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PARTIE THEORIQUE

I. LES TROUBLES ANXIEUX 1 Définition

I.2 Classification DSM 5

I.2.1 Le trouble anxiété de séparation

Le trouble de séparation se caractérise par une anxiété excessive et inappropriée par rapport au stade du développement, concernant la séparation d'avec la maison ou les personnes auxquelles le sujet est attache. Le trouble d’anxiété de séparation apparaît habituellement durant l’enfance et peut être aussi tôt que l’âge préscolaire et plus rarement, il se développe plus tard à l’adolescence. En général il y a des périodes d’exacerbation et de rémission. [10]

Dans certains cas, l’évitement des situations de séparation avec la maison ou la famille peut persister à l’âge adulte. Toutefois, la majorité des enfants atteints de trouble d’anxiété de séparation éprouve une atteinte de troubles anxieux au cours de leur vie.

Cette anxiété dépasse en sévérité celle que l'on pourrait attendre compte tenu du niveau de développement du sujet. Les sujets ayant une anxiété de séparation souffrent d'une angoisse excessive et récurrente dans les situations de séparation avec la maison ou les personnes auxquelles ils sont très attachés. Séparés des êtres chers, ils ont besoin de savoir où ceux-ci se trouvent et de garder le contact avec eux (p. ex., par téléphone). Loin de chez eux, certains deviennent extrêmement tristes et malheureux ; cela peut même être un supplice. Ils ont la nostalgie de la maison et ne pensent qu'aux retrouvailles. Séparés de ceux qu'ils aiment, ils sont envahis de craintes d'accidents ou de maladies qui pourraient toucher eux-mêmes ou ces personnes chères, certains évitent de se déplacer tous seuls. Ces enfants peuvent se montrer incapables de rester ou d'aller dans une pièce seule, et avoir un comportement « collant » par le fait de rester près de l'un ou l'autre de leurs parents ou de le suivre « comme son ombre » dans toute la maison, ou par le fait d'exiger la présence de quelqu'un pour les accompagner clans une autre pièce de la maison. Les enfants atteints d'anxiété de séparation ont

souvent du mal à aller se coucher, insistant pour que quelqu'un reste près d'eux jusqu'à ce qu'ils s'endorment, la nuit, ils vont parfois dans le lit de leurs parents (ou dans celui d'une personne proche comme un frère ou une soeur) ; si l'entrée de la chambre des parents leur est interdite, ils peuvent dormir devant la porte. Ils font des cauchemars dont le contenu exprime leurs peurs. Des plaintes somatiques telles que douleurs abdominales, maux de tête, nausées, vomissements, sont fréquentes clans les situations de séparation ou en anticipation de telles situations. Les symptômes cardio- vasculaires, comme des palpitations, des éblouissements, des sensations d'évanouissement, sont rares chez les jeunes enfants mais peuvent se voir chez les sujets plus âgés. Il faut que le trouble persiste pendant une période d'au moins 4 semaines chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans, et de 6 mois ou plus chez les adultes, et qu'il entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, scolaire (professionnel), ou dans d'autres domaines importants.

I.2.2 Le Mutisme sélectif

La caractéristique essentielle du Mutisme sélectif est l'incapacité régulière à parler dans des situations sociales spécifiques dans lesquelles l'enfant est supposé parler (p. ex., à l'école ou avec des camarades), alors qu'il parle dans d'autres situations. La perturbation interfère avec la réussite scolaire ou professionnelle, ou avec la communication sociale. La perturbation doit durer au moins 1 mois chez les enfants de moins de 5 ans et ne se limite pas au premier mois (l'école (pendant lequel beaucoup d'enfants peuvent être en retrait et réticents à parler). On ne doit pas faire le diagnostic de Mutisme sélectif si l'incapacité du sujet à parler est seulement due à un défaut de connaissance ou de maniement de la langue parlée nécessaire dans la situation sociale où le trouble se manifeste. On ne porte pas non plus ce diagnostic si la

Trouble envahissant du développement, d'une schizophrénie ou d'un autre Trouble psychotique. Au lieu de communiquer par une verbalisation normale, les enfants atteints de mutisme sélectif peuvent communiquer par des gestes, en faisant oui ou non de la tête, en tirant ou en poussant quelqu'un, ou, dans certains cas, en émettant des propos par monosyllabes, courts et monotones, ou avec une voix altérée.[10]

La classification des phobies qui est actuellement la plus utilisée par les équipes de recherche du monde entier est celle du DSM 5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders). Elle les sépare en trois groupes principaux, issus chacun d'un type assez précis de peurs :

I.2.3 les phobies spécifiques

La caractéristique principale de la phobie spécifique est une peur persistante, irrationnelle, et un désir contraignant d’éviter un objet ou une situation autre que celui d’être seul ou dans des endroits publics éloignés du domicile, ou d’être humilié ou embarrassé dans certaines situations sociales. Le patient reconnaît consciemment que ces situations ne présentent aucun danger réel pour lui ; le comportement dit phobique est considéré comme tel par comparaison à un étalon culturel [11].

