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Commerce extérieur

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Trente-septième Année. — f1u 74. Samedi, 23 Septembre 1922 Bureau*: rue de la Serre, 58.

S U I S S E -

ORGRNE DE LR CHAMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, DES CHAMBRES DE COMMERCE, DE5 BUREAU^ DE CONTROLE, DES ASSOCIATIONS PATRONALES

* — ~ ~ — — ET DE L'INFORMATION HORLOQÈRE SUISSE " ~ - — — —

PARAISSANT LE MERCREDI ET LE SAMEDI A LA CHAUX-DE-FONDS Les Consulats suisses à l'étranger r e ç o i v e n t le j o u r n a l ANNONCES: PUBLICITES, S. R. suisse de Publicité, 22, rue Leopold Robert, La Chaujc-de-Fonds. — Succursales et agences en Suisse et à l'étranger.

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d e places 20 et. la ligne, i étrangères 35 c e n t i m e s la ligne.

Les annonces se paient d'avance

A propos de salaires

Un correspondant fort apprécié de la Fédé- ration horloger é, notait ici-même, il y a un moiSj et avec combien de raison, à quel point la politique des sajaires a été faussée pendant la guerre, non seulement en Suisse, mais dans plusieurs pays industriels. On; en voit une preuve dans les constatations que font aujour- d'hui, eux.aussi, les Allemands. Ayant dû cé- der depuis l'armistice, en particulier, à la forte pression des' syndicats ouvriers, les in- dustriels allemands en arrivent aujourd'hui à constater ce que les prudents avaient prévu, à savoir que la question des salaires et les prin- cipes sur lesquels doit se. baser une rationnelle politique des salaires, doiyent être à nouveau examinés à fond; les erreurs commises dé- ploient maintenant tous leurs effets.

Il est donc intéressant de connaître l'opinion dès industriels d'Outre-Rhin. On la trouve ex- primée, entre autres, dans la Deutsche Ar- beitgeber Zeitung, dont nous allons parcourir l'un des derniers articles sur « le problême des salaires ».

« Il est tout d'abord hors de doute, dit l'au- teur, que les salaires payés aux jeunes ou- vriers ne se justifient ni économiquement, ni au point de vue social, ni au point de vue mo- ral. On voit que les salaires des jeunes gens dépassent de beaucoup leurs besoins par la consommation excessive d'objets et d'articles de luxe qu'ils font. A l'avenir, si de nouvelles hausses de salaires sont nécessaires — on sait qu'en Allemagne le coût de la vie monte encore constamment -r- il faudra élever d'abord ceux des ouvriers les plus âgés, comme cela a déjà été le cas en juin et en juillet du reste.

Un autre point important est celui-ci : il faut que la différence entre les salaires des ouvriers qualifiés et des simples manœuvres soit beau- coup plus marquée que cela n'a été le cas jus- qu'à présent. Le travail soigné et de qualité (Qualitätsarbeit) sera de plus en plus recher- ché ; en outre, nous allons au-devant d'une crise nouvelle, au cours de laquelle l'ouvrier ayant reçu une instruction professionnelle sera beaucoup plus sûr de trouver de l'occupation que le manœuvre ou l'ouvrier non formé. ; il s'agit donc d'augmenter sensiblement l'attrait que peut et doit exercer l'apprentissage. Ilfaut que les jeunes gens en arrivent à rechercher avant tout une solide éducation professionnelle.

Le manque d'ouvriers qualifiés est déjà très sensible; et ce déficit deviendra de plus en plus préjudiciable si une politique appropriée des salaires ne sait pas l'éviter ».

Comme on le voit, les mêmes causes pro- duisent partout les mêmes effets. L'auteur de l'article que nous analysons, passe ensuite à l'étude du salaire que l'on appelle en allemand le salaire «social» (Soziallohn) et qui com- prend un système des allocations familiales dont il a déjà été question dans ce journal.

Il cite un rapport que la Chambre de com- merce de Hambourg a publié ensuite d'une discussion qui a eu lieu dans sa commission industrielle. Les lecteurs de la Fédération horlogère savent quelles expériences ont été faites en France avec les allocations familiales.

