• Aucun résultat trouvé

C ONTRAINTES AU DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES

12. RESUME DES ENTREVUES AVEC LES PARTIES

12.4. C ONTRAINTES AU DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES

Les contraintes au développement des énergies renouvelables sont d’ordre institutionnel (bioénergie, qui s’en occupe, MINFOF, MINEE ou MINEPDED ?), réglementaire (pas de décret sur les Energies renouvelables) ; technologique (la maîtrise de la technologie au niveau local). Les projets du FER devront s’assurer d’un transfert effectif et progressif des compétences au niveau local.

CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS

La relation entre pauvreté et les populations rurales au Cameroun souligne des lacunes importantes en ce qui concerne les infrastructures énergétiques existantes en zone rurale. En visant la réalisation de vingt-mille (25.000) branchements dans les régions du Nord-ouest, Ouest, et du Grand Nord du Cameroun, le PERERINS a vocation à réduire cette disparité. Le PERERINS a été retenu comme option d’électrification rurale en raison des objectifs visés : améliorer le taux de desserte en zone rurale à un coût abordable, d’assurer le développement rapide et efficace de l’accès à l’énergie en milieu rural au Cameroun et contribuer à la professionnalisation et au développement des petites et moyennes entreprises dans le secteur. Les préoccupations environnementales et sociales associées à la mise en place de cette option d’électrification rurale portent sur les risques de dégradation des milieux du fait des travaux et de l’exploitation des réseaux, mais beaucoup plus sur les enjeux fonciers dans le cadre des extensions des réseaux MT/BT, dans la mesure où les biens des particuliers et des collectivités villageoises pourront être touchés. Le projet sera mis en œuvre dans des zones où les activités de chasse-cueillette, agricoles et pastorales sont représentatives et importantes. En conséquence, AER veillera à prendre toutes les dispositions décrites dans le présent CGES pour mener à bien la mise en œuvre des activités prévues. Ce CGES constitue l’une des premières mesures prises pour verdir le PERERINS. Ce document donne les orientations visant à assurer que la sélection, l’évaluation et l’approbation des activités et leur mise en œuvre sont conformes aux standards nationaux et internationaux.

Au terme de l'Etude de révision et d’actualisation du CGES du PDSEN, il se dégage que le PERERINS aura beaucoup d’impacts positifs, mais également des impacts négatifs pour lesquels des mesures d’atténuation ont été proposées.

Pour ce qui est des impacts positifs, il y aura développement des activités économiques et augmentation des revenus, création d’emplois, amélioration des conditions de travail des élèves, étudiants et enseignants. Il y aura également diminution du vol et de la criminalité, l’amélioration de la productivité et la compétitivité dans les secteurs des services où les femmes sont souvent plus représentées que les hommes, l’amélioration de l’approvisionnement en eau due à la régularité de l’énergie électrique et enfin une amélioration globale du niveau de vie des populations bénéficiaires.

Les impacts négatifs potentiels d'importance majeure sont: la contribution au changement climatique avec les combustibles fossiles isolés par les véhicules des contractants, la destruction et/ou perte des biens/ déplacement des populations, la destruction de la végétation, des cultures vivrières et/ou de rente (cacaoyers, caféiers, etc.), et l’abattage des arbres, les risques de pollution des sols ou des eaux par l’huile des transformateurs, les risques d’électrocution, développement des conflits liés à l’acquisition des terres, au raccordement aux réseaux existants. Les premières mesures globales visant à atténuer ces impacts négatifs ou à bonifier les impacts positifs sont recommandées dans le présent document. Ces mesures ont été proposées en addition à celles qui seront incorporées dans la conception des activités du PERERINS. Elles ont été synthétisées comme suit :

- assujettir tous les activités du PERERINS à la sélection environnementale et sociale ;

- mettre en place un processus de sélection environnementale et sociale des projets qui prendra en compte (a) l’identification des activités qui sont susceptibles d'avoir des impacts environnementaux et sociaux négatifs ; (b) l’identification des mesures d'atténuation ou de suppression des impacts potentiels; (c) l’identification des activités nécessitant des études d'impact environnemental et social (EIES) sommaires ou détaillées; (d) l’identification des responsabilités institutionnelles nécessaires à l'analyse et à l'approbation des résultats de la

sélection, à la mise en œuvre des mesures d'atténuation proposées, et à la préparation des rapports d’EIES, au suivi des indicateurs environnementaux au cours de la phase de construction des infrastructures et équipements électriques ainsi que de leur exploitation; (e) et la détermination des activités susceptibles d'occasionner des déplacements des populations et au besoin d’acquérir des terres.

