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LA VIE GENEVOISE
Dans les Sociétés
Institut national genevoissection des Sciences morales et poli- rimee, d ’Arohéologie et d ’-Histoire, est con foqnée pour mercredi soir 12 juin, à 8 h Bâtiment du Conseil général (dit Electoral), bibliothèque de l’institut, (entrée : 2, rue je là Plaine). Ordre du jour : «Une séques tration aibitraire dans la maison des alié- à Genève au 18me siècle », par le Dr
Ladame.
\ / Genève-Ville
1 y i trois quarts de siècle, quelques étudiants de Zolingue eurent l ’heureuse idée rajouter, à la culture intellectuelle, la culture '»hyuique, car, pensaient-ils, sans cette der- ijère, le développement haimonieux de }ètre humain ne peut être oomplet.
C!est de ce groupement qu’est issue lâ fcction fédér&le de gymnastique de Genève JSUe qui fête, par conséquent, cet été, la jîgme année de sa fondation. Elle aurait Jésiié donner à cet anniversaire tout l ’éclat jpi’il comporte, mais les événements tr a fiques qui se déroulent autour de nous ont H*gBgô la Fédérale à lui conserver le carac tère de dignité et d ’intimité qui s ’impose flans les ciicon,stances actuelles.
Voici le programme de cette commémora tion : samedi, 29 juin, à 8 h. %, dans la salle fles Rois, Hôtel de l’Aïquebuse, séance offi ziell e à laquelle assisteront nos autorités et les délégués des sections amies : historique, fliscours, orchestre, chœurs.
Dimanche 30 juin, dès le matin : réunion pique-nique de la grande famille gymnasti que, sous les frais ombrages de la Campagne 5e Saussure, au Creux de Genthod, avec le gracieux concours de la société honoraire, FUnion instrumentale genevoise.
Loge des Vinaigriers
La loge des Vinaigriers, société m ixte d ’é pargne, 4, rue du Vieux-Billard, dans sa der nière assemblée a renouvelé son comité )ÿ>mme suit : MM. Claudide Kreutzer, pré- ädent; Alexandre Canbon, vice-président; ». Dayen, trésorier; Théo Martliaier, vice- Wsorier; Charles B'andin, secrétaire; E u gène Ja*tin, v.cB-secrétaire;--membres' ad jointe, Henri Suudel, Fianois^ Gailefc et
Pierre B cuinat. . . . .
Armée du salut
Samedi 8 juin, campagne Perrot, à Clmm- 6ésy, à 3 h., concert, et à 4 h. %, crèmerie- ren te au profit de l’Armée du salut (bas fonds) et des amies de la jeune fille (gare).
La
Fédération des Cuisines scolaires
La Fédération dos Cuisines scolaires a «Bnu son assemblée générale annuelle lundi fleinier.
M. Jpccard. (Cropeltes) a été élu prési- Bent ; M. Nie: z,=cime;- (Prieuré-Sécheron), Beoheron et A lbeit Cadier (Eaux-Vives, tré sorier.
MM. Le m;. ître (Carouge)et Eug. Roch (Pl.inpalais), président et secrétaire sortant de charges avaient décliné toute réélection.
Une somme de 9085 lr. 90, com prenant les aons de la maison Pic-Pic, de feu Hodler, des 'boîtes de la Semaine religieuse a été répartie entre les onze sociétés fédérées »u prorata du nombre de leur enfants.
Une intéressante discussion sur la qu03- Kon du ravitaillem ent pour la saison pro- theine a eu lieu avec renvoi . pour étude i, une commission composée ■ des : économes |e chacune des Cuisines.
Les Cuisines d e Saint-Géryàis e t d e la Ave gauche ont été nommées vérificateurs les comptes.
U ne réunion amicale de toüB les comités ), été décidée pour l'autom ne prochain, kfin de célébrer le lOme anniversaire de ia fondation de la Fédération.
-Les dons seront reçus avec reconnais sance par M. Georges Jaccard, président, chemin Liotard.
Les Conférences
La question balkaniqueLe professeur Favey de Lausanne donnera une conférence, samedi soir, à 8 h. 30, à la salle centrale, sur la question balkanique, avec projections (clichés de la maison Bois sonnas).
Nul doute qu’un nombreux public n’aille entendre ce sujet d ’actualité et applaudir le conférencier.
G ran d Conseil
Séance samedi à 3 h.
A l’ordre du jour : Assermentation de ma gistrats de l’ordra judiciaire, élus le3 1 1 et 12 mai 1918. Propositions individuelles. Rapport d e la Commission de grâce. Proposi tions de naturalisation d ’étrangers déjà admis par le3 communes (5e et 6e listes de 1918). Rapport de la Commission chargée d’examiner le projet de loi approuvant d i verses modifications aux statuts de la Caisse de prévoyance universitaire et rem plaçant la loi sur la Caisse de prévoyance et sur la limite d ’âge des professeurs de l’Université, du 16 mars 1912. Projets de lois : 1. ouvrant au Conseil d’E ta t un crédit de 215.000 francs pour l’acquisition de l’immeuble rue de l’Hôtel-de-Ville, 11 ; 2. accordant aü Conseil d’E tat un crédit de 10.000 francs en vue d.e l’ouverture d ’un concours pour l’étude d ’un collège à Samt-Je an ; 3. ouvrant au Conseil d ’E ta t un crédit de 63.000 francs pour l’ac quisition de la propriété L ’Huillier, à Saint- Jean, en vue de la construction d ’un collège. Troisième débat sur le projet de loi ouvrant au Conseil d ’E ta t im crédit de 639.150 francs en vuede la construction d ’un bâtim ent pour l’in stitu t de médecine légale et d ’une clinique ophtalmologique. Tour de préconsultation sur le projet de loi abrogeant l’article pre mier de la loi du 27 mai 1903, accordant le concours de l’E ta t aux sociétés de secours mutuels en cas de maladie. (Prop. Perrenoud) Rapport de la Commission chargée d ’étudier le projet de loi accordant à la commune de Plair.palais une subvention de 745.110 francs, epréser.tant le e0 % de la-dépense totale pour l ’aider dans la construction scolaire dans le quartier du Mail. Réponse du Conseil d ’E ta t aux interpellations Rochaix (Insti tution de la carte de fromage et lé rationne ment de cett denrée) et Droin (Création d ’une Commission pénale au Département suisse de l ’Economie publique). Rapport de la Commission chargée d ’examiner le pro jet de loi allouant au Conseil d ’E ta t nn cré dit de 23.000 francs pour l’élargissement de la route de Lausanne, entre les rues du Prieuré et de Rotschild. Rpports des Com missions chargées d ’examiner les projets de loi : 1. complétant l’article 55 de la loi d ’or ganisation judiciaire, du 11 novembre 1911 (prop. Ad. Lachenal); 2. allouant au Conseil d’E ta t un crédit pour la construction d ’un égnût collecteur sur la route cantonale d ’-Onex (prop. Bonnet); Premier débat sur le projet de loi constitutionnelle attribuant le droit de vote en m.atière communale aux personnes du sexe féminin genevoises et confédérées (prop. Guillermin). Projets de loi modifiant : 1 . les lois d’organisation judi ciaire des 18 novembre 1911 et 22 mai 1912 (prop. Ody); 2. les dispositions de la loi sur l’organisation judiciaire concernant la com position du Tribunal de police (prop. Wil- lem;n).
