• Aucun résultat trouvé

Conclusions générales

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Conclusions générales"

Copied!
17
0
0

Texte intégral

(1)

Conclusions générales

pel des ux résultats :

ibéralisa du ciel européen a effectivement conduit à soumettre l’essentiel de l’offre europ is du mar services publics étant devenus résiduels ins de ges intra-europ r autant, la concurrence à l’échelle des li- s n’est enue la norme. El certes augmenté, en particulier sur des grandes

s dom jadis très protégé les principales lignes européennes entre ré- s métro nes et sur les lignes on touristique. Cependant, le dé- ppement de nombreuses nouvelle oitées par une seule compagnie a para- alement nté le nombre et la es de fait. De nombreuses concur- es n’on qu’indirectement, so ravers de filiales étrangères (par exemple Spa- appart soit par de agnies low-cost opérant depuis des aéroports

ndaires gnés des grandes agglomérations européennes (par exemple Hahn au ran

e 1991 5, la desserte de l’e européen libéralisé connaît d’importantes évolu- D’une le volume de l’offre est presque multiplié par deux (+85%,

% si l’o ite aux vols européens), soit un taux de croissance annuel moyen de . Cett u ffre internationale que nationale, si bien que la mière l’emporte maintenant sur la e. D’autre part, la dynamique d’ouverture et de

eture d est spectaculaire : éations contre 459 disparitions, si bien que le bre tot nes a augmenté d ue le réseau européen actuel est un ré-

pour m lé par rappo elui de 1991. Cependant, le poids en sièges des s hérit e 8/10. Le réseau péen actuel est donc quantitativement toujours iné par les relations historiques, q stituent l’armature de la desserte aérienne eu- enne.

espaces stiques balnéaires m ionaux ont capté une grande partie de cette crois- e (3/10 uvelles liaisons, ¼ gmentation générale du nombre de sièges).

typolog ive des réseaux à l’échelle des compagnies a révélé des stratégies diffé- iées et cts variés rmes de desserte des territoires. Les grandes pagnies ales ont généralem t développé leur offre tout en la concen-

t plus e éro tionnelles organisées en hubs. Parfois,

econd h dû être créé pour co er des problèmes de saturation (Munich en plus rancfor ieux coller à la dem (Milan en plus de Rome). Les compagnies clas- es ont es participation des petites compagnies afin de pénétrer plus lement, indre coût, des ma trangers. Ces filiales — et leurs réseaux — ont ois été es en opérateurs r imentant les grands hubs. Diverses petites pagnies lopper à l’é européenne, sortant souvent de leur cadre na- al class eloppements se sont tantôt faits au détriment des villes « de pro- e » (en r en Grande-Bre t par concentration sur la capitale (en iculier d s pays où les villes de province ont peu de poids économique et démogra-

ue). En aines compagnies charters ont transformé leur offre en offre régulière, la ant plu e au public, au profit des zones touristiques méridionales qui sont ainsi facilem essibles.

la plus aculaire évolution es doute celle des compagnies low-cost. Celles-ci t respon e la croiss ffre (en sièges) sur la période 1995-2004 ; s sont a à 3/10 des n es lignes européennes ouvertes entre 1991 et 5. Leur aux renforcent la desserte des liaisons entre régions métropolitaines et e celles tinations touri es méridionales pas trop éloignées de l’Europe du

. De n s t l’essentiel, voire la totalité, de leur des- e et de partic les régions subcentrales et intermédiaires.

i a co rablement modifié les relations entre compagnies et gestionnaires roports nt ces derniers dans apport de forces qui ne leur est pas toujours fa- able.

Rap principa

La l tion

intra- éenne aux « lo ché », les

(mo 5% des siè éens). Pou

gne pas dev le a

ligne estiques es, sur

gion politai nord – sud à vocati

velo s lignes expl

des monopol

dox augme part

renc t lieu it au t

nair enant à SAS), s comp

seco plus éloi lieu de F cfort).

Entr et 200 space

tions. part, (en sièges)

+81 n se lim

5,6% e croissance concerne pl s l’o

pre second

ferm e lignes 1308 cr

nom al de lig e moitié et q

seau oitié renouve rt à c

ligne ées est d euro

dom ui con

ropé

Les touri érid

sanc des no de l’au

Une ie évolut

renc donc des impa en te

com nation ent fortemen

ires tradi tran ncore sur leurs bases a portua

un s ub a ntourn

de F t) ou m ande

siqu aussi pris d s dans

faci et à mo rchés é

parf converti égionaux al

com ont pu se déve chelle

tion ique. Ces dév ulie

vinc partic tagne), tantô

part ans le

phiq fin, cert rend s ouvert plus ent acc

Mais spect t sans

son sables de 4/10 d ance de l’o

elle ussi mêlées ouvell

200 s rése

entr -ci et les des stiqu

nord ombreux petits aéroport

croissance, en leur doiven

sert leur ulier dans

Cec nsidé

d’aé , plaça un r

vor

(2)

Ces dynam iendraient presque f oublier les décroissances. D’une part, des faillites ois gatif marqué rte des villes, comme nous l’avons mon- en parti Bruxelles suite a. De plus, les services publics ventionn r les pouvoirs publics semblent être en régression, bien que l’analyse dé- ée du ca çais montre que la géographie des services publics antérieurs à la libérali-

n déco d’exigenc iques locales que de besoins réels.

ut ajou ue la producti ienne européenne demeure très seg- tée par que l’intégrat nne s’approfondit progressivement et que béralisa transport aérien pe n découplage entre l’origine nationale des com-

ies et la géographie de leurs rése est en effet flagrant de constater que la plupart compag es continu uire une offre presque exclusivement cen- sur leu e. Si l’on ex compagnie low-cost Ryanair, qui exploite à elle le une t e part des vols s t avec le pays d’origine (ici l’Irlande), très de com nies se sont directement aventurées hors de leurs marchés « naturels ». Ce t que iais de participati s d’autres compagnies que les compagnies

entionn xploité des vols sans rapport avec leur pays d’origine. La production

’offre de re tout aussi fragmen re loin de l’établissement de cham- s transn

gagna des perdants :

devien hyp de départ, qui postulait que « la libéralisation iel eur profite aux villes ou régions de rang supérieur, en tant que principales

flux aér t grâce au renforcement ou au développement hubs ; elle profite cependant également à certaines villes ou régions de rang intermé-

e ou in i parviennent à ur épingle du jeu par des stratégies alternati-

» ?

gré la di es dynamiques co es tout au long de notre recherche, celle-ci s’est ée asse . Cependant, elle appelle des précisions et des nuances.

ièreme a hiérarchie de l’of typologie économique des régions euro- nnes de presque constante 15 ans, il faut rappeler la contre-performance des ons m litaines péricentrale nnoscandiennes. Pour le reste, les régions ropolitai inuent de polariser une part énorme de l’offre aérienne, du fait de leur

s écono risme urbain in ographique. Ensuite, les régions centrales ntiennen rang aérien, qui ren déniable poids économique, mais ne par-

nent pas à améliorer leur offre au teindre le niveau des régions métropolitai- Les rég es et ce s sont par ailleurs celles dont les passagers pro- t le plu ce entre à l’échelle des lignes. Les régions sub- rales connaissent, pour leur part, une dynamique assez impressionnante et largement

yée su ation à proxim es grands marchés métropolitains ou centraux, des dyn onomiques spé es (en Grande-Bretagne). Les compagnies low- jouent imordial.

xièmement, deux types de région de rang inférieur — capitales ex-communistes et péri- ries du iren ivement leur épingle du jeu (surtout par rap-

au res rie), mais p e par des stratégies alternatives.

premiè t d’un mouvement général de repolarisation par l’Europe occiden- . Les se profitent d’une ba tourisme aérien notamment permis par portant loppement des compa ow-cost et une certaine régularisation des vols

inelleme pe charter.

autres ies et les régions diaires sont en net affaiblissement. Elles n’ont re d’ato faire valoir et sont c comme étant des marges ou des vides de El tivement dépendantes des services publics résiduels et subissent, en ce, la c

iques v aire

ont parf eu un effet né sur la desse

tré culier pour à la faillite de la Saben

sub és pa

taill s fran

satio ulait parfois plus es polit

Il fa ter à cela q

ors on de l’offre aér

men pays. Al ion europée

la li tion du rmet u

pagn aux, il

des nies européenn ent de prod

trée r pays d’origin clut la

seu rès grand ans rappor

peu pag

n’es par le b ons dan

conv elles ont e

de l meu tée et l’on demeu

pion ationaux.