- institutionnaliser la fonction environnement à AER et recruter un environnementaliste pour le FER;

- renforcer les capacités des parties prenantes pour la gestion environnementale et sociale.

- prévoir la provision pour la réalisation et la mise en œuvre d’éventuelles EIES. Si la classification environnementale des activités indique qu’il faut réaliser des EIES, l’AER devra prévoir une provision qui servira à payer des consultants pour réaliser ces études et aussi pour leur mise en œuvre ;

- Réaliser des EIES sommaires pour les projets de : transport électrique par ligne de moyenne tension, et l’électrification rurale de moyenne tension ;

- prévoir la provision pour recruter les consultants devant appuyer AER dans le remplissage des formulaires de sélection environnementale et sociale, de contrôle environnemental et l’analyse des degrés de sensibilité environnementale ;

- Suivre et évaluer les activités du PERERINS (suivi permanent, évaluation à mi-parcours et évaluation finale) : Le programme de suivi portera sur le suivi permanent, la supervision, l’évaluation à mi-parcours et l’évaluation annuelle ;

- Intégrer des clauses environnementales et sociales les dossiers d’appels d’offres, dans les fiches de demande de projet et dans les modèles de contrats : en cas de travail environnemental, l’AER, les Ingénieurs Conseils et la Cellule d’exécution veilleront à intégrer les recommandations et autres mesures de gestion environnementale et sociale dans les dossiers d’appel d’offre et d’exécution des travaux par les entreprises ;

- mener des campagnes de sensibilisation portant sur les branchements électriques, l’efficacité énergétique et aux risques d’électrocution, sur les risques de prévention du paludisme et l’onchocercose, et des IST/HIV/SIDA ;

- rendre le port des EPI obligatoire sur le chantier du projet PERERINS ;

- réaliser les EIES sommaires des réseaux MT par zone agro-écologique mais avec des PGES spécifiques à chaque de projet ;

- l’AER puisse discuter et convenir avec ARSEL et le MINEE des modalités de veille conjointe au respect des normes de protection de l’environnement dans le cadre du PERERINS.

Si les procédures et potentiels impacts proposés sont adressés de manière adéquate sans aucun risque de gestion imprudente, les projets du FER seront verdis, donc viables sur le plan environnemental et social.

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

BUCREP, 2010. Rapport de présentation des résultats définitifs du 3è Recensement Général de la Population et de l’Habitat du Cameroun.

CHECK, 2000. The Plants of Mount Oku and the Ijim Ridge, Cameroon. A conservation checklist.

Royal Botanic Gardens, Kew.

Letouzey R., 1985. Notice de la carte phytogéographique du Cameroun au 1/500 000 (1985) – IV : Domaine de la forêt dense humide toujours verte (pages 95 à 142 avec groupements n° 185 à 267).

Institut de la carte internationale de la végétation, Toulouse, France et IRA, Yaoundé, Cameroun, 95-142p.

MINEPAT, 2007. Stratégie nationale sur la gestion durable des eaux et des sols dans l’espace agro-sylvo-pastoral au Cameroun.

NKUE Valérie et Donatien NJOMO (2009)- analyse du système énergétique Camerounais dans une perspective, de développement soutenable Revue de l'Énergie, n° 588, mars-avril2009

Olivry J.C. 1986. Fleuves et Rivières du Cameroun. Collection «Monographies Hydrologiques ORSTOM » No 9.

PNGE, 1996. Plan national de gestion de l’environnement. Volume I. Rapport principal.

MINEF/PNUD/Banque Mondiale. 188pp.

PAN-LCD, 2007. Plan d’Action National de Lutte Contre la Désertification. MINEP/PNUD/UNOPS.

République du Cameroun, 2011. Le décret N° 2011/2582/PM du 23 août 2011 fixant les modalités de protection de l’atmosphère ;

République du Cameroun, 2011. Le décret N° 2011/2583/PM du 23 août 2011 portant réglementation des nuisances sonores et olfactives ;

République du Cameroun, 2008. La décision n°00197/MINEP du 1er juillet 2008 portant création du Comité national chargé de la mise en œuvre du Projet de la décennie des Nations unies pour l’éducation en vue du développement durable.

