ements de la structure, la contribution de chacun ´etant pond´er´ee par un poids ωi, υi. Ces poids doivent respecter la contrainteωxy1+..+ωp01+..+υ4 = 1.

L’id´ee g´en´erale du sch´ema de fusion est de pond´erer uniform´ement tous les ´el´ements de la structure, puisqu’a priori nous ne souhaitons pas consid´erer certains ´el´ements comme

´etant plus importants que d’autres. Nous notons pour la suitewle poids donn´e `a un ´el´ement de structure«normal».

Une premi`ere exception `a l’´equilibre des poids concerne les ´el´ements de R´ef´erence Vir-tuelle Absolue. On peut consid´erer que leur poids relatif doit ˆetre amoindri car il ne s’agit pas d’´el´ements r´eels du trac´e, mais d’´el´ements de r´ef´erence virtuelle. On corrige donc leur poids par un facteurρ :υi =ρ∗w,0≤ρ≤1.

Par ailleurs, les scores sx et sy issus des deux ´el´ements rx et ry ont la particularit´e d’ˆetre naturellement moins importants que les autres scores si. Cela est dˆu au fait que le calcul de positionnement et d’´etendue de ces objets ne provient de la fusion que d’un seul mod`ele spatial `a quatre points de vue, tandis que les scores de positionnement et d’´etendue des autres objets sont issus de la fusion de deux m´eta-mod`eles spatiaux `a quatre points de vue chacun. Les sch´emas de la figure4.7illustrent cette particularit´e par comparaison avec

le sch´ema g´en´eral 4.5. L’op´erateur de t-norme utilis´e pour combiner les scores des quatre points de vue est un produit direct (il ne s’agit pas d’une moyenne pond´er´ee), qui donne donc un«poids»naturel plus important en fonction du nombre de facteurs dans le produit.

Afin de corriger le d´es´equilibre naturel entre sx, sy et les autres scores si, il convient de donner un poids double `a ces deux scores dans la fusion :ωxy = 2∗w.

Enfin, le poids donn´e au score de p´enalisation pour les segments r´esiduels s0 doit ˆetre adapt´e en fonction de l’existence ou non de ces r´esidus ainsi que de leur importance. Plus la proportion de trac´e non-assign´e est importante, plus le poids associ´e `as0doit ˆetre important.

On d´etermine le poids associ´e au score de p´enalisation s0 de la fa¸con suivante : ω0 =δ∗wavec δ = points d’un ´el´ement de trac´e. De cette fa¸con, le poids donn´e au score de p´enalisation est au moins ´egal au poids w d`es lors que des trac´es r´esiduels existent. Si tous les trac´es sont assign´es aux composants, le poids est nul et s0 n’intervient pas dans le calcul du score global. Enfin, si la proportion des trac´es r´esiduels est suffisamment importante (sup´erieure

`

a 1p, soit la proportion moyenne de points dans un composant deS), le poidsω0est augment´e proportionnellement.

Les scores des autres composants de la structure ont un poids ωi =w, y compris pour le cas des composants qui ne se sont vus assigner aucun ´el´ement de trac´e parσ (leur score est alors d´efini par la constante de p´enalisationc1).

Finalement, les poids sont compl`etement d´etermin´es par la contrainte qui impose que leur somme doit valoir 1. On a donc :

ωxy1+..+ωp01+..+υ4

=2w+ 2w+pw+δw+ 4ρw

=1.

On peut donc d´eterminerwpour toute configuration dupsfet deσpar le calcul suivant :

w= 1

4 +p+δ+ 4ρ. (4.11)

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