Ces expériences sont en général bonnes. Il faut noter toutefois qu'un certain arrêt se pro- duit en France dans le développement de cette institution, arrêt qui incite quelques indus- triels à requérir l'intervention de l'Etat ponr rendre obligatoire l'affiliation aux caisses de compensation. Nous pensons, comme la plu- part des industriels français, qu'une interven- tion de l'Etat dans ce domaine serait déplora- ble et cela pour diverses raisons qu'il y aura peut-être lieu d'examiner un jour.

La Chambre de commerce de Hambourg constate tout d'abord dans son rapport l'op-

position des syndicats ouvriers contre les al- locations familiales. Les syndicats reprochent aux patrons, lorsques ces allocations sont ins- tituées dans leur région ou dans leur profes- sion, de rechercher les ouvriers célibataires, qui sont moins payés. Ce reproche tombe com- plètement devant le fait que des « caisses de compensation enlèvent aux patrons tout motif de rechercher les célibataires de préférence aux ouvriers mariés. II tombe surtout devant cette considération qne, dans la plus grande partie des cas, les patrons préfèrent avoir des ou- vriers mariés, avec enfants, ouvriers qui cons- tituent l'élément le plus stable et le plus dé- voué de leur personnel.

La Chambre de commerce de Hambourg est actuellement favorable aux allocations. « Elle admet, conformément à l'opinion généralement répandue chez les patrons, que dans des épo- ques anormales au point de vue économique, la rémunération d'après la situation de famille doit être considérée comme juste ».

Observons d'ailleurs, en passant, que les syndicats ne sont pas logiques dans leur oppo- sition aux allocations familiales. Partisans du salaire minimum, ils devraient être partisans des efforts accomplis pour calculer au plus jnste le salaire indispensable à un ouvrier ma- rié et ayant un nombre plus ou moins élevé d'enfants. Les industriels allemands constatent précisément que le salaire d'un célibataire ne peut pas suffire dans bien des cas à l'ouvrier ayant des charges de famille. Mais on ne trouve plus guère de logique dans la politique syndi- caliste.

La Chambre de commerce de Hambourg es- time que du moment où l'on veut payer un salaire «social», il faut que les allocations per- mettent vraiment au père de famille de cou- vrir le surplus de dépenses qui lui incombe par rapport au célibataire et non pas seule- ment une minime partie de ces dépenses.

Quant au système des caisses de compensa- tion qui fonctionne en Allemagne sur des ba- ses analogues à celles du système français, la Chambre hambourgeoise estime qu'il né vaut

pas celui de la fixation par « contrats de tarifs » des allocations familiales. Mais cela est un dé- tail d'application. Ne nous y arrêtons pas.

Ce qui est intéressant, c'est ceci : La Cham- bre déclare, à la fin de son rapport, qu'elle tient à insister sur ce point que la rémunéra- tion d'après la situation de famille de l'ouvrier, ne peut être recommandée qu'en temps de crise économique, c'est-à-dire en temps de vie particulièrement chère. « Il faut bien prendre garde à cela, dit-elle, que ce système ne doit pas être institué d'une manière définitive. Et il faut absolument éviter que l'employé, en temps normal, se figure que son gain puisse dépendre d'autres facteurs que de son travail».

La Deutsche Arbeitgeber Zeitung, après avoir cité le document que nous venons de ré- sumer de la Chambre hambourgeoise, ne con- clut pas, au sujet des allocations familiales.

Elle constate que les expériences faites parlent en faveur de ce système ou contre lui selon les régions et selon les professions. Les orga- nes centraux de l'industrie allemande ne se sont donc pas encore' prononcés. Lès' deux écoles s'affrontent: celle qui préconise la.fixa- tion du salaire exclusivement d'après le travail fourni (Entlöhnung nach der Leistung) et celle qui défend le système des allocations familiales (Soziallohn).

Comme on le voit, la question ne se pose pas tout à fait en Allemagne dans les mêmes termes qu'en France, où d'autres considéra- tions entrent en jeu : notamment celle de la population (qui inquiète peu l'Allemagne), mais qui est brûlante pour la France.

