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Submitted on 1 Jan 1965
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INGESTION SPONTANÉE D’ÉLÉMENTS ÉNERGÉTIQUES EN RÉGIMES MIXTES ET
SÉPARÉS CHEZ LE RAT EN CROISSANCE
Y. Henry, A. Rérat, Yvonne Daniel, M. Lecourtier
To cite this version:
Y. Henry, A. Rérat, Yvonne Daniel, M. Lecourtier. INGESTION SPONTANÉE D’ÉLÉMENTS ÉN-
ERGÉTIQUES EN RÉGIMES MIXTES ET SÉPARÉS CHEZ LE RAT EN CROISSANCE. Annales
de biologie animale, biochimie, biophysique, 1965, 5 (2), pp.283-292. �hal-00896289�
INGESTION SPONTANÉE D’ÉLÉMENTS ÉNERGÉTIQUES
EN RÉGIMES MIXTES ET SÉPARÉS
CHEZ LE RAT EN CROISSANCE
Y. HENRY A. RÉRAT
Yvonne DANIEL M. LFCOURTIER
Station de Recherches sur
l’Élevage
des Porcs,Centre national de Recherches
zootechniques, Jouy-en-Josas (Seine-et-Oise)
SOMMAIRE
L’étude de la consommation
spontanée d’énergie
a été réalisée chez le rat encroissance,
selon
qu’on
lui administre enmélange
et à volonté unrégime semi-synthétique,
ou en deuxrepas
séparés,
unequantité équivalente
de la même source azotée et del’énergie
à volonté. Deuxexpériences
ont ainsi été effectuées, d’une durée de 4 et 8 semaines, au coursdesquelles
la sourceazotée était constituée soit par une farine de
hareng,
soit par un tourteau d’arachide.Lorsque
le Rat estplacé
en dessous des conditions de croissance maximum, l’administrationséparée
des éléments azotés eténergétiques
provoque, par rapport à l’alimentation mixte, uneréduction sensible de la consommation spontanée
d’énergie.
Lalégère dépression
de la crois-sance
qui
en résulte se traduit essentiellement par une diminution dudépôt
delipides
dans les tissus, la rétention azotée n’étantpratiquement
pas modifiée.INTRODUCTION
Au cours d’études antérieures
(HENRY
etRÉ RAT , tg62 ;
RÉRAT etHENRY, 19
6 3
),
il a été constaté que leRat, lorsqu’il reçoit séparément
et simultanément des substances azotées enquantité
limitée et des élémentsénergétiques
àvolonté, ajuste
sa consommation
d’énergie
en fonction du niveau de croissancepermis
par la frac- tion azotée durégime.
Il a, en outre, tendance à maintenir unecomposition
corpo- relleconstante,
à unpoids donné, quelle
que soit la nature de la source azotée.Or,
on sait que dans le cas des
régimes complets habituels,
lacomposition corporelle,
pour un niveau de croissance
déterminé,
varie selon la nature de la source azotée(A LLISON
, zg5 7 ).
D’autrepart,
si l’on enjuge d’après
les résultatsacquis
enrégime
mixte dans d’autres
expériences,
les Rats soumis à l’alimentationséparée
semblentprésenter
uneadiposité plus
faible que ceux recevant desrégimes
mixtes pour un niveau de croissancecomparable.
Afin de vérifier cetteobservation,
nous avonsentrepris
uneexpérimentation
sur descouples
de Rats soumis en mêmetemps
à l’alimentationséparée
ou mixte et recevantquotidiennement
la mêmequantité
dematières
azotées,
la nature de ces dernières et leur niveau dans la ration étant variable.TECHNIQUES EXPERIMENTALES
ETMATÉRIEL UTILISÉ
Deux
expériences
successives A et B sont réalisées sur deux groupes de 80et 75 rats mâles de souche Wistar C. F., soumispendant
une semaine à unrégime préexpérimental
à base de caséine dont lacomposition
a étérapportée
par ailleurs(HENRY
et RÉRAT,19 6 2 ).
Dans chacune des deux
expériences,
les animaux sontrépartis
parcouples homogènes, d’après
leurpoids,
leurgain
depoids
et leur consommationpendant
lapériode préexpérimentale.