Des nts et

Que t dans ce cadre notre othèse

du c opéen

émettrices et réceptrices des iens e des

diair férieur qu tirer le

ves

Mal versité d nstaté

avér z juste

Prem nt, si l fre selon la

pée meure sur

régi étropo s fe

mét nes cont

poid mique (tou clus) et dém

mai t leur voie à leur in

vien point d’at

nes. ions métropolitain

oncurren ntrale

fiten s de la c compagnies

cent

appu r leur localis ité d

sur amiques éc rôle pr

cifiqu cost ici un

Deu

phé tourisme balnéaire — t la périphé

t effect

port te de lutôt malgré elles qu

Les res bénéficien

tale condes nalisation du

l’im déve gnies l

orig nt de ty

Les périphér intermé

guè uts à onfirmées

l’Europe. les sont rela

Fran oncurrence du TGV.

(3)

Ainsi, on vo n que dans un système aérien libéralisé, l’offre ne devient pas plus égali- que da stème régulé. En il être conscient que le système régulé, mal- les co ’il imposait e financier aux compagnies nationales, puyait déjà majoritairement sur les besoins — et donc les structures géographiques — ôt que s s services publics (lignes dites d’aménagement du territoire). Dès lors que structures géographiques européennes sont demeurées globalement constantes, l’offre

nne a évolué par élagag ré-

dant à u ande non-satisfaite et par un certain renforcement de la concurrence sur lignes e ntes. Au-delà de cert discours sur les nouvelles liaisons économiques zontales re villes, il faut bien c er qu’en matière de transport aérien, la globali-

de l’é métropol s réellement remis en cause le poids des archies ns la géographie des réseaux aériens.

ctures aphiques vs géog e des réseaux :

trois th ues abordées dans précédent ne sont certes pas pleinement utables à la libéralisation du transp En outre, on connaît mal le degré exact de té ou d n-liberté des compag libéralisation, car il faudrait étudier en il des centaines d’accords bilatéraux antérieurs au nouveau droit européen. Mais en

ettant rganis n leur semble leurs réseaux tout en les

traignan ement à la rentabilit le législateur européen les a incitées à réfléchir urs réseaux préexistants et aux opportunités de développement. C’est dans ce cadre des log priori externes (l’é ion des pratiques touristiques, la mondialisation économ re-métropolisation) s spécifiques (la chute des régimes communis- ) jouent structurant en mêm ’elles s’alimentent des réseaux aériens. Il

là comme un balancier entre structures géographiques et stratégies des compagnies (et géogr es réseaux aériens) uencent même si nous sommes tentés enser q tructures géograph conditionnent plus les réseaux de transport que

erse. D ision es ne sont bien sûr pas le fruit d’un

conque hasard, mai a pour su isotrope.

que Luf a implante un hub à ou qu’Alitalia fait de même à Milan, il y a bien aisonnement d’ordre géographiqu ière. Lorsque SN Brussels Airlines naît des cen- de la S elle ré-interroge l’e concevoir un réseau plus adéquat avec les oins et possibilités de Bruxelles. anair étend sa toile, elle ne peut que

erroger ontenu économiqu main des régions d’origine et de destination.

étant, il n’est pas impossible que des comp es fonctionnent par essais-erreurs — si liaison nne pas les résultats facile d’affecter les moyens techni- s et hum ne autre ligne — a n’a rien de très original dans une économie ralisée. us la mobilité d teurs de production permet au transport aérien importa exibilité géographiqu

l’intégr opéenne à la li ion :

o re une demande de déplacements qui concerne surtout les ons éco t fortes, c’est celles qui concentrent les centres décisionnels s secteurs de pointe. Il s’agit ess t des régions métropolitaines et centrales, s-là mê ient déjà bien ies par les compagnies conventionnelles avant ibéralisa es premières ont cla fité d’un renforcement de ces compagnies ait de le x hu spokes. On peut supposer que même sans libé-

ation, c ient d’u ière ou d’une autre renforcées, même dans le e plus contraignant des s bilatéraux. En effet, dans le même temps, la en co nce des territoires d nouveau contexte néo-libéral et d’un État de ins en m redistributeur incite les décideurs publics à voir d’un bon œil le renforce-

t de le ennes, q er au moins en partie sur des compagnies ngères.

la libér tion à la banalisation du tourisme par avion :

ourisme n est aujourd’hu enu banal pour les classes sociales supérieures sûr ma ement pour la petit ie et une partie des classes moyennes, et

it bie

taire ns un sy core faut-

gré ntraintes qu t le soutien

s’ap

plut ur de

les

aérie surtout e de lignes non-rentables, par création de lignes

pon ne dem

les xista ains

hori ent onstat

sation conomie et la re- isation n’a pa hiér urbaines da

Stru géogr raphi

Les ématiq le chapitre

rien.

imp ort aé

liber e no nies avant la

déta

perm aux compagnies d’o er comme bo

con t théoriqu é,

à le

que iques a volut

de l’ ie, la ou plu

tes un rôle e temps qu

y a

donc aphie d , qui s’auto-infl

de p ue les s iques

l’inv ans ce cadre, les déc s un jeu qui

s des compagni

pport un espace qui est tout sauf quel

Lors thans Munich

un r e derr

dres abena, space pour

sque Ry

bes Et lor

s’int sur le c e et hu

Cela agni

ptés, il est

une ne do escom

que ains à u mais cel

libé Tout au pl es fac

une nte fl e.

De ation eur béralisat

L’intégrati n européenne engend

régi nomiquemen -à-dire

et le entiellemen

celle me qui éta desserv

la l tion. L irement pro

du f ur politique de réseau b-and- ralis es liaisons se sera ne man

cadr ou moins accord

mise ncurre ans le

mo oins

men urs dessertes aéri uitte à mis étra

De alisa

Le t par avio i dev

bien is égal e bourgeois

(4)

ceci appara e une conséquence libéralisation. On est ici dans un proces- où des nies émergentes o tiellement dû susciter l’offre, en créant des liai- nouve ssant les p s compagnies low-cost jouent ici un rôle impor- t mais non-exclusif, mordant notamment sur le marché des charters. Les destinations

istiques urbaines que balnéaires en sont les principales bénéficiaires. A l’origine, régions centrale entrent un important marché potentiel) et

régions trales (qui combin compagnies low-

, proxim

ens de conventionnels) sont les principales émettrices. En outre,

ividuali tou es (par opposition aux packages des tours-

ateurs) es possibilités d’auto ation du client potentiel offertes par Internet ssent le s charters à aux vols réguliers, éventuellement low-

, ou les ier sur les marchés non-libéralisés et/ou lointains. La question eure d’ rte de savoir q la part de la croissance de l’offre des régions istiques st en fait imputable à égularisation » des compagnies charters.

ralisat métropolisatio

elà de alisation du transpo rien et même en retirant tant bien que mal les ons tou es, nous avons mon e le réseau aérien européen demeure géogra-

uement archisé et c se la question de l’échelle à laquelle il est perti- t d’appr es phénomènes de lisation. On peut en effet se demander si r l’Euro lle-ci ne vaut pas ta n archipel de villes, comme le suggère par ple V 2005), que pour l’e le du centre économique européen considéré me un mme elle vaut par exempl ur le nord-est états-unien dans son en- ble.

ntrario pourrait aussi s’interroger sur la pertinence des flux aériens comme indica- s de re d’affaires de haut ni La banalisation de ce mode de transport est en t deven , pour les touristes mais aussi pour les hommes d’affaires, que sa sélecti-

n’est s qu’elle , les cadres moyens et même infé-

rs recou quemment à l’avio r raisons professionnelles, ce qui n’était pas le jadis. te multiplication des relations économiques entre territoires éloignés t-elle ju as le propre de n poque ?

acteur meurent à étudier :

x acteur é étudiés fau temps : les alliances et les aéroports.

