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L. WEBER. — Mittheilung über cinen photometrischen Apparat (Sur un appareil photométrique); Wied. Ann., t. XX, p. 326; 1883

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238191

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238191

Submitted on 1 Jan 1884

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L. WEBER. - Mittheilung über cinen photometrischen Apparat (Sur un appareil photométrique); Wied. Ann.,

t. XX, p. 326; 1883

J. Macé de Lépinay

To cite this version:

J. Macé de Lépinay. L. WEBER. - Mittheilung über cinen photometrischen Apparat (Sur un appareil photométrique); Wied. Ann., t. XX, p. 326; 1883. J. Phys. Theor. Appl., 1884, 3 (1), pp.143-144.

�10.1051/jphystap:018840030014301�. �jpa-00238191�

(2)

143

rectangulaires

et amenées à se superposer, se

comportent

comme de

la lumière naturelle : un

polariscope

Savart sert à vérifier leur

égalité.

Cet

appareil

se compose : 10 d’un

système symétrique

de

prismes

à réflexion totale servant à amener au contact deux

plages

éclairées chacune par l’une des deux sources à comparer; d’un gros

prisme

de

Foucault,

mobile sur unllimbe

gradué,

servant

à po-

lariser les faisceaux

parallèles,

issus des deux sources ; 3° d’un rhom- boèdre

épais

de

spath,

à faces normales aux rayons, servant à ame-

mer le faisceau ordinaire

correspondant

à 1’tinte des sources à se

superposer

partiellement

au faisceau extraordinaire

correspondant

à

l’autre ; 4°

d’un

polariscope

de Savart. Si 2 est

l’angle

des sections

principales

du

prisme

de Foucault et du

rhomboèdre,

au moment

de la

disparition

des

franges,

le

rapport

des intensités des deux

sources est

C étant un coefficient que l’on

peut

calculer

d’après

la théorie

de la réflexion cristalline de Neumann.

Pour transformer

l’appareil

en un

spectrophotomètre,

il suffit

d’interposer

un

prisme

d’Amici à arêtes

horizontales,

entre le

rhomboèdre et le

polariscope.

La fente se trouve accolée aux faces

terminales des

prismes

à rédexion totale. On

ajoute

enfin contre

le

prisme

de Foucault une lentille collimatrice. Dans ces condi-

tions,

à chacune des sources

correspond

un

spectre cannelé,

et ces

deux

spectres,

à cannelures

aluernées,

se trouvent

superposés.

Si

l’égalité

des deux faisceaux est obtenue pour une

région

déterminée

du

spectre,

les

franges

noires y

disparaissent.

Une fente

oculaire,

mue par une vis à tambour

gradué,

sert à définir exactement les

régions

du

spectre auxquelles

se

rapportent

les mesures.

Il est utile de remarquer que le coefficient C est sensiblement le même pour toutes les

radiations,

C =

1,026

en moyenne.

J. MACÉ DE LÉPINAY.

L. WEBER. 2014 Mittheilung über cinen photometrischen Apparat (Sur un appareil photométrique); Wied. Ann., t. XX, p. 326; 1883.

La méthode

photométrique proposée

repose sur le

principe

des

acuïtés visuelles

égales :

les deux sources à comparer éclairent les

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030014301

(3)

144

deux moitiés senlblablcs d’une

plaque

de verre sur

laquelle

sont

photographiés

des cercles

concentriques

noirs très serrés. 1./ avan-

tage

de cette méthode est de

pouvoir

servir à comparer une lumière diffuse à une source

étalon,

ou encore deux sources de couleurs

différentes. Dans ce dernier cas, l’observation est rendue bien

plus

facile en

interposant

devant l’oeil un verre rouge. On passe faci- lement de l’intensité R ainsi mesurée à l’intensité

vraie,

en remar-

quant

que, pour des sources de même

composition, comparées

u

un même

étalon,

on a 1 - KR. K est un coefficient

numérique

que l’on

peut

déterminer une fois pour toutes

(1).

J. MACÉ DE LÉPINAY.

FRANK NEWALL. 2014 Internal reflexions in the eye (Réflexions intérieures dans

l’0153il); Proceedings of the Royal Society, vol. XXXIV, p. 473; 1883.

Quand

on fixe un oeil sur un

point

déterminé d’un écran noir

dans une chambre éclairée seulement par la flamme d’une

bougie,

et que la flamme est

placée

en dehors de l’axe

visuel,

on

aperçoit

en un

point

à peu

près symétrique

de la flamme par

rapport

à J’axe visuel un fantôme

pâle,

renversé et

plus

ou moins confus de

cette flamme. Si l’on

déplace

la

bougie

sans

déranger l’ocil,

le fan-

lôme

éprouve

des

déplacements égaux

et

contraires,

de

façon

à

rester

symétrique.

Si

enfin,

laissant en

place

la

bougie,

on

déplace

lentement

l’objet

fixé par

l’0153il,

le fantôme

éprouve

un

déplace-

ment double et de même sens et demeure encore

symétrique

de

la flamme par

rapport

à l’axe visuel.

L’auteur

explique

la

production

de cette apparence en admet-

tant que

l’image rétinienne,

due aux rayons venus directement de la

flamme,

constitue à son tour par diffusion un

objet qui

renvoie

de la lumière vers l’extérieur de l’oeil. Cette lumière rencontre

la face antérieure du cristallin sur

laquelle

elle se réfléchit

partiel-

liement comme sur un miroir concave. Elle vient former entre le cristallin et la rétine une

image

de réflexion rcnversée par

rapport

à la

première,

nlais droite par

rapport

à la flamme elle-même. Le

(’ ) Cornparer à la solution plus générale quc j ’ai récemment proposéc (Comptes

rendus des séances de l’Acadénzie des Sciences, T ; décembre 1883).

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