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Niveau Zeeman du centre « R » de la fluorine pour une direction quelconque du champ magnétique

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(1)

HAL Id: jpa-00206982

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Submitted on 1 Jan 1970

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Niveau Zeeman du centre “ R ” de la fluorine pour une direction quelconque du champ magnétique

Bernard Couilleaud, André Ducasse

To cite this version:

Bernard Couilleaud, André Ducasse. Niveau Zeeman du centre “ R ” de la fluorine pour une direction quelconque du champ magnétique. Journal de Physique, 1970, 31 (8-9), pp.797-802.

�10.1051/jphys:01970003108-9079700�. �jpa-00206982�

(2)

NIVEAUX ZEEMAN DU CENTRE « R » DE LA FLUORINE

POUR UNE DIRECTION QUELCONQUE DU CHAMP MAGNÉTIQUE

par Bernard COUILLAUD et André DUCASSE

Laboratoire de

Physique Expérimentale,

Faculté des Sciences de Bordeaux

(Reçu

le 27 avril

1970)

Résumé. 2014 Sous l’influence d’un rayonnement U. V. de

longueur

d’onde 0,13 03BC 03BB 0,23 03BC, certains cristaux de

fluorine,

non

dopés,

prennent une coloration rose. Les études en R. P. E. du centre coloré ainsi obtenu

[1], [2]

ont

permis

de l’identifier au centre « R »

(de l’anglais Red)

mis en

évidence dans des conditions

expérimentales

différentes

(cristaux dopés

en Yttrium,

hydrolysés,

irradiés aux rayons

X)

par H. Bill et R. Lacroix [3],

[4].

Nous

présentons

ici le traitement au moyen d’un calcul de

perturbation

au

premier

ordre, de l’hamiltonien de

spin

de ce centre. Les résultats

théoriques

sont ensuite confrontés avec les données

expérimentales.

Abstract. 2014 Certain types of non

doped

crystals are flesh colored when

lighted by

an U. V.

(0,13 03BC

03BB, 0,23

03BC)

beam. As it is shown with an R. P. E.

experiment,

this so obtained colored center

[1], [2],

is identical to the « R » center

(from

the

english red)

observed with

completly

different

experimental

conditions

(crystals doped

with

Yttrium, hydrolised,

irradiated with

X-Rays) by

H. Bill and R. Lacroix [3], [4].

We

point

out on this lecture the

study

with the use of a first order

perturbation

calculation of the

spin

hamiltonian of this center.

The theoritical results are then

compared

with

experimental

observations.

Introduction. - Plusieurs auteurs ont étudié théo-

riquement

des centres

paramagnétiques

à

symétrie

axiale

(Bleaney, Castner, Kanzig) [5], [6], [7].

Le

centre « R » mis en évidence dans des monocristaux de fluorine

présente

une

symétrie

d’ordre moins élevée

(orthorhombique).

Le traitement de l’hamiltonien de

spin, proposé

par ces auteurs, est étendu à ce cas.

I. Résultats

expérimentaux [1].

- Certains mono-

cristaux de fluorine de

qualité optique (provenance

SOREM à

Pau)

se colorent en rose

lorsqu’ils

sont

placés

dans un faisceau U. V. de

longueur

d’onde

comprise

entre

0,23

et

0,13

Il.

Tous les échantillons provenant d’un même mono- cristal

possèdent

les mêmes

propriétés

du

point

de

vue de leur coloration

qui

est stable à

température

ambiante.

Les mesures de R. P. E. ont été effectuées à la

température

ambiante au moyen d’un

spectromètre

VARIAN travaillant dans la bande X. Le spectre obtenu

présente

une

anisotropie,

d’une part du fac-

teur de

décomposition spectrale

et, d’autre part, de sa structure

hyperfine.

Cette

anisotropie implique

la

présence

d’un centre non

cubique

dans le réseau de

type cubique

de la fluorine. La

symétrie

de ce

centre a été

proposée orthorhombique,

d’axes :

Ces axes sont les axes

principaux

du tenseur du facteur de

décomposition spectrale

et du tenseur

hyperfin.

- Le spectre selon

Oxl

n’est pas résolu.

- Le spectre selon

Oy,

est un

triplet

de rapport 1 2 1.

- Le spectre selon

Oz,

est un

quadruplet

de

rapport 1 3 3 1.