En amont, grandes alliances de compagnies sont théoriquement de nature à influer sur la géographie des réseaux. Cepen processus de rationalisation ou d’organisation réseaux n’a pour l’instant pas vraiment eu lieu. Il n’est pas du tout clair qu’à ce stade réseaux és à l’échelle des allian tôt que des compagnies qui les compo-

. Il sem lutôt qu’on en soit encore à un stade où les alliances se forment par complémentarité des réseaux de leurs membres, sans pour autant redessiner ces derniers

ale, 2006).

val, nous avons rapidement annoncé que certains aéroports connaissaient une mutation organisation ssant de la logique technicienne et étatique à une logique managériale ntée ver ésultats. Des résultats qui doivent s’entendre en termes de profits finan- s (objectif d’actionnaires) et/ou de rayonnement régional (objectif de pouvoirs publics).

a beaucoup plus à étudier et à dire en la matière, et il y aurait notamment lieu d’étudier tion des relations entre pouvoirs publics et aéroports.

e banal on du transport aérien au détriment de l’environnement et du ial :

On s’en voudrait de terminer cette recherche sans rappeler les impacts de l’explosion de re aérienne en Europe. Premièrement, comme toute croissance du transport aérien, le-ci est r l’ nt, tant local (nuisances sonores et ris-

s d’accid que global (contribu auffement climatique

1

). Pour fixer les cho-

ît comm directe de la

sus compag nt par

sons lles et/ou en ca rix. Le tan

tour , tant

les métropolitaines et s (qui conc

les sub-cen ent aéroports secondaires utiles aux

centrales et populations n’ayant guère les cost ité des régions métropolitaines et

moy voyager aux tarifs

l’ind sation des pratiques ristiqu

opér et l nomis

pou s compagnie se convertir

cost obligent à se repl

dem ailleurs ouve uelle est

tour qui e la « r

Libé ion et re- n :

Au-d la ban rt aé

liais ristiqu tré qu

phiq fortement hiér ela po

nen écier l re-métropo

pou pe, ce nt pour u

exem eltz ( nsemb

com tout, co e po

sem

A co , on

teur lations veau.

effe ue telle

vité ans doute plus ce était. Aujourd’hui

rieu rent fré n pou

cas Mais cet

n’es stement p otre é

Des s qui de

Deu s n’ont pas ét te de

les trois

dant, le des

les soient pens ces plu

sent blerait p (Str

En a

nelle, pa orie s les r cier

Il y l’évolu

Un isati

soc l’off

cel très dommageable pou

) environneme

que ents tion au réch

1

Estimée à 3,5 % pour l’année 1992. Source : OMM/PNUE (1999).

(5)

ses, un aller-retour Bruxelles – Athèn par trajet) correspondrait à la moitié de que la Terre peut recevoir par personne et par an si l’on veut stopper l’accroissement de l’effet de se peut certes raffiner cette estimation selon les hypothèses (type d’avion, x de remplissage,…), mais elle m oins à quel point le transport aérien est

astateur

ite, la croissan fre intra-européenne s’est largement appuyée sur les compa- gnies low-c avons rappelé les conditions de travail pour le moins discutables

ermes x et humains. Le mo ost est également un modèle qui crée des emplois de seconde zone à l’opposé des acquis sociaux et des solidarités qui s’étaient déve-

ées au le. La raison en est ûr la régression du droit des travailleurs et non béralisation du transport aérien. M libéralisation a ouvert la voie à une exploitation ette régression. Il y a là une évid ction entre le bonheur des uns (les pas- ers) et adation des conditi travail des autres. De plus, cette dégradation

tamine agnies convention aux

nouvelles concurrences.

Il n’est donc guère osé de dire qu’au travers du renforcement et de la banalisation du sport aérien, la libéralisatin du ciel eu éen s’est faite sur le dos de l’environnement et travailleurs.

avenir compromis ?

Jadis, Biplan (1976) a pu écrire que tilisant l’avion, la classe dominante, non seule- t exerce pouvoir, mais égale s’en persuade et en persuade les autres, le pu- blic, les non yageurs ».

analisation du transport aérien re rd’hui ce propos. Mais l’irrésistible crois- e et la démocratisation du transp se déroule sous nos yeux risquent de r sur d ontraintes majeures. Premièrement, la prise de conscience progressive des acts des ements climatiques l’homme pourrait déboucher sur un éventail de

visant

rnalisan ts externes. Deux

che du p roduction du pétrole, auquel cas il y aura inévitablement des tensions sur arché des carburants fossiles à m erme (Brocorens, 2007). Dans les deux cas et à moins d’une révolution technologique majeure

2

, le transport aérien est appelé à voir ses

ts, et donc ses tarifs, augmenter.

onéreux, il redeviendrait socialem électif, au point de mettre un terme à sa isation et peut-être de rendre la formul plan à nouveau d’actualité. Un scénario écroiss -il vraiment improbable ?

nsport et géographie so

n, nous voudrions conclure avec un sentiment personnel. Avant la présente thèse, nous s toujou ravaillé sur des quest ransport urbain ou régional, le plus souvent ernant elles. Qu’il s’agisse d’études appliquées ou de recherches supposées plus scientifique terrain connu. Tant l’échelle spatiale qu’une certaine connais-

e de la ville et de ses quartiers no mettaient d’insuffler des considérations sociales à nos trava e réflexion sur l’utilis e modèles mathématiques pour prévoir les flux tidiens p d’opposer à ceu surdétermination de la mobilité par les structu-

sociales ville (jusqu’aux cli philosophiques), irréductibles à des équations.

ude d’un ngement de métro v n campus et un hôpital universitaires permettait trer ite fonctionnait pl artiers bourgeois situés à mille lieues a ligne d tro en question.

« passage » au transport aérien nous a permis une certaine ouverture européenne et le géogr à fait intéressant, nous n’y avons par

« bonheurs sociologiques » dont nous venons de parler. Ce t pas v nt le transport aérien en tant que tel qui en est la cause, car les logiques

es (2 090 km ce

rre

1

. On

tau ontre néanm

dév .

Ensu ce de l’of

ost, dont nous

en t sociau dèle low-c

XX

e

sièc bien s

lopp

la li ais la

de c ente contradi

sag la dégr ons de

con les comp nelles qui sont forcées de s’adapter pour résister

tran rop

des

Un

« en u

men son ment

-vo

La b lativise aujou

érien qui

sanc ort a

bute eux c

imp chang dus à

mesures à limiter le poids des émissions,

coû transports aériens compris, par exemple en

ment, certains chercheurs pensent que l’on est

inte t les ième

pro ic de p

le m oyen t

coû

Plus ent plus s

banal

d e de Bi

de ance est

Tra aérien ciale :

Enfi

avon rs t

Brux ions de t

conc

s, nous étions en

sanc us per

ux. Un ation d

quo ermettait x-ci la

res de la vages

L’ét prolo ers u

de mon que ce s utôt avec des qu

de l e mé

Si le

donc un changement d’échel contre pas retrouvé les petits

aphique tout

n’es raime

ource : Action Carbone, www.actioncarbone.org.

Qui soit d ait fortement la consommation des avions par passager-km, soit ne ferait plus dépen- e ceux-ci des hydrocarbures

1

S

2

iminuer

dr

(6)

sociales pré ci comme ailleurs, mais plutôt l’absence de données sur les passagers.