Ce qu'il faut retenir, c'est qu'en Allemagne, on considère en général que le salaire « social»

ne se justifie qu'en temps anormal et qu'il ne faut pas perdre de vue le principe de la rému- nération d'après le travail fourni, principe qui est aussi bien le seul qui soit absolument con- forme à la notion économique du salaire.

Quelle que soit d'ailleurs la formule que l'on adopte, il est certain, comme l'observe justement le journal des industriels allemands, que la solution du problème des salaires ne peut être trouvée que si on la recherche, de part et d'autre, dans chaque cas, avec bonne volonté et avec le sentiment de la responsabi- lité que l'on encourt vis-à-vis du pays. S.

Informations

Contribution des chefs d'entreprise à l'assistanoe chômage.

(Communiqué officiel.)

Après de longs pourparlers avec les représen- tants des chefs d'entreprise et des cantons, le Con- seil fédéral a pris, dans sa séance du 19 septembre courant, une décision portant allégement des con- tributions patronales à l'assistance chômage. Le Conseil fédéral a écarté la proposition présentée il y a plusieurs mois par les chefs d'entreprise, de supprimer toute contribution patronale. Cette pro- position s'était heurtée à l'opposition presque una- nime des cantons, pour lesquels la répartition des

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482 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E charges de l'assistance est d'une importance consi-

dérable. Diverses décisions ont donc été prises, relatives à la réduction des obligations totales, sous la forme d'une interprétation authentique de l'arrêté du Conseil fédéral du 29 octobre 1919 sur l'assistance des chômeurs.

On devait reconnaître, en effet, que le maintien des obligations totales, telles qu'elles avaient été fixées au début, était non seulement impossible, mais aussi, jusqu'à un certain point, illusoire, car il est évident que, les suites de la crise économi- que devenait de jour en jour plus graves pour les chefs d'entreprise, on ne peut plus compter que ces derniers puissent encore consacrer à l'assis- tance chômage des sommes aussi élevées que celles qu'ils ont déjà dû verser jusqu'ici. Ces sommes se montent au total à environ 25 millions de francs, sans compter les prestations pour chômage par- tiel, dans le cas où la déduction de la durée du tra- vail est de moins de 40%. prestations qui attei- gnent plusieurs millions.

Les dispositions les plus importantes de l'arrêté du Conseil fédéral sont les suivantes : Les obliga- tions totales peuvent être réduites. La réduction sera, dans la règle, de 50%. En aucun cas, elle ne pourra aller plus loin que le minimum prévu à l'article 18 (un demi-mois pour les employés et une semaine pour les ouvriers). L'ensemble des pres- tations fournies jusqu'ici sont à déduire des nou- velles obligations totales sans que toutefois il y ait lieu à remboursement.

Les demandes de réduction de l'obligation totale doivent être adressées à l'office fédéral du travail, pour autant qu'il s'agit d'associations ; le départe- ment cantonal compétent se prononce sur les de- mandes des chefs d'entreprise non affiliés à une association. L'obligation du chef d'entreprise de contribuer à l'assistance de chaque employé ou ouvrier s'étend à 90 jours. Si les 90 jours ne sont pas expirés après une année, l'obligation subsiste tant que le chef d'entreprise n'a pas contribué à 90 jours d'assistance.

Le chef d'entreprise n'est pas tenu de contribuer à l'assistance de nouveaux employés ou ouvriers engagés après l'entrée en vigueur du nouvel arrêté.

11 en est de même lorsqu'il s'agit de nouveaux em- ployés ou ouvriers engagés après le 1er janvier 1922 et devenus chômeurs depuis cette entrée en vigueur. Un engagement d'une durée moindre q u u n trimestre doit être considéré comme tempo- raire. L'obligation du chef d'entreprise s'éteint à l'égard des employés ou ouvriers qui, ayant cessé d'être à son service, ont été ensuite occupés pen- dant plus d'un trimestre par un autre chef d'entre- prise.

