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Texte intégral

(1)

L3 – Algèbre 2 2013–2014 : DM 1

Devoir Maison I

Exercice 1. (Constructibilité de polygones réguliers)

1. Pour construire ζ 2

k

, il suffit de construire des bissectrices successives (en partant de l’angle plat π ).

2. Soit n et m premiers entre eux. On peut trouver une relation de Bézout : u n + v m = 1. Si ζ m et ζ n sont constructibles, il en va alors de même de ζ m n = ζ u n m n ζ m n v n = ζ u m ζ n v .

Réciproquement, si ζ m n est constructible, alors ζ n = ζ m m n et ζ n = ζ n m n le sont aussi.

3. Par définition, un nombre premier de Fermat peut se mettre sous la forme p = 2 r + 1. Écri- vons r = r 0 r 1 , où r 0 est une puissance de 2 et r 1 est un nombre impair. Alors

p = 2 r

0

r

1

+ 1 = ( 2 r

0

) r

1

+ 1 = ( 2 r

0

+ 1 )(( 2 r

0

) r

1

−1 − ( 2 r

0

) r

1

−2 + · · · − 2 r

0

+ 1 ) . La primalité de p entraîne donc r 1 = 1, et r = r 0 est une puissance de 2.

Les premiers nombres premiers de Fermat sont

F 0 = 2 2

0

+ 1 = 3, F 1 = 2 2

1

+ 1 = 5, F 2 = 2 2

2

+ 1 = 17, F 3 = 2 2

3

+ 1 = 257 et 2 2

4

+ 1 = 65 537 et poussèrent apparemment Fermat (à partir de 1640) à croire que F m = 2 2

m

+ 1 était tou- jours un nombre premier. Non seulement c’est déjà faux pour F 5 = 4 294 967 297 = 641 · 6 700 417 (Euler, 1732), mais on ne connaît à l’heure aucun autre nombre premier de Fer- mat.

4. La racine de l’unité ζ p est annulé par le p -ième polynôme cyclotomique Φ p = X p − 1

X − 1 = X p−1 + X p−2 + · · · + X + 1,

qui est irréductible (cf. TD 1, Exercice 1, question 5). Ainsi, ζ p est un algébrique de degré p −1. Si ce nombre est constructible, son degré doit être une puissance de 2, et p doit donc être un nombre de Fermat.

5. (a) i. Remarquons d’abord que Qn ) est, par définition, le plus petit sous-corps de C contenant à la fois Q et ζ n . Supposons que φ et ψ soient deux automorphismes de Qp ) envoyant ζ p sur ζ p u .

De manière générale, si φ et ψ sont deux morphismes de corps K → K 0 , on montre directement que

n x ∈ K

φ( x ) = ψ( x ) o est un sous-corps de K.

Dans notre cas, φ et ψ coïncident par hypothèse sur ζ p . Ils ne peuvent pas faire autrement que coïncider sur Q (un morphisme de corps doit envoyer 1 sur 1, donc il doit coïncider avec l’identité sur le sous-corps premier, c’est-à-dire le sous-corps engendré par 1, qui est isomorphe à Q en caractéristique nulle et à F p en caracté- ristique p ). Ils coïncident donc bien sur Qn ) , et l’unicité est démontrée.

Pour démontrer l’existence d’un tel morphisme, on procède en deux étapes :

(2)

– On commence par construire un morphisme Qp ) → C vérifiant l’hypothèse, sans se préoccuper de son image.

Puisque X p−1 + · · · + X + 1 est le polynôme minimal de ζ p , le corps Q(ζ p ) est iso- morphe à Q [ X ]/( X p−1 + · · · + X + 1 ) . Plus précisément, le morphisme d’évaluation

φ e ζ

p

= ´ev ζ

p

: Q [ X ] → C P(X) 7→ P(ζ p )

est un morphisme d’anneaux dont l’image est exactement Qp ] = Qp ) et dont le noyau est (X p−1 + · · · + X + 1) (c’est la définition du polynôme minimal) donc il induit un isomorphisme

φ ζ

p

: Q[X]/(X p−1 + · · · + X + 1) → Q(ζ p ) [ X ] 7→ ζ p

.

Mais les racines de ce polynôme 1 sont précisément les racines p -ièmes de l’unité différentes de 1, c’est-à-dire les (ζ k p ) p−1 k =1 . On peut donc faire exactement la même construction que précédemment et obtenir un isomorphisme

φ ζ

up

: Q [ X ]/( X p−1 + · · · + X + 1 ) → Qu p ) [ X ] 7→ ζ u p .

