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Une exhortation de Paul aux Thessaloniciens: "Priez sans cesse"

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Une exhortation de Paul aux Thessaloniciens: "Priez sans cesse"

DETTWILER, Andreas

Abstract

Interprétation d'un passage de Paul sur la prière (1 Thessaloniciens 5,17)

DETTWILER, Andreas. Une exhortation de Paul aux Thessaloniciens: "Priez sans cesse". Unité chrétienne , 2007, p. 10-15

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:39695

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THESSALONICIENS : « Priez sans cesse »

D ans l'article qui suit, le professeur Andreas Dettwiler

1

situe le verset qui sert de thème à la Semaine de prière pour l'unité chrétienne au sein de la première lettre de Paul aux Thessaloniciens.

La prière ne va pas de soi. Probable- ment pas plus hier qu'aujourd'hui.

L'apôtre des nations, en reconnais- sant son incapacité, avoue : « nous ne savons pas prier comme

il

faut >>

(Rm 8,26b). Les disciples demandent à Jésus : « Seigneur, apprends-nous à prier >> (Le 11, 1). Le maître répond, non pas en leur fournissant une expli- cation théorique sur la nécessité et les bienfaits de la prière, mais en leur donnant une prière, le Notre Père.

La vie ne s'apprend pas par des consi- dérations théoriques sur la vie, mais par la vie elle-même. Ainsi en va-t-il de la prière. La prière, pour qu'elle laisse des traces dans la vie d'un humain, a besoin de continuité, de rythme, d'espace et de temps. Qui- conque accorde une place centrale à la prière dans sa vie spirituelle, est probablement enclin à souscrire à la vérité de l'exhortation paulinienne :

« priez sans cesse >>. Mais aussi per- tinente, limpide et générale soit-elle, cette parole s'inscrit dans un cadre littéraire et historique concret qui n'est plus nécessairement le nôtre.

Le travail de prise de distance his- torique, loin de vouloir dévaloriser

une vérité spirituelle, a pour but de déployer toute sa richesse de sens. La pertinence d'une parole ne se mani- feste pas d'une manière abstraite et désincarnée, mais dans un contexte de vie toujours concret, incarné, particulier. Voyons dans quelle si- tuation l'appel à la prière continuelle a émergé et quel est le cadre littéraire plus large dans lequel se situe cette affirmation.

La première lettre aux Thessaloniciens

L'invitation à persévérer dans la prière se trouve dans 1 Thessaloniciens (5,17 ; cf. déjà 1,2 ; 2,13 ; 3,10), probablement la lettre la plus ancienne de Paul dont nous disposions. Cette invitation traversera ensuite comme un cantus jirmus les lettres de Paul (cf. par ex. 1 Co 1,4 ; Ph 1,3 ; 4,4- 6; Rm 1,9-10; 12,12), en montrant ams1 l'importance que l'apôtre, durant toute sa correspondance, a accordé à cette règle de vie spirituelle.

La communauté à Thessalonique, composée en majorité de chrétiens 1 - Andreas Dettwiler enseigne l'exégèse du Nouveau Testament à la Faculté autonome de théologie protestante de l'Université de Genève, dont Il est le vice-doyen. On pourra également lire sa contribution aux Mélanges offerts à Daniel Marguerat : • La prière dans le Nouveau Testament : essai de synthèse •, in STEFFEK, Emmanuelle ; BOURQUIN, Yvan (eds), Raconter, interpréter, annoncer, coll. Le monde de la Bible 47, Genève, Labor et Fides, 2003.

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d'origine non juive, a été fondée par Paul durant son deuxième voyage missionnaire à la fin des années 40 de notre ère (cf. Ac 17,1-9).

