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Formes quadratiques (Le¸con 3)

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Texte intégral

(1)

Formes quadratiques (Le¸con 3)

Jorge Jim´ enez Urroz

(Universitat Polit` ecnica de Catalunya)

Ecole Cimpa, Bamako, Novembre 2010 ´

(2)

Formes concordantes

Soit ∆ un discriminant fondamental. On a

(x

2

+ ∆y

2

)(z

2

+ ∆w

2

) = (xz + ∆yw )

2

+ ∆(xw − zy)

2

. Nous pouvons donc mutiplier certains formes quadratiques. Nous voulons donner une structure alg´ ebrique aux ensembles Cl (∆) et Cl(∆)

+

, en g´ en´ eralisant la multiplication ci-haut.

On voit que

(a

1

x

12

+bx

1

y

1

+a

2

cy

12

)(a

2

x

22

+bx

2

y

2

+a

1

cy

22

) = (a

1

a

2

X

2

+bXY +cY

2

) o` u

( X = x

1

x

2

− cy

1

y

2

,

Y = ax

1

y

2

+ a

2

y

1

x

2

+ by

1

y

2

.

(3)

D´ efinition

Les formes f

1

= ha

1

, b, ca

2

i et f

2

= ha

2

, b, a

1

c >i sont dites concordantes.

Observation: Deux formes concordantes ont le mˆ eme discriminant.

D´ efinition

Sur l’ensemble des formes concordantes nous avons donc une loi de composition: F = f

1

∗ f

2

= ha

1

a

2

, b, c i.

Maintenant on veut montrer qu’il y a une forme concordante dans

chaque classe d’´ equivalence de formes quadratiques.

(4)

D´ efinition

Les formes f

1

= ha

1

, b, ca

2

i et f

2

= ha

2

, b, a

1

c >i sont dites concordantes.

Observation: Deux formes concordantes ont le mˆ eme discriminant.

D´ efinition

Sur l’ensemble des formes concordantes nous avons donc une loi de composition: F = f

1

∗ f

2

= ha

1

a

2

, b, c i.

Maintenant on veut montrer qu’il y a une forme concordante dans

chaque classe d’´ equivalence de formes quadratiques.

(5)

D´ efinition

Les formes f

1

= ha

1

, b, ca

2

i et f

2

= ha

2

, b, a

1

c >i sont dites concordantes.

Observation: Deux formes concordantes ont le mˆ eme discriminant.

D´ efinition

Sur l’ensemble des formes concordantes nous avons donc une loi de composition: F = f

1

∗ f

2

= ha

1

a

2

, b, c i.

Maintenant on veut montrer qu’il y a une forme concordante dans

chaque classe d’´ equivalence de formes quadratiques.

(6)

Lemme

Soit f une forme primitive, et M 6= 0 entier. Alors f repr´ esente un entier m diff´ erent de z´ ero et tel que pgcd(m, M ) = 1.

D´ emonstration: Soit 2M = PQR avec les retrictions suivantes. Tout d’abord, p|P si et seulement si p|(a, 2M) mais p - c . De plus, p|Q si et seulement si p|(a, c , 2M). Finalement, p|R si et

seulement si p |2M mais p - a. Alors (aP

2

+ bPR + cR

2

, 2M ) = 1.

V´ erifiez que par d´ efinition (P, Q) = (Q , R) = (P , R) = 1, et qu’il

n’est pas possible d’avoir a + b + c = 0.

(7)

Lemme

Soit f une forme primitive, et M 6= 0 entier. Alors f repr´ esente un entier m diff´ erent de z´ ero et tel que pgcd(m, M ) = 1.

D´ emonstration: Soit 2M = PQR avec les retrictions suivantes.

Tout d’abord, p|P si et seulement si p|(a, 2M) mais p - c . De plus, p|Q si et seulement si p|(a, c , 2M ). Finalement, p|R si et

seulement si p |2M mais p - a. Alors (aP

2

+ bPR + cR

2

, 2M ) = 1.

V´ erifiez que par d´ efinition (P , Q) = (Q , R) = (P , R) = 1, et qu’il

n’est pas possible d’avoir a + b + c = 0.

(8)

Lemme

Soit {C

1

, C

2

} ⊂ Cl(∆)

+

, et M 6= 0 entier. Alors, il existe une paire de formes concordantes f

1

= ha

1

, b, a

2

c i ∈ C

1

et

f

2

= ha

2

, b, a

1

c i ∈ C

2

telles que pgcd(a

1

, a

2

) =pgcd(a

1

a

2

, M ) = 1.

