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Agriculture nouvelle et travail du sol : Le manuel de Genneté

II. Innovation agronomique et diffusion du progrès en Lorraine avant les années 1820

B. L’intérêt pour le labour et les instruments de travail du sol

1. Agriculture nouvelle et travail du sol : Le manuel de Genneté

Opuscule de 38 pages, Le manuel des laboureurs de Léopold Genneté, « premier

physicien de sa majesté impériale », correspond au recueil des réponses à quatre questions, jugées centrales par l’auteur, concernant les pratiques agricoles du travail du sol et, surtout, leur amélioration. Les réponses apportées à ces questions sont de longs développements où L. Genneté propose ses solutions pour améliorer l’art de la culture grâce à un travail du sol plus intensif. Une version liminaire de ces considérations a pu être lue par les plus éclairés puisque les premières questions-réponses ont été publiées dans le Journal oeconomique du mois de septembre 1765194. Les questions sont prétendument posées par des paysans195. Evidemment rien n’est moins sûr et l’ouvrage de Genneté correspond à une catégorie éditoriale de l’époque : les ouvrages d’entretiens (ou pseudo entretiens) sur l’agriculture. Entretiens, souvent fictifs et élaborés à des fins pédagogiques par les auteurs tel le Pasteur Bertrand qui propose en 1775 des Eléments d’agriculture à usage des gens de la campagne (édité à Berne), et qui est largement diffusé, ou encore le Catéchisme d’Agriculture de l’abbé Bexon où là c’est l’élève qui questionne et le maître qui répond196.

La première question posée à l’auteur concerne les engrais : « si le terreau engraisse autant, qu’il fournit aux terreins où la terre manque pour y faire passer la charrue, et suffir à

l’accroissement nécessaire du grain qu’on y sème ? »197. La réponse est succincte mais

affirmative. Cette première question est une sorte d’introduction générale à une réflexion sur

193

L. Genneté, Le manuel des laboureurs, Nancy, 1765. L’ouvrage est reproduit en annexe 3.

194

Journal oeconomique, sept. 1765, p. 385-392.

195

L. Genneté, Le manuel des laboureurs, Nancy, 1765, p. 2.

196

D. Margairaz, François de Neufchâteau. Biographie intellectuelle, Paris, Publications de la Sorbonne, 2005, p. 179 et François de Neufchâteau et al., « Essai sur la nécessité et les moyens de faire entrer dans l’instruction publique l’enseignement de l’agriculture », Mémoires d’agriculture, d’économie rurale et domestique, Société d’agriculture du département de la Seine, t. IV, Paris, an X, p. 15-123, p. 80.

197

les procédés de culture. L’auteur est, en effet, bien plus prolixe pour les trois autres demandes, notamment pour la seconde avec laquelle l’on entre dans le cœur du sujet, c’est-à-dire comment améliorer l’agriculture : « si le fumier qui est l’engrais ordinaire et connu, ne pourroit pas être supplée en tout, ou en partie, par quelques manipulations praticables par le

commun des laboureurs ? »198. L’on sait bien que l’un des principaux manques de

l’agriculture d’Ancien Régime concerne l’apport en fumure. En effet, la relative faiblesse de l’élevage ne permet pas, à l’époque, d’épandre le fumier nécessaire pour une croissance optimale des végétaux cultivés199. Cette carence est sans cesse relevée par les agronomes qui la dénoncent ainsi que sa conséquence, la jachère, régulièrement stigmatisée comme le pire des archaïsmes. Genneté n’échappe pas à la règle lorsqu’il vilipende la jachère considérée comme une part de la superficie cultivable improductive, car au repos pendant une période plus ou moins longue. Il suggère une économie de fumure, supplée grâce à des labours mieux effectués et plus fréquents200. Le travail du sol est donc pour Genneté, reprenant les idées exposées par Duhamel du Monceau201, une solution pour faciliter la régénération des sols sans, ou avec peu d’apport, de fumure.