Dans
les
Communes
On r.oua écrit : ■
«Le concert donné à la chapelle det Crêts par le chteur paroissial de Pregny- Grand-Saconnex avait attiré de nombreux auditeurs. Mlle Boveyron a su rendre avec expression. IShevre est lente, do Carissimi et en particulier l’Air de Lia, de Debussy; très bien rendu également l ’Adagio du Concerto en mi majeur de Bach et la Sonate en m i majeur de Haendel par M. Jean Beyeler, violoniste. Lie divers choeurs
exé-outés par 1» société sous la' direction de M. Roger Vuataz, organiste, ont prouvé' ce qu’un bon directeur peut obtenir d’une petite phalange. Bref, ce fut un ooncert fort bien réussi et dont chacun gardeia un bon souvenir. »
On réclame
L A T R I B U N Ete
D E G E N E V B8
Contre la tuberculose On nous écrit :La Tribune de Genève vient de publier une lettre intéressante du docteur A. Rol- lier sur le rôle de l’école dans la lu tte pré ventive contre la tuberculose (numéro du 31 mai).
Nous sommes heureux, en ce qui con cerne Genève, de voir ce3 nouveaux prin cipes d ’hygiène communément admis : il suffit de rappeler le3 institutions fondées par l’jnitiative, privée et le département de l’instruction publique, pour s’èn rendre co m p te: (Ecoles en plein air, écoles de la forêt, colonies d.e vacances, bains de soleil du lac et de 1’Arve, service médical des école3 avec infirmières, douches scolaires, am énagem ent de la Pointe à la Bise pour les classes gardiennes.)
Devant l’ardeur et la générosité de ces efforts, nous souffrons de les voir parfois
annihilés.
-Qu’on pense, par exemple, à l’influence de certaines habitations sur le développe m ent physique 1 Nous ne parlons pas seu lement de ces masures dont il faudrait em pêcher la location, mais d ’appartements modernes condamnés par l’hygiène, qu’on loue illégalement, de ces chambres de bonnes avec fenêtre sur la cage de l’escalier, de ta n t de logos de concierge dans des cons tructions récentes, pas même des loges, mais des caves tout imprégnées de moisis sures. (M. F. Reverdin, G, Taconnerie, peut en dire long à. ce sujet).
L ’école aura beau lutter contre la tuber culose, que pourra-t-elle sur des organis mes qui s ’étiolent dans des milieux insa lubres.
Les restrictions alimentaires, les travaux en dehors des heures de classes pour appor ter quelque aide à la famille, amoindrissent chez l’enfant les résistances de l’organisme, augm entent. le nombre des tuberculeux.
Les devoirs de l ’école sont indiqués, elle les accomplira. Mais n ’intervenons pas d ’un cô té seulement.
--C'est-un .combat sur tous les fronts qu’il nous faut livrer. Condamnons dès m ainte nant les logements insalubres.
E. Ducor. Contre les cartes obscènes On nous écrit :
Sous ce titre vous signalez le prccès d’un tailleur qui a fait déclarer en contravention plusieurs marchands de tabacs qui vendaient des cartes postales obscènes.
Peimettez-moi de profier des colonnes de votre honoré journal pour protester éner giquement contre la vente et l’exposition de ces cartes qui ont un effet néfaste sur la jeunesse. Il serait à désirer que la popu lation de notre ville lu ttâ t sérieusement contre la pornographie et que la police intervint énergiquement.
On a interdit certaines affiches licencieuses de cinémas; pourquoi autorise-t-on l’exhi bition de ces cartes dans les vitrines des m a gasins de tabacs.
Si nous voulons préparer uné génération forte, préservons la jeunesse de ce fléau qu’est la littérature immorale et obscène.
A. M. »
Nous avons reçu...»
Nous autres, d ’Henri Barbusse. Librairie Ernest Flammarion, Paris.
Ce livre avait paru en 1914 avant la guerre. Il atteint aujourd’hui le huitième mille, n est divisé par l’auteur en trois par ties : fatalité, la folie d’aimer, pitié. Cha cune d’elles renferme de brèves nouvelles, des contes brefs, ingénieusement composés, très finement pensés. La sensibilité délicate et l’imagination d’Henri Barbusse lui ont permis d’écrire un livre plein de trouvailles de style et d’idées. C’est un véritable tour de force pour un auteur de savoir dire tan t de choses en si peu de pages. Ce livre ne peut qu’intéresser tous ses lecteurs.
La presse étrangère
QUE SERO NT L E S G A R A N T IE S î La lu tte continue, toujours ardente, au tour du droit électoral prussien. En ce mo ment, pour lui amener do nouveaux adhé rents, le centre catholique lanoe dans la circulation un certain nombre de proposi tions, de garanties, qui sont de l’ordre d e l’Eglise et de l’Ecole. Bien que ses proposi tions aient été repoussée3 à plusieurs repri ses déjà, il est probable que le parti du cen tre les reprendra au moment de la quatrième lecture du nouveau projet de lôi électorale. En leurs term es essentiels, elles -postuent que les relations entre l’Eta't, l’Eglise et l’Ecale resteront ce qu’elles étaient dans Le passé, même sous le régime du suffrage uni versel. L ’Ecole prendra un caractère con fessionnel. E t toute modification à une dis position constitutionnel le en ce domaine devra réunir les deux tiers d©3 membres du Landtag.c Au point de vue de la tactique politique, écrit le Berliner Tagtblatt, ces propositions auront le sort de toutes cell.es qui sont pré sentées par de.s politiques qui se trouvent le postérieur entre deux; chaises. Sons doute, elles r e n c o n tre ro n ts y m p a th ie d ’une partie de la droite. M 'is aussi de l’opposition dans ce même groupe. En effet, nous sommes en présence de3 adversaires de principe du droit électoral égal pour tous. »
Quant à la gauche, elle sent que le suf-' frage universel aboutira avant qu’il soit long temps. Pourquoi perm ettrait-elle que des obstacles fussent accumulés sur la route qui
y conduit.
-Ce que demande le centre, c’est une majo rité des deux tiers pour le second chapitre seulement de la Constitution o ù 'il est ques tion des « droits de la Prusse ». C’est là une exigence nouvelle.
«Ainsi donc, nous aurions, dans l’avenir, deux systèmes pour les changements à ap porter à la Constitution : un mode général et un spécial. « E t seules les dispositions1 constitutionnelles concernant l’Eglise et l’école seraient soumises au régime de la majorité des deux tiers ».
Il est facile de comprendre que dans de semblables circonstances, on éprouve, à droite comme à gauche, non seulement des craintes d ’ord.re tactique, mais, encore, des craintes de principe à adm ettre les garanties que le centre voudrait faire adopter.