En particulier, le morphisme σ u : φ ζ

pu

φ ζ −1

p

: Qp ) → Qu p ) ⊂ C convient.

(Évidemment, on vient ici de refaire la preuve, vue en cours, de l’unicité du corps de rupture d’un polynôme irréductible.)

– Il faut maintenant expliquer pourquoi le morphisme σ u : Qp ) → C que l’on vient de construire est en fait un automorphisme du corps Q(ζ p ). Déjà, σ up ) = ζ p u appartient à Qp ) . Puisque σ up ) ∈ Qp ) , il en va de même pour tous les σ u ( x ) , xQp ) : en effet, un tel élément x peut s’écrire

x = Q(ζ p ) = ζ n p + q n−1 ζ n−1 p + · · · + q 0 . On a donc (en se souvenant que ∀ qQ, σ u ( q ) = q) :

σ u ( x ) = σ u

€ ζ n p + q n−1 ζ n−1 p + · · · + q 0 Š

= (ζ u p ) n + q n−1u p ) n−1 + · · · + q 0 = Q (ζ u p ) , donc σ u ( x ) = Q (ζ u p ) ∈ Qp ) .

Le morphisme σ u est donc bien un morphisme de Q(ζ p ) dans lui-même. Cela entraîne directement que c’est un automorphisme : il est injectif et Q-linéaire comme tout morphisme de corps 2 ; comme Qp ) est un Q-espace vectoriel de dimension finie, cela entraîne bien σ u ∈ Au t Q(ζ p ).

Remarque. La première partie du raisonnement (qui construit des morphismes Q (α) → C envoyant α sur un de ses conjugués) est extrêmement générale. Pour la seconde (qui montre que ce morphisme envoie bien Q(α) sur lui-même), nous n’avons utilisé qu’un seul argument spécifique au cas α = ζ p , à savoir que σ up ) ∈ Qp ) . Le lecteur se convaincra facilement que, de même, si φ(α)Q (α) , alors φ est un automorphisme de Q(α). Cependant, cette condition n’est pas automa- tique. On pourra vérifier, par exemple qu’il existe un unique morphisme de corps Q ( p

3

2 ) → C envoyant p

3

2 sur e 2i π/3 p

3

2, mais que celui-ci n’envoie pas Q ( p

3

2 ) sur lui-même.

1. Les autres racines du polynôme minimal d’un élément algébrique x sont appelés les conjugués de x, ce qui généralise le cas de l’extension C/R, où un élément zC \ R a pour polynôme minimal sur R le polynôme X

2

− 2(ℜ z )X+

| z |

2

, et donc pour conjugué... le nombre complexe conjugué z .

2. Il vaudrait mieux dire tout morphisme de corps de caractéristique nulle. Un morphisme de corps en caractéris-

tique p est F

p

-linéaire.

(3)

ii. C’est évident car ζ n p ne dépend que de la classe de n modulo p .

iii. De manière générale, on vérifie immédiatement que l’ensemble des points fixes d’un automorphisme de corps est un sous-corps.

(b) i. Le polynôme annulateur de ζ p est X p−1 +· · ·+ X + 1, de degré p − 1. On en déduit donc que la famille (1, ζ p , . . . , ζ p p −2 ) est une Q-base de Q(ζ p ). Il nous sera plus commode d’en choisit une autre, légèrement différente. Déjà, l’égalité

1 + ζ p + · · · + ζ p−1 p = 0

exprime 1 comme combinaison linéaire des (ζ k p ) p−1 k =1 et, réciproquement, exprime ζ p−1 p comme combinaison linéaire des (ζ k p ) p−2 k =0 . La famille (ζ p , ζ 2 p , . . . , ζ p−1 p ) est donc également une Q-base de Qp ) . Pour simplifier encore la rédaction, on peut même choisir de permuter ces vecteurs de base : au lieu de numéroter les (ζ k p ) p−1 k=1 (ce qui revient à numéroter les éléments k du groupe cyclique ( Z / p Z ) × ) par k croissant, on utilise l’élément uZ dont la classe modulo p engendre (Z/ p Z) × . Ainsi, on a

¦ u, u 2 , . . . , u p−1 ©

=

1, 2, . . . , p − 1 = (Z/ p Z) × donc

¦ ζ u p , ζ u p

2

, . . . , ζ u p

p−1

©

= ¦

ζ p , ζ 2 p , . . . , ζ p−1 p © et l’on peut utiliser la Q-base €

ζ u p , ζ u p

2

, . . . , ζ p u

p−1

Š .