Les associations et les chefs d'entreprise ne sont pas libérés, par l'extinction de leur obligation d'assistance, des charges administratives que leur impose l'assistance chômage.

Le Conseil fédéral a chargé, en outre, dans sa décision susmentionnée, le département fédéral de l'économie publique d'engager les cantons par cir- culaire à procéder d'une manière uniforme dans l'application de l'article 23 de l'arrêté du Conseil fédéral du 29 octobre 1919, sur l'assistance des chômeurs, et cela dans le sens d'une libération plus large des petites entreprises, ainsi que de cel- les des entreprises plus considérables dont la si- tuation financière est difficile.

De plus, les cantons doivent être invités à rat- tacher immédiatement, en vertu de l'article 17, al.

2, de l'arrêté précité, tous les chefs d'entreprise qui n'ont pas été libérés de leur contribution et qui n'appartiennent pas à une association profes- sionnelle chargée de l'exécution de l'assistance chômage.

M * Etats-Unis. — Tarif douanier.

Suivant une communication de la Légation de Suisse à Washington, le projet de tarif soumis aux deux Chambres par la Commission mixte de cel- les-ci a été voté par le Sénat, par 43 voix contre 28, mercredi dernier. La loi a été soumise au prési- dent pour signature et entrera aussitôt en vigueur.

La loi prévoit, pour les montres et mouvements de montres, phonographes et pièces détachées de phonographes, les mêmes taux que ceux mention- nés dans le projet primitif et publiés dans le nu- méro du 27 juillet 1921 de la Fédération horlo- ger e.

Par contre, les taux proposés pour les boites et pièces détachées de montres ont été portées de 35 à 4 5 % ad valorem.

On entend par droit ad valorem le droit perçu sur la valeur des marchandises dans le pays d'o- rigine.

— Au sujet du nouveau tarif, nous donnons ici l'opinion des financiers :

«Dans sa dernière circulaire, la Guaranty Trust écrit que dans la plupart des cas les droits seront |

tellement élevés qu'un véritable embargo sera placé sur les marchandises étrangères.

« Le tarif dans sa forme actuelle ignore la situa- tion fortement créditrice des Etats-Unis et causera un dommage à leur commerce extérieur».

France. — Pierres synthétiques ou soientifiques et contingent.

Aux termes d'un classement publié au Journal officiel du 7 novembre 1921, les pierres dites scien- tifiques ou synthétiques suivent le régime des «vi- trifications» selon l'espèce (N° 358 tarif France).

Par application de cette disposition, ces articles sont catalogués comme suit :

— Brutes ou en masses : Régime des vitrifications et émail en masses ou en tubes (10 °/0 ad valo- rem en tarif général ; 5 % ad valorem en tarif minimum.

— Taillées ou travaillées autrement : Montées ou non pour l'horlogerie, voir fournitures d'hor- logerie.

Autres, montées ou n o n : Régime des pierres à bijoux, 40% en tarif générai; 10% en tarif minimum.

Il en résulte que les envois de pierres scientifi- ques taillées, montées ou non, pour l'horlogerie, doivent être imputées sur les contingents prévus par l'accord du 30 mai 1921 et être accompagnés de factures légalisées par les Chambres de com- merce suisses.

L'exemption de la majoration de 1,10% de la valeur instituée par l'article 12 de la loi française du 31 juillet 1920, sur les marchandises importées en France n'est accordée que sur présentation d'une facture certifiée par l'autoritée consulaire française ou une autorité locale, établissant que le vendeur est établi au pays d'origine et que l'opération de vente a été effectivement conclue dans ce pays.

Italie. — Surtaxe douanière.

Pour la seconde quinzaine de septembre, l'agio douanier a été fixé à 345%, c.-à-d. pour 100 lires

©r, il y a lieu d'acquitter 445 lires papier.

Pologne. — Droits de douane (Agio).

Selon une communication de la Légation de Suisse, à Varsovie, les articles des positions sui- vantes du tarif polonais sont, dès le 29 août, à leur entrée eu Pologne, et jusqu'à nouvel avis, frappés d'un agio de 79.900% (soit multiplicateur 800). (Les chiffres en parenthèse sont ceux du tarif douanier polonais) :

(67) 1. Pierres précieuses (brillants, diamants, rubis, saphirs, émeraudes), pierres au- thentiques.