Ici, point de ents ou d’enquêtes socio-économiques poussées et exhaustives, mais lement études de marché pour le reste généralement confidentielles pour rai- s comm On ne sait donc quasiment rien de la ventilation socio-spatiale des pas- ers et c’ n dommage.

plus, toujours par rapport au transport urbain qui permet d’aller sur le terrain et d’y ob- ver tant de choses, la géographie nsport aérien se laisse difficilement contempler.

helle à laquelle il fonctionne oblige iment au travail en chambre. On est ainsi, hélas, bien loin de Beaujeu-Garnier (1971) qui postulait : « il faut les deux : le choc direct — le de fou de la terre, le b dissant des machines, le coude à coude de la rue, la bo ières — et puis é des chiffres, judicieusement utilisés ».

i consid l’étude des flux aér une certaine froideur qui laisse sur sa .

valent i recensem seu quelques son erciales.

sag est bie

De

ser du tra

L’éc quas

bain le, l’odeur ruit assour

ctivit

ue des carr l’obje

Ains érée, iens présente

faim

(7)

Bibliographie

ès M. ( nte d’Europe tte, 158 p.

ès M. e I. (1996), « La C ssion européenne : du compromis culturel à la re polit compromis », Revue Française de Science Politique, 46(3), p. 431-456 M. (20 ena, la faillite évit Élaboration d'un business plan, Bruxelles, Édi-

de l'U é de Bruxelles, 197

Amiel M., M n G. et Rozenblat Réseaux multi-niveaux : l'exemple des nges a e passagers », Mappemonde, 79, p. 1-12

ds L., B. et Vanhorebeek F. / Bureau fédéral du

(2002) es effets éco iques de la faillite de la Sabena SA, Working Pa- 3/02, 3

our J. ( Orly, the legal dimension », Journal of Air Transport man- ent 1(

our J. g in the European Union », Zeitschrift für Luft- und Weltraumre 4-2, p. 145-151

Barbot C. ( , “Low-cost airlines, airports, and stade aid: An economic as- ment o anair-Charleroi A Journal of Air Transport Manage-

t, 12, p 3

a P. et Koo B. (1999), “Bankrupt and pricing strategies in the US airline stry”, T ation Research Pa 5, p. 101-120.

ett S. (1997), « The implications Ireland-UK airline deregulation for an EU inter- market f Air Transport nt, 3(2), p. 67-73

rett S. ( deman airport services differ between full-service car- s and lo Journal of Air Transport Management, 10, p. 33-39

ett S. ( ), “The sustainability of the Ryanair model”, International Journal of Trans- Manag 2, p. 89-98

ett S. ( cialising nal airline – the Aer Lingus case study », Jour- f Air Tr agement, 12, p. 159-167

s T. (1994), “Infrastructure Constraints and the EC”, Journal of Air Transport Manage- t 1(3), p. 145–150.

ux J.-J re F., Chapelon L (2005), Géographie des transports, Pa-

Armand 2 p.

ujeu-Ga J. (1971), La géographie, méthodes et perspectives, Paris, Masson, 141 p.

erstock Smith R.G. et Taylor Roster of World Cities”, Cities 16(6), 5-458 ultable sur www.lboro.ac.uk/gawc).

ko G. e ietz A. (dir.) (1992), gions qui gagnent. Disctricts et réseaux : les eaux p mes de la géographie économique, Paris, PUF, 424 p.

an P. (1 aviation civile : outil stratégique et idéologique », Hérodote 3, p. 118- 146

Abél 1996), En atte , Paris, Hache Abél t Bellier

u

ommi cultu ique d

Allé 04), Sab able ?

tions niversit p.

élanço C. (2005), «

écha ériens mondiaux d

Avon Bossier F., Gilot A., Van den Cruyce

Plan , Évaluation d nom

per 6 p.

Balf 1994), « The Battle of agem 3), p. 161-164

Balf (2004), « Slot Tradin cht 200

2006) secondary

sess f the Ry

20 irport agreement”,

men . 197-

Barl cy protection

indu ransport rt E, 3

Barr of the

nal », Journal o Manageme

Bar 2004), “How do the ds for rier w-cost carriers?”,

Barr 2004

port ement,

Barr 2006), « Commer a natio

nal o ansport Man Bas

men

Bavo ., Beauci . et Zembri P.

ris, Colin, 23

Bea rnier

Beav .V., P.J. (1999), “A

p. 44 (cons

Ben t Lip Les ré

nouv aradig

Bipl 976), « L’

(8)

Blyton P. e 2003), Contesting Globalisation - Airline Restructuring, Labour Flexibility Trade U Strategies (2nd editi ndon, International Transport Workers’ Federa-

28 p. ( /itfglobal.org/files/seealsodocs/ENG/723/contesting%5Fglobalisation.pdf) net D. ance et le intérieur du transport aérien – 1986-1996 ».

e des A ropéennes n°1,

nstein 87), “Hubs and high s: dominance and market power in the US airline stry”, Rand Journal of Economics, 20, p. 344-365

nstein 2), “The evolution of US airline competition”, The Journal of Economic

pective 45-73

enstein Rose N. (1995), “Th ankruptcy on airline service levels”, The rican E ic Review, 93(2), p. 415-419

enstein N. (2003), “Ban pricing behavior in U.S. airline markets”, Americ ic Review, 82(2), p. 397-402

inot J. ( La ville compétitive, les clefs de la nouvelle gestion urbaine, Paris, Eco- ica, 180

en J. (2 etwork change, deregulation, and access in the global airline industry”, nomic G phy, 78(4), p. 425-4

then S., Hjelle H. et Killi M. (2000), « Economic appraisal in Norwegian avia- ». Journal of Air Transport Management

orens 07), Pic du Pétrole et Pic du Gaz, Université de Mons-Hainaut, inédit, p. (http .materianova.be/pu _du_Petrole_BrocorensP_Fevrier_2007.pdf)

ckner J ller P. (1994), “Economies of traffic density in the deregulated airline in- ry”, Journal of Law and Economics ), p. 379-415

nsma F P., Brons M. (2 parative study of hub airports in Europe:

t prices, travel time and rescheduling costs”, Tijdschrijt voor Economische en Sociale grafie, 91(3), p. 278-292

houwt e Wit J. (2005), “T oral configurations of European airline networks”,

nal of A ort Management, 198

ghouwt foort J. (2001) evolution of the European aviation network, 0-1998” of Air Transport M ment 7, p. 311-318

ghouwt akfoort J. (2002), phy of deregulation in the European avia- market rift voor Economi Sociale Geografie vol. 93, no. 1, p. 100-106

houwt rt J. et Ritsema ck J. (2003), “The spatial configuration of airline orks in ”, Journal of Air Transport Management 9, p. 309-323

on K. ( ebunking some on myths about airport hubs”, Journal of Air sport M ent, 8, p. 177-188

on K. ( Does the theory of core’ explain why airlines fail to cover their long- costs of ”, Journal of Air Transport Management, 9, 5-14.

ton K. e ugh R. (2000), Air ort networks : theory and policy implications, thampto ward Elgar, 377 p.

on K. e 0), « Int l air transportation and economic develop- t », Journal of Air Transport Management, 6, p. 209-222

ron M. ( , « La Sabena : de l'alliance avec Swissair à la chute finale (1995-2001) », rrier He daire du CRISP, 1757-1758, 62 p.

t al. (

and nion on), Lo

tion, http:/

Bon (1997), « La Fr marché

Revu ffaires Eu p. 26-43

Bore S. (19 fare

indu

Bore S. (199

Pers s, 6(2), p.

Bor S. et e impact of b

Ame conom

Bor S. et Rose nom

kruptcy and

The an Eco

Bou 2002),

nom p.

