• Aucun résultat trouvé

Forme remarquable que peut prendre l'équation qui donne la somme des puissances semblables des termes d'une progression arithmétique

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Forme remarquable que peut prendre l'équation qui donne la somme des puissances semblables des termes d'une progression arithmétique"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

N OUVELLES ANNALES DE MATHÉMATIQUES

R ISPAL

Forme remarquable que peut prendre l’équation qui donne la somme des puissances semblables des termes d’une progression arithmétique

Nouvelles annales de mathématiques 1

re

série, tome 6 (1847), p. 273-275

<http://www.numdam.org/item?id=NAM_1847_1_6__273_1>

© Nouvelles annales de mathématiques, 1847, tous droits réservés.

L’accès aux archives de la revue « Nouvelles annales de mathématiques » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/conditions).

Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente men- tion de copyright.

Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques

http://www.numdam.org/

(2)

FORME REMARQUABLE

que peut prendre Véquation qui donne la somme des puissances semblables des termes d'une progression arithmétique,

PAR. M . R I S P A l , élève de l'École normale.

Si les termes sont a,b,c £, l et la raison S, on sait que Ton pose ordinairement :

(3)

— 274 —

puis on élève chacun de ces binômes à la n**"* puissance, ce qui donne :

En ajoutant toutes ces égalités terme à terme on trouve :

ou bien, en ordonnant

or le premier membre de l'égalité peut se mettre sous la forme

o — 5m.

Si donc on considère les indices comme des exposants, ce premier membre peut s'écrire sous la forme symbolique :

dans laquelle les exposants de s devront être regardés comme de véritables indices, et le coefficient de Sm sera s0 ? qui est évidemment égal au nombre n des termes de la progression.

On pourra donc, avec ces conventions, écrire l'équation symbolique très-simple :

et comme Z = a + (n—1)S, on aura Z 4 - * = a - f n $ , et

(4)

- 275 —

S'il s'agit delà progression des nombres naturels, # = 1 ,

&=l, et la formule devient •.

Soit fait w = 3 , la formule devient en développant :

mais

donc 6sa -f 3 ^ + 3TI + 2 T I = 6 / i + 6/i2 4- 2n3, l)

2.3

Références

Documents relatifs

quelle doit être la raison R de la progression et quel doit être son premier terme A pour que, dans chaque groupe^ la somme des termes soit le cube d'un entier.. J'ai remplacé

Lus formules rlassicjues de Newton, relatives aux sommes des puissances semblables des racines d'une équation algébrique, peuvent être établies par une méthode qui évite, pour

Si l'on y remplace chaque élément de la dernière co- lonne par la somme des éléments delà rangée correspon- dante, multipliés, le premier par i, le deuxième par x , le

Ces coefficients B sont appelés nombres de Bernoulli, parce que Jacques Bernoulli les a remarqués, le premier, comme formant le coefficient dn dernier terme, dans les sommes

Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente men- tion

En ouire, plusieurs géo- mètres (*) ont donné diverses expressions de ffn^en fonc- tion explicite de ra, mais la loi de formation des coeffi- cients est assez compliquée. PÉPIN,

Je viens de trouver une démonstration du théorème de M. Brioschi [Nouvelles Annales, tome XIII, page 352), relativement aux sommes des puissances semblables des racines d'une

t(&#34; \U n J' 1.. Ce beau théorème a été dé- montré par Lagrange, dans les Mèmoii^es de Berlin pour 1768, et dans le Traité de la Résolution des équations numériques 9