D´ emonstration: Choisissons F

1

= ha

1

, b

1

, c

1

i ∈ C

1

tel que

pgcd(a

1

, M) = 1. Prenons des entiers r , s tels que (r , s) = 1 et tels que a

1

= f (r, s) est copremier avec M. Alors, il existe

r s u v

∈ SL

2

( Z ) tel que γf = F

1

est la forme que nous d´ esirons. Puis choisissons F

2

= ha

2

, b

2

, c

2

i ∈ C

2

avec (a

2

, a

1

M ) = 1.

Ensuite, prenons des entiers n

1

, n

2

tels que a

1

n

1

− a

2

n

2

=

b1−b2 2

. Notez que b

1

≡ b

2

≡ ∆ (mod 2).

Les formes f

j

=

1 0 n

j

1

F

j

sont les formes demand´ ees dans

l’´ enonc´ e avec b = b

j

+ 2a

j

n

j

.

(9)

Lemme

Soit {C

1

, C

2

} ⊂ Cl(∆)

+

, et M 6= 0 entier. Alors, il existe une paire de formes concordantes f

1

= ha

1

, b, a

2

c i ∈ C

1

et

f

2

= ha

2

, b, a

1

c i ∈ C

2

telles que pgcd(a

1

, a

2

) =pgcd(a

1

a

2

, M ) = 1.

D´ emonstration: Choisissons F

1

= ha

1

, b

1

, c

1

i ∈ C

1

tel que

pgcd(a

1

, M ) = 1. Prenons des entiers r , s tels que (r , s) = 1 et tels que a

1

= f (r, s ) est copremier avec M. Alors, il existe

r s u v

∈ SL

2

( Z ) tel que γf = F

1

est la forme que nous d´ esirons.

Puis choisissons F

2

= ha

2

, b

2

, c

2

i ∈ C

2

avec (a

2

, a

1

M ) = 1. Ensuite, prenons des entiers n

1

, n

2

tels que a

1

n

1

− a

2

n

2

=

b1−b2 2

. Notez que b

1

≡ b

2

≡ ∆ (mod 2).

Les formes f

j

=

1 0 n

j

1

F

j

sont les formes demand´ ees dans

l’´ enonc´ e avec b = b

j

+ 2a

j

n

j

.

(10)

Lemme

Soit {C

1

, C

2

} ⊂ Cl(∆)

+

, et M 6= 0 entier. Alors, il existe une paire de formes concordantes f

1

= ha

1

, b, a

2

c i ∈ C

1

et

f

2

= ha

2

, b, a

1

c i ∈ C

2

telles que pgcd(a

1

, a

2

) =pgcd(a

1

a

2

, M ) = 1.

D´ emonstration: Choisissons F

1

= ha

1

, b

1

, c

1

i ∈ C

1

tel que

pgcd(a

1

, M ) = 1. Prenons des entiers r , s tels que (r , s) = 1 et tels que a

1

= f (r, s ) est copremier avec M. Alors, il existe

r s u v

∈ SL

2

( Z ) tel que γf = F

1

est la forme que nous d´ esirons.

Puis choisissons F

2

= ha

2

, b

2

, c

2

i ∈ C

2

avec (a

2

, a

1

M ) = 1.

Ensuite, prenons des entiers n

1

, n

2

tels que a

1

n

1

− a

2

n

2

=

b1−b2 2

. Notez que b

1

≡ b

2

≡ ∆ (mod 2).

Les formes f

j

=

1 0 n

j

1

F

j

sont les formes demand´ ees dans

l’´ enonc´ e avec b = b

j

+ 2a

j

n

j

.

(11)

Lemme

Soit {C

1

, C

2

} ⊂ Cl(∆)

+

, et M 6= 0 entier. Alors, il existe une paire de formes concordantes f

1

= ha

1

, b, a

2

c i ∈ C

1

et

f

2

= ha

2

, b, a

1

c i ∈ C

2

telles que pgcd(a

1

, a

2

) =pgcd(a

1

a

2

, M ) = 1.

D´ emonstration: Choisissons F

1

= ha

1

, b

1

, c

1

i ∈ C

1

tel que

pgcd(a

1

, M ) = 1. Prenons des entiers r , s tels que (r , s) = 1 et tels que a

1

= f (r, s ) est copremier avec M. Alors, il existe

r s u v

∈ SL

2

( Z ) tel que γf = F

1

est la forme que nous d´ esirons.

Puis choisissons F

2

= ha

2

, b

2

, c

2

i ∈ C

2

avec (a

2

, a

1

M ) = 1.