Environ 75% des individus avec la phobie spécifique craint plus d'une situation ou d'un objet. Dans de tels cas, une phobie spécifique multiple les diagnostics, chacun avec son propre code de diagnostic reflétant le stimulus phobique, devrait être donné. Par exemple, si un individu craint les orages et le vol, deux diagnostics serait donné: phobie spécifique, environnement naturel et phobie spécifique, situationnel. [10]

I.2.4 les phobies sociales

La phobie sociale, également appelée trouble d’anxiété sociale, est caractérisée par une peur des situations dans lesquelles un sentiment de gêne ou d’humiliation devant d’autres personnes peut survenir. Il existe généralement deux sous-types de phobie sociale, l’un comprenant une peur de parler devant des gens, qu’il s’agisse de

prendre la parole en public ou simplement de parler à une personne en situation d’autorité, et l’autre correspondant à une anxiété plus généralisée et des peurs plus complexes, telles que celles de manger en public ou d’utiliser des toilettes publiques, et dans ces cas, les sujets peuvent éprouver de l’anxiété en présence de n’importe qui d’autre que des membres de la famille [12]. Même si la personne est consciente que son anxiété est excessive et irrationnelle, elle ne peut la surmonter. Par conséquent, elle essaye désespérément d’éviter ce genre de situation, ce qui interfère avec ses activités professionnelles ou scolaires, ou d’autres activités quotidiennes [10].

Les femmes sont plus susceptibles que les hommes de présenter le trouble [13,16].

L’âge moyen d’apparition de la phobie sociale aux États-Unis est de 13 ans, le Début peut également se produire dans la petite enfance. La détection du trouble d'anxiété sociale chez les personnes âgées peut être difficile à cause de plusieurs Facteurs, y compris l'accent mis sur les symptômes somatiques, les maladies médicales comorbides, les limitations, les changements dans l'environnement social ou les rôles qui peuvent obscurcir l'altération de la vie sociale, le fonctionnement ou la réticence à décrire la détresse psychologique [10].

1.2.5 Le trouble panique

La caractéristique essentielle du trouble panique est la présence d'attaques de panique récurrentes et inattendues suivies de la crainte persistante pendant au moins un mois d'avoir une autre attaque de panique, de préoccupations quant aux implications possibles ou aux conséquences de ces attaques de panique, ou d'un changement significatif de comportement en relation avec les attaques. Les attaques de panique ne sont pas dues aux effets physiologiques directs d'une substance (p. ex., Intoxication par la caféine) ou d'une affection médicale générale (p. ex., hyperthyroïdie). Finalement,

ex., Phobie spécifique ou Phobie sociale, Trouble obsessionnel-compulsif, État de stress post traumatique, Trouble anxiété de séparation). L'âge médian de l'apparition du trouble panique aux États-Unis est de 20 à 24 ans. Un petit nombre de cas commencent dans l'enfance, et le début après 45 ans est inhabituel mais peut se produire [10].

I.2.6 L’attaque de panique

L’attaque de panique est une période bien délimitée marquée par l'occurrence soudaine d'une appréhension intense, d'une peur ou d'une terreur souvent associée à des sensations de catastrophe imminente. Durant ces attaques sont présents des symptômes tels que des sensations de « souffle coupé », des palpitations, des douleurs ou une gêne thoracique, des sensations d'étranglement ou des impressions d'étouffement et la peur de devenir « fou » ou de perdre le control de soi [10]. L'attaque de panique n'est pas un trouble mental et ne peut pas être codée. L’attaque de panique peut se produire dans le contexte de tout trouble anxieux ainsi que d'autres troubles mentaux (par exemple, troubles dépressifs, Syndrome de stress post-traumatique, troubles de l'usage de substances) et peut survenir dans certaines affections médicales (Par exemple, cardiaque, respiratoire, vestibulaire, gastro-intestinal). Pour le trouble panique, la présence d'une attaque de panique est contenue dans Les critères pour le désordre et l'attaque de panique ne sont pas utilisés comme spécificateur. Une survenue abrupte d'une peur ou d'un malaise intenses qui atteignent un sommet en quelques minutes, et pendant lesquels quatre des symptômes (ou plus) suivants se produisent:

1. Palpitations, tachycardie. 2. Transpiration.

3. Tremblement

5. Sentiments d'étouffement. 6. Douleur ou malaise thoracique. 7. Nausée ou détresse abdominale. 8. nervosité instable, léger ou faible. 9. sensation de chaleur.