KI. VON S E ID L E R A DES P R IN C IP E S Dans le désorde sans nom où la politique autrichienne se débat, nous allions oublier, écrit le Journal ouvrier, de Vienne, que M. de Seidler avait des principes capables de leur permettre d ’aborder avec succès la solu tion des problèmes nationaux et d’E tat. Il les a fait connaître à la séance du 7 mars dernier. Mais ici, tout de suite quelques observations :
« C’est clair, écrit le Journal ouvrier, que l’autonomie nationale dans les limites du pays de la couronne ne peut être accordée à nn pays seulement. Il faut au contraire, que ce principe soit établi, que partout on procédera également, du moment que dar.F un pays de la couronne demeureront plu sieurs nations. »
Ainsi donc, il faudra décréter l ’autono mie, non seulement pour la Bohême, mair aussi pour la Carinthie, la Siyrie, en général pour tous les pays dans lesquels existe une question nationale.
Mai» de là à voir M. von Seidler défendre ces principes, qui sont cependant élémentai res, il y a loin. «En réalité, il ne possède qu’un seul principe : o’est de lâcher tous les principes, quand il croit que o’est dans l’in térêt de l’heure.
M. von Seidler pratiqué du reste le même jeu dans la question de la convocation du Reiohsrat autrichien. En « prinoipe » il est pour. Et. il protesto avec grandiloquence quand on lui reproche de vouloir gouverner sans parlement.
u Cependant, M. von Seidler connaît mieux que personne, aujourd’hui, la situation réelle dans laquelle se débat l ’Autriche et les graves intérêts qui sont en jeu, si on voulait jouer aveo la patience du peuple. Il faut donc que le R-Jî'chorat soit convoqué. E t s’il y a in
compatibilité entre l’aotivité de la repré sentation populaire et l’existence du gou vernement de M. von Seidler, celui-ci n ’aura plus qu’à vider les lieux. »
Pour un langage clair, c ’est un langage clair, ne vous semble-t-il pas T
LE BAIN D’ACIER
Quand, il y a quatre ans, écrit le Vorwärts de Berlin, la catastrophe mondiale s’ab a ttit sur l’Allemagne, il y eut des bardes guerriers qui parlèrent d ’un « bain d ’acier » moral, dans lequel la morale d u peuple allemand, qui s’était singulièrement affaiblie pendant la trop longue période de paix, allait enfin,pou voir se retrem per.Depuis le 4 ao û t 1914 nous connaissons les bienfaits de ce bain, écrit le journal so cialiste des Scheidemann et consorts. Nous constatons aujourd’hui les résultats au point de vue de la santé morale du peuple alle mand, dont le3 statistiques crimineîle3 nous donnent une photographie fort peu édifiante.
Chaque jour augm ente lenombro des agres sions contre les personnes et contre le3 pro priétés. E t cela aussi bien dans le3 villes que dans le=i campagneâ. Il existe, aujourd’hui; de véritables bandes organisées, qui travail lent selon une méthode pre-que scientifique ment conçue, et qui constituent un danger permanent.
Ce « bain d ’acier » est infiniment dange reux pour les générations en train de devenir. Depuis des années, le père est au front. La mère travaille à la fabrique. Les enfants sont plus abandonnés à eux-mêmes qu’ils l’é taient en temps de paix.
En d ’autres termes, au point de vue mo ral, toute la Société allemande est rérieuse- ment contaminée, du haut en bas. Ce ne sera pas là une des conséquences les plus graves de la guerre que l’Allemagne a voulue, pré méditée.
LES O U V R IE R S AN G LA IS ET LA G U E R R E
Un correspondant du Secolo, de Milan, a pu s’entretenir, à Londres, avec M. Arthur Henderson, l’ancien ministre, le pré ident de la puissante Trade-Union qu’est la Natio nal Sailor's and Firemen's Union. E t ils ont parlé de la paix.
a La paix î lui a d it Henderson, mais tous nous aspirons à la paix. Quel est l’imbécile
1 «N ous pouvons faire ia j g w n qn’ « joUrd’hui, les bourgeois russes, et en, par ticulier les petits bour^ois des classes moyennes, ont commencé,' successivement, à m ettre leurs forces de travail au service de l ’E ta t. Nom. ne pouvons pas en dire autant des classes possédantes, qui font toujours de l’opposition aux bolchéviki Les bourgeois ont cru que le gouvernement ne tiendrait que durant quelques semaines Maintenant, bien qu’ils aient reconnu leur erreur, ils continuent quand même à intriguer contre le gouvernement et à lui faire de l'op position. Ils comptaient que les Allemands les débarrasseraient des bolchéviki. M ia, aujourd’hui, le gouvernement est en selle, inébranlable. Aucune puissance ne pourra le renverser. Aucun groupe et aucun parti ne possède assez d ’influence pour entrepren dre quoi que ce soit contre les bolchéviki Ceux-ci enregistrent chaque jour denouveaux succès. Tout récemment, nombreux furent les paysans qui se joignirent à eux. Ainsi, aux dernières élections dans le gouverne ment de Moscou, ils ont remporté une bril lante victoire. Autrefois, ce gouvernement était complètement entre les mains des socia listes révolutionnaires. La situation, au point de vue de l’alimentation est excellente à Mos cou, alors qu’elle est tout ce qu’il y a de plus lamentable à "Pétrograde. Il faut chercher la cause de cette différence dans les condi tions difficiles où se trouvent les chemins de fer, qui se débattent en ce moment encore, dans le.plus inextricable chaos. L'introduc tion du système des cariés dans les grandes villes 'produit un effet déprimant.
qui ne la désirerait pas î Mais, quelle paix ? Toute la question est là. E t je puis vous dire maintenant quelle est la paix que veulent les marins anglais. Ecoutez-moi bien. Quand éclata la guerre, nous avions à bord de nos navires marchands environ un millier de marins allemands. Nous avons d it alors «Quelle peut bien être la faute commise par ces pauvres diables?» E t nous avons décidé alors, au lieu de les laisser interner, comme les atitres Allemands, de nous en occuper nous mêmes. E t nous les avons logés et entretenus dans notre grand bâtim ent syndical, à East- court, dans le Northamptonshire, où ils ont pu jouir du plus large confort. La semaine d'aprè.s, le 8 mai, nous apprenons la dispari tion du Lusitania ».
E t Henderson raconte, que le même soir, quand il connut cet épouvantable forfait, il se rendit h Eastcourt, où il harangua les ma rins allemands. Il attendait d ’eux un désaveu formel de semblables procédés de guerre. « Je sortis, ait-il, A peine avais-je franchi la porte que j’entendis les cris d ’une joie sau vage, dos «vive l'empereur», et des chants pa triotiques. Ce fut une révélation et un coup grave pour notre bonne foi. Naturellement, nous ne voulûmes plus rion savoir d ’eux. Nous remîmes prestement les mille marins à l’autorité militaire qui les interna, avec leurs autres nationaux, dans l’île de Wight. E t nous avonB mis notre bâtim ent à la disposi tion du gouvernement pour qu’il y logeât nos propres blessés ».