Ensuite, prenons des entiers n

1

, n

2

tels que a

1

n

1

− a

2

n

2

=

b1−b2 2

. Notez que b

1

≡ b

2

≡ ∆ (mod 2).

Les formes f

j

=

1 0 n

j

1

F

j

sont les formes demand´ ees dans

l’´ enonc´ e avec b = b

j

+ 2a

j

n

j

.

(12)

Lemme

Soit {C

1

, C

2

} ⊂ Cl(∆)

+

, et M 6= 0 entier. Alors, il existe une paire de formes concordantes f

1

= ha

1

, b, a

2

c i ∈ C

1

et

f

2

= ha

2

, b, a

1

c i ∈ C

2

telles que pgcd(a

1

, a

2

) =pgcd(a

1

a

2

, M ) = 1.

D´ emonstration: Choisissons F

1

= ha

1

, b

1

, c

1

i ∈ C

1

tel que

pgcd(a

1

, M ) = 1. Prenons des entiers r , s tels que (r , s) = 1 et tels que a

1

= f (r, s ) est copremier avec M. Alors, il existe

r s u v

∈ SL

2

( Z ) tel que γf = F

1

est la forme que nous d´ esirons.

Puis choisissons F

2

= ha

2

, b

2

, c

2

i ∈ C

2

avec (a

2

, a

1

M ) = 1.

Ensuite, prenons des entiers n

1

, n

2

tels que a

1

n

1

− a

2

n

2

=

b1−b2 2

. Notez que b

1

≡ b

2

≡ ∆ (mod 2).

Les formes f

j

=

1 0 n

j

1

F

j

sont les formes demand´ ees dans

l’´ enonc´ e avec b = b

j

+ 2a

j

n

j

.

(13)

Proposition

Soient C

1

, C

2

deux classes d’´ equivalence propre de formes

quadratiques de discriminant fondamental ∆, et soient f

1

∈ C

1

et f

2

∈ C

2

des formes concordantes. Soient g

1

∈ C

1

et g

2

∈ C

2

une autre paire de formes concordantes. Alors

f

1

∗ f

2

≈ g

1

∗ g

2

.

D´ emonstration: Soit f

1

= ha

1

, b, c

1

i, f

2

= ha

2

, b, c

2

i, g

1

= ha

01

, b

0

, c

10

i et g

2

= ha

02

, b

0

, c

20

i.

• Cas 1: Soit f

1

= g

1

et pgcd(a

1

, a

02

) = 1. Il existe

γ =

r s t u

∈ SL

2

( Z ) tel que γf

2

= g

2

. Il est tr` es facile de voir que −sc

2

= ta

02

. Or a

1

|c

2

, de sorte que a

1

|t. La matrice

γ

0

=

r sa

1

t/a

1

u

est telle que γ

0

(f

1

∗ f

2

) = f

1

∗ g

2

.

(14)

Proposition

Soient C

1

, C

2

deux classes d’´ equivalence propre de formes

quadratiques de discriminant fondamental ∆, et soient f

1

∈ C

1

et f

2

∈ C

2

des formes concordantes. Soient g

1

∈ C

1

et g

2

∈ C

2

une autre paire de formes concordantes. Alors

f

1

∗ f

2

≈ g

1

∗ g

2

.

D´ emonstration: Soit f

1

= ha

1

, b, c

1

i, f

2

= ha

2

, b, c

2

i, g

1

= ha

01

, b

0

, c

10

i et g

2

= ha

02

, b

0

, c

20

i.

• Cas 1: Soit f

1

= g

1

et pgcd(a

1

, a

02

) = 1. Il existe

γ =

r s t u

∈ SL

2

( Z ) tel que γf

2

= g

2

. Il est tr` es facile de voir que −sc

2

= ta

02

. Or a

1

|c

2

, de sorte que a

1

|t. La matrice

γ

0

=

r sa

1

t/a

1

u

est telle que γ

0

(f

1

∗ f

2

) = f

1

∗ g

2

.

(15)

• Cas 2: Soit b = b

0

et pgcd(a

1

, a

02

) = 1. Dans ce cas, f

1

et g

2

sont concordantes, et deux applications du dernier cas montrent que

f

1

∗ f

2

≈ f

1

∗ g

2

≈ g

1

∗ g

2

.