République du Cameroun, 2007. L’Arrêté n°00001/MINEP du 03 février 2007 définissant le contenu général des termes de référence des Études d’impacts environnementaux (EIE) ;

République du Cameroun, 2007. L’Arrêté n°00004/MINEP du 03 juillet 2007 fixant les conditions d’agrément des bureaux d’étude à la réalisation des études d’impacts environnementaux ;

République du Cameroun, 2006. Le Décret N°2006/1577/PM du 11 septembre 2006 a modifié et complété certaines dispositions du décret N°2001/718/PM du 3 septembre 2001 portant organisation et fonctionnement du comité interministériel de l’environnement.

République du Cameroun, 2006. Le Décret n° 2006/406 du 29 Novembre 2006 portant création de la Société Electricity Development Corporation (EDC).

République du Cameroun, 2005. Arrêté N° 0070/MINEP du 22 avril 2005 fixant les différentes catégories d’opérations dont la réalisation est soumise à une étude d’impact environnemental.

République du Cameroun, 2005. Décret N° 2005/0577/PM du 23/02/2005 fixant les modalités de réalisation des études d’impact environnemental.

République du Cameroun, 2001. Le décret n°2001/718/PM du 03 septembre 2001 portant organisation et fonctionnement du Comité Interministériel de l’Environnement.

République du Cameroun, 2001. Le Décret n° 2001/021/PM du 29 Janvier 2001 fixant le taux, les modalités de calcul, de recouvrement et de répartition de la redevance sur les activités du secteur de l’électricité ;

République du Cameroun, 2000. L’Arrêté conjoint n° 073/MINAT/MINVIL du 25 mai 2000 précisant les modalités d’application de certaines règles de salubrité et de sécurité publiques.

République du Cameroun, 2000. Le Décret N° 2000/464 PM du 30 juin 2000 régissant les activités du secteur de l’électricité ;

République du Cameroun, 1999. Le Décret n ° 99/125 du 15 janvier 1999 portant sur l'organisation et le fonctionnement de l'Agence de Régulation du Secteur de l’Electricité;

République du Cameroun, 1999. Le décret n°99/818/PM du 09 novembre 1999 fixant les modalités d’implantation et d’exploitation des établissements classés dangereux, insalubres ou incommodes.

République du Cameroun, 1998. Loi N° 98/005 du 14 avril 1998 portant régime de l’eau

République du Cameroun, 1996. Loi N° 96/12 du 5 août 1996 portant loi cadre relative à la gestion de l’environnement.

République du Cameroun, 1995. Décret n° 95/466 fixant les modalités d’application du régime de la faune.

République du Cameroun, 1995. Décret N°95/466/PM du 2 juillet 1995 fixant les modalités du régime de la faune.

République du Cameroun, 1995. Décret N°95/531/PM du 23 août 1995 fixant les modalités d’application du régime des forêts.

République du Cameroun, 1994. Le décret n°94/259/PM du 31 mai 1994 portant création d’une commission nationale consultative pour l’environnement et le développement durable ;

République du Cameroun, 1994. Loi N° 94/01 du 20 janvier 1994 portant régime des forêts, de la faune et de la pêche.

République du Cameroun, 1994. Le décret n°94/167 du 29 août 1994 portant ratification de la Convention-cadre sur les changements climatiques et la Convention sur la Diversité Biologique

République du Cameroun, 1992. Loi N° 92/007 du 14 août 1992 portant sur le code du travail

République du Cameroun, 1992. La Loi n° 64/LF-23 du 13 novembre 1964 portant protection de la santé publique au Cameroun

République du Cameroun, 1937. L’Arrêté du 1er octobre 1937 fixant les règles générales d’hygiène et de salubrité publique à appliquer dans le territoire du Cameroun sous mandat français.

ANNEXES

ANNEXE 1 : TERMES DE REFERENCE SERVICES DUN CONSULTANT INDIVIDUEL POUR LA REVISION ET LACTUALISATION DU CADRE DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE (CGES) ET DU CADRE DE POLITIQUE DE RECASEMENT (CPR) DU PROJET DE DEVELOPPEMENT DU SECTEUR DE LENERGIE

(PDSEN).

1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION DE L’INTERVENTION

Le Gouvernement de la République du Cameron a reçu un crédit de l’Association Internationale de Développement (IDA), objet de l’accord de prêt n°4484-0 CM, destiné au financement du Projet de Développement du Secteur de l’Energie (PDSEN).