Venant de Philippes, Paul, après avoir fondé la communauté, y avait séjourné pendant quelques mois probablement. Plusieurs passages de 1 1hessaloniciens permettent de suggérer que le départ de Paul s'est fait dans la précipitation. Après son départ, il envoya d'Athènes son collaborateur Timothée, qui lui transmit de bonnes nouvelles de l'état de la communauté. Le but général de la lettre consiste à réconforter dans la foi la toute jeune communauté de Thessalonique qui, dès le début, semble avoir été exposée à des pressions, avant tout de la part des compatriotes grecs. La lettre fut rédigée quelques semaines ou mois seulement après le départ de Paul de Thessalonique, probablement à Corinthe autour de 50/51, durant un long séjour de Paul et de quelques- uns de ses collaborateurs dans la capitale d'Achaïe.

Une exhortation à la prière L'appel à la prière continuelle fait partie d'une série d'exhortations situées à la fin de la lettre. Pour bien comprendre les parties exhortatives des lettres pauliniennes, rappelons- nous qu'elles s'inscrivent sans

exception dans l'expérience

préalable de la grâce de Dieu.

Ainsi, toute lecture moralisatrice est exclue. Le comportement de

l'homme - ou, si l'on veut, son éthos - n'est rien d'autre que sa réponse reconnaissante à l'égard de son acceptation inconditionnelle par Dieu. Mais retournons à la partie finale de 1 1hessaloniciens. À première vue, le passage 1 Th 5,12- 22 donne l'impression d'être un amalgame de différentes exhortations à tendance générale, sans lien étroit entre elles ni avec la situation historique de la communauté thessalonicienne. Le texte se présente pourtant bien comme une exhortation conclusive adressée à une toute jeune communauté, exposée à des répressions venant de l'extérieur, spirituellement encore inexpérimentée, orpheline de la présence physique de son maître à penser, Paul, ayant d'autant plus besoin de se faire accompagner par le biais de sa présence épistolaire.

Ici ou là, nous percevons même en filigrane des problèmes concrets qui semblent avoir préoccupé cette jeune communauté, par exemple le sujet, sensible, du travail et de la

« discipline )) (comparer 5,14 avec 4,11-12), ou encore la nécessité d'un examen critique des « dons de prophétie)) (5,19-22).

La construction de 1 Th 5,12-22 À y regarder de plus près, nous pouvons identifier deux parties

distinctes au sein de l'exhortation

finale (5,12-15 ; 5,16-22). Juste avant, Paul, soucieux d'encourager la communauté de Thessalonique

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à ne pas cesser d'évoluer au plan spirituel, parlait du soutien et de l'encouragement réciproque : « Réconfortez-vous mu- tuellement et édifiez-vous l'un l'autre, comme vous le faites déjà » (v. 11).

Les v. 12-15 décrivent comment ce soutien devrait prendre forme. Est d'abord visée l'attitude à l'égard de celles et ceux qui se donnent à fond en faveur de« vous» (v. 12-13), puis de l'attitude de ceux qui exercent un tel soutien (v. 14), avant que le texte n'appelle, de manière plus générale, à « rechercher toujours le bien », en dépassant même les limites intra- communautaires (v. 15 : « ... entre vous et à l'égard de tous »). Les v.

16-22 se distinguent du passage précédent non pas seulement par le contenu, mais aussi par la forme. En fait, la séquence, à l'exception du v.

18b, contient une succession inin- terrompue, à caractère rythmique - dans le texte grec, le verbe est tou- jours placé en dernière position -, de huit affirmations courtes, formulées toutes à l'impératif présent. À voir de plus près, les huit affirmations peuvent être facilement regroupées en deux fois trois affirmations (v.

16-18; v. 19-22), les deux derniers (16) Réjouissez-vous toujours, (17) priez sans cesse,

impératifs (v. 21 b ; v. 22) étant une explicitation de la sixième affirma- tion (v. 21a):

Les trois premières phrases - avec les termes clés de la joie, de la prière et de la reconnaissance - forment un premier groupe. Nous y reviendrons. Le second groupe est encore mieux perceptible, car

il

a comme élément unifiant la question des dons de l'Esprit au sein de la vie communautaire, en particulier celui de la prophétie. Les deux unités sont liées l'une à l'autre par le fait qu'elle accentuent la dimension proprement spirituelle de la vie chrétienne, c'est-à-dire son orientation vers Dieu, source de l'Esprit vivifiant.