• Cas 3: Soit pgcd(a

1

a

2

, a

01

a

02

) = 1. Soient B, n, n

0

tels que b + 2a

1

a

2

n = b

0

+ 2a

10

a

02

n

0

= B. Consid´ erons

F

1

=

1 0 a

2

n 1

f

1

= ha

1

, B, C

1

i, F

2

=

1 0 a

1

n 1

f

2

= ha

2

, B, C

2

i, H

1

=

1 0 n 1

(f

1

∗ f

2

) = ha

1

a

2

, B, C i.

On voit que a

1

a

2

|(B

2

− ∆)/4 et par cons´ equent F

1

et F

2

sont concordantes. Similairement, les formes G

1

= ha

10

, B, C

10

i et

G

2

= ha

02

, B, C

20

i sont corcordantes, et H

2

= ha

10

a

02

, B, C i ≈ g

1

∗ g

2

. Nous concluons, grˆ ace au dernier cas pour F

1

, F

2

, G

1

, G

2

, que

f

1

∗ f

2

≈ H

1

= F

1

∗ F

2

≈ G

1

∗ G

2

= H

2

≈ g

1

∗ g

2

.

(16)

• Cas 2: Soit b = b

0

et pgcd(a

1

, a

02

) = 1. Dans ce cas, f

1

et g

2

sont concordantes, et deux applications du dernier cas montrent que

f

1

∗ f

2

≈ f

1

∗ g

2

≈ g

1

∗ g

2

.

• Cas 3: Soit pgcd(a

1

a

2

, a

01

a

02

) = 1. Soient B, n, n

0

tels que b + 2a

1

a

2

n = b

0

+ 2a

01

a

02

n

0

= B. Consid´ erons

F

1

=

1 0 a

2

n 1

f

1

= ha

1

, B, C

1

i, F

2

=

1 0 a

1

n 1

f

2

= ha

2

, B, C

2

i, H

1

=

1 0 n 1

(f

1

∗ f

2

) = ha

1

a

2

, B , C i.

On voit que a

1

a

2

|(B

2

− ∆)/4 et par cons´ equent F

1

et F

2

sont concordantes. Similairement, les formes G

1

= ha

10

, B, C

10

i et

G

2

= ha

02

, B, C

20

i sont corcordantes, et H

2

= ha

10

a

02

, B, C i ≈ g

1

∗ g

2

. Nous concluons, grˆ ace au dernier cas pour F

1

, F

2

, G

1

, G

2

, que

f

1

∗ f

2

≈ H

1

= F

1

∗ F

2

≈ G

1

∗ G

2

= H

2

≈ g

1

∗ g

2

.

(17)

• Cas 2: Soit b = b

0

et pgcd(a

1

, a

02

) = 1. Dans ce cas, f

1

et g

2

sont concordantes, et deux applications du dernier cas montrent que

f

1

∗ f

2

≈ f

1

∗ g

2

≈ g

1

∗ g

2

.

• Cas 3: Soit pgcd(a

1

a

2

, a

01

a

02

) = 1. Soient B, n, n

0

tels que b + 2a

1

a

2

n = b

0

+ 2a

01

a

02

n

0

= B. Consid´ erons

F

1

=

1 0 a

2

n 1

f

1

= ha

1

, B, C

1

i, F

2

=

1 0 a

1

n 1

f

2

= ha

2

, B, C

2

i, H

1

=

1 0 n 1

(f

1

∗ f

2

) = ha

1

a

2

, B , C i.

On voit que a

1

a

2

|(B

2

− ∆)/4 et par cons´ equent F

1

et F

2

sont concordantes.

Similairement, les formes G

1

= ha

10

, B, C

10

i et

G

2

= ha

02

, B, C

20

i sont corcordantes, et H

2

= ha

10

a

02

, B, C i ≈ g

1

∗ g

2

. Nous concluons, grˆ ace au dernier cas pour F

1

, F

2

, G

1

, G

2

, que

f

1

∗ f

2

≈ H

1

= F

1

∗ F

2

≈ G

1

∗ G

2

= H

2

≈ g

1

∗ g

2

.

(18)

• Cas 2: Soit b = b

0

et pgcd(a

1

, a

02

) = 1. Dans ce cas, f

1

et g

2

sont concordantes, et deux applications du dernier cas montrent que

f

1

∗ f

2

≈ f

1

∗ g

2

≈ g

1

∗ g

2

.

• Cas 3: Soit pgcd(a

1

a

2

, a

01

a

02

) = 1. Soient B, n, n

0

tels que b + 2a

1

a

2

n = b

0

+ 2a

01

a

02

n

0

= B. Consid´ erons

F

1

=

1 0 a

2

n 1

f

1

= ha

1

, B, C

1

i, F

2

=

1 0 a

1

n 1

f

2

= ha

2

, B, C

2

i, H

1

=

1 0 n 1

(f

1

∗ f

2

) = ha

1

a

2

, B , C i.