Un animal de chaque
couple
reçoit ad libiturrc unrégime
mixte renfermant soit de la farine depoisson
deNorvège (expérience A),
soit du tourteau d’arachide(expérience B),
à deuxtaux différents,
respectivement
8 et 12 p. 100 de matières azotées dansl’expérience
A, 8 etr6 p. 100dans
l’expérience
B. Au deuxième animal, on distribuequotidiennement,
dans deux man- geoiresséparées,
un repas azoté apportant la mêmequantité
d’azote que celleingérée
la veille parson
partenaire,
et un repas non azoté ad libitum. Lepremier jour,
lerégime
mixte est offert aux deuxanimaux dans les mêmes conditions. Les deux sources azotées ont été choisies en raison de leur valeur
biologique
très différente et sont introduites dans lerégime
à des taux inférieurs à ceux correspon- dant à la croissance maximum, ces derniers étantrespectivement
16 et 24 p. 100pour la farine depoisson
et le tourteau d’arachide(RÉRA T
et HENRY, résultats nonpubliés).
Afin de rendre lesrégimes comparables,
tant dupoint
de vue del’appétibilité
que dupoint
de vue de la valeurénergétique,
on ajoute dans tous les cas des
quantités
constantes d’huile d’arachide(8
p. 100), de cellulose(
2
p.100 ),
de minéraux(3
p.100)
et de vitamines( 2
p. 100).La durée de
l’expérience
est de 4semaines(expérience A)
ou de 8 semaines(expérience
A etB).
Les schémas
expérimentaux
et lacomposition
desrégimes
sontrapportés respectivement
dans lestableaux i et 2. Huit lots de 6 rats ont ainsi été constitués dans la
première expérience
et 4lots de13Rats dans la seconde. Les animaux, élevés en cages individuelles, sont
pesés
à intervallesrégu-
liers
(deux
fois parsemaine)
et les consommations de nourriture sontenregistrées quoditiennement.
A la fin de
l’expérience
onprocède
àl’analyse corporelle ;
les rétentions azotée eténergétique
sontdéterminées suivant la méthode
exposée précédemment (HENRY
et RÉRAT,19 6 2 ).
Les teneurs en
énergie
desrégimes
et des carcasses ont été estiméesd’après
les coefficientscalorimétriques
d’ATwnTEx et BRYANT( 1903 ).
Deplus,
dansl’expérience
B, il a étéprocédé
a unedétermination directe de la valeur
énergétique
desrégimes
par combustion dans une bombe calo-rimétrique adiabatique.
Les chiffres ainsi obtenus sont très voisins des estimationsthéoriques (tabl. 2 ) ;
ceci
justifie
la méthode de calculemployée,
d’autantplus
que la même concordance a été observée dans le cas des carcasses.Le
dispositif expérimental,
du type factoriel 23 dansl’expérience
A et 22dansl’expérience
B, a été conçu suivant la méthode desuperposition
de l’effet blocs et d’un effetprincipal (niveau azoté) :
«sj!lit-j!lot
» avec« confounding
»(C OCHRAN
et Cox,i95!).
Au cours del’analvse statistique
des résultats, les effets
principaux
et interactions ont ainsi été testés par rapport àl’une
ou l’autre de deux variances résiduelles : une erreur interblocs(a)
et une erreur intra-blocs(b) (tabl.
r). Afin defaciliter la lecture des tableaux de résultats, seuls ont été mentionnés les effets
qui
ont atteint leseuil de
signification
0,05 ou o,oi, ainsi que la valeur del’écart-type
de la moyenne, déduite de l’erreur individuelle(b).
RESULTATS
i. Cyoissayace et consommatiovc
(tableaux
3 etq.)
Comme cela était
prévu
par leprotocole,
les animaux soumis à l’alimentationséparée
ontingéré
sensiblement la mêmequantité d’azote, après
ou 8semaines,
que ceux recevant les
régimes
mixtescorrespondants ;
il en a été de mêmependant
toute la durée de
l’expérience (fig. z).
Dans cesconditions,
l’administrationséparée
des repas azoté et non azoté entraîne par
rapport
à l’alimentation mixte habituelle :- une diminution de la vitesse de
croissance, qui
n’est toutefoissignificative
que dans le cas du tourteau d’arachide
(expérience B),
- une réduction
significative
de la consommationd’énergie.
Cette différence dans le niveau de croissance et la consommation
d’énergie
semaintient d’ailleurs tout au
long
del’expérience,
commel’indique
lafigure
I.Si l’on considère les variations de la
réponse
en fonction du niveauazoté,
on relève dans le cas de l’arachide une interactionsignificative
entre le mode d’alimen-tation
(mixte-séparé)
et le niveauazoté ;
les différences entre les deuxtypes
de ré-gime
sont alorsplus marquées
au niveau azotésupérieur ( 1 6
p. 100 deprotéines) qu’au
bas niveau(8
p. 100deprotéines).