Ces différents

rapports

d’intensité montrent la

présence

d’un

couplage

avec 3

spins

nucléaires de valeur I =

t.

Parmi les différentes

impuretés

incluses

dans les

cristaux,

seul l’Yttrium

qui

a été trouvé en

quantité

non

négligeable (~100

x

10-6) possède

un

spin

nucléaire I =

2.

Nous avons donc été amenés

à penser que celui-ci

pouvait

être

impliqué

dans

notre centre, associé à des ions

fluor, puisque,

pour

ces

derniers,

de même que pour

l’Yttrium,

la valeur du

spin

nucléaire est

1/2.

Le centre est décrit par l’hamiltonien

dans

lequel

i

remplace

successivement les indices xl yl zl

et li prend

les valeurs

1, 2,

3 relatives à chacun des noyaux

impliqués

dans le centre.

Les spectres obtenus selon les directions

Oxl,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01970003108-9079700

(3)

798

Oyl, pzl

1 déterminent les valeurs des constantes

principales

suivantes :

Le centre a alors pu être assimilé à celui

appelé

« R » étudié par H. Bill et R. Lacroix

[3], [4]

dans

des monocristaux de fluorine

dopés

à

l’Yttrium, hydrolysés

et irradiés aux rayons X.

Pour confirmer

plus

sûrement

l’interprétation

de

ce centre nous avons tenu à faire le calcul du spectre pour une direction

quelconque.

En

effet,

le traitement

théorique

de l’hamiltonien de

spin

permet de déter- miner à

partir

des constantes

principales

les caracté-

ristiques

des spectres pour une direction

quelconque

de B.

Il ne restera

plus qu’à

vérifier

expérimentalement

la validité des résultats pour un certain nombre de directions.

II. Calcul des niveaux

perturbés

de l’hamiltonien de

spin.

- L’hamiltonien

(1)

peut s’écrire sous la forme JC

Jeo

+

H1

avec

Ro » H1

si l’on

désigne

par

Jeo

l’hamiltonien non

perturbé :

et par

H1

l’hamiltonien de

perturbation :

L’exemple

étudié est en effet tel que

II.

a)

HAMILTONIEN NON PERTURBÉ

Jeo.

- Détermi-

nation de la direction de

quantification

du

spin

élec-

tronique.

On considère 2

systèmes

d’axes : celui des axes

principaux

du

tenseur g (Oxl, Oyl, Oz,)

et un sys- tème d’axes tel que B soit

porté

par

Oz’,

Ox’ étant dans le

plan Oxl yl ;

le deuxième

système

est

repéré

par rapport au

premier

par ses

angles d’Euler 01

et

qJ 1

(if 1

=

0).

Les composantes du

champ

B dans

Ox,

y, zi sont :

( 1) Cette valeur a été déterminée au moyen de l’ENDOR par H. Bill et R. Lacroix [4].

Pour que

Jeo s’exprime

sous forme

diagonale

dans

la base des vecteurs propres

de S-

on introduit :

1)

Un facteur de

décomposition g

et un

champ magnétique

effectif

Be

de même module que B tels que :

Il faut pour cela que :

2)

Un

système

d’axes

Oxyz

tel que

B,

soit

porté

par

Oz,

Ox étant dans le

plan Ox,

y, . Ce

système

est

repéré

par ses

angles

d’Euler 0

et 9 (t/1

=

0)

par rap-

port

à

Oxl

yl zl. Dans

Oxyz, JCO

s’écrit :

La direction de

quantification

du

spin

électroni-

que

S,

c’est-à-dire la direction de

Be, repérée

par 0 et ç peut être

repérée

aussi par les cosinus direc-

teurs de

gBe

par rapport aux axes

Oxl

y, z, ;

l’égalité

entre les deux

expressions

des cosinus directeurs permet d’obtenir 0 et ç en fonction

de 01

et (pl :

II.

b)

HAMILTONIEN TOTAL Je : calcul de

perturba-

tion au

premier

ordre.

En raison du

couplage

du

spin électronique

S

= 1/2

avec les trois

spins

nucléaires

¡(Il)

=

t,

l’hamiltonien total

possède

16 états propres. Les deux états propres de

Jeo Sz = 1/2

et

Sz = - 2

sont donc huit fois

dégé-

nérés ce

qui

entraîne pour

Jeo

l’existence de deux

multiplicités

propres que nous

désignerons

par

Il

-

2

>

et )) + 2

>. Le calcul de

perturbation

au

premier ordre,

relatif aux niveaux

simples,

ne peut être utilisé que si l’on met en évidence pour

Jeo

un

système

d’états limites

[8], grâce

à un choix convena-

ble des directions de

quantification

des différents

spins

nucléaires.