On voit que a

1

a

2

|(B

2

− ∆)/4 et par cons´ equent F

1

et F

2

sont concordantes. Similairement, les formes G

1

= ha

10

, B, C

10

i et

G

2

= ha

02

, B, C

20

i sont corcordantes, et H

2

= ha

01

a

02

, B, C i ≈ g

1

∗ g

2

.

Nous concluons, grˆ ace au dernier cas pour F

1

, F

2

, G

1

, G

2

, que

f

1

∗ f

2

≈ H

1

= F

1

∗ F

2

≈ G

1

∗ G

2

= H

2

≈ g

1

∗ g

2

.

(19)

• Cas 2: Soit b = b

0

et pgcd(a

1

, a

02

) = 1. Dans ce cas, f

1

et g

2

sont concordantes, et deux applications du dernier cas montrent que

f

1

∗ f

2

≈ f

1

∗ g

2

≈ g

1

∗ g

2

.

• Cas 3: Soit pgcd(a

1

a

2

, a

01

a

02

) = 1. Soient B, n, n

0

tels que b + 2a

1

a

2

n = b

0

+ 2a

01

a

02

n

0

= B. Consid´ erons

F

1

=

1 0 a

2

n 1

f

1

= ha

1

, B, C

1

i, F

2

=

1 0 a

1

n 1

f

2

= ha

2

, B, C

2

i, H

1

=

1 0 n 1

(f

1

∗ f

2

) = ha

1

a

2

, B , C i.

On voit que a

1

a

2

|(B

2

− ∆)/4 et par cons´ equent F

1

et F

2

sont concordantes. Similairement, les formes G

1

= ha

10

, B, C

10

i et

G

2

= ha

02

, B, C

20

i sont corcordantes, et H

2

= ha

01

a

02

, B, C i ≈ g

1

∗ g

2

. Nous concluons, grˆ ace au dernier cas pour F

1

, F

2

, G

1

, G

2

, que

f

1

∗ f

2

≈ H

1

= F

1

∗ F

2

≈ G

1

∗ G

2

= H

2

≈ g

1

∗ g

2

.

(20)

•Cas 4: D’apr` es le lemme pr´ ec´ edent, il existe deux formes

concordantes F

1

= hA

1

, B , C

1

i ∈ C

1

et F

2

= hA

2

, B, C

2

i ∈ C

2

telles que pgcd(A

1

A

2

, a

1

a

2

a

01

a

02

) = 1 . Alors, nous pouvons appliquer deux fois le dernier cas, ce qui prouve que

f

1

∗ f

2

≈ F

1

∗ F

2

≈ g

1

∗ g

2

.

(21)

Th´ eor` eme

Soit ∆ 6= 0. L’ensemble des classes d’equivalence propre des formes quadratiques binaires de discriminant ∆ est un groupe ab´ elien fini.

L’´ el´ ement neutre du groupe est la classe principale. L’inverse de f est la classe de toute forme improprement ´ equivalente ` a f .

D´ emonstration: Soit f =< a, b, c > .

• Commutativit´ e: C’est clair par d´ efinition.

• El´ ement neutre: On a

1 0

b−ε

2

1

f

0

= h1, b, ac i, ce qui est une forme concordante avec f = ha, b, c i, et f ∗ h1, b, aci = f .

• Inverse: Nous avons 0 1

1 0

ha, b, ci = hc , b, ai, ce qui est une

forme concordante avec f et f ∗ hc , b, ai = hac, b, 1i ≈ f

0

.

(22)

Th´ eor` eme

Soit ∆ 6= 0. L’ensemble des classes d’equivalence propre des formes quadratiques binaires de discriminant ∆ est un groupe ab´ elien fini.

L’´ el´ ement neutre du groupe est la classe principale. L’inverse de f est la classe de toute forme improprement ´ equivalente ` a f .

D´ emonstration: Soit f =< a, b, c > .

• Commutativit´ e: C’est clair par d´ efinition.

• El´ ement neutre: On a

1 0

b−ε

2

1

f

0

= h1, b, ac i, ce qui est une forme concordante avec f = ha, b, c i, et f ∗ h1, b, aci = f .

• Inverse: Nous avons 0 1

1 0

ha, b, ci = hc , b, ai, ce qui est une

forme concordante avec f et f ∗ hc , b, ai = hac, b, 1i ≈ f

0

.