Il ne s’agit plus là d’enfouir, en retournant le sol avec la charrue, la matière organique mais de mieux remuer la terre pour rendre plus fructueux encore le faible apport fertilisant. Suivant les leçons de J. Tull, traduit par Duhamel du Monceau202, il conseille de multiplier les labours et de pulvériser la terre en fines particules. Un travail plus intensif et plus raisonné du sol doit permettre une culture permanente avec des rendements satisfaisants, c’est-à-dire élevés et réguliers. Aussi, l’auteur, vantant les mérites d’une agriculture de type Norfolk, insiste-t-il sur la réduction des mottes en terre fine : « en labourant menu, on divise la terre, ce qui l’ameublit par-tout, et fait premièrement, qu’elle se charge aussi beaucoup mieux de l’Acide vague de l’air répandu dans toute la nature. En labourant menu et souvent, on retourne la terre, on l’a secouë et soulève, on l’a brise en l’émiettant ou ameublissant en tout sens, ce qui expose continuellement jusqu’à la moindre de ses parties, à l’air libre, qui les

198

Ibid., p. 4.

199

A. Antoine, « L’élevage en France… », op. cit., p. 7-60 ; J. M. Moriceau, « Une question en renouvellement. L’histoire de l’élevage en France », Annales de Bretagne et des pays de l’ouest, n° spécial, Des animaux et des hommes, économie et sociétés rurales en France, XIe-XIXe siècles, 1999-1, p. 17-40 et, plus récent, J. M. Moriceau, Histoire et géographie de l’élevage français…, op. cit.

200

L. Genneté, op. cit., p. 6. Même idée dans H. L. Duhamel du Monceau, Traité de la culture des terres, op. cit., vol. 1, préface, p. XXXI. Sur les mises au point concernant la jachère, cf. supra chapitre II.

201

H. L. Duhamel du Monceau, Traité de la culture des terres, op. cit., vol. 1, p. XXV-XXVI : « les fumiers altèrent toujours un peu la qualité des productions, et on n’est pas maître de s’en procurer autant qu’on en auroit besoin ; au lieu qu’on peut multiplier les labours autant qu’on le veut, et sans craindre d’altérer la qualité des fruits… »

202

« M. Tull pense que la nourriture des plantes n’est autre chose qu’une terre réduite en poudre très fine… » : H. L. Duhamel du Monceau, Traité de la culture des terres, op. cit., vol. 1, p. XVIII.

impreigne de son Acide, et en second lieu, de son Alkali volatile ; et c’est là une des premières causes de la plus grande fertilité, sans secours du fumier ou autres engrais ordinaires »203. Voilà la clé du labour : permettre à chaque particule de terre de bénéficier de l’apport fertile de l’air204. Le retournement de la terre doit permettre « l’action de l’air, qui y dépose successivement son Acide vague et son Alkali volatile (…) et qui, se rencontrant et s’unissant dans une terre bien soulevée et émiettée, y forment (…), avec le concours du Phlogiston de l’air qui vivifie tout ce qui lui donne accès, ils y forment dis-je, une substance, qui est un suc

ou fluide Neutre doux, qui humecte, donne de la fraîcheur, engraisse souverainement… »205. A la différence de Duhamel du Monceau, Genneté explique la fertilisation de la terre avec les connaissances, et le vocabulaire, de la chimie de son époque au sujet desquelles il est parfaitement au fait. Il utilise les théories de Stahl, interprétées et complétées en France par Rouelle, et plus connues sous le terme générique de théorie du phlogistique, même si ce phlogistique n’est pas central dans leurs théories respectives206. D’après l’auteur, remuer la terre et la pulvériser en fines particules grâce à des labours profonds et fréquents, permet donc à l’air d’apporter les éléments fertilisants nécessaires à la croissance des cultures. Autrement dit, l’émiettement de la terre favorise la minéralisation de la matière organique du sol et libère du nitrate absorbable par les plantes. D’où sa conclusion : « les bons laboureurs, ont appris par la seule expérience, que pour avoir une terre qui soit de rapport, il y faut répandre sans cesse de cette Huile que j’appelle de bras, c’est-à-dire, labourer »207. L’ « huile de coude », du langage familier d’aujourd’hui, est donc le remède proposé par Genneté à l’épuisement des sols.