Bow 002), “N

Eco eogra 39

Bra Eriksen K.,

tion , 6, p. 153-166

Broc P. (20

108 ://mail b/Pic

Brue ., Spi

dust , 37(2

Brui ., Rietveld 000), “Com

ticke Geo

Burg G. et d emp

Jour ir Transp 11, p. 185-

Bur G. et Hak , “The

199 , Journal anage

Bur G. et H “The geogra

tion ”, Tijdsch sche en

Burg G., Hak

pe foo van E

netw Euro

Butt 2002), “D comm

Tran anagem

Butt 2003), “

tal? the ‘

run capi

But t Sto transp

Nor n, Ed

Butt t Taylor S. (200 ernationa men

Cap 2002)

Cou bdoma

(9)

Cartelier L. onnier L ) (1996), Critique de la raison communautaire, é publi et concurrence dans l européenne, Paris, CIRIEC-France et Economi-

57 p.

an N. ( Les échanges aé riale de l’Europe »,

ormatio

an N. (2 « Le monde au prisme des réseaux aériens », Flux, n°58, p. 32-43 es D., C ns L. et Tethewa 1984), “Economies of density versus economies cale: wh k and local service airline costs differ”, Rand Journal of Economics, 15(4),

71-489

mbre des Représentants de Belgique (29 January 2003), Rapport de l’enquête parle- taire visant à examiner les circon nt conduit à la mise en faillite de la Sa- a, de déterminer les éventuelles responsabilités et de formuler des recommandations r l’avenir, Bruxelles, Chambre de Belgique, 323 p.

ng Y.-C ms G. (2002), “European major airlines' strategic reactions to the Third age”, Transport Policy, 9, p. 129-

ng B. (1 e law of internatio r transport, London, Stevens, 726 p.

munau ropéennes (2003.1.

la Régio nne et Brussels So port à la compagnie aérienne Ryanair de son harleroi », l Officiel des Communautés Européennes, C18,

-36 (htt ur-lex.europa.eu/JOIndex.do?ihmlang=fr)

puter S rporation (2004) volution "low cost" : une menace pour les com-

nies ionnelles europée p. (disponible sur

://fr.co .csc.com)

Dagnelie P. (1986), Analyse statistique à plusieurs variables, Gembloux, Presses agrono- ues de G x, 362 p.

eys J. a décision de l mission européenne du 12 février 2004 sur les s d’État dées à Ryanair », Courrier Hebdomadaire du CRISP n°1852, p. 1-36

bage K 2), « Airport runway - Limits to Growth », Journal of Tourism Re- rch 29(4), p. 933-951

ker M. Structures et stratégies des compagnies aériennes à bas coûts, Paris, rmattan

aigne J l'intégratio ionale à l'intégration continentale : analyse de la mique ration supranationa opéenne des origines à nos jours, Paris, L'Har- tan, 318

enne A. sé M. (2004), Les réseaux sociaux, 2

e

édition, Paris, Armand Colin, 295 p.

piere C pe : la politique de coopération entre les compagnies aérien- de l'Eur , Bruxelles, Édi ersité de Bruxelles, 464 p.

nis N. ( Airline hub operati Europe”, Journal of Transport Geography, 2(4), 19-233

nis N. ( “Developments of ng at European airports”, Air & Space Europe, 2), p. 5

nis N. ( uropean

al airpo té à l'European Regional Science Association, 28 p.

nis N. ( “Industry consolida ture airline network structures in Europe”, nal of A sport Management, 11, p. 175-183

, Fournier J. et M . (éd.

utilit que 'Union

ca, 2

Catt 2000) : « riens vecteurs d’intégration territo L’inf n géographique, n°1, 71-75

Catt 004) :

Cav hristense y M. (

of s y trun

p. 4 Cha

men stances qui o

ben pou

Cha ., Willia

Pack 142

Che 962): Th nal ai

Com tés Eu 25), « Aide d’État C 76/2002 – Avantages consentis harleroi Air

par n wallo uth C

lors installation à C Journa

p. 3 p://e

Com cience Co , La ré

pag tradit nnes ?, Paris, 26

http untry

miq emblou

De B (2004), « L a Com

aide accor

Deb . (200 slots

sea

Dec (2004),

L'Ha , 160 p.

Defr .-C. (2004), De n nat

dyna d'intég le eur

mat p.

Deg et For

Dele . (1974), Air Euro

nes ope des six tions de l'Univ

Den 1994), “ ons in

p. 2

Den 2001), hubbi

3(1- 1-55

Den 2004), “Can the E sen

low-cost airline boom continue? Implications for re- gion rts”, papier pré

Den 2005), tion and fu

Jour ir Tran

(10)

Dewailly J.- lament É. (2000), Le tourisme, Paris, Sedes, 192 p.

n K. (1 Les évangélistes du marché, Paris, Liber – Raisons d’Agir

ruszkes 2001), « Multimodalité TGV - avion : considérations sur le cas de Bruxel- , Belge 335-350.

ruszkes 05), « Compagnies low-cost européennes et aéroports secondaires : quel- dépenda our quel développement régional ? », Les Cahiers Scientifiques du Trans-

47, p.

ruszkes anza wa Mwanza 07), « Marginalisation et dépendance aérienne

’Afrique arienne », Belgeo, à paraître

ruszkes epens V. et Decro (2006), « Éléments pour une géographie de re char péenne et la conc ce des compagnies low-cost », communication le et écr colloque « Transport et tourisme » (Chambéry, septembre 2006) (actes à

ître)

anis R. ), The Airline Business in the 21

st

Century, London, New York, Routledge, p.

anis R. g off course. conomics of international airlines, London, New , Routle 349 p.

en P. (2 n d' illite, Bruxelles, Labor, 174 p.

énil G. (2000), Crise e crise. Ordre et désordres néolibéraux, Pa-

Presses rance, 2 p.

ez H. e re A. (2004), ontée en puissance passée et impasses actuelles a régula européen ustries de réseau », in in Frison-Roche M.- éd.), Règles et pouvoirs dans les systèmes de régulation, Paris, Presses de Science-Po

alloz, p

éron O. 6), « Le fonds de péréquation des transports aériens ou la mise en forme e "conc n européenne du ser le domaine de l'aviation civile fran- e ». Rev nçaise de Droit Aéri n°49, p. 35-64

éron O. rt aérien nt du territoire et service public, Paris, armattan p.

lein B. 98), Regulating public utilities in Europe: mapping the problem, San enico, European University Institute, Robert Schuman Centre

lein B. 9), « L’État régulateur en Europe », Revue française de science politique, ), p. 20 0

érou R. rémon A. (1997), La politique communautaire de transport aérien, Paris, ses uni ires de France (coll. Que Sais-Je ?), 127 p.

pean C t Association (2002) Cost Carriers in the European Aviation Single ket, Bru n Cockpit Association AISBL (ECA Industrial Sub Group), 72 p.

T. (200 ents in intra-European inter-city flight connectivity: 1996-2004”, nal of T rt Geography, 14, p. 273-286

re P. (1 science politiqu çaise, une science à l’écart du monde ? », Ca- s frança , p. 23-30

ot M. (1 es relations aériennes internationales, Paris, Pedome, 568 p.

syth P. ( , “The gains from th ralisation of air transport - A review of reform”, rnal of T ort Economics and Po 2(1), p. 73-92

M. et F

Dixo 998),

Dob F. (

les » o 4, p.

Dob F. (20

les nces p

port 39-59

Dob F. et Mw H. (20

de l sub-sah

Dob F., Sch ly J.-M.

l’off ter euro urren

ora ite au

para

Dog (2001

240

Dog (2002), Flyin The E

York dge,

Doy 002), Sabena, le roma une fa

Dum et Lévy D. t sortie de

ris, universitaires de F 86

Dum t Jeunemaît « M

de l tion économique ne des ind

A. (

et D . 1-16

Dup (199

d'un eptio vice public" dans

çais ue Fra en et Spatial,

Dup (2000), Transpo , aménageme

L’H , 263

Eber (19

Dom

Eber (199

49(2 5-23

Esp et Sub

Pres versita

Euro ockpi , Low

Mar xelles, Europea Fan 6), “Improvem

Jour ranspo

Fav 996), « La e fran

hier is, 276 Folli 985), L

For 1998) e libe

Jou ransp licy, 3

(11)

Forsyth P., ., Nijkamp P. (ed 02), Air Transport, 2

nd

edition, Cheltenham, Ed- d Elgar,

yth P. ow-cost carriers experiences and impacts”, Journal of Air nsport M ent, 9, p. 277-284

oudaki 000), « Greek domestic air transport industry and policy developments post-W ar II to post-libera rnal of Air Transport Management, 6, p.