II.

b)

Etats limites

[8].

- Détermination des directions de

quantification

des

spins

nucléaires.

La détermination des états limites

implique

un

choix des états propres de

Jeo

tel que, à l’intérieur de

chaque multiplicité

propre

(II + 1

>,

Il - 1 >)

de

celui-ci, H1 exprimé

dans cette base soit

diagonal.

Soient ms,

mI(1), MI(2), mI(3)

> les

16 états propres de

Jeo,

ms et mI(Jt)

projections

des différents

spins

sur leur axe de

quantification

pouvant

prendre

les

(4)

valeurs

+ 1/2

ou -

t. Considérons,

par

exemple, puisque

les 3

spins

nucléaires

jouent

des rôles identi- ques, l’hamiltonien de

perturbation

relatif au noyau

(1)

On remarque que,

quel

que soit le choix des axes

de

quantification

pour

1(2 )

et

I(3) :

avec

les conditions pour que les 16 états soient les états limites s’écrivent donc :

sauf

lorsque

sauf

lorsque

sauf

lorsque

Il

s’agit

de choisir des axes de

quantification

pour

I(l)@ I(2)@ I(3)

tels que les conditions

(7)

soient vérifiées.

Exprimons

maintenant

Xi

dans la base des vecteurs

propres de

Ho :

Soit un

système

d’axes

OX(1) Oy(1), OZ(1)

dont la

direction

OZ(1)

est confondue avec la direction de

quantification

du

spin

nucléaire

I(l)

et dont l’axe

OX(1)

est dans le

plan OX(1) Y(1).

Ce

système

est

repéré

par

rapport

à

Oxi

yi zi par les

angles

d’Euler

E}(l) et 0(’) (B[1(1)

=

0).

L’expression

de la condition

(7) impose

à l’intérieur de

chaque multiplicité propre Il + 1/2

> et

Il - t

>

le choix de la direction de

quantification

de

I(l),

donc

détermine les

angles E}(lB 0(’)

ou

E}’(l), (j)’(l).

Déter-

minons

Ix1, Iyl, 1, ,,.,

1 dans le

système OX(l) Y(l) Z(l) .

JeÍ1)

se

développe

alors sous la forme :

(5)

800

Pour satisfaire la condition

(7)

les termes à annuler dans

Jel1) proviennent

des

opérateurs

ce

qui

se traduit par :

Pour la

multiplicité Il + 2

> le calcul donne

ce

qui

permet de déterminer

e(’)

et

cp(l)

Pour la

multiplicité Il - -1

>

Remarquons

que les relations

(12’)

déterminant

e’(’)

et

rJ)’(1)

s’obtiennent en

changeant B

en - B

dans les relations

(12) :

Les directions de

quantification

pour les noyaux 2 et 3 sont déterminées par des relations

identiques

aux

précédentes,

dans

lesquelles

les indices

correspondants

sont

changés.

II. b 2 Niveaux

perturbés

dans

l’approximation

au

premier ordre.

- Les valeurs propres de

Jeo

sont

données par

Au

premier ordre,

les niveaux

perturbés

de Je sont déterminés par :

Dans

l’expression (10)

de

H1,

seuls les

opérateurs

donnent des termes

diagonaux

non nuls.

Dans la

multiplicité Il + t

> :

avec

Les huit niveaux

d’énergie

de cette

multiplicité

s’écrivent donc :

De même dans la

multiplicité Il - 1

> :

(6)

Dans le cas

particulier

du centre « R » dans la

fluorine,

les deux noyaux de fluor sont

équivalents.

D’autre

part l’anisotropie

du facteur de

décomposi-

tion

spectrale

g est telle que l’on peut confondre les

angles 0

et

() 1

et les

angles

ç et qJ 1

(relation (5)).

Donc :

Les valeurs de

Au

et

Pu

se déduisent

simplement

des

précédentes

en

changeant respectivement e(ll)

et

rp(ll)

en

e’(Il)

et

rp’(Il).