(23)

Th´ eor` eme

Soit ∆ 6= 0. L’ensemble des classes d’equivalence propre des formes quadratiques binaires de discriminant ∆ est un groupe ab´ elien fini.

L’´ el´ ement neutre du groupe est la classe principale. L’inverse de f est la classe de toute forme improprement ´ equivalente ` a f .

D´ emonstration: Soit f =< a, b, c > .

• Commutativit´ e: C’est clair par d´ efinition.

• El´ ement neutre: On a

1 0

b−ε

2

1

f

0

= h1, b, ac i, ce qui est une forme concordante avec f = ha, b, c i, et f ∗ h1, b, aci = f .

• Inverse: Nous avons 0 1

1 0

ha, b, ci = hc, b, ai, ce qui est une

forme concordante avec f et f ∗ hc , b, ai = hac, b, 1i ≈ f

0

.

(24)

•Associativ´ e: Soient C

1

, C

2

, C

3

trois classes d’´ equivalence. Nous commen¸cons par trouver, au moyen du lemme ci-dessus, des formres g

i

=< a

i

, b

i

, c

i

>∈ C

i

telles que pgcd(a

1

, a

2

) = 1, pgcd(a

1

a

2

, a

3

) = 1.

Prenons ensuite des entiers n

j

tels que b

j

+ 2a

j

n

j

= B pour un entier B ind´ ependant de j , et des formes

f

j

=

1 0 n

j

1

g

j

= ha

j

, B, C

j

i. Alors,

f

1

∗ (f

2

∗ f

3

) = f

1

∗ ha

2

a

3

, B , C i = ha

1

a

2

a

3

, B, C /a

1

i, et

(f

1

∗ f

2

) ∗ f

3

= ha

1

a

2

, B, C

0

i ∗ f

3

= ha

1

a

2

a

3

, B, C /a

1

i.

(25)

•Associativ´ e: Soient C

1

, C

2

, C

3

trois classes d’´ equivalence. Nous commen¸cons par trouver, au moyen du lemme ci-dessus, des formres g

i

=< a

i

, b

i

, c

i

>∈ C

i

telles que pgcd(a

1

, a

2

) = 1, pgcd(a

1

a

2

, a

3

) = 1.

Prenons ensuite des entiers n

j

tels que b

j

+ 2a

j

n

j

= B pour un entier B ind´ ependant de j , et des formes

f

j

=

1 0 n

j

1

g

j

= ha

j

, B, C

j

i. Alors,

f

1

∗ (f

2

∗ f

3

) = f

1

∗ ha

2

a

3

, B, C i = ha

1

a

2

a

3

, B, C /a

1

i, et

(f

1

∗ f

2

) ∗ f

3

= ha

1

a

2

, B, C

0

i ∗ f

3

= ha

1

a

2

a

3

, B, C /a

1

i.

(26)

Algorithme du composition

Soient f = ha, b, c i et f

0

= ha

0

, b

0

, c

0

i de discriminant ∆.

Soit δ =pgdc

a, a

0

,

b+b2 0

= au + a

0

v +

b+b2 0

w ,

o` u les ´ el´ ements u, v, w trouv´ es par Bezout ne sont pas uniques.

Alors,

f ∗ f

0

= hA, B, C i

o` u A =

aaδ20

, B =

1δ

(aub

0

+ a

0

vb + w (bb

0

+ ∆)/2), et C =

B24A−∆

.

(27)

Exemple

∆ = −264 = 4(−2 · 3 · 11)

b (b

2

− ∆)/4 a c

0 66 1, 2, 3, 6 66, 33, 22, 11

2 67

4 70 5, 7 14, 10

6 75

8 82

Par cons´ equent, h

+

= 8, et un ensemble de repr´ esentants de Cl(∆)

+

est donn´ e par l’ensemble

( I = h1, 0, 66i, f

1

= h2, 0, 33i, f

2

= h3, 0, 22i, f

3

= h6, 0, 11i, f

4

= h5, 4, 14i, f

5

= h5, −4, 14i, f

6

= h7, 4, 10i, f

7

= h7, −4, 10i

)

D´ enotons par I la classe de I et par C

i

la classe de f

i

.

(28)

• C

1

∗ C

1

=?

δ = 2 = 1 · 2 + 0 · 2 + 0 · 0; donc u = 1, v = w = 0. Alors, A = 4, B = 0, C = 66, et C

1

∗ C

1

= I.

• C

4

∗ C

4

=?