Quelle est la place de la prière dans l'ensemble de ces recommandations qui, toutes, visent l'évolution spiri- tuelle et l'unité de la communauté chrétienne ?

On peut en repérer trois aspects.

1. Dynamique spirituelle, unité ecclésiale et prière.

Paul se donne ici à comprendre comme un maître à penser qui tient

{18} rendez grâce en toute circonstance;

car ceci (est) la volonté de Dieu en Christ Jésus pour vous.

(19) N'éteignez pas l'Esprit,

(20} ne méprisez pas les (dons de) prophéties, (21a) mais vérifiez tout:

{21b) (22)

retenez ce qui est bon,

abstenez-vous de toute sorte de mal.

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compte de l'état spirituel, promet- teur (cf. par ex. 1 Th 1,3.6-8; 2,13b;

3,6-10.12; 4,9; 5,1-2a), mais encore perfectible, de ses interlocuteurs. En ce sens, il est comparable aux phi- losophes de son époque qui maî- trisaient l'art de la psychagogie, à savoir l'art de « guider l'âme », et cela essentiellement par la parole, une parole appropriée au contexte de vie et à l'état d'avancement in- tellectuel et spirituel du disciple.

Les membres de la communauté de Thessalonique, fraîchement conver- tis à la foi au Christ, formant un nouveau groupe religieux et donc, d'un point de vue social, arrachés de leur contexte de vie traditionnel, exposés probablement à des actes de diffamations et de discriminations, coupés de manière abrupte de leur missionnaire de la première heure, avaient grand besoin de réconfort, d'accompagnement et de discerne- ment spirituel. Dans ce cadre his- torique précaire, l'appel paulinien à la prière continuelle a pour fonction de maintenir et de nourrir l'unité de cette toute jeune communauté chré- tienne. Ainsi, Paul rappelle indirec- tement que cette unité n'est pas à concevoir comme une performance humaine, mais comme l'agir de l'Esprit de Dieu. En même temps, l'unité ecclésiale dont Paul rend té- moignage ne saurait être confondue avec un pur postulat théorique. Il s'agit d'une expérience vécue, en l'occurrence celle d'une pratique de vie au sein d'une petite commu- nauté de maison. En plus, la lecture

de 1 7hessaloniciens, en particulier la variété de ses exhortations fina- les, rend attentif au fait qu'une telle unité ecclésiale ne s'expérimente pas uniquement au plan spirituel - par exemple durant des actes de prière dans le cadre des assemblées cultuel- les de la communauté chrétienne -, mais aussi et peut-être avant tout dans des actes de soutien et de soli- darité concrets qui s'inscrivent dans la quotidienneté de la vie: réconfort et soutien mutuel (v. 11) ; recherche de la paix au sein de la communauté (v. 13 fin) ; exhortation, formulée de façon déterminée si nécessaire; en- couragement des découragés ; sou- tien des « faibles » (v. 14) ; et ainsi de suite. Il est évident que ces deux perspectives ne s'excluent pas mu- tuellement, tout au contraire ! Reli- gion et éthos sont indissociables.

2. La joie et la prière - expressions essentielles de la vie chrétienne.

Revenons à la triade « joie - prière - reconnaissance » des v. 16 à 18 :

« Réjouissez-vous toujours, priez sans cesse, rendez grâce en route circonstance». Paul met tout d'abord en avant l'appel à la joie, soulignant ainsi l'importance qu'il accorde à cette dimension de la vie chrétienne.