Remarquons

que, les noyaux

(1)

et

(2)

étant

équi- valents,

on en déduit le schéma des niveaux

d’énergie (Fig. 1).

Ce schéma a été tracé en supposant que pour une certaine orientation du

champ magnétique statique

par

rapport

aux axes cristallins on

puisse

avoir :

La

présence

des deux noyaux nouat des rôles

identiques

dans le centre réduit de 16 à 12 le nombre des niveaux

perturbés distincts,

ce

qui entraîne,

du

fait des

règles

de

sélection,

l’existence pour une direc- tion

quelconque

de B de six transitions

possibles

de R. P. E.

figurées

sur le

diagramme. Remarquons

que c’est l’interaction

spin

nucléaire

champ magnéti-

que

qui impose

des valeurs

e’(4)

et

0’(e)

différentes de

e(tL)

et

0(")

donc des valeurs

A’ :0 A

et

P’ :0 P,.

Dans

l’exemple traité,

si l’on

peut

en fait

négliger

9N PNB -- 0,13

gauss devant

Az3Z"

il n’en est pas

de même pour

g N (1) fi, B= g N (2) flN B

de l’ordre de

2,5

gauss devant les constantes

hyperfines

des noyaux

(1)

et

(2).

On considérera donc

simplement A3 N A3, P3 N P3. (Les

valeurs

précédentes

ont été calculées

avec des

champs

de l’ordre de 3 500 gauss correspon- dant à ceux utilisés dans nos

expériences).

FIG. 1. - Schéma des niveaux d’énergie.

Le spectre R. P. E. observé sera donc

généralement composé

de six raies de rapport 1 1 2 2 1 1 comme

représenté figure 2,

ci-dessous.

III.

Application :

confirmation de la

symétrie

ortho---

rhombique proposée

pour le centre. - Le calcul

pré-

cédent

implique

un centre de

symétrie

orthorhom-

bique. (Le

nombre de spectres obtenu en effet selon les directions

100> 110>

et

111 >

suggérait

une telle

symétrie

pour le centre étudié

[9].)

Une bonne concordance entre les résultats obtenus par le calcul d’une

part,

et

expérimentalement

d’autre

part,

pour des directions de B autres que celles des.

(7)

802

axes

principaux

va confirmer la

symétrie

pro-

posée.

Cette confrontation a été effectuée pour les direc- tions

111 > 111 > 101 > 100 >

selon

lesquelles

les spectres

expérimentaux

sont les mieux

résolus ;

le calcul

théorique

selon ces directions néces- site la connaissance des

signes

relatifs des constantes

hyperfines principales,

non accessibles en fait. Les différentes

hypothèses

de

signes

relatifs ont donc

dû être

envisagées

ce

qui

a nécessité la

programmation

des calculs sur I. B. M. 1620. Pour une direction

déterminée,

les différentes

hypothèses

conduisent

généralement

à des valeurs ne différant pas de

plus

de 10

%,

les unes des autres ; cette erreur relative est de l’ordre de

grandeur

de l’incertitude

expérimentale

de sorte que, sans

préjuger

du

signe

des constantes, la

comparaison

des résultats reste

possible.

Dans le

cas de la direction 100 > des écarts très

impor-

tants

imposent

l’élimination de certaines combinai-

sons de

signes ; cependant

le nombre de ces élimina-

tions est trop faible pour que l’on

puisse

en tirer des conclusions sur les

signes

relatifs des constantes.

Les spectres établis à

partir

des calculs sont compa- rés

schématiquement

aux spectres

expérimentaux :

- 3a

Direction ( 100 )

- 3b Direction

( 101 )

- 3c

Direction Direction ( 111 ) ( 111 )

Ces schémas

(compte

tenu de la

largeur

des raies

entraînant une mauvaise résolution des

spectres

expérimentaux)

confirment donc la

symétrie

propo- sée.

Notons que le calcul des différents écarts

hyper-

fins est obtenu à

partir

des constantes

principales

mesurées

expérimentalement ;

il est donc entaché d’une incertitude

correspondante.

La confrontation des résultats

théoriques

et

expé-

rimentaux ne pourra donc être affinée que

grâce

à des

spectres mieux résolus. Des études de variation de la concentration en centres et d’abaissement en

tempé-

rature n’ont pas amené une meilleure résolution.

Des études

plus

fines

(double résonance) pourraient

être

envisagées.

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Références

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