δ = 1 = 1 · 5 + 0 · 5 − 1 · 4; donc u = 1, v = 0,w = −1. Alors, A = 25, B = 144, C = 210. De plus,

h25, 144, 210i ≈ h210, −144, 25i ≈ h25, −6, 3i ≈ h3, 0, 22i.

Donc, C

4

∗ C

4

= C

2

.

(29)

• C

1

∗ C

1

=?

δ = 2 = 1 · 2 + 0 · 2 + 0 · 0; donc u = 1, v = w = 0. Alors, A = 4, B = 0, C = 66, et C

1

∗ C

1

= I.

• C

4

∗ C

4

=?

δ = 1 = 1 · 5 + 0 · 5 − 1 · 4; donc u = 1, v = 0,w = −1. Alors, A = 25, B = 144, C = 210. De plus,

h25, 144, 210i ≈ h210, −144, 25i ≈ h25, −6, 3i ≈ h3, 0, 22i.

Donc, C

4

∗ C

4

= C

2

.

(30)

• C

2

∗ C

5

=?

δ = 1 = 2 · 3 − 1 · 5 + 0 · 2, donc u = 3, v = −1,w = 0.

Alors A = 15, B = −24, C = 14. De plus,

h15, −24, 14i ≈ h14, −4, 5i ≈ h5, 4, 14i.

Donc, C

2

∗ C

5

= C

4

.

(31)

Cl

+

(−264) I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

I I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

C

1

C

1

I C

3

C

2

C

7

C

6

C

5

C

4

C

2

C

2

C

3

I C

1

C

5

C

4

C

7

C

6

C

3

C

3

C

2

C

1

I C

6

C

7

C

4

C

5

C

4

C

4

C

7

C

5

C

6

C

2

I C

1

C

3

C

5

C

5

C

6

C

4

C

7

I C

2

C

3

C

1

C

6

C

6

C

5

C

7

C

4

C

1

C

3

C

2

I C

7

C

7

C

4

C

6

C

5

C

3

C

1

I C

2

Cl

+

(−264) 6' D

8

car D

8

n’est pas ab´ elien. Cl

+

(−264) 6' Q

8

car Q

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Z /8 Z car il n’y a aucun ´ el´ ement d’ordre 8.

Cl

+

(−264) 6' Z /2 Z × Z /2 Z × Z /2 Z , C

5

est d’ordre 4.

Cl

+

(−264) ' Z/2Z × Z/4Z '< C

1

> × < C

5

>.

(32)

Cl

+

(−264) I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

I I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

C

1

C

1

I C

3

C

2

C

7

C

6

C

5

C

4

C

2

C

2

C

3

I C

1

C

5

C

4

C

7

C

6

C

3

C

3

C

2

C

1

I C

6

C

7

C

4

C

5

C

4

C

4

C

7

C

5

C

6

C

2

I C

1

C

3

C

5

C

5

C

6

C

4

C

7

I C

2

C

3

C

1

C

6

C

6

C

5

C

7

C

4

C

1

C

3

C

2

I C

7

C

7

C

4

C

6

C

5

C

3

C

1

I C

2

Cl

+

(−264) 6' D

8

car D

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Q

8

car Q

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Z /8 Z car il n’y a aucun ´ el´ ement d’ordre 8.

Cl

+

(−264) 6' Z /2 Z × Z /2 Z × Z /2 Z , C

5

est d’ordre 4.

Cl

+

(−264) ' Z/2Z × Z/4Z '< C

1

> × < C

5

>.

(33)

Cl

+

(−264) I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

I I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

C

1

C

1

I C

3

C

2

C

7

C

6

C

5

C

4

C

2

C

2

C

3

I C

1

C

5

C

4

C

7

C

6

C

3

C

3

C

2

C

1

I C

6

C

7

C

4

C

5

C

4

C

4

C

7

C

5

C

6

C

2

I C

1

C

3

C

5

C

5

C

6

C

4

C

7

I C

2

C

3

C

1

C

6

C

6

C

5

C

7

C

4

C

1

C

3

C

2

I C

7

C

7

C

4

C

6

C

5

C

3

C

1

I C

2

Cl

+

(−264) 6' D

8

car D

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Q

8

car Q

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Z /8 Z car il n’y a aucun ´ el´ ement d’ordre 8.

Cl

+

(−264) 6' Z /2 Z × Z /2 Z × Z /2 Z , C

5

est d’ordre 4.

Cl

+

(−264) ' Z/2Z × Z/4Z '< C

1

> × < C

5

>.