La joie traverse comme un fil rouge 1 7hessaloniciens, comme c'est d'ailleurs le cas avec la célèbre triade, spécifiquement paulinienne,

« foi - amour - espérance » qui apparaît pour la première fois en 1 Th (1,3; 5,8; plus tard: 1 Co 13,13): la communauté destinataire a accueilli

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se trouve en étroite proximité avec

« l'espérance » ( 1 Th 2, 19) ; Paul et ses collaborateurs se réjouissent de la communauté de Thessalonique (1 Th. 3,9 ; en lien avec la prière « nuit et jour», 3,10). Paul précisera plus tard l'articulation entre la joie, la foi, l'Esprit et l'espérance : la joie est une expression de la foi (Ph 1,25) ; elle est parmi des « fruits » les plus nobles de l'Esprit (Ga 5,22), car elle est mentionnée immédiatement après le fruit spirituel par excellen- ce, à savoir l'amour (Ga 5,22 ; cf.

5,6.13-14 ; 6,2 ; 1 Co 12,31-13,1;

Rm

13,8-10; etc.). Selon

Rm

12,12 (de nouveau, nous observons ici l'ar- ticulation entre la« joie» et l'appel à la « prière persévérante»; cf. aussi Ph 1 ,4), la joie est une modalité essen- tielle de l'espérance (« soyez joyeux dans l'espérance... »), selon

Rm

15,13, elle constitue sa conséquence (« Que le Dieu de l'espérance vous comble de joie et de paix dans la foi ... »). Le parcours rapide à travers quelques passages clés des lettres pauliniennes met en évidence que la joie se situe au cœur de l'iden- tité chrétienne. Précisons tout de suite, pour éviter tout malentendu, que la joie, elle non plus, n'est pas comprise comme une performance humaine, mais comme l'expression de l'humain qui se découvre récep- tif à l'égard du Dieu de la grâce.

Du coup, il n'est pas étonnant de voir apparaître la dimension de la prière, d'abord dans son aspect gé-

néral («priez sans cesse»), puis, plus concrètement, au sens de la recon-

naissance (« rendez grâce en toute circonstance ») que l'être humain porte à l'égard de Dieu, en réponse à tout ce qu'il a reçu de lui.

3. Prière et temporalité.

La prière à la fois interrompt le temps ordinaire et lui offre une nouvelle structure. Elle crée un espace temporel qui a sa propre qualité et densité. Dans la prière, l'homme se souvient de son passé, se distancie par rapport à tout ce qui le préoccupe et s'ouvre ainsi vers l'avenir. Dans la prière, aussi embryonnaire et fragile soit- elle, l'homme se perçoit comme quelqu'un qui est prêt à se perdre lui-même pour s'orienter vers Dieu en espérant tout de lui. Cette rupture salutaire avec l'immédiateté de sa vie s'exprime de manière particulièrement claire dans l'action de grâce et dans la prière d'intercession. L'acte de la prière est ainsi un acte de la foi et donc une caractéristique élémentaire de la vie croyante. Revenons une dernière fois à l'appel de la prière continuelle de 1 Th 5, 17 : on s'est souvent demandé commentcomprendreconcrètement l'indication temporelle« sans cesse», ou « nuit et jour » (1 Th 3,1 0) ou des affirmations similaires, souvent placées dans des actions de grâce au début des lettres de Paul (cf.

par ex. 1 Th 1,2 : « Nous rendons continuellement grâce à Dieu pour vous ... »). Il convient de ne pas créer de fausses alternatives exégétiques.