Aujourd’hui il en va tout autrement. La naïveté un peu puéril de certains a fait place à la volonté de vaincre un ennemi de cette mentalité là
« Les ouvriers anglais, déclare Henderson, se sont prononcés, sans hésitation aucune en faveur de la guerre.» . _______
UN SON DE CLOCHE
Politiken, le journal des socialistes m axi m alises de Suède, publie une interview qu’il a prise à un délégué du gouvernement russe qui siège, en ce moment, à Moscou. E t voici, quelques-unes des déclarations qu’ii a . enregistrées.
Des bandes noires, qui probablement font cause commune avec les réactionnaires et qui se nomment anarchistes, cherchent par tous les moyens, à jeter des bâtons dans les' roues du gouvernement. Elles volent tout ce qui se trouve à portée de leur main, sous le prétexte d ’exproprier «des maisons, des alimentB, des vêtements ».
Sans doute faut-il prendre ces décla rations sous sérieux bénéfice d ’inventaire, puisqu’elles proviennent d’un maximaliste gouvernemental russe. M»is il n ’en reste pas moins qu’elles nous donnent, en raccourci, une image assez n e tte du désordre qui règne dans la Russied.es Lenin e, Trost ki et consorts
L A PRESID EN CE DU REICHSTAG Voici ia solution que préconise la Gazette de Francfort. B faut tout d ’abord que la, fraction socialiste soit représentée au bureau du Parlement. E t si le centre obtient le pré sident, il faudra qu’un socialiste occupe la fonction de premier vice-président. La seconde vice-présidence serait abandonnée au parti populaire progressiste.
Ainsi nous aurions un bureau du Reichs- lag qui serait bien représentatif de la vo lonté politique de la majorité. Quant au poste de troisième vice-président, il pourrait être confié à un national libéral.
«Une seule chose reste importante. C’est qu’uujouid’hui il faut que tout le monde s’adonne au même travail et que la prési dence du Reichstag, en 6on ensemble, soit bien adéquate à la composition même du Parlement ».
E t puis le servilisme socialiste vaut bien une .première vice-présidence, n ’est-iT pas v raiî
LA C RISE ASIATIQUE L’Asie, jusqu’à m aintenant figée, vient de se réveiller. En Transcaucasie des éléments turCB influents travaillent à la séparation d’avec $a Russie. Au Turkestan, le gou vernement, composé surtout de mahomé- tans, a été renversé par des maximalistes. E t le Conseil des ouvriers et soldats est tout puissant à Tachkent. A la frontière occiden tale de la Russie asiatique les combats sont, nombreux et violents entre mahométans et bolchéviki. La pensée « pànturque » est en mouvement. E t -les pro _ '
tous leurs efforts pour arracher de. la l6ü pOupW iu«foo <io l’A^»U oonivo.1».
« E ta n t dorinée l’invasion japonaise en Sibérie, écrit la Münchener Post, l’Allemagne se trouve en face d’une décision à prendre qui est de la plus haute importance. En ce moment même, le VorWaerts de Berlin adresse au gouvernement impérial allemand un avertissement qui est tout ce qu’il y a de plus sérieux.
La preMe suisse
UN AVOCAT D E i
PLEINS FOt/VÖmf
C'est le Bund qui profite de la présenc# à Berr.e des députés aux Chambres pour « aller de sa petite plaidoirie. Malgré la e risï du papier, le journal bernois consacre d o u i colonnes à la défense de ces pleins-pou voiïgj dont il s'est toujours fait l’avocat obstinft Ses arguments ne sont pas nouveaux, la ton de sa harangue n ’a pas Varié : une apo» logie des responsabilités du gcuvernefcent; une semonce à ces welsches et'en particulier aux Genevois (c est bien de 1 honneur^ merci ! ) une vague concession au mécon< tentem ent populaire sous forme du ipjou timidement exprimé de voir les Chambre* un peu mieux renseignées sur lès dtcisioiw prises, et tout, aussitôt un mea culpa, un» protestation d ’autant plus vigoureuse contra les revendications des citoyens, le « m ieui valent les pleins pouvoirs que nos libertés ligotées par des liens étrangers » et aut/eu arguments bien connus.Ce n ’est pas de cela qu’il s ’agit. II va sans dire que nul ne mô» . connaît les responsabilités qui pèsent les épaules de nos conseillers féd érau * ;Le Bund devrait s’en rendre compte —* il est vrai que la passion aveugle — mais le peuple Buisse s’élève et de plus en plus contre le silence inquiétant dans quoi restent murés plusieurs de nos gouvernant«. Les pleins pouvoirs ont pu paraître un mal
' "" ' 1era‘ "
nécessaire; ils sont intolérables maintenant que l’intrigue, la suspicion e t l’autocratie tendent à devenir leurs corollaires. Le Bund ’est ni si mal informé, ni si peu averti, qu’il n ’ait compris le danger. Le canton de Berne, en acceptant l’initiative socialiste, laisse entendre que dans les masses profondes de populations jusqu’alors discipÜriées, la méfiance s’éveille.
Non, le Bund ne s’y trompe pas. Son plaidoyer sonne comme un appel de détresse. Ce n ’est pas sa lourde ironie, ses railleries contre les welsches et Genève qui nous don neront le change.
LES N O U VELLES - M ESU R ES FIN A N C IER ES «Le chef du département, fédéral de5 finances déclare, dit la Neue Zürcher Zeitung, que deux expédients se présentent, qui sont propres à remplir le nouveau programme financier fédéral.
Le 1er projet prévoit que pour la couver* ture de la dette de mobiln ation, la plus grosse partie des oharges reposera sur les ipaules de gens fortunés. Le second projet demande la participation des capitalistes jusqu’à la proportion de moitié au moins des sommes n&essitées pour la couverture de la dette; il y aurait donc là application d ’un impôt direct temporaire extraordinaire. Le chef de nos finances a pu dire avec raison que cette mesure frapperait plus lourdement les contribuables que l’impôt direct proposé par l’initiative socialiste.
Comme mesures financières de seconde li ne, on voit réapparaître l’imposition du ta,- ac, le monopole de l’alcool, l’augmentation de la taxe militaire, projets oonnus et atten dus de la majorité du peuple ».
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e su i t e , o u v r i è r e c o u t u r i è r e . Mme Scl iu n b u o h . 77, liou l'i v n rd Cnrl-Vogt. 1305* T n i p o r t u n t e Cie d ’u s s u r n n e e s i Bfile, p r e n - I d r a i t c o m m e a p p r e n t i d e b u r e u u , j e u n e h o m m e a y u n t b o n n e I n s t r u c t i o n . S n lo ire . A d r e s s e r o ffr es a v e c c e r t i f i c a t s d ’é c o l e s s o u s c h iffr e Sc 3250 Q o n P u b l i c i t a s A.-G. H&te- ______________ __________________ 1-3977
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odes . On d e m a n d e b o n n e s u p p r è t e u s e s , a p p r e n t i e s e t c o m m i s s i o n n a i r e . P l a c e s s t a b l e s e t b ie n r é t r i b u é e s . Mm e B e r t r a n d , 3, Molnrd^ P3929 l\/l D o m ingo -Ji ni an o, 17, ftiè V e r a o h n e x , d e -1V1, m a n d e b o n n e s o u v r i è r e s e t a i d a n t e s . p o u r le t a i l l e u r e t le flou. T ré» u r g e n t . ________f;ui7 m e Kis, r u o d e S a u s s u r e , C d e m a n d e o u v r i è r e s e t ré a s s i i j a t ti a a c o u t u r i è r e s . 13186 n d e m u n d e p A t r p e t i t m é n a g e so ig n é , u n e fe m m e de m é n a g e p r o p r e e t a c t i v e , m u n i e de b o n n e s r é f é r e n c e s , s a c h a n t l a v e r e t r e p a s se r , p o u r 2 h e u r e s le m a t i n , d e 8 à 10. Q u a r t i e r e n t r é e S t - J e a n .