-232

cis G., s N., Ison S., Hump I. (2007), “The transferability of the low-cost el to lo line operations”, sm Management 28, p. 391-398

cis G., A. et Humphreys 3), “Airport - airline interaction:the impact of cost ca ropean a ”, Journal of Air Transport Management, 9, p.

-273

ke M. “Competition between network carriers andlow-cost carriers - retreat e or br ough to a new level iciency?”, Journal of Air Transport Management, p. 15-2

ken K. Terwisga S., Verbur ghouwt G. (2004), “Airline competition at pean a dschrift voor Ec che en Sociale Geografie, 95(2), p. 233-242 dry M. ir.) (2002), ralisation du transport aérien, bilan et perspec- s, Paris, ITA, 312 p.

rgakaki 02), « L’Europe sur le métier : pour une sociologie politique de la cons- tion européenne », in Georgakakis D. (dir.), Les métiers de l’Europe politique. Acteurs rofessio tions de l’Union Européenne, Strasbourg, 330 p.

illen D. et Lall A. (2004), “Competitive advantage of low-cost carriers: some implications r airports”, Journal of Air Transport Management, 10, p. 41-50

Gillen G. et Morrison W. (2005), “Regulation, competition and network evolution in avia- tion”, Journal of Air Transport Management, 11, p. 161-174

(1997), “The geography of deregulation in the U.S. airline industry”, nnals of the Association of American Geographers, 87(2), p. 238-263

önenç R. et Nicoletti G. (2001), “Regulation, market structure and performance in air pas- senger transportation”, OECD Economic Studies 32, p. 183-227

Graham B, (1998) : « Liberalization, regional economic development and the geography of demand for air transport in the European Union », Journal of Transport Geography, 6(2), 87-104

Graham B. (1995), Geography and Air Transport, Chichester, John Wiley & Sons, 288 p.

Graham B. (1997), “Regional airline services in the liberalized European Union single avia- tion market”, Journal of Air Transport Management, vol. 3, no. 4, p. 227-238

Graham B. (1998), “Liberalization, regional economic development and the geography of demand for air transport in the European Union”, Journal of Tramport Geography, 6/2, p.

87-104

Grande E. (1994), “The new role of the state in telecommunications: An international com- parison”, West European Politics, 17, p. 138-157

Grard L. (1995), Le droit aérien, Paris, Presses universitaires de France (coll. Que Sais- Je ?), 128 p.

Grard L. (1996), « Les obligations de service public et le transport aérien », in Kovar R. et Simons D. (dir.), Service public et Communauté européenne, entre l’intérêt général et le marché, tome I, Paris, La Documentation Française, p. 197

Button K .) (20

war 672 p.

Fors (2003), “L in Australia:

Tra anagem

Frag A. (2

from orld W lization ». Jou

223

Fran Denni hreys

mod ng-haul air Touri

Fran Fidato I. (200

low- rriers on two Eu irports 267

Fran (2004),

battl eakthr of eff

10, 1

Fren , Van g T. et Bu

Euro irports”, Tij onomis

Gau et Mayes R. (d La libé

tive

Geo s D. (20

truc

et p nnalisa G

fo

Goetz A. et Sutton C.

A

G

(12)

Grard L. (1996), Droit communautaire des transports aériens, Paris, GLN Joly, 63 p.

rard L. (2004), « Les accords de ciel ouvert. Vers un ordre juridique aérien international ost-bermudien’. Bientôt un ordre juridique ‘post-libéral’ », Revue Française de Droit Aérien t Spatial 58, p. 267-280

Grimmeau J.-P., Sortia J.-R. et Colard A. (1987) : « Analyse régionale des flux téléphoni- ques de la Belgique vers l’étranger », Bulletin de l’IDATE n°26, p. 131-138

Guillot J. (1970), L'économie du transport aérien, libertés de l'air et échanges de droits commerciaux, Paris, Pichon et Durand-Auzias, 234 p.

Hakfoort J. (1999), “The deregulation of European air transport : a dream come true ?”, Tijdschrift voor Economische en Sociale Geografie vol. 90, no. 2, p. 226-233

Hanlon P. (1999), Global Airlines. Competition in a Transnational Industry, 2

nd

edition, Ox- ford, Butterworth-Heinemann, 295 p.

Hätty H. et Hollmeier S. (2003), “Airline strategy in the 2001/2002 crisis – the Lufthansa example”, Journal of Air Transport Management, 9, p. 51-55

Hernandez Luis J. A. (2004), “The role of inter-island air transport in the Canary Islands”.

Journal of Transport Geography, 12, p. 235-244

Hoyle B.S. et Knowles R.D. (1992), Modern Transport Geography, London, New York, Bel- haven Press, 276 p.

ITF / Internation Transport Worker's Federation (2003), The Industrial Landscape of Low- Cost Carriers, Londres, ITF, 16 p. (http://itfglobal.org/files/seealsodocs/220/lowcost.pdf) Ivy R. (1995), “The restructuring of air transport linkages in the New Europe”, Professional Geographer, 47(3), p. 280-288

Jennar R. M. (2004), Europe, la trahison des élites, Paris, Fayard, 282 p.

Jordan W. (1970), Airline regulation in America: effects and imperfections, Baltimore, The Johns Hopkins University Press, 352 p.

Knorr A. et Arndt A. (2004), “Alliance strategy and the fall of Swissair: a comment”, Journal of Air Transport Management, 10, p. 119-123

Kostopoulos K. (2005), Les obligations de service public dans les lignes aériennes et les aéroports en droit communautaire de la concurrence. Bruxelles, Athènes : Bruylant, Ant. N.

Sakkoulas, 498 p.

Kyrou D. (2000), Lobbying the European Commission. The case of air transport, Hampshire, Ashgate, 252 p.

Lapautre R. (1982), « Le transport aérien, service public », Revue Française de Droit Aé- rien, n°2, p. 157-170

Levine E. (1965), “Is regulation necessary? California air transportation and national regula- rory policy”, Yale Law Journal, 74, p. 1416-1447

ijesen M. (2004), “Adjusting the Herfindahl index for close substitutes: an application to pricing in civil aviation”, Transportation Research Part E, 40, p. 123-134

Lijesen M., Nijkamp P. et Rietveld P. (2002), “Measuring competition in civil aviation”, Jour- nal of Air Transport Management 8, p. 189-197

Lijesen M., Rietveld P., Nijkamp P. (2001), “Hub premiums in European civil aviation”, Transport policy, 8, p. 193-199

Lüchinger R. (2001), Swissair, l'histoire secrète de la débâcle, Bruxelles, Lausanne, Bilan, Luc Pire, 314 p.

G

‘p e

L

(13)

Mac Mullen A. (1997), “Eu tional Routes to an Euro- pean Elite”, in Nugest N. (ed.),

sion, New York, St. Martin's Press,

Magnette P. et Remacle E. (2000) », in Magnette P.

et Remacle E. (éd.), Le nouveau modèle européen, volume 1, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, p. 7-23

Majone G. (1994), « Communauté Économique Européenne : déréglementation, ou re- réglementation ? La conduite des politiques publiques depuis l’Acte Unique », in Jobert B.

(dir.), Le tournant néo-libéral en Europe, Paris, L’Harmattan, p. 233-271

Marchand J.-P., Riquet P. et al. (1996), Géographie universelle : Europe du Nord, Europe médiane, Belin / Reclus

Marty F. (2004), Les conventions entre gestionnaires d’infrastructures aéroportuaires et compagnies aériennes face à la politique européenne de concurrence, Séminaire IREST- Université Paris I – Sorbonne, 37 p.