Soit xQ(ζ p ) un élément fixe par τ 0 . Décomposons-le dans la base que nous avons choisie : x = a 1 ζ p u + a 2 ζ u p

2

· · · + a p−1 ζ u p

p−1

, avec des rationnels a i .

Puisque τ 0 = σ u vérifie τ 0 (ζ p ) = ζ p u , on a τ 0

€ ζ u p

k

Š

= τ 0 (ζ p ) u

k

= € ζ u p Š u

k

= ζ u p

k+1

donc

τ 0 ( x ) = a p−1 ζ u p + a 1 ζ u p

2

+ · · · + a p −2 ζ u p

p−1

.

Ainsi, si τ 0 ( x ) = x , on a ∀ k ∈ { 1, p − 1 } , a k = a 1 , donc x est un multiple rationnel de ζ p u + · · · + ζ u p

p−1

= ζ 1 p + · · · + ζ p−1 p = − 1 et appartient à Q.

ii. La première question est évidente, il suffit de le vérifier pour ζ p .

Pour la deuxième question, on va démontrer que si ϕ : L → L est un automorphisme involutif (i.e. tel que ϕ 2 = i d ) d’un corps de caractéristique nulle, le sous-corps fixe

K = n x ∈ L

ϕ( x ) = x o

est tel que L / K est une extension de degré 1 (dans le cas où ϕ = i d L ) ou 2. Il suffira ensuite d’appliquer ce résultat à L = K m + 1 et ϕ = τ m (ce qui entraîne K = K m ).

Le morphisme ϕ : L → L, vu comme application K-linéaire, est diagonalisable (il

est annulé par X 2 − 1 qui est scindé à racines simples, car la caractéristique n’est

pas 2) de spectre inclus dans {± 1 } . L’espace propre associé à la valeur propre 1 est

K. Supposons qu’il existe z ∈ L non nul tel que ϕ( z ) = − z . Tout autre z 0 ∈ L tel que

ϕ( z 0 ) = − z 0 vérifie alors ϕ( z 0 / z ) = ϕ( z 0 )/ϕ( z ) = z 0 / z , c’est-à-dire z 0 / z ∈ K. On a

donc montré que l’espace propre associé à la valeur propre − 1, s’il existe, est une

droite. Au final, on a bien dim K L ∈ { 1, 2 } .

(4)

iii. Puisque p est un nombre premier de Fermat, p = 2 N + 1, et u 2

N

≡ 1 ( mod p ) , donc τ N = i d . Ainsi, Qp ) = K N , et d’après la question précédente, ceci prouve que ζ p

est constructible.

6. Si Φ p

i

est irréductible, c’est le polynôme minimal de ζ p

i

. Il s’ensuit que ζ p

i

est algébrique de degré φ( p i ) , le nombre de k ∈ { 1, n } premiers avec p i , qui est également le cardinal de (Z/p i Z) × . Mais on sait (ou l’on vérifie) que φ(p i ) = p ip i−1 = p i−1 (p − 1). Ainsi, si i ≥ 2, φ( p i ) est divisible par p et ne peut pas être une puissance de 2, ce qui entraîne que ζ p

i

n’est pas constructible.

7. (a) Les racines ζ k n du polynôme cyclotomique sont exactement les racines primitives n - ièmes de l’unité, c’est-à-dire les racines n-ièmes de l’unité qui ne sont pas des racines d -ièmes pour un d divisant strictement n.

Quand n = p est un nombre premier, ce sont toutes les racines de l’unité non triviales, c’est-à-dire différentes de 1. On a donc

Φ p ( X ) = Q p

k = 1 (X − ζ k p )

X − 1 = X p − 1

X − 1 = X p−1 + X p−2 + · · · + X + 1, dont on a déjà montré à la question 4 qu’il était irréductible.

Si n = p 2 , les racines n-ièmes de l’unité non primitives sont les racines p -ièmes. On a donc

Φ p

2

(X) = X p

2

− 1

X p − 1 = Φ p (X p ) = X p(p−1) + X p(p −2) + · · · + X p + 1.

(b) On a déjà utilisé ce fait dans la question 2 : si ζ m n est constructible, il en va de même de ζ n = ζ m m n . Ainsi, la constructibilité de ζ p

i

entraîne celle de ζ p

2

(c’est le cas n = p 2 , m = p i−2 ) et, par contraposée, il va bien nous suffire de démontrer la non-constructibilité de ζ p

2

.

(c) Comme dans le cas de Φ p , Φ p

2

est irréductible si et seulement si Φ p

2

( X + 1 ) l’est. Or, Φ p

2

( X + 1 ) = Φ p (( X + 1 ) p )

= Φ p ( Y + 1 ) pour Y = X p + p

1

X p−1 + · · · + p

p − 1

X

= Y p−1 + p

1

Y p−2 + · · · + p

p − 2

X + p

p − 1

.