A d r e s s e r o f fr e s s o u s T U37» X, A P u b lia ita i
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A.. Geuév e. _______ n c h e r d i e filIo dÎ
l tas , '.1910 _ sin e. — S ’a d r e s s e r R o s e r a i e , c iiflihbr e et fille de c a i - Ho tel , 25, c h e m i n de la H os e ra lq , 13110 n d e m a n d e d e s u i ï e b ö t i n e c tlisi n iê ro p o u r p e t i t e c lin iq u e . S ’a d r e s s e r , r u e E a u ^ - V I v e s , 91._________ J3M20
_________ n d e m a n d e b o n n e à t o u t fa ire , a i u i u n t . . _________ 13 e n f a n t s , p o u r p e t i t m é n a g e .'a d resser, le m a tin , Jusqu’à 1
»* ru* 4« Wus&nn«. Mm* UejU»r«»>11 h e u r« « . 15082
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n d e m a n d e b o n n e & t o u t foi re , r e c o m m a n dé e . p o u r m é n a g e s o i g n é de d e u x p e r so n n e s . C h e m in S a n t t e r , 11. d e m a n d e o u v r i e r c o r d o n n i e r , p o u r la ré- at io n . S ’a d r e s s e r , C e r r u t t l , i ue I.es-13049 d é n ia i W p o ro tio c ü o t , 8.0
n d e m n n i i e de su ite o u v r i è r e s , r o b e s , 2, r u e de la Muse. M me Ju g e . 13086O
n d e m a n d e u n e f e m m e d e c h a m b r e po u r g r a n d h ô t e l , C h a m o n i x . .S’a d r e s s e r , c o n c i e r g e , r u e de Rive. 20.______ 1309(iO
n d e m a n d e u n e a p p r e n t i e , de 15 a 16 nas, b i e n r e c o m m a n d é e , r é t r i b u é e de su ite. 25 fr. p a r m ois. T3951 A l’i n d u s t r i e Suiss e, 14, r u e du R h ône .0
n d e m a n d e d o m e s ti q u e p o u r t o u t faire, . b i e a r e c o m m a n d é e .17. rite de M a lag n o u . 2 i n e é t a g e , g a u c h e . 13196
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a c h e r c h e c o n t r e m a î t r e s s e , p o u r 16 p iq u u g e d e s tiges. F o r t g a in .Binon & Cie, r u e Kendt. 12.__________ 13159
O
n c h e r c h e b o n n e s m o n t e u s e s de p a n t o u l l e s . po ur tr a v a il fi d o m ic ile .Ricou & Cie, r u e F e n d t , 42.____________ 13158
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n d e m a n d e u n e b o n n e o u v r i è r e e n p a r a p lu ie s. S ' a d r e s s e r , A R o b i n s o n , 6, r u e du M a r c h é T3972O
n d e m a n d e h o m m e d e p e i n e , 25 à 30 ans,i f o r t e t b ie n r e c o m m a n d é , a u c o u r a n t de s p e t i t s t r a v a u x d ’é b é n i s t e r i e . So p r é s e n t e r , m u n i d e s c e r t i f i c a t s , m e u b l e s , To u r- d e- l’lie, 4. a u 1er, de 11 fi 12 h e u r e s . ________________ T3969O
n d e m a n d e u n j e u n e h o m m e , p o u r c o u r s e s e t p e t i t s tr o v o u x . P u t h o d , c h e m i n d e s E p in e tt e s , 12. 13178 n d e m a n d e u n e b o n n e o u v r i è r e r e p a s s e u s e , en t e i n t u r e r i e . P u t h o d , c h e m i n des E p in e tt e s , 1 2._____131770
. b lo u se s e t l in g e r ie , t r a v a i l so ig n é ..a d e m a n d e r é a s s u j e t t i e , s é r i e u s e , p o u r '78, r u a du R h ô n e . 4me. . 1316n0
n d e m a n d e a p p r e n t i e e t r é a s s u j e t t i e . Mme Hirochl, c o u t u r i è r e , 16, c o u r s de Rive. 13150O
u v r i è r e s , rénss uje .ttje s e t a p p r e n t i e s r é t r i b u é e s . — Mme P a ö l i sl l ö , r u e de Rive, 1. e n t r é e , r u e du P o rt , 11.________*_________ 13139D
n d e m a n d e j e u n e h o m m e , 14-16 a n s , p o u r p e t i t s t r a v a u x de b u r e a u . S a l a i r e m e n s u e l , 80 f ra n c s. — A d r e s s e r offr es à c a s e No 20876. F u s l e r i e . 13192Ü
a d e m a n d e j e u n e fille p o u r p e t i t m é n a g e Bons g a g e s . E c r i r e . 450, T r i b u n e , p a s s a g e Lions. 13198O
n d e m n n d e l i o n n e d o m e s t i q u e , 35-45 a n s , s a c h a n t b i e a c u i s in e r, p o u r m é n a g e Mon s i e u r seul . I n u til e d e s e p r é s e n t e r s a n s r é f é r e n c e s s é r i e u s e s . S ’a d r e s s e r e n t r e 7 h. e t 8 h. 1/2 so i r , r u e de L a u s a n n e , 74. _______________ .132150
n d e m a n d e p o u r le 15 j u i n , u n e b o n n e A _ t o u t f a i re , s é r i e u s e e t r e c o m m a n d é e , p o u r é t i t m é n a g e so i g n é , p a s s a n t l’é t é ù la m o n t a g n e . Se p r é s e n t e r de 2 ô 4 h e u r e s , a v e n u e E r n e s t - P i c t e t , 5, 2me, à d r o i t e . _________ ________ 132030
n d e m a n d e j e u n e 1111e, p r o p r e e t s o i g n e u s e , p o u r t r a v a i l de b u r e a u , f ac ile, q u a r t i e r E a u x -V i v e s . V in gt f r a n c s p a r se m ai ne. E c r i r e , 3905, T r i b u n e , B a rt h o l o n i . 13219O
n d e m a n d e b o n n e à t o u t f a i re , s a c h a n t b i e n c u i s in e r . Villa L a F a u v e t t e , a v e n u e J a c q u e s M a rtin, p l a t e a u d e l’E r m i t a g e (Ch èn e- B o u g e rl e s l . 13216J