L’Agence d’Electrification Rurale (AER) qui est l’un des organes d’exécution du PDSEN a l'intention d'utiliser une partie du montant du crédit IDA pour effectuer des paiements autorisés au titre du recrutement d’un consultant pour la révision et l’actualisation du Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) et du Cadre de Politique de Recasement (CPR) du Projet de Développement du Secteur de l’Energie (PDSEN).

La création en décembre 2009 par décret présidentiel du Fonds d’Energie Rurale (FER) s’inscrit dans la volonté du Gouvernement d’améliorer l’accès des populations rurales aux services modernes d’énergie pour leur plein épanouissement, en mobilisant les financements et en apportant l’appui financier nécessaire aux nouveaux opérateurs. Ainsi, tout Porteur de projet peut présenter des Projets d’Initiative Locale d’Electrification Rurale (PILER) en vue de leur éligibilité à la subvention du FER.

L’Agence d’Electrification Rurale (AER) est chargée de veiller au respect des bonnes pratiques environnementales et sociales. A cet effet, elle doit mettre en place un cahier de Charges Environnementales et Sociales à suivre par les porteurs des projets.

En 2008, date de signature de l’accord de crédit du projet PDSEN, deux documents cadres régissant la gestion de l’environnement, le recasement et les indemnisations ont été élaborés. Il s’agit du Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) et du Cadre de Politique de Recasement (CPR). Au fil du temps, le projet a évolué dans sa conception. Par ailleurs, il convient de signaler que les documents existants concernent l’Afrique subsaharienne dans son ensemble. Par conséquent, Il est question de les adapter aux normes des politiques du Cameroun sur l’environnement, le recasement et l’indemnisation, et les politiques de la Banque Mondiale relatives à ces aspects (PO 4.01, PO 4.12).

2. OBJECTIFS DE LA MISSION Objectif général

L’objectif général de la mission du Consultant est de fournir les éléments d’appréciation du niveau d’intégration des projets dans leur environnement.

Objectifs spécifiques

De manière spécifique, le Consultant individuel sélectionné devra :

 réviser et actualiser le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale du PDSEN ;

 réviser et actualiser le Cadre de Politique de Recasement du PDSEN.

3. CONTENU DU TRAVAIL DU CONSULTANT

Les études relatives à la révision et à l’actualisation du Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) et du Cadre de Politique de Recasement (CPR) du Projet de Développement du Secteur de l’Energie (PDSEN) devront maximiser les synergies avec les autres études existantes, en cours ou planifiées dans le cadre du Fonds d’Energie Rurale.

Le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale devra ressortir (CGES) :

1. La description des politiques environnementales et sociales de la Banque Mondiale relatives aux projets du FER ;

2. Le cadre législatif, réglementaire et institutionnel du secteur de l’électricité ;

3. Le processus de planification, de suivi et d’approbation environnementale et sociale des projets du FER ;

4. L’analyse des alternatives des projets du FER ;

5. Le Plan de Gestion Environnementale et Sociale (PGES) des projets du FER ; 6. Le plan de suivi environnemental et social des projets du FER ;

7. Le plan de consultation ;

8. Le formulaire de « filtration » des projets du FER ;

9. La fiche de contrôle environnemental et social des projets du FER.

Le Cadre de Politique de Recasement (CPR) devra ressortir : 1. Le contexte du projet ;

2. Les principes et objectifs régissant la préparation et la mise en œuvre du recasement ; 3. La description du processus de préparation et d’approbation des plans de recasement ; 4. L’acquisition des terres et les catégories probables d’impact ;

5. Les critères d’éligibilité pour définir les diverses catégories de personnes affectées par le projet ; 6. Le cadre juridique comparant les lois et les règlements du Cameroun aux politiques de la

banque Mondiale et aux mesures proposées pour combler tout écart entre eux ; 7. Les méthodes d’évaluation des actifs affectés ;

8. Les procédures organisationnelles pour l’octroi des droits, les charges de l’Etat, du promoteur privé et du bailleur de fonds ;

9. La description du processus de mise en œuvre, reliant le recasement aux travaux de génie civil ; 10. La description des mécanismes de redressement de torts ;

11. La description des dispositions de financement de recasement et de dédommagement, y compris ;

12. La préparation et la revue des devis, le circuit des financements et les prévisions de contingence ;

13. La description de mécanismes de consultation et de participation des personnes déplacées à la planification, à la mise en œuvre et au suivi ;

14. Les dispositions pour le suivi par l’agence d’exécution et, au besoin, des contrôleurs indépendants.

4. RAPPORTS DE LA MISSION

Le démarrage de la mission du consultant aura lieu dès notification de l’ordre de service par l’AER.