Paul, en tant que juif pratiquant,

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a certainement été influencé par la tradition juive qui préconisait la prière trois fois par jour (matin, midi et soir). Rien ne laisse penser que Paul, en tant que « chrétien »,

se serait défait de sa socialisation re- ligieuse en matière de ritualisation de la prière, même si, bien sûr, Paul priait désormais « au nom du Christ »

ou « par le Christ » (Rm 1,8 ; 7,25 ; 2 Co 1,20 ; etc.). Les différentes af- firmations temporelles au sujet de la prière chez Paul (« sans cesse », « tou- jours », « continuellement », « nuit et jour », « avec persévérance ») présup- posent toutes que la prière a besoin de continuité et de durée, même s'il est vrai que la durée d'une prière ne dit encore rien de son authenticité. Paul veut ainsi faire comprendre que la prière n'est pas l'acte ponctuel

d'une expression religieuse arbitrai- re et secondaire, mais qu'elle est, au contraire, un élément fondamental de l'identité chrétienne et de « l'être au monde >> du chrétien. À la prière continuelle, ainsi comprise comme attitude élémentaire du chrétien à l'égard de Dieu et du monde, cor- respond, comme nous l'avons vu, la reconnaissance universelle « en toute circonstance » (1 Th 5,18).

Il va de soi que la prière comme at- titude générale et la prière comme acte rituel concret sont dans un lien d'interdépendance et se nourrissent mutuellement. •

Andreas DETTWILER

E t s'il est raisonnable de rêver au saint de l'avenir, j'oserai proposer que ce soit un saint de l'unité. Je pèse bien le mot : un saint, pas un philosophe, ni un savant. Ça ne veut pas dire qu'il sera illettré, mais qu'il sera inattendu. Il aura une oreille pour entendre ce que l'Esprit dira aux Églises, une bouche et le courage pour le répéter. Comme chaque saint, il sera inconditionnellement fidèle à sa Mère l'Église, mais sa fidélité sera enracinée dans un amour, dans une intimité avec Dieu tels que s'y effaceront ou s'y abrogeront les oppositions doctrinales. Comme chaque saint, il se peut qu'il ait des ennuis avec ses confrères

« intégrist~s »

ou

«

réformateurs

».

Or, ce n'est pas à sa renommée, mais à ses fruits qu'il sera reconnu. Et, comme chaque saint, il sera avant tout un homme de prière.

Vladimir Zielinsky, Afin que le monde croie ... , Paris, Nouvelle Cité, 1995

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Présentation

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L

es textes de la Semaine de prière pour l'unité chrétienne 2008 ont été préparés par des chrétiens des États-Unis. Dans leur choix du texte biblique de référence (1 Th 5, 13b-18) et dans leurs commentaires, ils ont voulu souligner l'importance du centième anniversaire de l'Octave pour l'unité de l'Église qui, pour la première fois, fut célébrée

à

Graymoor (dans l'état de New York) du 18 au 25 janvier 1908. Ils ont également voulu lancer un appel à donner un nouvel élan à la prière pour l'unité des chrétiens en retenant le thème : Priez sans cesse (1 Th

5, 17).

Ces textes ont ensuite été discutés et amendés lors de la réunion du groupe préparatoire international nommé par la Commission Foi et Constitution du Conseil Œcuménique des Églises (Genève) et le Conseil pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens (Rome).

Unité Chrétienne a adapté ces textes pour le monde francophone et vous propose des méditations et témoignages qui vous permettront de vivre pleinement la Semaine de prière pour l'unité chrétienne 2008. •

. Pour vivre la Semaine deprière.pour tunite'thrétienrze

Publication annuelle- fait suite

à

la revue trimestrielle Unité. Chrétienne.

Directeur de la publication : Marc Tticaud, président de l' ass.ociation

Directeur de la rÇdaction: Franck Lemaitre; directelJ.r du c~ntte·~c;uménique

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! Ori.t participé

1: élaboration de ce do.cument.:.

Ant~ine Cait~t

;. Marc : Cham bron ; Pierre Chapeau ; Philippe Étienne ; Robei:t

JaÇquel ;

Frànck : Lemaître ; Régine Maire ; Jeanine Paloul;an ; Marc Tricaud ; Barbara Vaux ;

et les membres dù comité de rédaction de la revue Unité des Chrétiens (Paris) : Catherine.Aubé-Élie ; Gill Daudé ; Michel Mallèvre ;. Michel

1 Stavrou·; Philippe Sukyasian.

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