Sur le plan scientifique, Genneté s’appuie donc sur la chimie dite stahlienne qui s’adapte bien au dogme agronomique du labourage intensif ; tandis que sur le plan agricole le travail du sol apparaît comme la seule variable sur laquelle il est possible d’influer de manière décisive. En effet, les engrais chimiques n’existent pas encore et l’élevage est loin d’être suffisant pour procurer la fumure nécessaire à l’engraissement des parcelles. La proposition

203

Ibid., p. 7-8 ; souligné par l’auteur.

204

Deux des quatre principes ou éléments (eau, air, feu et terre) de la chimie de l’époque ; cf. B. Bensaude-Vincent, I. Stengers, Histoire de la chimie, Paris, La découverte, 1993, p. 82.

205

L. Genneté, op. cit., p. 8-9 ; c’est l’auteur qui souligne.

206

Le Phlogistique (du grec Phlogiston : brûlé) est l’élément, contenu dans tous les corps (minéraux, végétaux, animaux), qui permet la combustion dans le cadre de la théorie des quatre éléments. Cette théorie, très en vogue dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, est cependant critiquée, notamment par Lavoisier qui la conteste ouvertement à partir de 1785 après sa découverte de l’oxygène. B. Bensaude-Vincent, I. Stengers, Histoire de la chimie, op. cit., p. 78 et 83-84 ; B. Vidal, Histoire de la chimie, Paris, PUF, 1998, p. 44 et 48 ; B. Bensaude-Vincent, « Phlogistique », dans D. Lecourt (dir.), Dictionnaire d’histoire et philosophie des sciences, P. U. F., 1999, p. 732-733.

207

d’une accentuation/intensification du travail du sol est donc une proposition réaliste et surtout applicable immédiatement par les praticiens, s’inscrivant, de plus, dans le discours agronomique dominant de l’époque.

L’auteur propose des préceptes pour une culture continue sur toutes les terres de l’exploitation, d’où la troisième question : « s’il n’y auroit pas moyen de bonifier les terres, en sorte, qu’on put les charger de blé ou froment chaque année, au lieu qu’on y sème qu’une fois dans trois ans ? »208. C’est une critique de l’assolement triennal traditionnel très contraignant pour les communautés villageoises lorraines209. Genneté affirme, sans contradiction avec sa

réponse précédente, que l’apport en fumier doit être le plus important possible210 et

l’épierrage minutieux afin de faciliter la pulvérisation de la terre car, pour lui, l’objectif ultime est bien l’abandon de la jachère, de la rotation culturale sur trois années et l’adoption d’une culture continue : « Labourez menu et souvent, en commençant par-là à fertiliser en préparant la terre : fumez ensuite cette terre ainsi préparée, elle deviendra alors d’un grand rapport. Après cela, vous pourrez la charger chaque année et obtenir une bonne récolte »211.