Cette interaction n’existe pas pour la farine depoisson ; cependant,
il faut noter que les deux niveaux azotés sontbeaucoup plus rapprochés
dans ce cas que dans celui de l’arachide.2
. !!7!’M<!OM ! l’azote et de
l’énergie
Les critères d’utilisation de l’azote
(coefficient
d’efficacitéprotidique,
coeffi-cient d’utilisation
pratique
del’azote)
et del’énergie (indice
deconsommation,
coefficient d’utilisationpratique
del’énergie)
ne sont pas modifiés d’une manièresignificative
par le moded’apport
des éléments azotés eténergétiques.
En ce
qui
concerne le niveauazoté,
des différencesapparaissent
selon la naturede la source azotée et
l’âge
des animaux.Ainsi,
avec la farine depoisson,
l’efficacité est maximum pour 12 p. 100 deprotéines jusqu’à 4 semaines
etpour p.
100 seu-lement au-delà de 4
semaines ;
avec le tourteaud’arachide,
aucontraire,
les valeurs observées sontplus
faibles etaugmentent
avec le taux deprotéines
dans les limites considérées.Quant
au coefficient d’utilisationpratique
del’énergie,
il estpratique-
ment le même pour les deux niveaux de
protéines
depoisson,
tandisqu’il augmente
avec le niveau de
protéines
d’arachide.3
.
Composition corporelle
Tant sur la
proportion
deprotéines
que sur celle delipides
dans la carcasse, on note une influence hautementsignificative
du niveau azoté et du mode d’ali-mentation,
sansqu’il
y ait interaction entre ces deux facteurs.Ainsi,
il seproduit
une
augmentation
dupourcentage
deprotéines
trouvées dans lestissus, lorsqu’on
augmente
le niveauazoté,
mais cephénomène
estimputable
àl’augmentation
depoids
des animaux en find’expérience (RÉ RAT
etHENRY, i 9 6 3 ).
Il n’en est pas de même pour le mode d’alimentation : àpoids
finalpratiquement égal,
l’administra- tion de repasséparés
provoque une réduction del’adiposité
etplus précisément
unabaissement du
pourcentage
delipides
dans legain
dupoids (fig. 2 ).
DISCUSSION
D’après
les résultatsprécédents,
ilapparaît
que leRat,
en alimentationséparée, présente
une vitesse de croissancelégèrement plus
faiblequ’en
alimentation mixte.A cet
égard,
il convient tout d’abord de remarquer que les écarts de croissance enre-gistrés
sont dus pour unepart
aux conditionsexpérimentales. Ainsi,
unepériode
d’une semaine au
départ
del’expérience
a été nécessaire pour que les animaux s’ha- bituent à la distribution de repasséparés,
alors que lesrégimes
mixtes ont été consom- més sans difficulté dès le début. Ceciexplique
le fait que les différences dans lesgains
de
poids
sont relativementplus importantes après
4 semainesqu’après
8 semainesd’expérience.
D’autrepart,
les rats en alimentationséparée
ne se sont pas trouvéstout à fait dans les conditions d’alimentation ad
libitum, puisque
leuringestion
d’azotea été
réglée
sur celle des animaux des lots « mixtes» correspondants ;
dans ces condi-tions,
ils n’ont pu, comme cesderniers,
extérioriserpleinement
leurspotentialités
de croissance. C’est du reste ce
qui
différencie cetteexpérience
de celle effectuée par CALET et al.( 19 6 1 )
sur lepoulet,
où les deuxrégimes,
mixte etséparé,
étaient res-treints
quant
àl’apport
azoté.L’écart
dans lesgains
depoids peut
êtrepartielle-
ment attribué à ces
phénomènes.
Quoi qu’il
ensoit,
ladépression
de croissance consécutive à l’administration de repasséparés
esttoujours
liée à une réductionimportante
de la consommation d’éner-gie.
Comme les animaux ainsi traités utilisent l’azote etl’énergie
avec la même effi-cacité
qu’en régime mixte,
ceci se traduit au niveau des tissus par une diminution sensible dudépôt
delipides.
Cette différence dans lecomportement
des animaux selon le moded’apport
des éléments azotés eténergétiques peut s’expliquer.