p l a c i e r p o u r m a c h i n e s - o u t i l s e s t d e m a n d é . Offres dé ta i l l é e » p a r é c r i t , ù S. S c h u p p i s s e r , en è v e . 13191 T ) o n z i ô r e . Modes, 19, r u e d u R h ô n e , d e m a n d e I X t r è s b o n n e o p p r è t e u s e , a p p r e n t i o r é t r i b u é e , j e u n e h o m m e p o u r c o u r s e s e t n e t t o y u g e . ____________________ 13190dem an des
"D’
emplois
C
i o u t u r l e r e , su is se sso u i c m u m i i u u e , lu nu s, I c h e r c h e p l a c e d a n s p e t i t a t e l i e r p o u r se p e r f e c t i o n n e r d a n s la p a r t i e e t a p p r e n d r e le f r a n ç a i s . D é s ire ê t r e n o u r r i e e t l o g é e d a n s la m a i s o n . P e t i t g a g e . 13135 447. T rftiu u e . p a s s a g e Lions. / l o u t u r i è r e e n t r e p r e n d t r a v a u x do c o n f e c t i o n l ; e t l i n g e r ie . M m e G. H i r s c l i y , C o u l o u v r e - m è r e , 38. 13161 ’o u t u r i è r e , se r e c o m m a n d e p o u r r o b e s et c o n f e c tio n » . 13201 l’e d r e s e e r , I , r u * B e rn a r d - D u a sa u U , a u i m e .C
o m m i s d e v a n t p a r t i r nu s e rv i c e en F r a n c e , c h e r c h e o c c u p a t i o n p o u r 3 s e m a i n e s . B o n n e s r é f é r e n c e s . E c r i r e , M. B. 20. p o s te Mont-Blanc. 13210D
e u x j e u n e s e m p l o y é s de B a n q u e c h e r c h e n t o c c u p a t i o n d e p u i s 5 h. 1/2 le so ir. E c r i r e No 124 D 7. p o ste r e s t a n t e , F n s t e r i e . 13218D
e m o i s e ll e , 21 a n s , c h e r c h e e m plo i d a n s m a g a s i n de c h a u s s u r e s , p â t i s s e r i e , o u p la c e a n a l o g u e . A d r e s s e r offr es s o u s L 14366 X. à P u b l i c i t a s, S. A., Gon éve . P3913D
e m o is e ll e , 22 nns, s é r i e u s e , pa rian t. 2 l a n gu e s, c h e r c h e e m p lo i d a n s m a g a s i n , lie p r é f é r e n c e a l i m e n t u t i o n . IJcrlre , 400, T r i b u n e , p a s s a g e Lion s. ____ 12915 o u t s c h - S c h w e i z e r , 23 Jn lire , s u c h t so fort „ S t e l l u n g als K o r r e s p o n d e n t , C o m m i s S le no- D a c ty lo u s w . — S p r i c h t d ä n i s c h u. h o l l ä n d i s c h0
Ia Z e u g n i ss e . E c r i r e , l.ions. 413, T r i b u n e , p a s sa g e 13152J
e u n e fille, c o n n a i s s a n t le f r a n ç a i s , d e fa m ille d i s t i n g u é e , S u iss e n l l e m a n n i q u e , c h e r c h e p l a c e de g o u v e r n a n t e a u p r è s d ’e n fan ts. A d r e s s e r o ffr es c u s e 6977, Mt-BIqnc. 12975 •-.une e m p l o y é d e b a n q u e f e ru i t d a n s se s _ h e u r e s lib re s, d e s t r a v a u x de c o m p t a b i l i t é p o u r p e t i t e m a i s o n de c o m m e r c e ou m a g u s in . E c r i r e so u s 3906, T r i b u n e . B a r t h o l o n i . 13221J
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e u n e fille d é s i r a n t p a s s e r 2 mois fi la m o n t a g n e , c h e r c h e e m p lo i d a n s fam ill e, b u r e a u ou o o m m e r c e . E c r i r e , (î. G.. 20, p o ste , F u s t e r l e . ____ P3976J
e u n e h o m m e c h e r c h e p l a c e d a n s m a i s o n b o u r g e o i s e , p o u r s e r v i c e de m a i s o n et a id e r a u J a r d i n , c o n n a i s s a n t au ssi e n t r e t i e n t d’a u to s . S ’a d r e s s e r , 12, p o s t e r e s t a n t e , 18, C o n u n u g n y . 13040 I e u n e fille c h e r c h e p la c e c o m m e b o n n e àJ t o u t faire où fille de cu isiné .
S’a d r e s s e r , r u e Le fo rt, 23.________ 13094
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n se r e c o m m a n d e p o u r r é p a r a t i o n s de vê t e m e n t s d’h o m m e s . T r a v a i l p r o m p t e t s o i gn é . P r i x t r è s m o d é r é s . R u e de C a ro u g e , 56, a u 2ine. 13153 [ p e r s o n n e d ’un c e r t a i n â g e , s é r i e u s e , c h e r - L clie p ince c h e z M o n s ie u r seul.E c r i r e , 445, T r i b u n e , p a s s a g e Lions. 13142
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e r s o n n e p r e n d r a i t li n g e de f a m ill e s pnrti- c u l i è r e s ou de p e n s i o n s d ’é t r a n g e r s , è b l a n c h i r . S é c h a g e a u soleil e t g r a n d a i r . T r a vail p r o p r e , c o n s c i e n c i e u x . On se r e n d fi d o m i ci le . — Mlle H. Moyor , 42, r o u t e d e s Ac ac ia s, r e z - d e - c h a u s s é e . 13182P
e r s o n n e , t r è s r e c o m m a n d é e , c h e r c h e e m ploi c h e z p e r s o n n e se u le , p o u r fa ire le m é n a g e . E c r i r e , 426, T r i b u n e , p a s s a g e Lions. 13071 a v e n d r e t r è s b e l l e m o n t r e av ec b r o c h e p e n de n tif , t o u t e n b r i l l ù n t s . P a s m a r c h a n d s . E c r i r e 436, T r i b u n e , p a s s a g e Lions. 130SSA