En insistant sur le travail intensif du sol, Genneté montre un autre intérêt, essentiel, du labour, la lutte contre les adventices : « les fréquents labours détruisent les mauvaises herbes, qui d’un côté consument inutilement les sucs de la terre ; et de l’autre, elles tiennent le sol à l’ombre, l’a[f]faissent et empêchent l’accès libre de l’air qui contribue tant à la fertiliser »212. Les mauvaises herbes mais aussi les pierres sont les « ennemies » d’une bonne culture : « ôtez donc toutes les pierres nuisibles, détruisez dans tous les temps, les mauvaises herbes qui amaigrissent le sol… »213. Les pierres gênent le labour en faisant sortir de terre le soc de la charrue et empêchent donc une pulvérisation du sol en fines particules. Genneté propose alors une charrue à épierrer qui « arrache de la terre les pierres (…), et les jette à la surface supérieure, sans qu’elles tiennent plus à rien qui empêche de les amasser »214. Il a modifié une charrue « à laquelle [il a mis] seulement un soc plat, un peu rabattu sur les côtés, et de figure presque équilatérale, qui passe entre deux terres et en dégage toutes les pierres sans rien

208

Ibid., p. 10.

209

Cf. supra et G. Cabourdin, Terre et hommes en Lorraine…, op. cit., p. 276.

210

Même si dans la réponse précédente Genneté pense que le labourage intensif est un palliatif efficace au manque de fumure, il n’en conseille pas moins, ici, de fumer abondamment. En fait, c’est le recours simultané aux deux techniques qui est efficace.

211

L. Genneté, op. cit., p. 6-10, citation p. 14.

212 Ibid., p. 13. 213 Ibid., p. 14. 214 Ibid., p. 18.

retourner »215. Mais si le propre de la charrue, son essence même, est de retourner la terre, est-ce encore une charrue216 ?

Genneté propose ensuite un calendrier de travail du sol. Entre août, après les récoltes et octobre, avant les semailles, il conseille un labour tous les quinze jours soit, pendant ces six à huit semaines, soit 3 à 4 labours217. Cette interculture montre bien que pour travailler le sol il est nécessaire de laisser la terre sans culture quelques mois218. Pour les agronomes qui insistent sur l’émottage, le hersage a une grande importance et Genneté conseille l’usage de la herse qui « enterre le grain, retourne jusqu’aux moindres mottes (…) [elle] les divise, soulève, émiette et ameublit de nouveau, en continuant toujours en même temps à fertiliser »219. La herse continue donc, une fois les semailles effectuées, l’action de la charrue. Ainsi pour l’auteur, l’augmentation des rendements est liée à l’intensification du travail du sol et, par conséquent, du travail des paysans. Le coût de la main-d’œuvre étant élevé220 et le but étant de garantir la prospérité économique de l’exploitation, Genneté propose de ne cultiver que de faibles étendues de terrains afin de les cultiver intensivement (la fumure y est concentrée) avec de nombreux labours et hersages221.

S’il s’agit de multiplier les labours, le train de culture prend alors une importance primordiale. Ce train de culture est très coûteux pour les exploitants mais c’est bien plus encore le cheptel vif, ici les animaux de trait, que le cheptel mort, la charrue principalement, qui coûte cher. D’où la quatrième question que se pose l’auteur : « si on ne pourroit pas diminuer le nombre de chevaux, qu’on emploie journellement à labourer, sans nuire à la

culture des terres ? »222. Diminuer le nombre de chevaux de trait permet des économies

substantielles à l’exploitant mais en même temps cette diminution ne doit pas mettre en péril la qualité du labour effectué. La variable d’ajustement entre les deux contraintes est à rechercher dans la construction de l’instrument aratoire : « on pourra diminuer le nombre de chevaux et labourer beaucoup mieux qu’on ne fait ordinairement, en faisant deux ou trois corrections aux charrues qui sont en usage »223. Genneté expose ensuite les modifications

215

Ibid., p. 19.

216

Cf. supra dans le chapitre III, le paragraphe « un charrue ou un araire ? » où les définitions sont rappelées.

217

L. Genneté, op. cit., p. 24.

218

F. Sigaut, « Les conditions d’apparition de la charrue », J. A. T. B. A., t. XIX, n°10-11, 1972, p. 442-478, p. 454 et s.