2. autres pierres ornementales, vraies ou fausses, corail vrai.

(148) 2. a) articles en or, non dénommés ailleurs.

b) en or ou platine, avec pierres ou perles précieuses ou imitations, etc.

3. a) en argent ou argent doré, non dénom- més ailleurs.

b) en argent ou argent doré, avec perles ou pierres précieuses ou imitations, etc.

Quant aux articles non mentionnés ci-dessus, ils acquittent le droit d'entrée avec un agio de 49.900% (soit multiplicateur 500).

Commerce extérieur

Lettonie

Les importations, pendant le premier semestre de 1922, ont atteint 2,203 millions V« de roubles lettons, et les exportations 1.347 millions, soit un excédent de 829 millions '/» e n faveur des impor- tations.

Roumanie.

Le Consulat de Suisse, à Galatz, dans son dernier rapport, indique que l'état défavorable du change influence grandement la situation économique gé- nérale. Toutefois, depuis ce printemps les relations avec la Suisse se sont heureusement améliorées légèrement, du fait de la hausse des prix de la concurrence allemande et autrichienne. Aujour- d'hui, les articles suisses ne coûtent guère plus que ceux de provenance des pays centraux. On ne doit cependant pas oublier que le coût de la vie a nota- blement augmenté, en raison du bas cours du leu et empêche ainsi une consommation quelque peu appréciable de produits de luxe, tels que montres, soieries, etc.

Russie.

Le représentant de l'Angleterre à Moscou étu- die, dans un rapport au Boar of Trade, les règles auxquelles est soumis le commerce extérieur en Russie.

Une licence est toujours nécessaire pour impor- ter en Russie ou en exporter quoi que ce soit, que l'opération soit faite au compte de l'Etat, des coo- pératives soviétiques ou des particuliers.

Les permis d'importer ou d'exporter sont déli- vrés à Moscou, par l'Office du Commerce Exté- rieur, et dans les provinces par des commissaires spéciaux.

A l'étranger, les permis sont délivrés par les divers délégués russes accrédités dans certains Etats.

Ces permis ne sont valables que pour une pé- riode strictement limitée et ils ne sont remis que contre paiement des taxes suivantes, calculées d'après la valeur des marchandises à importer ou exporter : Permis délivrés à l'Etat (entreprises, coopératives, Centrosoywz et Selskosoywz) : 1 % ad valorem pour le fisc et 1 "/„ ad valorem pour le Famine relief fand : permis délivrés aux orga- nisations privées et aux particuliers ; 3 °/° ad valo- rem pour le fisc et 2 % ad valorem pour le Fa- mine relief/and.

Une monographie

de l'industrie horlogère suisse

(Suite)

II. —Organisation et éducation teohnique et commerciale

Si l'expansion géographique et sociale de l'horlo- gerie a été très rapide, le développement de son organisation technique et commerciale n'en a pas été moins importante.

A. — Technique industrielle.

La technique industrielle de l'horlogerie s'est trouvée, comme toutes les techniques industrielles du monde, conditionnée par les deux caractéris- tiques du dernier siècle : les progrès du machinisme et l'application presque universelle de l'électricité.

Avant le XVIIIe siècle, la fabrication était très rudimentaire, le maître horloger faisait toutes les parties de la montre avec ses compagnons et ses apprentis dans son atelier. Au XVIIIe siècle, l'or- ganisation technique de l'horlogerie suisse subit une transformation profonde ; l'extension du mar- ché et la complexité croissante des produits don- nèrent lieu à une extraordinaire division du tra- vail, qui aboutit au système connu sous le nom à'établissage ; celui-ci se transforma à la fin du XIXe

siècle par la force des nécessités nouvelles, en une concentration partielle dans les grandes fabriques d'aujourd'hui.

Concentration partielle, disons-nous, car l'éta- blissage s'est, dans la pratique, et sous des formes diverses, conservé également dans l'organisation générale actuelle de l'horlogerie.