Mason K. (2001), “Marketing low-cost airline services to business travellers”, Journal of Air

nomics and operating characteristics of Europ charter and low cost scheduled airlines, Air Transport Group Research, Report 7, Cranfield University

Mazey S. et Richardson J. (2006), “The Euro an Commission and the lobby”, in Dimitra- kopoulos D. (ed.), The changing European Commission, Manchester, Manchester University Press, p. 279-292

Merlin P. (1991), Géographie, économ , Paris, PUF, 480 p.

Merlin P. (2000), Le transport aérien, Paris, La Documentation Française, 152 p.

Midttun A. (1992), “The European market for aviation: a sociological inquiry into the politi-

cal economy of a c ssues, XXVI(4), p.

1063-1094

Morrell P. (2005), “Airlines etwork airline responses to

Low Cost Carriers”, Journal of Air Transport Management

Morrison W. (2004), “Dimensions of predatory pricing in air travel markets”, Journal of Air Transport Management, 10, p. 87-95

Mosnier J. (2004), « Le phénomène low-cost : contre un certain nombre d’idées reçues », Problèmes économiques, 2843, p. 15-22

aveau J. (1992), Droit aérien européen, les nouvelles règles du jeu, Paris, Presses de

aveau J. (1996), Liberté de l’air, la grande illusion ? Évolution et révolution du droit des ansports aériens, Bruxelles, Bruylant, 209 p.

émery J.-C. (1995), « Les nouveaux instruments d’intervention en matière de développe- ent et d’aménagement du territoire », Revue Française de Droit Administratif 11(5), p.

14-922

NERA (2004), Study to assess the effects of different slot allocation schemes (Final report r the European Commission, DG TREN), London, 388 p. (disponible sur le site de la Com- mission Européenne – http://ec.europa.eu/transport/air/rules/studies_en.htm)

Nombela G., de Rus G., Betancor O. (2004), “Internalizing airport congestion”, Utilities Poli- cy 12, p. 323-331

ropean Commissionners 1952-1995: Na

At the heart of the Union: studies of the European Commis- p. 27-48

, « La grande transformation de l’Europe

Transport Management, 7, p. 103-109

Mason K., Whelan C., Williams G. (2000), Europe's low cost airlines: an analysis of the eco- e's

pe

ie et planification des transports

omplexly organized market”, Journal of Economic I

within airlines: An analysis of US n

, 11, p. 303-312

N

l'Institut du Transport Aérien, 326 p.

N tr N m 9

fo

(14)

O’Connor W. (2001), An introduction to airline economics (6

th

ed.), Westport, Praeger, 253 p.

O’Kelly M. (1998), “A geographer’s analysis of hub-and-spokes networks”, Journal of Trans- port Geography, 6(3), p. 171-186

O'Reilly D., Stone Sweet A. (1998), “The liberalization and reregulation of air transport”, Journal of European Public Policy, 5(3), p. 447-466

OACI (1996), Manuel de la réglementation du transport aérien, 1

ère

édition

OCDE (1988), Déréglementation et concurrence dans le transport aérien, Paris, OCDE, 190 .

OMM/PNUE (1999), L’aviation et l’atmosphère planétaire, résumé à l’intention des déci- deurs, rapport spécial du Groupe d’e rnemental sur l’évolution du climat (GIEC), disponible sur http://www.ipcc.ch/pub/Av(F).pdf

OMC (2005), Rapport sur le commerce mondial 2005, (en particulier partie III.B, « Le commerce international des services n, évolution récente et questions de politique », p. 235-290)

O'Reilly D. et Stone Sweet A. (199 nd reregulation of air transport”, Journal of European Public Policy,

Pavaux J. (1984), L'économie du transport aérien - La concurrence impraticable, Paris, Eco- nomica, 434 p.

Peraldi X. (à paraître), « La desserte aérienne e la Corse : une adaptation progressive aux exigences de la déréglementatio asporti e continuità territoriale delle regioni periferiche marittim

Pinson D. (1992), Des banlieues et des villes, dérive et eurocompétition, Paris, Les Éditions Ouvrières, 271 p.

Pumain D. et Saint-Julien T. (1997), L’analyse spatiale – Localisations dans l’espace, Paris, A. Collin / Masson, 167 p.

Raffaelli E. A. (1999), « Transport aérien et aides publiques », in Union des Avocats Euro- péens, L'Europe des transports : régulation, dérégulation, impact du passage à l'Euro, Bruxelles, Bruylant, p. 233-260

Randøy T. et Strandenes S. (1997), « The effet of the public ownership and deregulation in the Scandinavian airline industry », Journal of Air Transport Management, 3(4), p. 211-215 Reynolds-Feighan A. (1995), « European Air Transport Public Service Obligations: A Periodic Review ». Fiscal Studies, 16(1). p. 58-74

Reynolds-Feighan A. (2001), “Traffic distribution in low-cost and full-service carrier net- works in the US air transportation market”, Journal of Air Transport Management, 7, p.

265-275

Reynolds-Feighan A. et Button K. (1999), “An assessment of the capacity and congestion levels at European airports”, Journal of Air Transport Management, 5, p. 113-134

Rivoal C. (1997), « Fusions de compagnies aériennes et alliances transfrontalières », in Wassenbergh H. & von der Dunk F. (ed.), Dérégulation et régulation du transport aérien en Europe, Köln, Bundesanzeiger, p. 31-38

Rozenblat, C., Cicille, P. (2003), Les villes européennes, analyse comparative, étude pour DATAR, 94 p. (disponible sur www.diact.gouv.fr).

Salesse Y. (1996), « Institutions européennes, déficit démocratique et intérêt général », in Cartelier L., Fournier J. et Monnier L. (éd.) (1996), Critique de la raison communautaire, p

xperts intergouve

de transport aérie

8), “The liberalization a 5(3), p. 447-466

d

n », in Deiana M. (dir.), Tr

e

(15)

utilité publique et concurrence dans l'Union européenne, Paris, CIRIEC-France et Economi- ca, p. 35-68

anders L. (1990), L'analyse des données appliquée à la géographie, Montpellier, Reclus, 267 p.

Sapir J. (2006), La fin de l'eurolibéralisme, Paris, Seuil, 182 p.

urope, Paris, Presses de Sciences Po, 238 p.

D. (ed.), The changing European Commission, Manchester, Manchester

Sentence A. (2003), “Airport slot auctions: desirable or feasible?”, Utilities Policy 11, p. 53-

t Federation, 28 p.

(disponible sur www.aef.org.uk/downloads/HiddenCost.pdf).

me politique sans métier ? », in Georga- kakis D. (dir.), Les métiers de l’Europe politique. Acteurs et professionnalisations de l’Union

Smith D. et Timberlake M. (2001), « World City Networks and Hierarchies, 1977-1997 - An Empirical Analysis of Global Air Travel Links », American Behavioral Scientist 44(10), p.

1656-1679

45

pour la SOWEAR, 188

the single market: Corporate dilemmas and strategies of European Airlines”, Journal of Air Transport Management, 3(4), p. 197-210

tratégie des alliances de compagnies aériennes, mémoire de licence en géographie, ULB, inédit, 115 p. + annexes

, Köln,

Re- vue du Marché Commun et de l'Union Européenne, 432, p. 606-612

Suen W. (2002), “Alliance strategy and the fall of Swissair”, Journal of Air Transport Man- agement, 8, p. 355–363.

Swan W. (2002), “Airline route developments: a review of history”, Journal of Air Transport Management 8, p. 349-353

S

Sapir J. (2003), Les trous noirs de la science économique : essai sur l'impossibilité de pen- ser le temps et l'argent, Paris, Seuil, 404 p.

Savage I. (1985), The deregulation of bus services, Aldershot, Gower, 267 p.