Cinq jours après cette notification, il produira les rapports provisoires en dix (10) exemplaires chaque.

Après analyse de ces rapports par l’AER, une réunion de restitution sera organisée pour les valider. Les amendements et observations issus de cette réunion devront permettre au consultant de finaliser lesdits rapports en deux (02) jours.

A l’issue de la mission, le Consultant fournira 10 exemplaires pour chaque rapport en version papier et une version électronique sur support CD à l’AER.

5. PROFIL DE CONSULTANT

Le Consultant individuel sera un expert spécialisé en sciences de l’environnement (Bac+5), justifiant des compétences et d'une expérience dans les évaluations environnementales. Il devra avoir au moins dix (10) ans d'expérience en gestion de l'environnement du secteur de l’électricité, avoir réalisé avec succès au moins cinq (05) mandats similaires dans les pays en développement.

6. DEROULEMENT DE LA MISSION DU CONSULTANT

La mission du Consultant sera réalisée sous la supervision directe de l’AER. Il travaillera en étroite collaboration avec la Direction du Fonds d’Energie Rurale.

La mission s’effectuera sur une période de sept (07) jours.

7. REVUE DOCUMENTAIRE

1- Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) du projet de Développement du Secteur d’Energie (PDSEN), 2008 ;

2- Cadre de Politique de Recasement (CPR) du projet de Développement du Secteur d’Energie (PDSEN), 2008 ;

3- Tous autres documents institutionnels relatifs à l’environnement ainsi que ceux du projet.

ANNEXE 2 : LISTE DES PERSONNES RENCONTREES

Nom et prenoms

Fonction Institution Tél Lieu de rencontre

Date de rencontre Elouga Roger Point Focal MINAS

PRECESSE

MINAS 22230562 Yaoundé 26/06/2012

Effala Cyrille SD MINEPDED 77751273 Yaoundé 26/06/2012

Pouga Richard International

Bridge (privée)

97078867 Yaoundé 27/06/2012

Nzesseu Jules Bertin

Environnementaliste AER 99620289 Yaoundé 03/07/2012

Issa O. Point Focal PDSEN AER 99776058 Yaoundé 03/07/2012

Gouleu Sidonie Cadre MINEE 77104388 Yaoundé 05/07/2012

Kamguem D. SDPE MINEPDED 79540288 Yaoundé 05/07/2012

Nguetsop J D Cadre MINEPDED 99827837 Yaoundé 05/07/2012

Wanie Marcel SDEE MINEPDED 75742185 Yaoundé 05/07/2012

Thang Dieudonné

Secrétaire Général Global Village Cameroon (ONG)

99717025 Yaoundé 06/07/2012

Fongzossie Evariste

Secrétaire Technique RAEEP (Réseau)

77207532 Yaoundé 06/07/2012

Bignom Blaise ARSEL 97844249 Yaoundé 09/07/2012

Willy F. Tiam Animateur Technique projet Rumpi

AER 94211484 Kumba 10/07/2012

Mbe Mathias bénéficiaire projet rumpi

Bombanda village

Bombanda 11/07/2012 Susan Wase bénéficiaire projet

rumpi

Bombanda village

Bombanda 11/07/2012 Okole Moses bénéficiaire projet

rumpi

Bombanda village

Bombanda Mbonje

11/07/2012

MINADER Yaoundé 12/07/2012

Hamadou Oumara

MINDCAF DDOM 99951801 Yaoundé 13/07/2012

LEUGOUE Dénis

AER 25/07/2012

KOUTELAMA David

AER 25/07/2012

Le consultant adresse à tous ces personnes ses remerciements pour les documents mis à sa disposition et pour leur collaboration. Ses remerciements vont également aux diverses parties prenantes qui ont montré un grand intérêt et une disponibilité tant au niveau de Yaoundé que du terrain.

ANNEXE 3 : TERMES DE REFERENCE POUR LA REALISATION DUNE ETUDE DIMPACT ENVIRONNEMENTAL SOMMAIRE DUN PROJET DEXTENSION DES RESEAUX ELECTRIQUES LOTS NORD ET EXTREME NORD