10. Paresthésies (sensation d'engourdissement ou de picotements).

11. Déroulement (sentiment d'irréalité) ou dépersonnalisation (être détaché de soi-même).

12. Peur de perdre le contrôle ou "devenir fou".

Il existe deux types caractéristiques d'attaques de panique: attendus et inattendus.

Attendu : Les attaques de panique sont des attaques pour lesquelles il existe un

signal ou un déclencheur évident. Une attaque de panique inattendue (spontanée, non induite) est définie comme une attaque qui n'est pas associée à un facteur déclenchant situationnel (c.-à-d. elle survient à l'improviste). Les facteurs déclenchants comprennent des stimuli qui sont soit externes (p. ex., situation ou objet phobogène), soit internes (stimulations physiologiques) à l'individu. La fréquence et la sévérité des attaques de panique varient considérablement. Par exemple, certains sujets ont des attaques moyennement fréquentes (p. ex., une fois par semaine) qui surviennent de manière régulière durant une période de plusieurs mois. D'autres rapportent de brefs accès d'attaques plus fréquentes (p. ex., tous les jours durant une semaine) séparées par des semaines ou des mois sans aucune attaque, ou avec des attaques moins fréquentes (p. ex., deux par mois) pendant plusieurs années [10].

I.2.7 L’Agoraphobie

La caractéristique essentielle de l'Agoraphobie est une anxiété liée au fait de se trouver dans des endroits ou des situations d'où il pourrait être difficile (ou gênant) de s'échapper ou dans lesquelles aucun secours ne pourrait être trouvé en cas de survenue d'une attaque de panique ou des symptômes de type panique (p. ex., peur d'avoir une attaque subite de vertige ou une crise de diarrhée soudaine). L'anxiété conduit typiquement à un évitement envahissant de nombreuses situations pouvant inclure le fait d'être seul hors de son domicile ou d'être seul chez soi ; d'être clans une foule ; de voyager en voiture, en bus ou en avion ; ou d'être sur un pont ou dans un ascenseur. Certains sujets sont capables de s'exposer eux-mêmes aux situations redoutées mais ils subissent ces expériences avec une crainte considérable. Souvent, le sujet est plus à même de se confronter à une situation redoutée lorsqu'il est accompagné par quelqu'un. L'évitement de situations peut altérer les capacités des sujets à voyager, à travailler ou à assumer leurs responsabilités domestiques (p. ex., faire des courses dans une épicerie, emmener les enfants chez le médecin). Un autre trouble mental ne peut pas mieux expliquer l'anxiété ou l'évitement phobique. Le diagnostic différentiel, pour distinguer l'Agoraphobie de la phobie sociale et de la phobie spécifique et d'un trouble d'anxiété de séparation sévère, peut être difficile car toutes ces affections sont caractérisées par l'évitement de situations spécifiques [10].

I.2.8 L’anxiété généralisée

La caractéristique essentielle du trouble anxieux généralisé est l'anxiété excessive et l'inquiétude (appréhension attente) concernant un certain nombre d'événements ou d'activités. L'intensité, la durée ou La fréquence de l'anxiété et de l'inquiétude n'est pas proportionnelle à la probabilité ou à l'impact réel de l'événement prévu. L'individu a du mal à contrôler l'inquiétude et à garder des pensées inquiétantes d'interférer avec l'attention sur les tâches à accomplir. L’anxiété généralisée est un trouble le plus souvent chronique, apparaissant chez l’adulte jeune. [10]

Le trouble anxieux généralisé (TAG) est défini par la présence d’une anxiété et d’une inquiétude excessive (attente avec appréhension) concernant plusieurs situations ou activités et survenant la plupart du temps pendant une période d’au moins 6 mois. La personne éprouve de la difficulté à contrôler ses préoccupations [10].

Le TAG est relativement fréquent et il se développe souvent au cours de l'enfance ou de l'adolescence. La cause du trouble d'anxiété généralisée, contrairement à l'anxiété dont le stress d'origine est identifiable, est imprécise [10].

I.3. Epidémiologie

L’anxiété et les troubles associés sont parmi les troubles mentaux les plus courants avec un taux de prévalence sur la vie de 31% [17].

Les troubles anxieux et apparentés sont des pathologies très fréquentes puisqu'ils touchent 15 à 20 % de la population à un moment ou un autre, avec un retentissement, un coût et des complications non négligeables [17], et des taux de prévalence sur 12 mois d’environ 18%. Les femmes sont deux fois plus susceptibles d’avoir des troubles de l’humeur par rapport aux hommes [18].

Aux Etats Unis, la prévalence de l’anxiété généralisée est de 9.0% sur la vie et de 2 % sur 12 mois évalué par CDI (clinical diagnostic interview) [19].