Scharpf F. (2000), Gouverner l'E

Schmidt S. (2004), “The European Commission’s powers in shaping European policies”, in Dimitrakopoulos

University Press, p. 105-120

57

Sewill B. (2003), The Hidden Cost of Flying, London, Aviation Environmen

Shaw S.-L. (1993), “Hub structures of major US passenger airlines”, Journal of Transport Geography, 1(1), p. 47-58

Smit H. (1997), “The European airline industry. A banker’s view”, Journal of Air Transport Management, 3(4), p. 189-196.

Smith A. (2002), « Commissaire Européen, un hom Européenne, Strasbourg, 330 p.

Sorenson N. (1991), “The impact of geographic scale and traffic density on airline produc- tion costs: the decline of the no-frills airlines”, Economic Geography 67(4), p. 335-3

SOWEAR (2003), Évaluation des retombées économiques générées par les activités de l'aé- roport de Charleroi, rapport réalisé par le CIRIEC et Deloitte & Touche

p. (disponible sur www.sowaer.be) Staniland M. (1997), “Surviving

Strale M. (2006), Géographie et s

Subrémon A. (1997), « Aides d’État aux compagnies aériennes en Europe », in Wassen- bergh H. & von der Dunk F., Dérégulation et régulation du transport aérien en Europe Bundesanzeiger, p. 39-50

Subrémon A. (1999), « Les obligations de service public dans les transports aériens »,

(16)

Taylor P.J. (2003), “European cities in the wo European Metropolis 1920-2000, Erasm www.lboro.ac.uk/gawc, Research Bulletin 1 Tolley R. & Turton B. (1995), Transport s Scientific and Technical, 402 p.

Tretheway M. (2004), “Distortions of airlin model is broken”, Journal of Air Transport M Union des Avocats Européens (1999), L'E impact du passage à l'Euro, Bruxelles, Bru Union Européenne (2004.4.30), « Décisio

rld city network”, in van Dijk H. (éd.), us, Universiteit Rotterdam (disponible s 5).

ystems, policy and planning, Harlow, Longma e revenues: why the network airline busine anagement, 10, p. 3-14

rope des transports : régulation, dérégulati ant, 335 p.

de la Commission du 12 février 2004 concerna llonne et Brussels South Charleroi Airport à

The ur 0

n

ss

u on,

yl

n nt

la stallation à Charleroi », Journal Officiel de l’Union .europa.eu/JOIndex.do?ihmlang=fr)

sion and the law”, in Spence D. et Edwards G.

n, Londres, John Harper Publishing, p. 103-127 n T., Thomas I. (2007), Accessibility indicators rche AP/10/02A et AP/01/02B pour le SPF Mobili-

production des espaces économiques (tome I), Une nouvelle typologie économique des régions éographique, 4-2

( ce

e it

m

i gi-

u

u-

i rt

te ses

aires de France, 288 p.

é- g-

7 an

, 110 p.

Weber M. et Dinwoodie J. (2000), “Fifth freedoms and airline alliances. The role of fifth freedom traffic in an understanding of airline alliances”, Journal of Air Transport Manage- ment, 6, p. 51-60

les avantages consentis par la Région wa compagnie aérienne Ryanair lors de son in Européenne, L137, p. 1-62 (http://eur-lex Usher J. (2006), “The European Commis (éd.), The European Commission, 3e éditio Vandenbulcke-Plasschaert G., Steenberghe to places and transports, contrats de reche té et Transports, UCL et KUL, inédit.

Vandermotten C. et Marissal P. (1998), La Bruxelles, Éditions de l'Université de Bruxelles.

Vandermotten C. et Marissal P. (2000), «

européennes », L’Espace G 000, p. 289-300

1990), Les fractionnements sociaux de l’espa 24 p.

- cartographie comparative, Bulletin du Créd unal.

ation commerciale belge, 1923-2001. Des ori Vandermotten C., Saey P. et Kesteloot K.

belge, Contradictions n° 58-59, Bruxelles, 2 Vandermotten et al. (1998), Villes d’Europ Communal 207-208, Bruxelles, Crédit Com Vanthemsche G. (2003), La Sabena : L'av nes au crash, Bruxelles, De Boeck, 341 p.

Varlet J. (1997), « La déréglementation d réseaux et sur les aéroports », Annales de G Varone F. et Genoud C., 2001, « Libéralisat blique, le cas de l’électricité », Politiques et

transport aérien et ses conséquences sur les éographie, n°593-594, p. 205-217

ion des services de réseau et responsabilité p management public, 19(3), p. 191-212

on of airline networks”, Journal of Air Transpo

rritoires : l'économie d'archipel, Paris, Pres

r l’aide de la DATAR à la création de lignes a s, Paris, 64 p. + tableaux et annexes

s of Air Transportation”, The Professional Geo Veldhuis J. (1997), “The competitive posit

Management, 3(4), p. 181-188

Veltz P. (2005), Mondialisation, villes et universit

Villain C. et Chappert J. (1990), Rapport su riennes – Rapport au Gouvernement françai Vowles T. (2006), “Geographic Perspective rapher, 58, p. 12-19

Wassenbergh H. & von der Dunk F. (199

'Airscape', Köln, Bundesanzeiger ), Deregulation and Regulation of the Europe

(17)

Williams G. (2001), “Will Europe by "no-frills" scheduled air- es?”, Journal of Air Transport Management

Ze b péenn p. (sé Zemb of the

Princ Aero Assoc Comm

European Low Fares Airline Association : www.elfaa.com European Regi

Globalizatio

IATA : www.iata.org

a

’s charter carriers be replaced , 7, p. 277-286 lin

Williams G., Pagliari R. (2004), « A comparative analysis of the application and use of public service obligations in air transport within the EU ». Transport Policy, 11, p. 55-66

Williams, G. (2001), “Will Europe’s charters carriers be replaced by “no-frills” scheduled airlines?”, Journal of Air Transport Management 7, 277-286

m ri P. (2005), « Les compagnies low cost, acteurs de l’interrégionalité à l’échelle euro- e ? », communication aux 5e journées de géographie des transports (Besançon), 15 lection de communications à paraître sous forme de livre)

ri P. (à paraître), “The spatial consequences of Air transport deregulation: an overview French case since 1995”, Paper for NECTAR book (16 p.)

ipaux sites web :

Transport Data Bank : www.aerotransport.org iation of European Airlines : www.aea.be

ission Européenne, transport aérien :

http://ec.europa.eu/transport/air_portal/index_fr.htm

ons Airline Association : www.eraa.org

n and World Cities Study Group and Network : www.lboro.ac.uk/gawc

ICAO/OACI : www.icao.int

Port il du droit européen : http://eur-lex.europa.eu

Références

Documents relatifs

Au point qu'il est proposé aujourd'hui de re- noncer à soumettre la responsabilité du médecin à l'exigence de la faute, voire de régler les ratés de

BODEAU-LIVINEC a bien montré combien les critères d'attribution tels que codifiés dans les ArUcles sur la responsabilité de l'Etat pour fait imemat ionulemem

mière définition ce matin, celle de Chesnais : le territoire est une portion de l'espace finalisée, c'est-à-dire une por- tion d'espace chargée d'un projet, chargée d'une intention

Par ailleurs, en utilisant les résultats de la validation, nous avons calculé à partir des profils d’exactitude obtenus pour les deux méthodes l’incertitude associée à

Afin d'éliminer les réalisations considérées comme irréalistes d'un point de vue géologique, un critère de sélection (Cr2) a été adopté, pour lequel des permutations

Démonstration Pour une fois, nous ne pouvons pas montrer que U(A) est un SOUS -groupe d’un groupe connu plus gros car nous n’avons pas de groupe connu plus gros à proposer..

Dans l’ADN, les nucléotides sont reliés entre eux selon une certaine séquence grâce à des liaisons impliquant un groupe phosphate, qu’on appelle des liaisons

Maintenant, tout me monde sait que je suis à fond sur Lucas.. En plus, il a dû le lire