A côté des fabriques qui produisent la montre complète, du décolletage au réglage, il existe en- core des essaims de petites maisons, véritables comptoirs, qui achèvent l'ébauche et repassent les mouvements, chez eux, dans de petits ateliers oc- cupant de 2 à 20 ouvriers.

Il n'existe pas mal également de petits établis- sements commerciaux s'intitulant pompeusement

« fabriques » et qui se bornent à acheter la montre toute faite pour la revendre à l'étranger.

La production de la montre complète dans les grandes fabriques ne semble pas devoir se généra- liser partout et, pourtant, elle présente pour avan- tages incontestables, de perfectionner la technique, de mieux assurer l'interchangeabilité des pièces, un abaissement appréciable du prix de revient et surtout, la création de marques mondiales, qui sont pour beaucoup, dans l'excellente réputa- tion, dont la montre suisse jouit à l'étranger. Ces avantages demeurent acquis et il y a lieu d envisa- ger que l'existence des grandes fabriques et des grandes marques constituent un des meilleurs atouts, dont l'horlogerie suisse disposera dans sa lutte, toujours plus ardue contre la concurrence.

Chose curieuse, les progrès techniques précé- dèrent de longtemps la concentration en fabriques moyennes et grandes. Il en faut chercher les cuuses, dans l'inévitable division du travail et dans l'indi- vidualisme cher aux horlogers de Genève et du Jura.

Après 1820, déjà, les perfectionnements tech- niques, les simplifications dans la construction, ont eu une heureuse influence sur le prix de revient et sur les ventes. On améliora les mécanismes de la montre, la denture, l'échappement, le spiral, les aiguilles. Le goût de l'étude scientifique des ma- thématiques, s'éveilla dans l'élite du monde horlo- ger, puis à partir de 1830, l'usage de la machine s'introduisit pour se développer très rapidement dans la suite, stimulé surtout par les progrès faits, par nos concurrents, aux Etats-Unis, dans ce do- maine.

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L A F É D É R A T I O N H O R L O G Ê H E S U I S S E 473 En 1830 également, le calibre dit « LEPINE »

du nom de son inventeur, métamoiphosa complè- tement la montre et marqua une nouvelle étape ; mais en réalité, l'horlogerie moderne ne prend sa forme définitive que dans la période de 1880 à 1900, par la création et l'extension des grandes fabriques.

Certaines de celles-ci occupent avec leurs ou- vriers, une surface de plusieurs milliers de m', elles allongent leurs façades régulières dans les plus importants centres horlogers : Le Locle, La Ghaux- de-Fonds, St-Imier, Bienne, Tavannes, Granges, Soleure, etc., et commandent sous un même toit, tous les services techniques, industriels et com- merciaux.

On saisira par deux chiflres, l'importance géné- rale, comme l'intensité de leur développement.

Alors qu'en 1856, sur 40.000 horlogers suisses, 30.000 soit le 7 5 % travaillaient encore à domicile, la proportion se renversa totalement vers la fin du siècle, où l'atelier et la fabrique l'emportent sur l'établi domestique. En 1905 (recensement officiel du 9 avril) il y avait 12.566 personnes occupées à domicile, soit le 23°/o, tandis que 40.728 travail- laient dans les ateliers ou les fabriques.

A la même époque, 3.673 entreprises, dont 20 fabriques de toutes sortes étaient occupées à la fabrication de la montre et de ses parties.

Que nous sommes loin du temps ou l'horloger travaillait chez-lui, créant lui-même, de toutes piè- ces le mécanisme de la montre. Aujourd'hui, cent mains concourent à sa naissance et chaque ouvrier n'en fait qu'une partie, souvent bien infime.

Grâce à cette concentration, au machinisme et à la division du travail poussée à l'extrême, on est arrivé d'Un côté, au perfectionnement toujours croissant, de la fabrication en série, tant comme rendement que comme bienfacture et on a obtenu d'un autre côté, une précision toujours plus grande dans la marche du mouvement et l'élimination grogressive de toutes les causes pouvant l'influen- cer défavorablement.