Comme Y est un polynôme unitaire et sans terme constant en X, le critère d’Eisenstein s’applique (Φ p

2

(X + 1) est congru à X p ( p−1 ) modulo p , et son coefficient constant est

p p−1

= p ).

Le polynôme Φ p

2

est un polynôme irréductible qui annule ζ p

2

: c’en est donc le poly- nôme minimal. Il s’ensuit que ζ p

2

est un algébrique de degré deg Φ p

2

= p ( p − 1 ) , qui n’est pas une puissance de 2. Ce nombre n’est donc pas constructible.

8. En rassemblant les différents résultats que nous avons montrés, on obtient donc (en notant n = Q

p v

p

la décomposition en facteurs premiers de n) :

– que ζ n est constructible si et seulement si chacun des ζ p

vp

l’est (exercice précédent, question 2) ;

– que ζ 2

v2

est toujours constructible (exercice précédent, question 1) ;

– que, pour p impair, ζ p est constructible si et seulement si p est de Fermat (exercice pré- cédent) ;

– que, pour p impair et v p ≥ 2, ζ p

vp

n’est jamais constructible (question précédente).

(5)

En résumé, ζ n (ou le n-gone régulier, ou l’angle 2 π/ n) est constructible si et seulement si n est le produit d’une puissance de 2 et de nombres premiers de Fermat tous distincts ou, pour reprendre la fin des Disquitiones Arithmeticae de Gauß :

[ ... ] sive brevius, requiritur, ut N neque ullum factorem primum qui non est for- mae 2 m + 1, implicet, neque etiam ullum factorem primum formae 2 m + 1 pluries.

Huiusmodi valores ipsius N infra 300 reperiuntur hi 38 :

2, 3, 4, 5, 6, 8, 10, 12, 15, 16, 17, 20, 24, 30, 32, 34, 40, 48, 51, 60, 64, 68, 80, 85, 96, 102, 120, 128, 136, 160, 170, 192, 204, 255, 256, 257, 272.

Ce résultat est parfois appelé théorème de Gauß-Wantzel (le fait que la condition soit suffi- sante étant due à Gauß (1801) et son aspect nécessaire découlant directement de la carac- térisation vue en cours des nombres constructibles, due à Pierre-Laurent Wantzel (1837)).

Cet énoncé ne doit pas cacher que, vu l’étendue de notre ignorance sur les nombres pre- miers de Fermat, il serait difficile de considérer le problème comme définitivement clos. Il est même assez frappant de constater que, bien qu’on ne sache pas construire à la règle et au compas plus de polygones réguliers que le jeune Gauß, on semble assez loin de pouvoir démontrer que son résultat est optimal...

9. On sait que ζ 5 + ζ 4 5 = 2 cos ( 2 π/ 5 ) et que ζ 2 5 + ζ 3 5 = 2 cos ( 4 π/ 5 ) , et donc la formule ζ 2 5 + ζ 5 + 1 + ζ −1 5 + ζ −2 5 = 0 implique que 2 cos(2π/5) + 2 cos(4π/5) + 1 = 0. De plus, le produit cos ( 2 π/ 5 ) cos ( 4 π/ 5 ) vaut 1 2 ( cos ( 2 π/ 5 )+ cos ( 4 π/ 5 )) , donc cos ( 2 π/ 5 ) et cos ( 4 π/ 5 ) sont racines de X 2 + X / 2 − 1 / 4. Si l’on remarque que cos ( 4 π/ 5 ) < 0 < cos ( 2 π/ 5 ) , on a donc cos ( 2 π/ 5 ) =

−1+ p 5

4 , que l’on écrira encore 1 2 €

−1 2 + q 5

4

Š . Cette écriture permet rapidement de construire le pentagone régulier à la règle et au compas.

O

A C B

M

Remarque. Les questions précédentes montrent que l’heptadécagone régulier est égale- ment constructible à la règle et au compas, un résultat dû à C. F. Gauß en 1796. 3 On a en fait la formule explicite :

cos

 2π 17

‹

= − 1 16 +

p 17 16 + 1

8 v t 17 − p

17

2 + 1

4 v u

t 17 + 3 p 17

4 − 1

2 v t 17 − p

17

2 − 1

2 v t 17 + p

17

2 ,

ce qui rend toute construction à la règle et au compas un peu plus délicate.

3. Notons que Gauß avait 19 ans.

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