(34)

Cl

+

(−264) I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

I I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

C

1

C

1

I C

3

C

2

C

7

C

6

C

5

C

4

C

2

C

2

C

3

I C

1

C

5

C

4

C

7

C

6

C

3

C

3

C

2

C

1

I C

6

C

7

C

4

C

5

C

4

C

4

C

7

C

5

C

6

C

2

I C

1

C

3

C

5

C

5

C

6

C

4

C

7

I C

2

C

3

C

1

C

6

C

6

C

5

C

7

C

4

C

1

C

3

C

2

I C

7

C

7

C

4

C

6

C

5

C

3

C

1

I C

2

Cl

+

(−264) 6' D

8

car D

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Q

8

car Q

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Z /8 Z car il n’y a aucun ´ el´ ement d’ordre 8.

Cl

+

(−264) 6' Z /2 Z × Z /2 Z × Z /2 Z , C

5

est d’ordre 4.

Cl

+

(−264) ' Z/2Z × Z/4Z '< C

1

> × < C

5

>.

(35)

Cl

+

(−264) I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

I I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

C

1

C

1

I C

3

C

2

C

7

C

6

C

5

C

4

C

2

C

2

C

3

I C

1

C

5

C

4

C

7

C

6

C

3

C

3

C

2

C

1

I C

6

C

7

C

4

C

5

C

4

C

4

C

7

C

5

C

6

C

2

I C

1

C

3

C

5

C

5

C

6

C

4

C

7

I C

2

C

3

C

1

C

6

C

6

C

5

C

7

C

4

C

1

C

3

C

2

I C

7

C

7

C

4

C

6

C

5

C

3

C

1

I C

2

Cl

+

(−264) 6' D

8

car D

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Q

8

car Q

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Z /8 Z car il n’y a aucun ´ el´ ement d’ordre 8.

Cl

+

(−264) 6' Z /2 Z × Z /2 Z × Z /2 Z , C

5

est d’ordre 4.

Cl

+

(−264) ' Z/2Z × Z/4Z '< C

1

> × < C

5

>.

(36)

Cl

+

(−264) I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

I I C

1

C

2

C

3

C

4

C

5

C

6

C

7

C

1

C

1

I C

3

C

2

C

7

C

6

C

5

C

4

C

2

C

2

C

3

I C

1

C

5

C

4

C

7

C

6

C

3

C

3

C

2

C

1

I C

6

C

7

C

4

C

5

C

4

C

4

C

7

C

5

C

6

C

2

I C

1

C

3

C

5

C

5

C

6

C

4

C

7

I C

2

C

3

C

1

C

6

C

6

C

5

C

7

C

4

C

1

C

3

C

2

I C

7

C

7

C

4

C

6

C

5

C

3

C

1

I C

2

Cl

+

(−264) 6' D

8

car D

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Q

8

car Q

8

n’est pas ab´ elien.

Cl

+

(−264) 6' Z /8 Z car il n’y a aucun ´ el´ ement d’ordre 8.

Cl

+

(−264) 6' Z /2 Z × Z /2 Z × Z /2 Z , C

5

est d’ordre 4.

Cl

+

(−264) ' Z/2Z × Z/4Z '< C

1

> × < C

5

>.

(37)

Bibliographie

• D. Buell, Binary quadratic forms, Springer-Verlag, 1989.

(C’est le premier volume ` a consulter. Les notes de cours sont bas´ ees sur ce volume; on y trouve aussi les preuves omises.

Cependant ce volume contient plusieurs coquilles.)

• J. Buchmann, Binary quadratic forms: an algorithmic approach, Springer-Verlag, 2007.

• D. Cox, Primes of the form x

2

+ ny

2

, J. Wiley & sons, 1989.

(Tr` es beau volume traitant de la th´ eorie du corps de classes. Le premier chapitre contient une introduction aux formes

quadratiques binaires.)

• Alain Faisant, L’´ equation diophantienne du second degr´ e.

(En fran¸ cais.)

(38)

• D. Flath, Introduction to Number Theory, J. Wiley & sons, 1989.

(C’est une tr` es belle introduction ` a la th´ eorie des nombres, dans lequel on y trouve une belle pr´ esentation des formes quadratiques.

Le volume se veut une pr´ eparation pour lire les Disquisitiones Arithmeticae de Gauss.)

• F. Gauss, Disquisitiones Arithmeticae, 1801.

La version originale est en latin, mais il existe des versions fran¸ caises et anglaises.)

• P. Ribenboim, My numbers, my friends, Springer-Verlag, 2000.

(Il contient un bon survol de la th´ eorie des formes quadratiques,

sans les preuves mais avec des exemples.

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