Disons enfin, que la montre suisse, malgré sa fabrication en série, et au moyen de la machine, n'a pas perdu de son originalité ; par la diversité des calibres, la variété des formes et de la décora tion artistique de sa boite, elle a su conserver un cachet spécial, qui la distingue nettement de la montre étrangère.

B. Organisation commerciale et représentation à l'étranger.

Gomment l'organisation commerciale s'est-elle conformée à cette concentration technique ?

Il y a lien de faire ici une première constatation s'appliquant d'ailleurs d'une façon générale, à toutes nos industries d'exportation, c'est que le marché national ne joue qu un rôle très effacé dans l'écoulement de la production.

Quelques maisons neuchâteloises et bernoises pratiquent en grand la vente directe aux particu- liers ; les horlogers détaillants suisses de leur côté, tiennent la plupart des grandes marques ; mais à cause de sa population peu nombreuse et de son pouvoir d'achat très limité, notre pays ne peut cons- tituer qu'un débouché assez modeste. Bien qu'au- cune statistique n'ait été établie sur ce point, on peut envisager, qu'avec l'apport des étrangers qui, avant la guerre surtout, faisaient de nombreux achats de montres, soit à Genève, soit ailleurs, le vingtième à peine de la production totale est con- sommée en Suisse et que la presque totalité de la production nationale s'écoule à l'étranger.

Avant toute autre considération, il convient de rappeler que le commerce de la montre, diflérant en cela de tant d'autres, exige une préparation spé- ciale. Il ne consiste pas faire à passer simplement une marchandise d'une main à l'autre. Gomme la montre marche et qu'on exige, ce qui est naturel,

3

u'elle marche bien, ceux qui s'occupent de la ven- re doivent bien la connaître ; sans doute n'ont-il pas besoin d'étudier la science horlogère à fond, en- core faut-il qu'ils possèdent la connaissance des genres et des qualités, qu'ils aient des notions pré- cises sur le mouvement, sa marche et les conditions d'un entretien minutieux et d'un rhabillage tou- jours possible.

Ce n'est pas en vain que nos plus importants Technicums ou Ecoles cP horlogerie ont constitué des cours de brève durée (six mois ou une année) à l'usage des fnturs commerçants.

Presque partout le commerce de l'horlogerie suit les trois étapes classiques :

_ a) Vente de la fabrique aux grossistes (conces- sionnaires ou non);

b) Vente du grossiste au détaillant et enfin c) Vente du détaillant au consommateur.

Aucune fabrique, digne de ce nom, n'a à notre connaissance organisée elle-même la vente au dé-

tail, directement ou par des magasins de sa créa- tion. La raison en est précisément dans la multi- plicité des services imposés à celui qui voudrait entreprendre la vente directe et surtout encore par le rôle que joue, dans ce domaine, la corporation des horlogers détaillants, qui se flatte, avec raison, de diriger les clients dans le choix d'une montre de qualité.

Dans la plupart des pays étrangers, les fabriques de montres de marque possèdent leurs grossistes attitrés, généralement nantis d'un monopole auquel correspond l'obligation d'acheter bon an mal an, un nombre déterminé de montres.

C'est le système le plus en usage.

Ces grossistes, autonomes, mais cependant liés à la fabrique par des contrats formels, participent à sa prospérité comme à ses déboires. Dans la pé- riode des vaches grasses, la fabrique les avantage par des livraisons rapides et de gros crédits, voire même par une importante participation aux char- ges de publicité; au temps des vaches maigres, le grossiste garde un intérêt personnel au relève- ment de la fabrique, sur laquelle il a engagé ses capitaux, son nom et souvent l'activité de toute sa vie. Même si ses débouchés se trouvent réduits par les vissicitudes de la politique, si la vente se trouve entravée, par les stocks accumulés chez les détail- lants, il passera quand même à la fabrique des commandes, aussi modestes soient-elles, tant pour l'aider à vivre que pour ménager son avenir à lui.

Il sait que les bonnes années revenues, la fabri- que lui tiendra compte de son dévouement ou de son indifférence. Ainsi donc, les intérêts de la fa- brique et du grossiste sont liés de très près, sans que l'indépendance, les droits et les responsabi- lités de chacun cessent d'être parfaitement séparés.