Onsait,
en
effet,
que dans les deuxexpériences,
les animaux sontplacés
en dessous des conditions de croissancemaximum ; celle-ci,
dans le cas de la farine depoisson,
ne
pourrait
être atteintequ’avec
unrégime
renfermant 16 p. 100 deprotéines
et serait de l’ordre de 5,o
g/j pendant
8 semainesaprès
le sevrage; dans le casdu tourteau
d’arachide,
les donnéescorrespondantes
seraient 24 p. 100et 4,4g/ j (RÉxaT
etHENRY,
résultats nonpubliés).
Onpeut
dès lors penser que les animaux recevant cesrégimes
mixtes àapport
insuffisant deprotéines, réagissent
en tentantd’en
ingérer
leplus possible ;
ils consommeraient ainsi un excès de matière sèche et, parsuite, d’énergie qui
sedépose
sous forme delipides
dans les tissus. Par contre, les animaux soumis à l’alimentationséparée
et pourlesquels l’apport
azoté estéga-
lement insuffisant ont la
possibilité,
du fait du moded’alimentation,
derégler
leurconsommation
énergétique
en fonction du niveau de croissancepermis
par le facteurlimitant ;
iln’y
aplus hyperconsommation d’énergie
comme dans le casprécédent
et les animaux
déposent
moins delipides
dans leurs tissus. Cetteexplication
estvalable pour chacun des niveaux azotés considérés et pour chacun des aliments azotés utilisés dans nos
expériences.
Il semble toutefoisqu’elle
doive être nuancéedans le cas des animaux recevant de l’arachide au
plus
faible niveau azoté :l’apport
azoté
quantitatif
etqualitatif
n’est alorsqu’en léger
excédent parrapport
au besoin d’entretienqui prend
unepart prépondérante
dans le besoinglobal
decroissance ;
il est alorspossible
que lephénomène d’hyperconsommation
durégime
mixte s’at-ténue,
cequi
annulepratiquement
les différences entre les deuxtypes
derégime.
Par
ailleurs,
il serait intéressant de connaître cequi
se passelorsque
le besoin azoté pour une croissance maximum est couvert : selon leshypothèses
émisesprécédem-
ment, on
peut
penser que lecomportement
des rats serait le même en alimentation mixte et en alimentationséparée.
En
résumé, lorsque
le Ratreçoit, séparément,
un repas azoté enquantité limitée,
inférieure à celle
correspondant
à la croissancemaximum,
et un repas non azoté adlibitum,
ilingère spontanément
moinsd’énergie
etprésente
une vitesse de crois-sance
plus
lente quelorsqu’on
lui offre ad libitum le même repas azoté sous forme demélange.
Lalégère dépression
de la croissance consécutive à l’administration de repasséparés provient
en réalité d’undépôt plus
faible delipides
dans lestissus,
la rétention azotée étant aussi élevée
qu’en régime
mixte.Reçu
pourpublication
en octobre19 6 4 .
SUMMARY
VOLUNTARY INTAKE OF ENERGY BY GROWING RATS GIVEN MIXED FEEDS OR THE SEPARATE COMPONENTS.
During
twoexperiments
withgrowing
white rats,lasting
4and 8 weeks, astudy
was made ofvoluntary
intake of energyaccording
to whether the feed was mixed or the componentsgiven
sepa-rately,
bothsupplying
the same amount ofprotein daily.
Male
weanling
Wistar C. F. rats were divided into similarpairs
at the start of apre-experimental period
of one week. Within eachpair
one animal wasgiven
toappetite
a mixed diet with, in the firstexperiment (!)
8 or 12 per cent fishprotein,
and in the second(B)
8 or 16 per centgroundnut protein.
The other member of thepair
wasgiven daily,
in two separate feeders, an amount of thesame
protein equivalent
to the amount eaten by thepair-mate
theday
before, and aprotein-free
feed to
appetite.
In all cases the animals
given
the separate feeds grew moreslowly
than thosereceiving
the sameprotein
in a mixed feed. However, the difference ingrowth only
reachedsignificance
on thelarger
amount of
groundnut protein.
The smalldepression
ingrowth
when the separate feeds weregiven
was
accompanied by
a marked reduction in intake of energycompared
with that on the usual mixed feed. As a result, in the tissues there was a marked reduction indeposition
oflipids
and an increasein the
protein
of the carcass, while theefficiency
of utilization of energy and ofprotein
was notchanged.
It may be concluded that when rats are
given separately
aprotein
feed restricted to less than the amount which would allow maximumgrowth,
and a nonprotein
feed toappetite, they adjust
their intakes of energy to a level below that in a mixed feed
supplying
the same intake ofprotein.
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