v e n d r e b e lle c h u m b r e à c o u c h e r , s t y l e un-, g l a i s e t 4 lits cu iv r e . Ru o d e s Al pe s, 25, 3me é t a g e , d r o i te . ________________________ 13090 v e n d r e , p o u s s e t t e , t r è s b o n é t a t . Belle __ o c c a s i o n . C h e m i n M o u l i n - R a i c h l e n , 6, nu e r , p o r t e No 3, P la in p n ln ls. ______________ T3950 * c h è t e r n i s b i c y c l e t t e s h o m m e e t d iu h e , niô- m e h o r s d ’usug e . 453, T r i b u n e , p a s s u g e Lions. 13212A
v e n d r e p e t i t c o ffr e -fo rt i n c o m b u s t i b l e , s u r socle, d i m e n s i o n s i n t é r i e u r e s 30X40X50, g r a n d o v i t r i n e c h ê n e , p o r t e s u p é r i e u r e en g l a c e s , b a n q u e - c a i s s e , é t a l a g e e t t e n t e . C o r r o t e r i e . 14, C u rio s ité s . 13213A
v e n d r e lit bois, 2 plac es, c o m m o d e , d e v a n t c h e m i n é e , g r i l l e ù c o m b u s t i b l e , é t a g è r e . 21, F o r t - B a r r e a u , 3me, g a u c h e . • 13193A
v o n d r e m e u b l e s , i n s t a l l a t i o n a p p a r t e m e n t 5 pi è c e s, s a l o n , s a l le fi m a n g e r , b e l l e c h a m b r e n c o u c h e r , l u s t r e s e tc . R o u t e do C h ê n e , 11, de 4 ù 7 h e u r e » . 13154 , e n d r e u n lit n eu f, av oc s o m m i e r m é ta lli- ». q u e , t fr. 120. u n m a t e l a s fr. 25, u n e t a b l o u e n u i t a v e c m a r b r e , fr. 25, u n e p e t i t e c o m m o d e , fr. 30, u n l a v a b o n e u f , fr. Sï. Le t o u t e n n o y e r . S ' a d r e s s e r , r u e M e rl e - d 'A u b i g n é , 4, 13140 ____________ 3me, m ilie u . v e n i r e p o t a g e r 3 t r o u s , é t a t n e u f , d é p a r t . C o n c i e r g e i n d i q u e r a , 36, rue Corouge.13188 A v e n d r e s a l le à m a n g e r R e n a i s s a n c e , m o r t d e r n e , g r a n d e v u l e u r . A. P Ig u e t, 1, A m i L u i ” ... LÛllin, 2m e, de 5 6 7 h e u r e s . 13185A
v e n d r e b i c y c l e t t e de d a m e , a y a n t p e u r o u l é . S ’a d r e s s e r , b i j o u t e r i e , 21, q u a i de s B e r g u e s J_____________________ ___________ 13093 v e n d r e b e a u p ia n o fi q u e u e . Up< — - ■â
Ru ë d e s Alpes, 25,"3me é t a g e , p o r t e à )ite. 13091 v e n d r e t r è s b e a u c o m p l e t f r a c , é t a t d e neuf. _ Bas p r ix . B o u l e v a rd Ca rl- Vo gt, 101, 2m e tâpre, p o r t e d r o i t e . 13169 ’lT 'a u x -l o rte s, d e Di day , à v e n d r e , d ’o c c a s i o n .P i en a l b u m s . E c r i r e , G. P.. p o s t e r e s t a n t e , Ita lie . 13078
M
ot o-R êv e, 2 c y l i n d r e s , 2 HP, c o m p l è t e m e n t r e v i s é e , 200 fr. 3898, T r i b u n e , B a r t h o l o n i . 13162O
c c a s i o n . Deux c o m p l e t s d r a p n o ir , g r a n d e ta ille , é t a t ne uf, fr ac e t r e d i n g o t e . 10, B a s tio n s . 3me, m a t i n . _______________ 13156O
c c a s i o n . Un lit fer, 1 p l a c e , s o m m i e r , m a t e la s, 25 fr., b o n é t a t . M a r c h a n d , 11 A, J o n c tion. 1 h. à 4 h. 13137O
c c a s i o n . A v e n d r e p o u s s e t t e p o u r en fan t. M e y la n , r u e R o u s s e a u , 29. a u 2me. 13144O
c c a s i o n . — S ü p e r b e p e n d u l e c h e m i n é e , b r o n z e a n t i q u e e t c a n d é l a b r e s , 300 fr. Av e n u e d ’ATre, 12, 10 h . fi midi e t 2 à 5 h. 13108 J e r a i s a c h e r . e u r d e 6 c h a i s e s e t 1 t a b l e , ]P
Ion| J o u r j a r d i n . E c r i r e , 3897, T r i b u n e , •liants, larllio-13163T
im b re s - p o s t e , à In p i è c e ou en c o l l e c t i o n s, b o ite s et c ., d e m a n d é s fi a c h e t e r , d is c ré tio n . OiTi-es so u s 144, T r i b u n e , p a s s a g e Lions. 13143ENSEIGNEMENT
D
ai n e i n s t i t u t r i c e , s é r i e u s e , fi Plai npalais,- d o n n e e x c e l l e n t e s l e ç o n s d e f r a n ç a i s . M é th od e r a p i d e . 10 le ç o n s , 8 fr. - E c r i r e , 221, T r i b u n e , p a s sa g e Lions.__________________ 12843F
r a n ç a i s , g r a m m a i r e , s t y l e , c o r r e s p o n d a n c e c o m m e r c e , o r t h o g r a p h e , c o n v e r s a t i o n g a r a n t i e n t o u s en 4 m o is ( c o u rs du soir). S e c t i o n p o u r d û m e s . Muzel, p r o f e s s e u r , 3, r u e L é v rie r . v - 12871f
e ç o n s d e f r a n ç a i s M a d e m o ise lle G r e t h e r , j p r o fe s s e u r , 29. r u e P l a n t a m o n r , Unie. 12772P
é d n g u o g i# t e c h n i q u e . N o u v e lle m é t h o d e do p iH iio , s u r t o u t él è v e s d ’â g e m ù r . E n t r e v u e , 2 f ra n c s. T é l é p h o n e 70.38, 8 fi 10 h e u r e s , m a t i n . E c r i r e , 408, T r i b u n e , p a s s a g e Lions. 129567 r. T--- ---- .