219

L. Génneté, op. cit., p. 15-16.

220

Ch. Guyot, Essai sur l’aisance relative du paysan lorrain à partir du XVe siècle, Mémoire de l’Académie de Stanislas, 1888-1889, p. 1-130, en particulier p. 101-104 et F. Baudin, Histoire économique et sociale de la Lorraine, t. 1 : Les racines, Nancy, PU de Nancy, 1992, p. 124.

221 L. Génneté, op. cit., p. 26-27. 222 Ibid., p. 27. 223 Ibid., p. 27.

qu’il juge nécessaires d’apporter à la charrue afin qu’elle reste performante même tractée par seulement deux chevaux, au lieu de 6 à 8 communément. Il propose « d’élever le timon [ou age], de manière, que la ligne de traction des chevaux soit toujours parallèle à l’horizon, et précisément à hauteur de poitrail… »224. L’auteur a bien saisi que « ce qui, augmen[te] la résistance, augmente aussi nécessairement le nombre de chevaux… »225. Modifier l’axe de traction a donc pour but de limiter la résistance de traction, ce qui permet d’utiliser un attelage réduit226. Pour autant la démonstration est succincte et Genneté ne fait que poser un principe mais celui-ci demande encore à être prouvé. On remarque bien que cette idée est très répandue et débattue par les agronomes du XVIIIe siècle. Mathieu de Dombasle en est alors un continuateur.

L’auteur du Manuel des laboureurs préconise aussi d’alléger la charrue en utilisant,

pour les roues, des jantes en fer « au lieu de celles en bois qui se chargent d’un poids considérable de terre »227. Il fait le même reproche au versoir en bois et suggère donc l’usage d’un versoir métallique, précisant même que celui-ci doit être « haut, et fait de fer battu ou

tôle mince »228. La terre qui s’accumule et s’accroche sur les roues et le versoir est

effectivement un facteur d’accroissement de la résistance à la traction. Cependant, la terre n’accroche pas toujours, c’est une spécificité des terrains humides ou très argileux comme on en trouve beaucoup en Lorraine. Sur un sol sec (ou léger) le versoir en bois est tout aussi efficace sinon meilleur que le versoir métallique. Néanmoins, le métal à l’époque représente la modernité, le progrès qui s’oppose au bois, image de l’archaïsme, d’où le plébiscite des tenants de l’agriculture nouvelle, comme Genneté, pour le fer.

Genneté a mis au point une charrue conforme aux caractéristiques décrites dans son

Manuel. L’aspect le plus important de cet outil aratoire, est sa légèreté, donc sa maniabilité. Son soc « n’a qu’environ la moitié de la largeur accoutumée » 229, en revanche, il est long et tranchant afin d’éviter d’utiliser un coutre, « supprim[é] entièrement comme nuisible, parce que se présentant de loin par l’extrémité de son levier, la terre qu’il devoit diviser, lui oppose une résistance qui arrête les chevaux si la terre est dure… »230. Point de coutre donc, sacrifié pour faciliter la traction, mais un soc étroit et long qui permet un labour aux raies moins larges qu’un labour traditionnel, ce qui ameublit et émiette mieux le sol d’après le concepteur 224 Ibid., p. 27-28. 225 Ibid., p. 28. 226 Ibid., p. 30. 227 Ibid., p. 28. 228 Ibid., p. 28. 229 Ibid., p. 33. 230 Ibid., p. 32.

de l’outil. On remarque que Genneté attache peu d’importance à l’élimination des adventices alors que c’est un point crucial du labour.

En proposant de perfectionner la charrue et de modifier les pratiques de labour, Genneté apparaît comme un agronome typique du mouvement de l’agriculture nouvelle, à la restriction près qu’il ne semble pas avoir mené d’expériences en plein champ, et ses idées sont

très proches de celles de Duhamel du Monceau. Le Manuel des Laboureurs représente donc

un lieu commun de cette agriculture nouvelle, c’est-à-dire une topégorie de l’agronomie de la fin du XVIIIe siècle.

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