Au Maroc la santé mentale constitue un véritable problème de santé publique, mais les études réalisés sur ce contexte sont très rares, selon une enquête publié par le ministère de santé 9% des personnes âgés de 15 ans et plus ont vécu un trouble anxieux au cours de leur vie, soit 5.5% de la population générale [20].

Les troubles névrotiques et anxieux concernent deux fois plus les femmes que les hommes, plutôt les sujets jeunes d’âge moyen, vivant seul(e) et appartenant plutôt aux classes sociales les moins favorisées [21].

Les troubles anxieux sont courants dans la pratique clinique et sont associés à une comorbidité élevée et sont extrêmement invalidants [22]. Parmi les troubles anxieux ;

I.3.1 Trouble d’anxiété de séparation

Aux Etats Unis, La prévalence du trouble de séparation sur 12 mois est de 0.9 à 1,9% chez les adultes. Chez les enfants la prévalence de 6 à 12 mois est estimée approximativement à 4%.

Chez les adolescents, la prévalence sur 12 mois est de 1.6%. La prévalence du trouble d’anxiété de séparation diminue de l'enfance à l'adolescence et à l'âge adulte et Est le trouble anxieux le plus répandu chez les enfants de moins de 12 ans [10].

I3.2 Mutisme sélectif

Le mutisme sélectif est un trouble relativement rare et n'a pas été inclus comme catégorie de diagnostic. Dans des études épidémiologiques de la prévalence des troubles de l'enfance utilisant de divers échantillons cliniques ou scolaires varie entre 0,03% et 1% selon le contexte (P. Ex. Population clinique versus école par rapport à la population générale) et l'âge des individus dans l'échantillon. La prévalence du trouble ne semble pas varier selon le sexe, la race ou l'appartenance ethnique. Le désordre est plus susceptible de se manifester chez les jeunes enfants que chez les adolescents et les adultes [10].

I.3.3 Trouble panique

La prévalence du trouble de panique dans les pays asiatiques, africains et latino-américains, est relativement faible allant de 0,1% À 0,8%. Les femmes sont plus fréquemment touchées que les hommes, à raison d'environ 2: 1. La différenciation entre les sexes se produit à l'adolescence et est déjà observable avant 14 ans. Bien que les crises de panique se produisent chez les enfants, la prévalence globale du trouble panique est faible ; Avant 14 ans (<0,4%). Les taux de panique présentent une

augmentation graduelle au cours de l'adolescence, Particulièrement chez les femmes, et peut-être après le début de la puberté, et l'âge adulte. Les taux de prévalence diminuent chez les personnes âgées (soit 0,7% chez les personnes âgées de 64 ans) [10].

I.3.4 Anxiété généralisée

C’est une pathologie psychiatrique fréquente en médecine générale. Sa prévalence dans les consultations de soins primaires est de 5.3% à 8% selon les études. Selon une étude menée par L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) dans 15 pays du monde, le trouble d’anxiété généralisée est la maladie anxieuse la plus fréquente en soins primaires avec une prévalence d’environ 7,9% [23,24]

Une étude française a montré sur un échantillon de patients consultant en soins primaires que 25% d’entre eux avaient présenté un trouble anxieux dans l’année ; pour 5,4% il s’agissait d’un trouble anxieux généralisé [23,24].

I.3.5 Phobie spécifique

Bien que les phobies soient communes dans la population générale, elles entraînent rarement une gêne ou une souffrance suffisante pour justifier un diagnostic de phobie spécifique. La prévalence rapportée peut varier en fonction du seuil utilisé pour déterminer la gêne ou la souffrance et le nombre de types de phobies envisagés. Dans les échantillons de la population générale, le taux de prévalence ponctuelle va de 4 à 8,8%et les taux de prévalence vie entière vont de 7,2 à 11,3 % (Les taux de prévalence diminuent chez les personnes âgées [10]

I.3.6 phobie sociale

La prévalence de 12 mois du trouble d'anxiété sociale aux États-Unis est d'environ 7%. Des estimations de prévalence sur 12 mois dans une grande partie du

adolescents sont comparables À ceux des adultes. Les taux de prévalence diminuent avec l'âge. La prévalence de 12 mois pour les personnes âgées Les adultes vont de 2% à 5%. En général, des taux plus élevés de troubles anxieux sociaux se retrouvent Chez les femmes que chez les hommes dans la population générale. [10]

I.3.7 agoraphobie

Chaque année, environ 1,7% des adolescents et des adultes sont diagnostiqués pour agoraphobie. Les femmes sont deux fois plus susceptibles que les hommes de vivre une agoraphobie. L'agoraphobie peut se produire dans L'enfance, mais les pics d'incidence à la fin de l'adolescence et au début de l'âge adulte. An La prévalence chez les personnes de plus de 65 ans est de 0,4%. Les taux de prévalence n'apparaissent pas varient systématiquement entre les groupes culturels et raciaux [10].

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