Mais certaines fabriques ont fait un pas de plus dans leur représentation à l'étranger en créant dans quelques pays leurs propres organes de vente. Elles l'ont fait, soit par un prêt ou des avances de mar- chandises à des particuliers travaillant sur leur propre nom, mais qui, en réalité, ne constituent que des agents dépendant d'eux, commercialement et financièrement, soit par l'avance d'une com- mandite à une Société en nom collectif créée dans les mêmes conditions, soit même par la création de Sociétés anonymes, simples filiales de la maison mère et qui portent généralement le nom de celle-ci.

Ce système offre de grands avantages, parce qu'il permet de surveiller mieux l'expansion d'une marque et de tenir étroitement un marché donné en en épuisant plus rapidement toutes les possibilités.

Les difficultés de recrutement et les risques fi- nanciers, que ce système peut présenter, sont loin de contrebalancer les avantages qu'il ofire. Ces risques d'ailleurs "sont moins considérables que ceux courus par les gros crédits accordés aux gros- sistes autonomes. Là, comme partout ailleurs, le risque dépend tout autant des hommes placés à la tête de l'entreprise que des conditions générales du marché où elle est fixée.

Au surplus, il ne nous appartient pas de nous prononcer sur la valeur respective des divers modes de commerce en gros imaginés par les fa- briques. Les uns et les autres ont leurs inconvé- nients et leurs avantages et, sur un marché donné, un grossiste autonome de premier ordre vaudra toujours mieux qu'un médiocre gérant de Société filiale. Cd que nous avons voulu, c'est de montrer simplement ce mouvement de concentration ver- ticale dans l'ordre commercial, tel qu'il s'est mani- festé chez nous depuis une quinzaine d'années.

*

• •

Il va de soi qu'une telle organisation, grossiste ou filiale, ne peut s'appliquer qu'aux grands mar- ché d'Europe ou d'Outre-mer. Pour ceux secondai- res, tels l'Extrême Orient, l'Amérique du Sud, dans sa plus grande partie et presque toute l'Afri- que, nos fabriques, même les plus importantes n'ont pas songé encore à y créer des organisations définitives, tant à cause de la difficulté de trouver des personnes qualifiées, que de la pauvreté des marchés et de leurs facultés trop réduites d'absorp- tion, surtout lorsqu'il s'agit de montres de qualité.

Dans ces marchés, le grossiste ne s'occupe pas exclusivement d'horlogerie; il met au premier

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lan, la pacotille, l'article de bazar, la bijouterie on marché. Il n'offre également pas les garanties d'ordre financier et commercial auxquels nos fa- bricants sérieux, nous ne parlons pas des autres, sont accoutumés.

Par surcroît, la surveillance des crédits est ex- trêmement malaisée.

Sur ces places lointaines, on ne trouve guère que des agents travaillant seulement à la commis- sion et très peu d'acheteurs à compte ferme.

C'est là, la cause essentielle des grosses pertes dont l'horlogerie suisse eut de tout temps à se plaindre.

aux

C'est aussi la raison pour laquelle, il est difficile ix maisons dont l'action commerciale est métho • dique et prudente, de ne fixer sérieusement sur ces marchés ; seule une pénétration générale euro- péenne plus marquée permettra d'y instituer des moyens de contrôle plus parfaits.

(A suivre.)

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Cl.71c n'96499. — l" juin 1921, 17 h. — Nouveau dispositif de remontoir aux pendulettes. — Siegenthaler & Kaufmann, horlogerie, Recherswil p. Soleure (Suisse). Mandataire: A.

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160.—

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Situation au 16 septembre 1922.

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Avoir à vue sur l'étranger . 27.800.100,- + 3.846.300—

Avances sur nantissements . 37.261.922,62 — 249.207,91 Titres • 9.815.058,50 + 1.173.979,80 Correspondants 37.820.455,83 + 5.140.674,87 Autres actifs 23.779.306,44 — 2.439.977,89

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