A
l o u e r , fi m o n s i e u r , g r a n d e b e lle c h a m b r e , t o u t c o n f o r t , b a l c o n . A d r e s s e : Mme E. LQsclier, 18, b o u l e v a r d d e s P h i l o s o p h e s . .13171A
l o u e r , d a n s fa m ill e d istin g u é e , j o lie c h a m b r e , a v e c o u s a n s p e n s io n , à m o n s i e u r s é r i e u x et s t a b le . B o u l e v a rd de la Tou r. No 0, a u - l e r . 13199 ielle c h a m b r e m e u b l é e , p o u r m o n s i e u r . ■ S t r o b e l , Croix-d’Or, 18, n s c e n s e m . 13220B
C
h a m b r e m e u b l é e A loue r, soleil, é l e c t r i c i t é . S ’a d r e s s e r , Isoy, r u e Montcli oisy , 17, Dm e. ^C
he z p e r s o n n e se ule , jolie c h a m b r e m e u b l é e , av e c alcôve, cl iuunufje, ô l ü c t r ic it è , aoleil, b a l c o n . S ’a d r e s s e r , r u e S y n a g o g u e , 1er é t a g e , p o r t e m ilie u , d e 12 h e u r e s t/4 à 1 h e u r e 1/2 et le so ir, a p r è s 7 h e u r e s . ... 13172D
a n s b o n n e fam ill e,p e n s i o n s a i n e e t so ig n é e , s ’a d r e s s e r , r u e Muzy, 15, 3me, g a u c h e . 13136
e m o i se ll e s é r i e u s e , c h e r c h e j o lie c h a m b r e t r a n q u i l l e , ou b o r d du la c. 13124 c r l r e , 3899, T r i b u n e , B a r t h o l o n i . ___________
De
Ec f e u n e f e m m e , b o n n e n o u r r i c e , p r e n d r a it , en- i a n t e n p e n s i o n . S ’a d r e s s e r ù Mme B o c b n -to n , s a g e - f e m m e , N yon . T.H971O
n p r e n d r a i t g a r ç o n o u fille e n p e n s i o n , b o n i s oin s. D u c i 'è n e , Cour tll. V e r s o i x . -.3051 p e n s i o n p o u r p e r s o n n e s â g é e s ou m a l a d e s . I G ra n d j a r d i n . E n d r o i t s a l u b r e et t r a n q u i ll e . On n e r e ç o i t q u e 6 p e r s o n n e s . C h e m i n d e I« Mo n t a g n e , 5i, C h ê n e . 12938P
o u r é t u d i a n t ou e m p l o y é , b e l l e clin ni -rd e t b a l c o n , av e c p e n s i o n , 150 f r a n c s par m o i s ; p e tite c h a m b r e , 112 f r u n c s p a r m o i s C o n v e rs a tio n e x c l u s i v e m e n t f r a n ç a i s e p e ulmib l es re pu s. 14, bon'lev. Georges-Fa'vo n, â m e . n t ( H f ) C f . Jolie c h a m b r e m e u b l é e , m o d e r h e , nscen* £ j V ) s e u r 1l.~Vftrsonnèx’, t a b a c s . t?.155Ä
l o u e r joli a p p a r t e m e n t m e u b l é , 4 pièc es, soleil, b u lc o n . S ’a d r e s s e r , r u e de Carouge* No 69, p o r t e fi g a u c h e . 13208 lo u e r, d a n s villu, fi 6 m i n u t e s du t r a m , be! a p p a r t e m e n t de 4 p iè c e s , a v e c g r a n d e t e r r a s s e en s o le ill é e , t o u t c o n f o r t , j a r d i n p o t a g e r fi vo lo n té. S ’a d r e s s e r , a u C o m e s t i b l e , 24. n i e du Mont-Blanc . - 13166 l o u e r m e u b l é , d a n s m a i s o n n e u v e , ap p ât * _ t e m e n t 3 pièc es , c h a m b r e de b a i n s , b a l c o u , soTeil, b e l l e vu e, p o u r m é n a g e s o ig n é , s a n s e n f a n t s . 13176 S ' a d r e s s e r , d e 11 à 2 h ., 71, b o u l e v a r d d e la Cluse, 5me, fi d r o i te . \ p p a r t e m e n t m e u b l é , 3 p iè c e s , b a i n s , c o n f o r t m o d e r n e . S ’a d r e s s e r , Mme F a v r e , r u e V e r t e , 9, de 4-6 h e u r e s , s u r r e n d e z -v o u s. Télô-p h o n e 66-33.__________________________ ■ P3883 r e m e t t r e de su i t e , jïïîl a p p a r t e m e n t de 4 p i è c e s a v e c g r a n d e a l c ô v e e t p « tit j a r d i n , m e u b l é ou n o n . - , . •. . , B o u le v a rd de la Cluse, 27, r e z - d e - c h a u ss é e à d r o i te . 1314tA
l o u e r , joli a p p a r t e m e n t m e u b l é , de 3 plé- ce s , a v e c a lc ô v e , e a u , g a z e t é l e c t r i c i t é . S ’a d r e s s e r , r u e J o h n b r a s s e t , 11, uu 2 m e. p o r t e 6 d r o i te . 13017C
h u r m u n t a p p a r t e m e n t m e u b l é , 5 p iè c e s , j a r din, v u e m e r v e i l l e u s e . C e n t u r i e r , C h â n l b é s y . __________ . . IÎ217O
.’n c h e r c h e a p p a r t e m e n t m e u b l é . 5 o u t> p i e - ce s. - Case 11736. S tu n d . iâi)6JO
n c h e r c h e à l o u e r de su i t e , 4 piéries, c h a m b r e d e b a i n , c h a m b r e de li o n n e, t r è s Met] e x p o s é e s , ù p r o x i m i t é ville, b a l c o n , si poss ib h jardin '; ' S’a d r e s s e r , D u s to u r , F r o n t e n o x . 37. 13031P
o u r 2 p e r s o n n e s , on l o u e r a i t a l ' a n n é e , 1 p r o x i m i t é de la ville, m ê m e à la ca m pa -^ ' u n a p p a r t e . m e n t de 3-4 ou 5 pièc es , d a n s villa uv ec oii s a n s j a r d i n . 12741 Offres, case, 16895, S t a n d .________\ rtùÛGi.Ci o ôuiiii* n fnn;ii.«aciic uvc>-jp;.
J X p l a c e de ^ c o n c ie rg e , c o n t r e u p p a r t u i u e n t de 2 pièces. E c r i r e , 440, T r i b u n e , p a s s a g e Lio n s . 1814» r e m e t t r e p o u r se r e t i r e r d e s a ffa ires , a n ' c i e n n e e t b o n n e t e i n t u r e r i e , a t e l i e r e t m a g a s i n , b i e n c o n n u e ü G en è v e , b o n n e c l i e n t è l e . — E c r i r e s o u s c h i f fr e 1878 \V, p o s t e roe- t a n t e , Mo nt -B la nc , G en è v e . 1307S r e m e t t r e , a v e c a g e n c e m e n t , b e l l e oi-oade ov ec a r r i è r e , r u e d e L a u s a n n e , 4, e n fae* - - ‘ 1300}
A
. . , la g a r e . S ’y a d r e s s e r . lour d é p a r t p r e s s é , m a g a s i n é p ic e r ie - p i' n i e u r , à r e m e t t r e . P a s d e rep ri se - - - - l.loi t 1~Ec‘i‘î r ê , ’446, T r l h u n e , pn ss q g e Lions. »13 8P
â ti ss e r i e -c o n t l s e ri e , Téo Ho om , r u e t r è s p a s s a n t e , à r e m e t t r e c a u s e d é c è s , pu s d e r*» p r i s e , m o b i l i e r , 6000 fr. . E c r i r e , c a s e l()73o, p o ste Stnnfl, G o n ev c. 13101 1 olie c h a m b r e m e u b l é e , é l e c t r i c i t é , al cô vo, J R u e d e s A l l e m a n d s , 2 6 ,4me é t a g e , p o r t e 6 dr o ite . 13134 1 e u n e h o m m e ( é tu d ia n t), c h e r c h e p e n s io n , >1 d a n s l a m l l l e , a u x a b o r d s d e la ville. Offre s s o u s 418. T r i b u n e , p a s s a g e Lions. 13132M
Ëco n s i e u r , d é s i re c h a m b r e m e u b l é e , à la c a m p a g n e , p r è s d u t r a m , c r i r t , 443, T rib u n e , p a s su g e Lion». u u ti j u i u u m u u u v n e i o . veuve , un cui- net Con te 1 n a n t s o m m e q u e l’o n i n d i q u e r a . P r i è r e de le r a p p o r t e r c o n t r e r é c o m p e n s e , à l ’a d r e s s e du c a r n e t . y9l:>f --- p ô r t o r d u , h i e r le 4 ju i n , d a n s la Pou ae. u n p ô r t « ' f o u i l l e v e r t fon cé , c o n t e n a n t 520 fi? n o » ,l le ts d e b a n q u e s u is se s (5 d e 100 e t 1 de R a p p o r t e r c o n t r e l'ô co m pen «» , p o s t « fcgjg darm triê» T w r a q p U r * * * * * *